ouLa journée trépidante d’un agent immobilierCe récit est pratiquement vrai. Seuls les noms des personnages ont été changés par souci de discrétion. Les personnes étrangères à cette histoire ne se reconnaîtront pas (en principe) mais peuvent s’identifier au héros ou aux héroïnes, en prenant soin d’adopter un pseudonyme, ce qui leur évitera de vivre réellement les épreuves pénibles rapportées ci-après.Quand on est bon à rien, et prêt à tout, il reste toujours la profession d’agent immobilier pour essayer de gagner sa vie. C’est ce qu’on dit souvent. C’est totalement faux, car, pour réussir, il faut vraiment payer de sa personne et les sacrifices à consentir sont énormes, à commencer par la perte de toute moralité, et de tout amour propre, c’est le cas de le dire…En ce qui me concerne, je tairai les circonstances qui m’ont amené à m’engager dans cette voie, et pire encore, créer ma propre agence.J’obtins miraculeusement la caution exigée par la loi, et avec l’aide de copains de copains, je me trouvai un beau matin assis devant mon bureau, dans un local repeint à neuf, un télécopieur prêt à cracher des ramettes de papier, et plein de fournitures administratives de toutes les couleurs.Bien sur, ce qui manquait un peu, c’était les affaires et je dois à la vérité de dire que ma modeste vitrine n’était pas remplie d’annonces de locations ou de ventes.Fort opportunément, une vague relation dans le même domaine était sur le point de faire faillite, de telle sorte que je me retrouvai avec un petit portefeuille de démarrage, le temps de changer de nom aux mandats.Le premier appel téléphonique eut lieu une huitaine de jours seulement après mon installation et je me suis dit que le business allait démarrer. Mon banquier attendait cela avec encore plus d’impatience que moi !Cet appel me fit soudain réaliser qu’il me manquait une secrétaire, une assistante, une comptable, une femme de ménage, bref une collaboratrice de haut niveau présentant bien, qui puisse me décharger de toute cette logistique pour disposer de tout mon temps en « commercial ».Passé maître dans l’exploitation de filières douteuses, c’est une nouvelle fois l’ami d’un ami, qui me donna l’adresse d’une certaine Coralie Bertine, la trentaine larguée, divorcée de son état, du genre un peu maquillée et légèrement pétasse, l’image type de la secrétaire du détective privé, sauf qu’elle était brune.Mais pour le reste elle avait tout ce qu’il faut, formes avantageuses, look sexy, bouche pulpeuse, coiffure compliquée, la panoplie de celle qui recherche un second service après avoir jusqu’à présent collectionné les ringards.Il était évident qu’elle avait la tête de l’emploi si j’ose dire, et je me montrai assez peu exigeant sur ses capacités professionnelles de secrétaire et de comptable. En revanche, les perspectives rapidement entrevues, notamment au niveau du jeu de jambes, lors de l’entretien d’embauche m’amenèrent à l’engager sur le champ, à temps complet.Je dois dire aujourd’hui que, malgré les apparences, c’est ce que j’ai fait de mieux.Je l’installai derrière un comptoir de la pièce d’accueil, transformant la pièce du fond en bureau du patron.C’est seulement trois jours après son arrivée, en pleine période d’essai et souhaitant bien faire, qu’elle me fit sa première pipe.Jusqu’à présent, son occupation principale de la matinée était de me servir le café. Elle s’autorisait à boire sa tasse de thé – pas de café pour elle – en ma compagnie, imitant Lauren Bacall dans la façon de tirer sur sa cigarette, et la jouant personnelle et féline sur ses croisements de jambes, me montrant chaque matin en moins d’une minute chrono qu’elle portait des bas.Une supposée maladresse consistant dans le versement de trois gouttes de café sur le haut de mon pantalon lui donna l’occasion de mesurer ma réactivité à l’opération « jeu de cuisses » entamée quelques minutes plus tôt.Alors qu’elle se trouvait en position accroupie face à mon fauteuil pivotant justement tourné vers elle, sa main munie d’un sopalin ne tarda pas à s’égarer la où les gouttes étaient encore existantes pour constater avec un délicieux ravissement, hoo mais Chris (nous nous appelions par notre prénom depuis le deuxième jour), c’est moi qui vous fait cet effet ? et de presser sa main sur le paquet en pleine évolution.Elle ne doutait de rien la garce, et elle avait bien raison.Elle en vint tout aussi naturellement à défaire le zip de la braguette et à sortir l’engin patronal qu’elle saisit fermement tout en disant, ohh mon dieu qu’est ce que vous êtes gros, Chris, je le tiens à peine entre mes doigts.Après quelques coups de poignet, elle approcha sa bouche et embrassa le corps du délit de ses lèvres charnues.