En cette fin d’hiver, le crĂ©puscule s’annonçait triste Ă Paris, alors que seul, je dĂ©ambulais sur les quais du Palais de Justice vers le MusĂ©e d’Orsay. Je venais de plaider une affaire et fait exceptionnel, d’autres obligations parisiennes m’attendaient le lendemain, de telle sorte que je devais y passer la nuit.Mon client avait fait preuve de gĂ©nĂ©rositĂ© et je logeais dans un hĂ´tel chic, avec une vue originale dont je parlerais plus avant.Je mĂ©ditais en marchant, lorsque mon regard aperçut, brillante, illuminĂ©e, la grande Roue de la Place de la Concorde, installĂ©e depuis plusieurs mois pour l’an 2000.Poursuivant ma promenade solitaire, je me rapprochais de plus en plus de cette Grande Roue et, arrivĂ© place de la Concorde, je me dĂ©cidais Ă prendre ma place dans la file d’attente. J’achetais mon billet et attendis l’arrĂŞt de la Roue pour prendre une nacelle. Il y avait beaucoup de jeunes et juste devant moi une femme monta. Je la suivis aussitĂ´t et une bande de 3 ou 4 jeunes, nous voyant installĂ©s, refluèrent pour prendre la nacelle suivante, de telle sorte que je me retrouvais seul avec cette inconnue assise en face de moi, dans cette nacelle grillagĂ©e.Elle Ă©tait brune, les cheveux droits et souples mais assez courts, des yeux noisette, une bouche sensuelle aux lèvres pulpeuses, environ 35 ans. Elle portait un impermĂ©able vert bouteille au col relevĂ©, de jolies chaussures avec talon.La Roue commença Ă tourner. La vue Ă©tait rĂ©ellement splendide. Les monuments illuminĂ©s de Paris, les flots jaune et rouge des voitures sur les Champs…Nous tournions lentement, au rythme de la Roue.Nos regards embrassaient la ville et se rencontrèrent, souriants, Ă©merveillĂ©s comme des gamins. Je lui rendis son sourire. Elle bougeait de gauche et droit, regardant autour d’elle. Son impermĂ©able Ă©tait ouvert et je voyais ses jambes voilĂ©es de noir avec sa jupe de tailleur qui remontait progressivement, Ă mesure qu’elle se tournait d’un cĂ´tĂ© ou de l’autre..— Vous connaissez Paris ? me demanda-t-elle.— Un peu, lui dis-je, j’y viens assez souvent… Sur ma rĂ©ponse, elle me montra un dĂ´me Ă©clairĂ©. Ce monument, vous le connaissez ?.— C’est la coupole des Invalides, je lui rĂ©pondis…— Ho bien sur et euh, de l’autre cĂ´tĂ© une Ă©glise plus au loin ? elle me montrait la direction de sa main.— C’est le SacrĂ©-CĹ“ur, la butte Montmartre…— Bien sĂ»r, rĂ©pondit-elle, je suis idiote… Un silence… La vue est vraiment magnifique, vous ne trouvez pas ?— Oui, je lui rĂ©pondis-je dirais mĂŞme excitante— Ho, excitante n’est pas le mot, me rĂ©pondit-elle…— Pour moi, si rĂ©torquais-je en souriant, mon regard vers ses jambes dĂ©couvertes.Elle baissa les yeux et se rendit compte de mon allusion. Sa jupe avait bien remontĂ©, Ă force de contorsions pour admirer la vue de chaque cĂ´tĂ©, et on voyait la lisière de ses bas noirs.— Ho…— Ne bougez pas…C’est extrĂŞmement joli. Vous avez des jambes superbes…Je me levai de mon siège et vint m’accroupir devant elle dans la nacelle, posant ma main sur une de ses cuisses, la caressant un peu puis passant sous le tissu de sa jupe, ma main faisant crisser le voile de ses jolis bas Chantal Thomass…— Mais que faites-vous ? Vous ĂŞtes fou ! On va nous voir ! Ca va pas la tĂŞte ? Je n’échappais Ă aucune des observations que l’on entend des honnĂŞtes femmes en pareille circonstance, mais qui finalement en font peu pour que cela cesse…La