La Haye d’honneur … au FrançaisUn congrès professionnel m’amenait à La Haye. Compte tenu des capacités hôtelières limitées de la ville, plutôt que d’aller à l’hôtel à plusieurs kilomètres de la capitale batave, j’avais opté pour une chambre chez l’habitant.La chambre qui m’avait été réservée était desservie depuis la gare par un tramway et à deux pas du lieu du congrès.Arrivé par le Thalys, je rejoignis donc ma chambre, la veille du congrès. Curieux, je débarquais dans une petite maison typique des Pays-Bas, bien située dans la forêt séparant La Haye de la mer du Nord.Une grande femme blonde m’accueillit. Très carrée, bien proportionnée, un grand sourire qui laissait voir ces dentitions dont les Hollandaises ont le secret.Elle m’accueillit dans un excellent français. Elle m’expliqua que son mari travaillait à la Shell et qu’ils avaient pu ainsi apprendre la langue de Molière lors d’un long séjour en Normandie. Elle ajouta que son mari était actuellement au Moyen-Orient pour plusieurs mois et qu’elle appréciait donc de pouvoir utiliser sa maison comme maison d’hôte.Je découvris ma chambre, très propre, avec un grand lit, une salle de bains ancienne comme je les aime, donnant sur le jardin. Une végétation abondante rendait le jardin très confortable, surtout vu le temps chaud et ensoleillé qui régnait ce jour-là sur le Nord de l’Europe.Mon hôtesse m’invita, si le cœur m’en disait, à plonger dans la piscine, le long de la terrasse.Vu que la climatisation du Thalys n’avait pas été performante et compte tenu de la longueur du trajet depuis Paris, j’acceptai bien volontiers.— Et surtout, si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas, ajouta-t-elle.Je rangeai donc mes vêtements dans une vieille armoire hollandaise, me douchai rapidement et allai plonger dans la piscine dont l’eau était chauffée par des panneaux solaires.Vu la température de l’eau, je n’arrivais pas à en sortir et je restai à m’y prélasser.Au bout de quelques minutes, je sentis une présence. C’était mon hôtesse qui arrivait en peignoir de bain immaculé.— Cela ne vous dérange pas si je me baigne quelques instants ?Bien entendu, loin de moi l’idée de refuser.La propriétaire des lieux laissa alors tomber son peignoir de bain. Elle était nue !Devant mon trouble, elle précisa :— Vous êtes aux Pays Bas, pays très libéral, où on se baigne nu sans aucune contrainte.Je découvris donc un corps bien fait, une poitrine ferme avec deux magnifiques tétons, vraisemblablement un bon 95C, un ventre quelque peu rebondi, un sexe parfaitement épilé et deux longues lèvres ornées de deux grands anneaux en piercing.Elle plongea dans la piscine et j’en profitai pour me débarrasser de mon slip de bain.Nous échangeâmes quelques banalités et j’appris qu’elle s’appelait Brigitte.Sortie de la piscine, Brigitte revint, le peignoir largement ouvert, avec deux verres de lait. À l’évidence, nous étions en Hollande.Nous profitâmes du soleil dans deux transats confortables et je pouvais ainsi admirer le corps de Brigitte dont j’avais de plus en plus envie.Elle s’en aperçut d’ailleurs et feignit de refermer son peignoir de bain dans un grand rire.— Je ne sais si vous le savez, mais ici on dîne tôt. Si cela vous convient et si vous n’avez rien de mieux à faire, nous pouvons aller à Scheveningen, la plage de La Haye, en tramway, y dîner et nous promener sur la digue.J’acceptai bien volontiers, annulai le rendez-vous pris avec des collègues arrivés entre-temps et m’inquiétai de la tenue à porter.— Ah les Hollandais ne sont pas toujours bien habillés par rapport à vous Français, mais le soir, on aime s’habiller chic.Je me le donnais pour dit et portai donc mon costume noir trois pièces prévu pour la soirée vip du congrès. Brigitte me rejoignit dans l’entrée de la maison, vêtue d’une splendide robe noire au décolleté mettant en évidence cette paire de seins qui m’avaient fait fantasmer au bord de la piscine, des escarpins noirs à hauts talons fins, un maquillage assez soutenu, et surtout le rouge à lèvres vermillon.Très démocratiquement, nous prîmes le tramway qui nous déposa devant le fameux Kurhaus. Après avoir pris plusieurs gin fizz dans le splendide hall fin XIXème, nous nous dirigeâmes vers le restaurant en front de mer pour un repas marin de première classe : huîtres de Zélande, turbot