Je suis un branleur professionnel, un sale petit glandeur qui n’en fous pas une rame, non pas que je n’aie pas, comme on dit, des possibilités. Mais bon, j’ai pris l’habitude de rien glander et c’est tellement agréable.Il y a juste quelques trucs à savoir, des petites ficelles de planqué. Et tout d’abord il faut être sympa avec tout le monde, être toujours disponible, toujours avenant, toujours prêt à rendre service : toujours dire « Oui » et ne rien faire, c’est ce qu’il faut maîtriser dans ce métier. Et sans vouloir me vanter, je suis particulièrement doué et ça me laisse beaucoup de temps de libre que je consacre à la machine à café.La machine à café, il y a toute une vie qui tourne autour de ce genre d’endroit. Je pourrais en faire tout un roman tellement il y aurait à en raconter. C’est là que les gens se défoulent, c’est là que se trament les complots… mais c’est là aussi que naissent les amourettes. Je ne parle pas des petits coups tirés à la va-vite dans le local à papier, depuis que le monde est monde cela a toujours existé. Non je parle de la vraie drague qui excite les petits cœurs, quand les gens sont bien enamourés et surtout bien accrocs et qu’ils peuvent difficilement le cacher. Mr Pimperonan, chef de service, père respectable, retrouve un regain de jeunesse lorsqu’il se retrouve face à la petite Anne-Caroline, toute frêle et toute mignonne avec ses yeux admiratifs. Il pourrait être son père, presque son grand-père et pourtant il frétille comme un jeune gardon et elle le fait tourner en bourrique. C’est trop drôle.Moi je ne me mêle pas trop aux conversations, dans ma position ce n’est pas la peine non plus de trop se faire remarquer. Mais j’observe ça de loin et avec tendresse.Bon, mais c’est pas le tout, vous êtes là pour du cul, alors je vais vous en donner.Moi, j’adore les femmes, toutes les femmes, mais pas n’importe lesquelles. Je préfère de loin les personnages ! Je préfère qu’elles soient brillantes et qu’elles déplacent de l’air. J’aime les grandes gueules, j’aime celles qui veulent tout casser et je trouve même que ceux qui préfèrent les femmes passives ont un réel problème dans leurs petites caboches. Une femme c’est tout sauf un légume, ça doit être une chipie, une teigneuse, une harpie, elle doit avoir un caractère de merde et papillonner dans tous les sens et nous en faire vraiment baver et nous donner tous les motifs de lui foutre des claques.C’est pour ça que j’aime la grosse Berta. C’est qu’elle est loin d’avoir sa langue dans sa poche ! Une grosse dondon avec une grande gueule souvent vêtue d’un incroyable jogging qui lui moule bien tous ses bourrelets. C’est certain qu’on peut peut-être trouver plus bandante. Pourtant, quel personnage, quelle gouaille, elle croque la vie en beuglant ! A la machine à café on entend qu’elle, faut dire qu’elle déplace de l’air avec ses 120kgs bien tassés. Et elle jacte comme une concierge et elle jure comme un charretier. Mais elle est sympa, vivante, rieuse, pleine de vie et pleine d’amour.De là à dire que j’allais un jour coucher avec elle, j’ai beau aimer les grosses parfois je les choisis, et c’était quand même pas gagné. D’abord elle est mariée et moi aussi j’étais marié et puis avec sa corpulence elle aurait pu m’écraser et avec son opulence elle aurait pu m’étouffer.Cela dit j’aimais bien plaisanter avec elle, c’était une bonne copine. Et souvent même elle avait des petites histoires de cul à nous raconter, une fille bien agréable avec ses gros nichons. Et lorsque par malheur elle courrait dans les couloirs, un bonheur pour moi, on les voyait brinquebaler de tous les côtés, c’est quand même plus agréable que de voir la mine déconfite des cadres supérieurs.Et bien un jour je la croise à l’étage, ça n’allait déjà plus trop bien avec Elodie et nous allions nous séparer.— Alors Monsieur André, vous avez la mine toute déconfite ! (Ca va pas la tête, j’suis pas cadre supérieur !) Vous nous faites de l’urticaire, il faudrait vous secouer.— Des problèmes de cœur… Il en a bien de la chance votre mari d’avoir une femme comme vous, toujours de bonne humeur et pleine de vie, il ne doit pas s’ennuyer.