chance vint Ă mon secours, car notre nacelle s’immobilisa tout en haut de la roue.A genoux devant ses jambes, je les lui caressais doucement, remontant de plus en plus haut. Elle ne rĂ©agissait pas. Tout au plus avait-elle lancĂ© quelques regards pour se rendre compte si on pouvait nous voir des autres nacelles. Mais ce n’était pas le cas.Ma main atteignait ses cuisses nues en haut des bas…Elle ne fermait pas ses cuisses, et ma main toucha bientĂ´t sa fine culotte de dentelle. Je commençais Ă la caresser doucement, avec un doigt puis deux Ă travers son slip.— Oh non, mais arrĂŞtez dit-elle sans grande conviction, d’autant qu’elle Ă©carta un peu plus les jambes, ce qui me permit d’approcher ma tĂŞte et de poser ma bouche entre ses cuisses. Je lĂ©chais sa culotte, humait la fragrance de son intimitĂ©. Je la sentais regarder de droite et de gauche, tout en avançant son bassin.Je passais alors un doigt sous l’élastique de sa culotte, touchant les lèvres lisses de son sexe Ă©pilĂ©. Après quelques caresses digitales, j’écartais sa culotte, dĂ©couvrant sa chatte humide sur laquelle je plaquais ma bouche.La nacelle n’avait pas bougé ; nous Ă©tions toujours en haut. Je passais ma langue sur son abricot, excitait son clitoris dĂ©busquĂ© et tendu. Elle Ă©mettait quelques gĂ©missements. Je goĂ»tais sa mouille abondante et m’en dĂ©lectais. Je suçais avidement cette moule odorante et suintante de dĂ©sir, au goĂ»t vraiment dĂ©licieux, buvant, mangeant, broutant.Je ne tardais pas Ă mettre un doigt puis deux dans son fourreau mouillĂ©, tout en suçant son bouton turgescent, aspirant ses lèvres intimes, enfonçant ma langue gourmande, bref dĂ©vorant cette chatte offerte au dĂ©sir.La situation insolite manifestement, dĂ©cuplait son excitation et alors que la nacelle se remettait en branle, si j’ose dire, elle serra les cuisses contre ma tĂŞte, gĂ©missant son plaisir et sa jouissance.Je me relevai, la bouche et les lèvres luisantes de son jus alors qu’elle rabaissait sa jupe, me regardant en coin, puis jetant un regard sur ma braguette tendue.Elle me sourit et me dit simplement « merci », lorsque la nacelle s’arrĂŞta et que nous sortions sur le parvis. Je ne la lâchais pas. Elle-mĂŞme demeurait près de moi.Elle restait lĂ , probablement encore un peu dans les nuages, et me dit « Vous ĂŞtes tout barbouillĂ© de.. moi ». Et justement, je n’avais plus de mouchoir de papier. Elle m’en tendis un, et je m’essuyais un peu la bouche et le nez. Tout en marchant, nous nous aperçûmes ĂŞtre entrĂ©s dans le jardin des Tuileries. J’approchai du premier bassin et trempa son mouchoir dans l’eau pour me dĂ©barbouiller. Elle Ă©tait lĂ et souriait.— Je m’appelle Fabienne m’indiqua-t-elle… et euh c’était super.. bref j’ai aimĂ©, vous faites çà bien…— On marche un peu ? lui demandais-je, en montrant les allĂ©es boisĂ©es du Jardin, Ă©clairĂ©es des lumières de la Roue.— Si vous voulez…C’est ainsi que nous fĂ®mes un peu connaissance en marchant, et qu’elle m’apprit qu’elle travaillait dans la banque, qu’elle Ă©tait en stage sur Paris pendant trois jours, qu’elle terminait demain, qu’elle venait de Limoges, qu’elle Ă©tait mariĂ©e…Tout en parcourant lentement les allĂ©es, je lui pris la main, qu’elle ne refusa pas.— Alors, vous ĂŞtes libre pour dĂ®ner ?— Oh, non, je ne sais pas.