poché sauce hollandaise, cela va de soi, le tout agrémenté par un vin de Chablis millésimé. Comme je demandais à Brigitte, avec un petit sourire en coin, si les huîtres de Zélande étaient aussi aphrodisiaques que les françaises, elle me répondit :— Ce qu’on fait de mieux en amour est français, tout en glissant sa jambe droite gainée de magnifiques bas de soie le long de ma jambe gauche.Le dessert fut une banane nappée de chocolat et de crème fouettée. Cela déclencha un fou rire réciproque au grand dam du serveur qui ne devait pas avoir le même sens de l’humour.Avec le café, pas terrible, Brigitte me fit goûter la spécialité locale, la liqueur d’advokaat. Il faut vraiment être Hollandais pour boire cette liqueur aux œufs. Mais je me devais de faire plaisir à mon hôtesse et puis, un peu plus ou un peu moins d’alcool …Quand nous sortîmes, déjà bien imbibés, la nuit était largement tombée. L’air frais extérieur nous fit du bien. Brigitte se serra contre moi et me susurra à l’oreille :— Veux-tu poursuivre ton expérience hollandaise ? Allons faire un tour dans un club, il fait trop froid pour traîner dehors maintenant.Nous marchâmes quelques minutes dans le complexe moderne entourant le Kurhaus et nous entrâmes dans un long couloir sombre au bout duquel Brigitte cogna à la porte, trois puis deux coups. Le judas s’ouvrit, puis la porte.L’hôtesse des lieux nous accueillit d’un grand sourire et une énorme bise sur la bouche, au risque de m’étouffer.Brigitte lui glissa quelques mots en néerlandais auxquels je ne compris rien, bien entendu.L’hôtesse était vêtue d’une longue robe noire complètement fermée sur le devant mais largement ouverte sur l’arrière jusqu’à la limite des fesses, aux limites de l’indécence. À l’évidence, elle ne portait ni soutien-gorge ni string. Elle avait de longs cheveux blonds, comme toute Hollandaise qui se respecte, magnifiquement tressés et un rouge à lèvres aussi agressif que celui de Brigitte.Après un détour par le vestiaire, l’hôtesse nous fit prendre un couloir menant à un bar dont l’entrée était barrée par deux magnifiques noirs bodybuildés, uniquement vêtus d’un pagne qui ne cachait guère leurs énormes attributs. Plusieurs couples étaient déjà engagés dans de grandes conversations tout en buvant du champagne servi par des serveuses habillées dans des bodys en maille qui ne cachaient pas grand chose de leurs corps. Si les Noires avaient de volumineuses poitrines, les Blanches avaient dû être choisies pour leurs poitrines plus menues mais dont les tétons étaient percés de bijoux assez érotiques.Brigitte me présenta à plusieurs couples. À l’évidence, elle était habituée des lieux.Le champagne continua à être servi et, soudain, deux petites Thaïlandaises vinrent vers moi et me prirent par la main. Brigitte acquiesça en me glissant :— Laisse-toi faire, il ne t’arrivera rien de mal.Les deux Thaïlandaises m’emmenèrent dans un couloir qui me permit, malgré la pénombre de découvrir plusieurs salles et alcôves faiblement éclairées de bougies mais bien confortables, avec divan, sofa, grand lit rond, …Au bout du couloir, elles me firent entrer dans une salle parfumée d’encens de l’Orient et me débarrassèrent de mes vêtements avec beaucoup d’adresse. Je me retrouvai donc nu et, après s’être elles-mêmes complètement déshabillées, elles me menèrent dans la baignoire dans laquelle avait coulé un bain chaud et me lavèrent le corps complètement avec une éponge chacune, évitant soigneusement les parties les plus intimes de mon corps. Après m’avoir enveloppé dans une grande serviette afin de me sécher, elles me firent allonger sur un lit confortable, m’enfourchèrent toutes les deux et entreprirent un massage thaïlandais dont elles ont le secret, tout en évitant toujours les parties les plus intimes de mon corps, ce dont je leur savais gré, car j’étais de plus en plus excité.Mon corps fut enduit d’une crème à l’odeur enivrante et, une fois qu’elles m’eurent couvert complètement le corps, elles me bandèrent fortement les yeux, me mirent une ceinture autour de la taille et m’emmenèrent à nouveau dans le couloir par lequel nous étions arrivés.Elles me firent entrer dans une des pièces que j’avais aperçues à l’aller et je sentis une forte présence humaine. Délicatement, elles me firent allonger sur un grand lit rond et me débarrassèrent de ma serviette tout en m’attachant les mains.Un corps nu vint alors se poser sur mon ventre. Aux deux anneaux, je reconnus celui de Brigitte.