— Oh ça, il faudrait lui demander, il y a rien de moins sûr, il doit en avoir marre de voir toujours ma sale bobine. Et puis quand on vieillit, on lorgne les petites jeunettes et les grosses dondons bedonnantes ont beaucoup moins d’attrait.— Je vous ai pas dit ? Je vais divorcer, ma femme veut me quitter.— Je devrais peut-être en faire de même et me trouver un petit mâle. C’est à mon âge qu’il faut encore en profiter, ce n’est pas quand je serais vieille et ridée.— Il n’y a pas d’âge pour s’éclater !— Oh quand même avec la vieillesse surviennent les rhumatismes et pour les parties de jambe en l’air c’est beaucoup moins évident.— Allons donc, vous êtes encore toute jeune et toute belle et toute désirable.— Que de flatteries, jeune homme, vous avez quelque chose à me demander ou quoi ? Je vous préviens, je ne ferai pas votre bureau, vous n’avez qu’à le ranger. Il n’y a pas pire foutoir dans tout le bâtiment.— C’est parce que je travaille beaucoup…— Pffff je vous vois toujours traîner, c’est pas à Madame Berta qu’il faut raconter ça.— En tout cas si j’avais quelque chose à vous demander ce serait plutôt de sortir avec moi…— Alors là , chiche, tope là , topez là monsieur André et je vous promets, l’on sort ensemble. Ça fait une éternité que je ne suis pas allée en boîte, depuis que je me suis mariée je crois bien…—  ???— Allez-y, topez-là , c’est des paroles en l’air ou quoi ? Monsieur est beau parleur ?— Ok, d’accord je tope mais vous me promettez de ne pas me poser un lapin ?Et elle de m’envoyer un coup d’épaule pour m’envoyer valser.C’est ainsi que je suis sorti un vendredi soir avec la grosse Berta. Ceci dit, en tout bien tout honneur, nous avons été fort sages, nous avons dansé, bu, rigolé, nous nous sommes éclatés, une soirée très agréable qui s’est poursuivie jusque vers deux heures du matin.Ensuite, je l’ai bien sagement raccompagnée chez elle, juste un petit bécot anodin pour la route et nous nous sommes séparés. Rien de bien méchant donc, juste pour s’amuser. Elle n’avait pourtant pas fait d’études mais c’était une femme d’excellente compagnie.Par contre, le lundi suivant, elle entre dans mon bureau :— J’ai un problème, Monsieur André, je crois que vous me faîtes envie !Au moins c’est direct.— Je croyais que vous vouliez rester fidèle ?— Oh oui, c’était mon intention, mais j’ai changé d’avis, les envies ça ne se commande pas, depuis vendredi soir que je pense à vous, tout le long du week-end j’ai pensé à vous, j’ai même fait des choses que je ne fais pas d’ordinaire en pensant à vous… Je ne devrais pas vous dire tout ça, vous allez en tirer profit.— Oh, je ne suis pas comme ça… Je ne tire profit que de ce qu’on m’offre avec générosité… mais je ne m’attendais pas non plus à cette déclaration d’amour… C’est ma fois très agréable !Chuchotant presque, pour ne pas se faire repérer des collègues d’à côté :— Et si je vous offre mes seins, pensez-vous que ce sera avec générosité, si je vous les montre pour vous attiser.Alors, joignant le geste à la parole elle soulève son jogging et dévoile un somptueux balconnet rempli de choses affriolantes. Pulpeux et bien rempli, il y en a toujours qui sont gâtés par la nature.— Ohh putain, quel spectacle, que je lâche émerveillé !— Ce soir, je fais les salles de réunion du troisième, me dit-elle en se rafistolant, j’espère que Joséphine n’aura pas la mauvaise idée de venir m’y retrouver. Mais si vous passez par là , faites moi un petit coucou…— Ce sera avec plaisir !J’attends donc deux ou trois heures que les bureaux se vident, le cœur léger, la queue bandée, avec l’impatience de pouvoir la retrouver.J’arrive en haut, et mince, elle est en train de papoter avec Joséphine. D’ailleurs Joséphine passe son temps à papoter, elle préfère ça aux coups de balai. Je bavasse, l’air de rien, avec les deux femmes, j’espère qu’elle va finir par se casser.Bon, ça y est, elle se décide, elle va aller faire l’escalier, elle reviendra plus tard… Oui c’est ça, le plus tard possible.Sitôt seuls, j’enlace la grosse Berta, un gros baiser bien baveux, elle y met toute sa puissance, cette femme là est vraiment chaude. Mes mains fiévreuses la tripotent un peu partout, glissent sous ses vêtements, triturent tous ses bourrelets. Je trouve ça rassurant, l’opulence est