— Excusez-moi Chris, elle me fait très envie…Je ne peux pas y résister.— Je ne vous demande pas un tel sacrifice, Coralie…Je lui rendais hommage de cette prévenance sentant bon le contrat à durée indéterminée en bandant fort honorablement, surtout qu’elle se tournait vers moi pour me faire découvrir, sous sa jupe de tailleur relevée, ses cuisses gainées de dim up blancs du plus bel effet et de la motte couverte d’une culotte de fine dentelle, tellement fine que bref…Elle commença alors à me sucer avalant ma queue le plus loin possible dans sa bouche en me regardant dans les yeux. Le grand jeu, la pipe royale, une technique époustouflante, fruits d’une évidente expérience dans l’art de tailler les crayons et l’ami Pierrot était aux anges.Ah oui, au fait, l’ami Pierrot, c’est le nom de mon sexe. C’est une ex qui adorait la sodomie qui me l’avait donné. L’ami Pierrot : parce qu’il était souvent dans la lune. J’appris ensuite que c’était aussi une marque de sucette et des marques de sucette, il y en avait fréquemment dessus, de telle sorte que je n’avais pas depuis changé ce petit nom auquel il était habitué et qui lui allait très bien, avec en plus le petit côté romantique qui plaisait aux midinettes nymphomanes.Mais revenons sur le sujet. La bonne connaissance du terrain sous-braguettal (néologisme !) par Coralie la conduisit à extirper mes demoiselles pour y goûter à grand coups de langue tout en agitant d’une main habile la hampe dressée.Ce savoir faire incontestable, qui distingue la bonne secrétaire de l’excellente, allait produire tout naturellement son effet, lorsque le carillon aigrelet de la porte d’entrée résonna. D’un sursaut, Coralie se releva et lissant sa jupe, se rendit dans la pièce d’accueil.Je crus un instant à la survenance d’une première affaire, mais ce n’était que le facteur qui nous apportait une seule lettre, mais très intéressante puisqu’elle émanait de l’URSSAF locale, où l’on avait enregistré mon existence et celle de ma salariée, de telle sorte que nous serions dorénavant bien suivis. C’est bon d’être ainsi pris en considération.Coralie était revenue avec une mimique du genre.. « ohh patron, qu’ai je fait… vous allez me prendre pour une dévergondée… ».Je ne me faisais naturellement aucune illusion sur le sujet. Elle non plus d’ailleurs. Je n’osais quand même pas lui dire que c’est exactement ce que je pensais.J’hésitai entre deux phrases : « ohh Coralie, mais vous n’avez pas fini votre travail » ou « je vous en prie, n’en parlons plus, un moment d’égarement ». Pas très longtemps.Bien sur, je choisis la première. Je sens qu’autrement je l’aurais déçue et peut-être même vexée. Les gens sont si susceptibles aujourd’hui.Avec un sourire carnassier, elle revint par dessous le bureau pour ressortir mon engin toujours tendu et continuer sa besogne. Je demeurai ainsi, savourant la douceur moelleuse de sa bouche, l’énergie de ses lèvres, goûtant ce moment sublimissime du patron qui se fait pomper la queue par sa secrétaire aussi BCBG que BCBG (bouche charnue bouche goulue pour le deuxième).Le moment était venu de passer à l’étape suivante.— Mais Coralie, ne puis-je également rendre hommage à votre intimité ?— Ohh Chris, mais si bien sur…— Venez donc vous asseoir sur mon bureau… vous y serez à l’aise pour vous y faire cunnilinguer puis vigoureusement piner…— Mon dieu, quel bon programme roucoula-t-elle…Mais, Chris et mon travail ? (sic).