— Voulez-vous dire que nous ne sommes pas assez intimes ?Elle sourit et m’arrĂŞtant, je l’attirais contre moi. Nos bouches se joignirent. Elle ouvrit les lèvres et nos langues se mĂŞlèrent dans un baiser de plus en plus humide. Elle ne pouvait pas ne pas sentir ma queue dure contre son ventre…Discrètement, protĂ©gĂ©e par son imper, elle passa sa main entre nous et serra mon sexe Ă travers la braguette puis descendis soupeser le reste.— Vous m’avez donnĂ© envie…avoua-t-elle.— Et moi donc, je dis en souriant…— Oui, je sens çà . Vous lĂ©chez souvent des femmes mariĂ©es sur les manèges ?— Non, c’est bien la première fois…Alors, pour ce dĂ®ner ?— …Bon, allons-y, d’accord…— Vous ĂŞtes Ă l’HĂ´tel ?— Oui, près de l’Eglise Saint-Germain.. Et vous ?— Moi aussi, un grand hĂ´tel place du Palais Royal., face au Louvre.Lui tenant toujours la main, je pris mon portable pour rĂ©server une excellente table bien connue proche du quai Voltaire. Par chance, il restait de la place.Nous continuâmes notre promenade, longeant le bord de Seine, jusqu’au Pont Neuf, passant devant les bouquinistes qui fermaient leur Ă©choppe, devisant sur nos vies respectives et le hasard des rencontres.Naturellement nous ponctuions notre marche de baisers de plus en plus humides. Fabienne se collait Ă moi, frottant son ventre sur ma braguette.— Hum, vous bandez toujours, me dit elle…Le temps passait vite et, revenant quelque peu sur nos pas, nous atteignĂ®mes notre restaurant dont le dĂ©cor moyenâgeux, armures et mĂŞme ceintures de chastetĂ© firent l’admiration de Fabienne.InstallĂ©s dans un coin discret, face Ă face autour d’une table ronde Ă longue nappe, nous dĂ®nâmes avec appĂ©tit, notre conversation dĂ©rivant progressivement sur le sexe.Le prĂ©lude de la Grande Roue avait en quelque sorte placĂ©e Fabienne sur orbite. J’appris ainsi que son mari Ă©tait peu aventureux en la matière et qu’il manquait singulièrement de fantaisie, avec une nette tendance Ă l’espacement des rapports et Ă la rĂ©duction de leur durĂ©e, ce qui laissait Fabienne sur sa faim sexuelle. Elle avoua facilement qu’elle se masturbait quasiment chaque jour mais je ne pus obtenir qu’elle me livre ses fantasmes secrets.Parfois ma main glissait sous la nappe pour caresser doucement ses cuisses, parfois je touchais sa poitrine, dĂ©faisant son chemisier d’un puis deux boutons, admirant le sillon prometteur de ses seins lourds.— Je fais du 90C me prĂ©cisa-t-elle, vous aimez ?— Oui beaucoup, j’aime les gros seins, çà ouvre beaucoup de possibilitĂ©s Ă©rotiques…— Ah oui ? lesquelles ?— Je vous montrerai…— Quand ?— Ce soir ? On passe Ă votre hĂ´tel, vous prenez ce qu’il vous faut et on va dans ma chambre. On a juste la Seine Ă traverser… Je vous promets une surprise…— Oh, je vois bien laquelle..— Non, non, une autre, une vue magnifique…vous apprĂ©cierez…— Vous croyez que je vais venir ?— Vous ĂŞtre en dette avec moi, non ?Elle ne rĂ©pondit pas, rĂ©flĂ©chissant Ă la proposition. Lorsque je vis son regard espiègle et son sourire, je sus qu’elle allait effectivement venir avec moi d’une part payer sa dette et d’autre part expĂ©rimenter quelques fantasmes.— Vous ĂŞtes coquin, n’est ce pas Chris ?— Très…— J’ai remarqué…— Vous aussi vous ĂŞtes très sensuelle et je parie une belle cochonne..— Oh..— Je parie avec vous, vous dis-je…— Je ne me reconnais pas, moi qui suis si rĂ©servĂ©e en matière de sexe… Vous devez me prendre pour une traĂ®nĂ©e.