rassurante, presque maternelle… D’un autre côté elle a de gros besoins, urgents, impérieux, et ils ne peuvent pas attendre, je le sens, elle a la fièvre cette femme là , depuis des heures qu’elle bouillonne, tout un week-end à avoir envie.Alors j’enlève tout, son jogging, le haut, le bas, elle a vraiment de gros mollets, et j’extrais ses mamelles de son large soutif. Quelles belles tétasses, je les masse, je les pétris, je les lèche, je les tête aussi. Son corps sent la sueur, son corps sent l’odeur de la bête en rut, c’est vraiment très excitant. Je la fais allonger sur les tables, j’arrache sa culotte, elle est déjà toute jaunie d’un désir animal. Ma tête plonge entre ses grosses cuisses pour lui faire des léchouilles. Quelle odeur, quelle saveur, quel fumet ! J’en suis tout retourné, j’en bande comme un cerf.Justement, ça tombe bien, car ma langue ne lui suffit plus, elle réclame autre chose de beaucoup plus consistant, à corps et à cri :— Prenez-moi, défoncez-moi, mettez-moi votre grosse queue dans mon ventre, je veux la sentir me ramoner.Elle ne mâche pas ses mots et je n’ai moi aucune raison de ne pas la satisfaire. Alors je la défonce à coups de reins, je la défonce à coups de bite, m’enfonçant sans problème dans sa chatte accueillante et sans vraiment me soucier des bruits de table, des bruits de chaise et de tout le barouf qui s’en suit. Je vois ces gros nibards remuer dans tous les sens, c’est ça le principal et c’est tout ce qui m’importe.— Attendez, attendez, arrêtez, vous êtes en train d’ameuter tout le bâtiment, qu’elle me dit en gémissant. Il vaut mieux que je mette à quatre pattes par terre… et vous allez me prendre par derrière.Sitôt dit, sitôt fait, entièrement à poil sur la moquette, elle n’a gardé que ses chaussettes et moi qui viens l’empaffer par derrière en ahanant comme un goret. Quel cul grandiose, c’est un plaisir de le défoncer. Je ne sais pas si elle aime aussi se faire enculer, une femme sur deux s’y oppose, on verra ça après…Concentrés sur nos occupations, nous n’avions pas vu Joséphine arriver. C’est qu’elle a rappliqué dès qu’elle a entendu le gros barouf, elle se demandait ce qui se passait… Et maintenant elle est là à regarder dans l’encadrure de la porte et même qu’elle est en train de se masturber cette cochonne, ça l’excite de nous voir baiser. Peut-être aimerait-elle même y participer.Berta a déjà joui au moins deux fois et moi je suis sur le point d’éjaculer. Je lui demande de se retourner pour lui éclabousser ses grosses miches. Hummmm oui ! C’est là qu’elle remarque Joséphine en train de nous espionner, la main dans la culotte. Elle me fait signe de la tête et moi je crache toute ma purée en regardant notre petite voyeuse en train de se frotter…Putain ! Quel pied… Maintenant Berta me lèche le gland en prenant des allures de salope. Hummmm… Elle a vraiment toutes les qualités.Joséphine reste discrète, elle s’éclipse même sans trop rien dire. En tout cas elle a tout vu !J’aide Berta à se rafistoler sans oublier pour autant de lui peloter sans grosses miches et d’étaler mon foutre gras sur ses tétasses.Et hop, le tour est joué, on se roule une galoche et c’est comme si rien ne s’était passé…Evidemment depuis on a recommencé, plusieurs fois, le plus souvent possible et en divers endroits du bâtiment. J’ai même appris que Berta ne déteste pas se faire sodomiser, et qu’elle adore lécher. Cette femme là est parfaite, elle a un sacré tempérament, dommage qu’elle soit mariée… Mais cela fait plusieurs mois qu’ils n’ont rien fait, pourvu que ça dure, alors autant en profiter…Quant à Joséphine, quand nous avons discuté avec elle, elle n’a jamais voulu avouer que ça l’excitait de nous regarder. Elle avait la main dans la culotte mais sans plus, elle faisait rien, tu parles ! Sans plus, tu parles, elle a la trouille de dire que ça l’excite, plusieurs fois par la suite elle est revenue nous observer, qu’elle ne dise pas alors que c’est par simple curiosité !Ce qui est certain c’est qu’elle ne veut pas participer et qu’elle n’aime pas trop en parler. Mais qu’importe après tout. Nous, avec Berta, cela ne nous gêne pas plus que ça, bien au contraire, de faire tout ça devant une petite voyeuse !