— C’est moi, Brigitte, j’ai très envie de toi. Prouve-moi, ainsi qu’à mes amis installés autour de nous, que les Français sont de bien meilleurs amants que mes compatriotes.Et, après m’avoir posé un énorme baiser sur les lèvres, avec une attaque de langue baignant dans le champagne, cette langue glissa progressivement le long de mon corps, s’attarda sur mes tétons excités qui avaient été arrosés de champagne, sur mon nombril, puis sur mon ventre. Je sentis le champagne couler sur les lèvres puis, plus abondamment sur mon sexe. Brigitte le lécha alors avec avidité, afin de recueillir le maximum de ce délicieux breuvage doré. Puis, avec les mains, elle s’attarda sur mes bourses qu’elle malaxa avec beaucoup d’adresse. Enfin, ses doigts s’attardèrent sur ma petite rose, la doigtant progressivement afin de mieux l’ouvrir.Brigitte m’enfourcha alors et les anneaux de ses lèvres vinrent se balancer sur mon sexe. J’essayais de me redresser pour embrasser à mon tour l’intimité de Brigitte. Mais cette dernière décida de me lécher la petite rose, de l’arroser abondamment de champagne et de la pénétrer voluptueusement avec la langue.Mon excitation était de plus en plus grande et je sentais mon sexe perler de jouissance.Brigitte s’en aperçut et vint recueillir habilement le liquide qui coulait en me pompant littéralement.— Tu es super, je vais te libérer, mon amour de français.Et, joignant le geste à la parole elle me fit enlever les menottes et me débarrassa elle-même du bandeau qui m’aveuglait.Je découvris que j’étais bien dans cette grande pièce au milieu de laquelle trônait un lit circulaire hyper confortable. Et autour de ce lit, s’étaient installés plusieurs couples plus ou moins dévêtus qui profitaient de nos ébats, malgré le peu de lumière.— Je suis à toi. Profite de moi, fais-moi jouir, me glissa Brigitte à l’oreille.Elle-même était vêtue d’une guêpière porte-jarretelles rouge et noire, dont le haut rehaussait et dégageait sa belle paire de seins. Elle avait gardé les bas de soie fine.Je lui dégageais les seins et entrepris de les peloter, de les malaxer, de les lécher puis d’aspirer les tétons afin qu’ils se dressent encore plus.Puis je me retournais afin d’aller à la découverte de son intimité.J’en profitais pour loger mon sexe entre ses deux seins. Brigitte les prit à pleines mains afin de me masturber.Emporté par l’élan, je pénétrais son sexe avec un puis deux, puis trois doigts tout en lui étirant ses deux anneaux avec les dents. Sous la légère douleur, je vis son clitoris se dresser et je n’hésitai pas à m’en emparer, pour le sucer, le mordiller, pour récupérer le liquide qui commençait à s’écouler, tout en poursuivant l’exploration de son intimité.Soudain, je la sentis trembler, se redresser, éclater, hurler. Sous l’excitation, elle se mit à uriner abondamment sur ma main enfoncée. Quel plaisir, quelle jouissance.Puis elle se laissa à nouveau aller, à se décontracter— J’ai envie de toi, Brigitte.— Moi aussi, vas-y, encule-moi, je veux que tu exploses en moi.Obéissant, je la fis se retourner et elle me présenta son petit cul en écartant soigneusement ses fesses rebondies à deux mains.Comme je la pénétrais avec délicatesse, elle s’empara de mon sexe et le fit pénétrer complètement jusqu’aux bourses. Puis elle m’entraîna dans de violents allers et retours qui eurent tôt fait de provoquer une énorme jouissance dans le cul de cette entreprenante hollandaise. Nos cris se mêlèrent aux bravos des couples qui nous observaient. Morts de fatigue, nous nous laissâmes tomber sur le lit, alors que je restais toujours dans sa petite rose. À tour de rôle, les autres couples vinrent se mêler à nous sur le grand lit, prêts à suivre notre exemple. Chacune des femmes vint m’embrasser voluptueusement cependant que les hommes en faisaient de même avec Brigitte, très fière de l’hommage de ses compatriotes.— Eh bien, dis-moi, tu as été encore plus super que je ne l’espérais. Si nous organisions une petite soirée intime chez moi, avec quelques couples amis, avant ton départ ?Vous vous doutez bien que j’ai accepté cette aimable proposition.Si vous êtes sages, je vous raconterai la suite prochainement …