— Mais non, laissez-vous aller Fabienne. Soyez une femme. Profitez en. LibĂ©rez vous de vos habitudes, de vos retenues. Exprimez naturellement votre sensualitĂ©, votre voluptĂ©, votre dĂ©sir, …Nous arrivions au dessert. Je vis son bras sous la table…— J’aimerais que vous vous caressiez Fabienne, je lui dis brusquement au dĂ©tour d’une conversation anodine, remontez votre jupe, glissez la main dans votre culotte et masturbez vous.— Vous ĂŞtes fou, pas ici, voyons..— Pourquoi ? personne ne vous voit… C’est coquin çà … Et vous me ferez sucer vos doigts. Vous savez, j’ai vraiment apprĂ©ciĂ© le goĂ»t de votre chatte. C’est gĂ©nial avec un bon dessert.Elle me regardait dans les yeux, le regard allumĂ©. Je voyais son bras bouger imperceptiblement— Vous savez, Fabienne ,que vous me faites bander Ă vous branler sous la nappe.— Ohh, cochon. ArrĂŞtez..— C’est bon ?— Oui, ohh, avec vous j’ai envie d’être perverse. Oui, je me branle et je.. mouille. Vous voulez goĂ»ter ?— Oui, faites moi sucer votre doigt.Elle me tendit deux doigts humides de sa cyprine, que je lĂ©chais avec dĂ©lectation..— À quoi pensez-vous ? Allez dites moi, sans dĂ©tour…— Je pense Ă votre.. sexe qui bande Chris.— Vous le voyez comment, ? vous l’avez senti avec votre main tout Ă l’heure..— Ohh, gros je crois..— Vous aimez les grosses queues ?— Oui.La serveuse vint nous apporter le dessert et je dus interrompre cet interrogatoire qui apparaissait prometteur sur les goĂ»ts de Fabienne en matière de queues. Je lui demandais immĂ©diatement l’addition, je payais et la serveuse nous gratifia d’un « bonne fin de soirĂ©e » complice…Nous quittâmes rapidement cet excellent restaurant, nous dirigeant vers son hĂ´tel. Je tenais Fabienne par la taille, le bras passĂ© sous son imper, ma main posĂ©e sur ses fesses.Nous fĂ®mes plusieurs arrĂŞts pour nos embrasser et nous rouler des patins de plus en plus chauds et humides. Ă€ chaque fois, elle se collait Ă moi, pressant son pubis sur ma bosse. Puis, de sa main, elle me serrait la queue Ă travers mon pantalon..— Oh, Chris vous me faites envie.. elle a l’air grosse votre queue.Quelques mètres après, c’est moi qui glissait une main dans son corsage, et mĂŞme jusque dans son soutien-gorge, pour caresser et exciter la pointe dĂ©jĂ dure de ses beaux seins.Je le sentais de plus en plus libĂ©rĂ©e, l’excellent bourgogne y Ă©tais aussi pour quelque chose.Nous arrivâmes Ă son hĂ´tel.— Je vous attends, prenez ce dont vous avez besoin…En patientant, je me disais : et si elle ne revenait pas ? Non, sĂ»rement pas, elle est bien allumĂ©e et elle a envie. Mais elle va penser Ă son mari, etc.. J’aurais du monter avec elle…Mais elle me rassura car, quelques minutes Ă peine, je la vis redescendre, souriante et complice.Nous prĂ®mes le chemin de mon hĂ´tel, continuant nos agaceries Ă©rotiques, dans un Ă©tat d’excitation croissant dangereusement, nous tenant la main Ă travers les ruelles du quartier. Ses talons rĂ©sonnaient sur le pavĂ© luisant après l’averse.Nous dĂ©bouchâmes sur les quais, longeant la Seine au flot sombre et inquiĂ©tant. Sur le pont Royal, nous nous arrĂŞtâmes dans un renfoncement du parapet pour nous rouler un nouveau patin, nos langues sorties, nous pelotant comme des collĂ©giens. Je lui glissais ma main sous la jupe et de son cĂ´tĂ© elle baissait le zip de ma braguette, caressant ma queue par dessus mon slip tendu par ma bandaison.Pour la première fois de la soirĂ©e, je la tutoyais…— Tu aimes çà dis moi, une grosse bite comme çà , coquine.