— Il attendra bien un peu.Nous poursuivîmes ainsi cet entretien et je pus goûter à cette jolie chatte fort humide et bien entretenue, à croire qu’elle faisait de l’usage, que je lapai cérémonieusement alors que la coquine d’une main, gardait écarté son string, et de l’autre se tripotait les nichons.Ma secrétaire gémissante m’informa soudain, entre deux gémissements, qu’elle m’avait pris un rendez-vous ce matin-même à dix heures et demie avec une cliente recherchant un appartement à louer.— Vous auriez pu me le dire, Coralie, haletai-je également en lui enfonçant l’ami Pierrot jusqu’à la garde.C’est vrai quoi, n’ayant rien sur mon agenda, j’aurai bien aimé qu’on puisse y marquer quelque chose.— Bon sang, mais il est onze heures moins vingt !!C’est à ce moment là que nous entendîmes distinctement un « hum hum ».Notre regard fit comme un seul homme bien que nous soyons en couple et Coralie et moi découvrîmes, appuyée sur l’huisserie, une jeune femme de 25 ans environ qui nous regardait copuler comme des cochons, la main glissée sous sa jupe.Coralie sursauta en criant mon dieu et d’un joli flop se désengagea du gourdin qui la ramonait, se remit debout, descendit sa jupe et se précipita vers notre visiteuse.— Glups… excusez-nous… Euh, vous êtes mademoiselle Magali Bidineux ? Vous aviez rendez-vous ?Elle l’entraîna vers la pièce de réception, me laissant remettre de l’ordre dans ma tenue.— Je euh vais vous annoncer l’entendis-je déclarer sérieusement.Elle frappa à la porte pour me déclarer officiellement que Melle Magali Bidineux était arrivée.— Votre rendez-vous est arrivé, Monsieur, annonça-t-elle très professionnelle.— Faites-la entrer Coralie.Ma première cliente, en tout cas celle qui se déplaçait à l’agence, fit son entrée dans mon bureau, derrière lequel je m’étais levé, et laissa échapper un regard furtif vers ma braguette, voulant sans doute s’assurer que je la ne recevais pas la bite à l’air, ce qui n’aurait pas été de la meilleure des politesses.Apparemment rassurée par cette preuve de civilité et de savoir-vivre, mais avec des joues quelque peu rosissantes, elle prit place sur le fauteuil visiteur en vrai skai de Malaisie.— Hum… excusez-moi, je euh… n’ai pas vu la sonnette et la porte était entr’ouverte et malgré moi, je vous ai …. surpris en pleine hum..— Conférence ?— Oui, c’est cela.Ce con de facteur, il aurait pu fermer sa porte…C’était pas le même style que ma secrétaire, plutôt le contraire. Cheveux châtain courts, de fines lunettes cerclées, allure sage et vêtements classiques, chemisier boutonné au cou, jupe souple et longue au-dessous du genou, bibliothécaire plus vraie que nature, intellectuelle tirant le diable par la queue (il y a pire comme situation comme tirée par la queue du diable par exemple).— Que puis-je pour vous Mademoiselle ? Ah oui.. vous venez pour l’appartement de Madame Udik.— Effectivement, voilà quelques semaines que je l’ai visité et je l’ai vu dans votre vitrine et donc je voulais voir s’il était toujours libre.— Absolument, dis-je mais j’ai quelqu’un dessus (cours du soir n° 1 de l’agent immobilier) qui doit me donner sa réponse ce soir.— C’est juste le loyer…. Il est un peu cher.— Vous n’êtes pas sérieuse Mademoiselle, vous l’avez visité, vous avez vu la qualité, l’emplacement, les prestations ? (leçon n° 2).— Oui, je sais mais tout de même, je pourrai peut-être obtenir une petite baisse ?— Pardon ?— Une petite baisse… du loyer…— Excusez-moi, j’avais mal compris…— Il faudrait que je demande à la propriétaire. Remarquez, je dois aller la voir cet après-midi, affirmai-je avec aplomb en ouvrant et fermant rapidement mon agenda.— Je…— Oui ?— Je suis vraiment intéressée par cet appartement, vous savez…Je la vis jeter un œil à la porte fermée du bureau.— Oui, c’est ce que je vois…— Comment vous convaincre d’en parler à la propriétaire ?— Eh bien…— Vous n’avez pas terminé votre .. conférence tout à l’heure, si je ne m’abuse, me demanda-t-elle en se levant.— Euh… non en effet…Elle fit alors le tour de mon bureau et vint alors s’y appuyer, tout en levant une de ses jambes pour poser sa chaussure sur ma cuisse. Je remarquai l’élégance de ses escarpins.Surpris de cette initiative et abusé par son côté sainte-nitouche, je n’esquissai pas un geste. Elle releva sa jupe lentement, dévoilant une magnifique paire de jambes galbées dans un voile blanc très fin, qui se révéla être un collant. Retroussant sa jupe sur ses hanches, elle baissa elle-même ce collant à mi cuisse et d’un geste délicieusement obscène, écarta sa culotte de dentelle noire. C’est dans cette position d’une totale impudeur qu’elle m’apostropha .