— Oui, j’aime… j’en ai envie…— Viens pressons-nous.Nous traversâmes de nouveau la Seine, apercevant la Grande Roue qui tournait toujours…Elle sourit. – En tout cas, çà restera un bon souvenir.— Quoi ? le paysage ou ma bouche sur ta chatte ?— oh, tu sais bien…— La vue sur Paris ?— Mais non, ta bouche. Tu m’a bien lĂ©chĂ©e, divinement mĂŞme j’étais si excitĂ©e j’ai joui vite.J’étais satisfait en moi-mĂŞme de constater qu’elle n’hĂ©sitait plus Ă Ă©voquer ses dĂ©sirs et sensations intimes et sexuels.C’est alors que nous entrâmes dans mon hĂ´tel…— Oh, mais c’est un palace… dit-elle.— Oui, c’est pas mal, viens.Je l’entraĂ®nais vers l’ascenseur…J’appuyais sur le 5.— Tu as une suite ?— Non pas quand mĂŞme, mon client est Ă l’aise et pas regardant mais pas jusqu’à offrir çà à son avocat..Je mis ma carte Ă©lectronique dans la serrure Fabienne dĂ©couvrit la chambre, spacieuse et tout de suite l’immense lit de plus de 2 mètres de large comme il y en a dans les grands hĂ´tels.— CĂ , c’est la salle de bains…— Waaaooohh. C’était çà la surprise ?— Euh oui.Elle dĂ©couvrait la salle de bains, presque aussi grande que la chambre et surtout la baignoire ronde Ă deux places avec la vue directe et superbe sur l’avenue de l’OpĂ©ra jusqu’au Palais Garnier.— C’est super…— CĂ me donne envie d’en profiter tout de suite…— Tu crois ? je lui demandais, m’approchant d’elle.— Non, tout Ă l’heure, eut-elle le temps de dire avant d’écraser ses lèvres sur les miennes.Nous retournâmes dans la chambre. Debout l’un face Ă l’autre, nous nous regardâmes les yeux pleins d’un dĂ©sir rĂ©ciproque. Je lui retirais son imper et sa veste de tailleur, la coquine s’attaquait de suite Ă ma braguette, affamĂ©e.— Ohh, gourmande…— Donne la moi, j’ai envie de la voir enfin.Nous basculâmes sur le lit, nos mains nous dĂ©shabillant. En un clin d’œil, je me retrouvai nu, et Fabienne en dessous. Elle retira son soutien-gorge et sa culotte.— Garde tes bas, j’aime c’est plus excitant, je lui dis.— Oui, Chris donne-moi ta belle queue…Fabienne prit en main ma bite et commença Ă me masturber puis me sucer. Elle caressait aussi mes couilles. Je sentais sa bouche chaude et moelleuse qui me pompait.— Oui, Fabienne tu suces bien… Continue, c’est bon. Elle est bonne ta bouche. Salives bien dessus…Attends j’ai envie que tu me lèches le cul. Tu le fais Ă ton homme ?— Oh, non. Mais je veux te le faire.— Alors vas-y.Je me mis Ă quatre pattes sur le lit. Fabienne vint derrière moi et tout en caressait mon gourdin et mes couilles se mit Ă lĂ©cher mes fesses, ma raie, mon anus. Je sentais sa langue gourmande et coquine frĂ©tiller sur mon petit trou. Puis son ongle prit le relais.— Tu veux que je te mette un doigt dans le cul ?— Oui, fais le je lui rĂ©pondis. Mouille ton doigt avec ton jus et salive bien sur mon cul.Fabienne Ă©tait de plus en plus dĂ©chaĂ®nĂ©e et prĂŞte Ă tout. Je sentais son doigt dans mon cul. Puis elle en mit un second, tout en suçant mes couilles. Elle vit que je me branlais la queue en mĂŞme temps.— Ohh, c’est drĂ´lement cochon çà . J’aime. Tu es vicieux. Tu aimes, çà cochon, mes doigts dans ton cul.. çà te fait encore plus bander hein…— Oui, Fabienne, chĂ©rie, tu vas me faire jouir j’ai envie de gicler sur tes nichons…Je ne pouvais plus me retenir. Je sentais ma sève monter et j’aillais exploser de plaisir.— Ouiii, je veux ton sperme, ton foutre, vas-y, donne moi ta purĂ©e Chris. Gicles sur mes gros seins. CĂ t’excite de jouir sur mes nibards? Vas-y donne moi ton jus, cochon…Ainsi traitĂ©, je ne rĂ©sistais pas longtemps ; Fabienne me branlait la pine tournĂ©e vers ses seins et bientĂ´t je lui lâchais plusieurs jets de foutre Ă©pais, qu’elle rĂ©pandait sur ses tĂ©tons pour partie et de l’autre en ramassait avec son doigt pour le goĂ»ter.. Humm, c’est bon, disait-elle me roulant un patin au goĂ»t de sperme..— Tu aimes ton foutre ?— Oui, j’aime.— À moi maintenant, je vais te lĂ©cher, j’ai envie, comme tout Ă l’heure dans la Grande Roue. Mets-toi Ă quatre pattes.Elle prit de suite la position, et je vins par derrière lui caresser les fesses, lĂ©chant sa raie, en la branlant d’un doigt, puis ma bouche et ma langue la lĂ©chèrent de haut en bas, depuis son clitoris excitĂ© jusqu’à son anus palpitant de dĂ©sir, mais que je voyais bien serrĂ©.Elle ne tarda pas Ă jouir une nouvelle fois sous ma langue coquine, feulant son plaisir.— Viens, maintenant, baises-moi. J’ai envie de me faire ramoner par ta grosse pine Chris.Je ne pouvais Ă©videmment rĂ©sister Ă une telle invitation.— Je vais te prendre en levrette, tu aimes ?— Je ne sais pas trop, mon mari ne le fait jamais, mais vas-y, avec toi, je veux tout faire…— Oui, tu vas aimer. Je vint derrière elle et n’eut aucune peine Ă enfiler mon chibre tendu entre ses cuisses, dans son con trempĂ©.— J’ai envie d’être cochonne avec toi tu sais. Demande-moi de faire des choses, je prĂ©fère, sinon je n’oserai pas et puis, Chris, s’il te plait, traite toi de tous les noms, insultes-moi. Dis moi que je suis une cochonne.— Fabienne, tu es une vicieuse, tu sais.— Oui, je suis une cochonne, ta salope dis moi.— Tu es une grosse salope oui, Fabienne, ma pĂ©tasse jouisseuse. Tu aimes çà te faire mettre par ma grosse bite, dis le.— Oui, j’aime çà , me faire fourrer comme çà c’est bon.Je la limai bien Ă fond. Elle gĂ©missait de plaisir, la bouche sur l’oreiller Ă©touffant ses cris de plaisir lorsque le lui dĂ©fonçais sa chatte…Elle avait orgasme sur orgasme. J’admirais son joli cul ferme et rond, que je caressai en la besognant, agaçant sa rosette de mon doigt.— Je vais aller dans ton cul Fabienne, te sodomiser. Tu veux ?— Je ne sais pas— Tu n’a pas envie ?— Si, j’ai envie mais j’ai peur, je ne l’ai jamais fait.— Tu aimeras— Tu crois ?— Tu es sensuelle, tu as envie, çà va aller tout seul… Donne moi ton cul Fabienne…— Oui, vas-y, encules moi ChrisJe pris alors de la mouille de sa chatte, puis de la salive et doucement, lĂ©chant son anus, je lui enfonçais progressivement un doigt, qui coulissait de mieux en mieux dans son cul qu’elle tendait vers moi. Je lui mis un deuxième doigt, sentant ses muscles s’assouplir.— Comment veux-tu que je t’encules, Fabienne? Tu te mets en levrette ou tu viens sur moi t’emmancher toi-mĂŞme, face Ă la glace par exemple…— Comme tu veux rĂ©pondait-elle.— Bon, on va commencer en levrette.. Ne bouges pas. Je viens derrière elle, et posai mon gland sur sa rosette lubrifiĂ©e et palpitante de dĂ©sir. Je poussai.— Ho je sens, c’est gros gĂ©missait-elle.— Oui, je vais m’enfoncer, vas-y pousse Fabienne, çà va glisser tout seul. Je sentis son anus se relâcher pour laisser passer mon gland. Je lui mettais de la salive.Ma queue Ă©tait maintenant entrĂ©e. Je commençais Ă bouger doucement.— Ohhh, c’est gros dans moi, je te sens. Doucement…Elle-mĂŞme faisait de petits mouvements pour absorber totalement ma queue.— Oui, comme çà , oh qu’est ce que çà me rempli, c’est super, je n’imaginais pas.— Caresses toi en mĂŞme temps, je lui disais allant et venant entre ses fesses offertes.— Ohh, c’est bon de se faire enculer comme çà , je ne savais pas que çà pouvais ĂŞtre bon. Tu es doux et en mĂŞme temps je sens bien ta grosse bite tout entière dans moi. J’ai envie de me voir dans la glace ĂŞtre enculĂ©e… en plus j’aime le dire, je suis une enculĂ©e. J’ai la grosse queue d’un mec dans le cul.. c’est bon…— Attends on va se retourner.. tu es prĂŞte ?— Oui vas -y…Basculant sur le cĂ´tĂ©, je me retrouvais sur le dos, avec Fabienne sur mon ventre, emmanchĂ©e sur ma queue face au grand miroir de la chambre. Elle se voyait cuisses Ă©cartĂ©es avec ses bas, sa main posĂ©e sur sa chatte, Ă se branler comme une salope pressant mes couilles Ă l’occasion, et surtout elle voyait ma grosse queue dans son cul, allant et venant entre ses fesses.— Oh, çà m’excite comme çà , je vais jouir encore hoo oui…Elle bougeait sur ma bite, me l’aspirait dans elle, serrant ma hampe, qui ne put rĂ©sister non plus très longtemps, si bien que je giclais dans son anus, pour la seconde fois dans la demi-heure, elle-mĂŞme criant son plaisir…— Oh. Oui Fabienne c’est bon, tu as aimĂ©..— Oui, je ne suis plus vierge du cul grâce Ă toi et Ă ta belle bite Chris. Elle regardait le liquide blanc s’écouler de son anus palpitant se le caressant d’un doigt… Je me levais pour prendre une demi-bouteille de champagne dans le mini-bar et lui tendis une coupe. Nous trinquâmes au sexe et ses plaisirs.— Si on allait dans la baignoire dit-elle après que nous ayons savourĂ© quelques minutes ces dĂ©licieux plaisirs ?— Oui allons-y…Fabienne, toute engluĂ©e de son jus et de mon sperme, retira ses bas et nous allâmes dans la salle de bain, faisant couler de l’eau chaude dans la grande baignoire avec vue.— J’ai un fantasme, Fabienne, que je voudrais rĂ©aliser avec toi.— Oui, quoi ?— J’ai envie qu’on se fasse pipi dessus..— Oh, c’est très cochon çà …dit-elle en me regardant, la mine sĂ©vère. Mais je veux bien..— Alors, commence…Je me mis quasiment allongĂ© dans la baignoire. Viens Fabienne, vas-y, fais pipi sur moi.Fabienne se mit accroupie et Ă©cartant les lèvres de sa chatte, s’approchant de moi, commença Ă uriner.— En plus, j’avais envie dit-elle, lâchant plusieurs jets dorĂ©s sur ma poitrine, puis sur mon visage. J’ouvrais la bouche pour en boire en peu. Elle me regardais recracher son pipi, le liquide s’échappant de ma bouche remplie. Je me masturbais en mĂŞme temps.— Cochon, tu aimes que je te pisse dessus comme çà . Oh, oui, tu m’excites, tu vas me le faire aussi…— Oui, Ă moi, tiens mets toi Ă genoux dans la baignoire.Je me levais et debout, fis pipi sur les le ventre, les seins de Fabienne, qu’elle se tripotait sous mon jet. Elle prit ma queue pour la diriger vers son visage. Mon urine Ă©claboussait son visage. Elle souriant la coquine, happant les dernières gouttes de sa langue curieuse.Une bonne douche nous calma et nous regagnâmes le lit, tĂ©moin de nos turpitudes, qui nous attendait.. Nous nous endormĂ®mes dans les bras l’un de l’autre, repus de plaisirs.Le matin arriva très vite. Après quelques baisers, nous eĂ»mes Ă peine le temps de nous prĂ©parer, d’échanger nos coordonnĂ©es et de nous quitter.Pour le moment, nous ne sommes pas revus mais avons Ă©changĂ© quelques conversations tĂ©lĂ©phoniques coquines. Nous attendons une prochaine occasion.Chris