— Cà m’a excitée de vous voir baiser votre assistante. Je suis toute trempée… regardez comme vous m’avez fait mouiller.Je regardai effectivement son doigt qui ouvrait ses nymphes laissant deviner l’humidité de cette jolie chatte en se flattant le clitoris érigé.C’est dans ce genre de situation qu’on se dit que ce job a du bon. Les gens sont prêtsà tout pour se loger !— Alors ? qu’est ce vous attendez ? bouffez la moi…D’un mouvement de bassin, elle m’invitait à la consommation. Naturellement, il m’était impossible de résister à cette friandise impromptue.C’est vrai qu’elle était trempée, une fontaine, une fragrance délicieusement parfumée que je buvais à la source, ma langue tantôt fouillant son fourreau aussi loin que possible, tantôt suçant son joli clitoris excité. Mélanie gémissait de plaisir.— Ohh s’il vous plait..— Oui ? dis je me relevant quelque peu de mon ouvrage…— Dites à votre secrétaire de revenir.. Je euh … voudrais qu’elle vous suce en même temps…— Vos désirs sont des ordres…répondis-je en même temps que je décrochai le téléphone. Dring…. Coralie !!!?— Oui Monsieur ? fit-elle après quelques secondes…— Pouvez-vous venir, je vous prie ?— Pour une lettre ?— Non, Coralie, pour une pipe…— Ohh de suite, Monsieur…C’est beau une secrétaire dévouée. Coralie fit son entrée et découvrit Mélanie assise sur mon bureau, cuisses écartées, qui m’offrait sa jolie fente exsudant une excitation sans complexe.— Mademoiselle aimerait que vous me suciez Coralie, tandis que je lui lèche la chatte.— Oh bien sur, avec plaisir.. Commerciale jusqu’au bout des ongles, la Coralie, après tout la cliente est reine…Elle n’eut qu’à descendre ma braguette pour faire jaillir ma queue dont la rigidité de bon aloi ne la surprit pas.— Ohh mais vous bandez terriblement…dit-elle en repassant sous le bureau et extirpant mes bourses de mon pantalon pour une prestation complète.Nous poursuivîmes quelques minutes cette double joute buccale, Mélanie pâmée, regardant la bouche habile de ma secrétaire me faire cette pipe de bonne facture.Soudain, le téléphone sonna. Je mis la main sur la tête de Coralie pour qu’elle poursuive sa divine fellation et tendis la main vers le combiné, retirant ma bouche du con liquoreux de Mélanie qui la remplaça par ses doigts.— Je vais répondre, dis-je, c’est peut-être un client.— Mmmmhhh fit Coralie…— Allo ?— …— Ohh Bonjour Madame UDIK dis-je.. Je mis ma main sur le combiné en répétant tout bas. Coralie c’est notre propriétaire Olympe UDIK… Euh oui chère Madame, cet après midi.. oui..— …— Ce matin ? euh oui je vais faire l’impossible pour me libérer. Je suis sur une affaire en ce moment…— …— Comment ?— …— Bon bien j’arrive..C’est cela avant midi.— Oui.. borborygma (néologisme !) Coralie, la bouche à moitié pleine. Allez-y patron, ne perdons pas cette cliente… ne vous inquiétez pas je vais m’arranger avec Mademoiselle Mélanie.Pour la seconde fois de la matinée, je dus abandonner la scène en plein action. Je me levai avec un soupir, rengainant mon pistolet. Aussitôt, Coralie vint prendre ma place pour continuer à languer la chatte de Mélanie.Je laissai ainsi ces deux femmes BCBG (Belle Coquine Bonne Gouine) à leurs travaux féminins et sortis pour gagner ma voiture.Un quart d’heure plus tard, je sonnai à la porte de la villa cossue d’Olympe UDIK, belle quadragénaire blonde, du kilométrage distingué, les cheveux retenus par une queue de cheval, les prunelles noires et des faux cils longs comme des allumettes cramées, épanouie, généreuse, au balcon prometteur sans être plantureux, qui m’ouvrit vêtue d’une robe moulante de velours noir, épousant ses rondeurs avantageuses.Sur sa fiche de cliente, remplie du temps de mon prédécesseur, figuraient deux annotations au crayon (veuve – ne pas accepter l’apéritif). Si la première mention semblait claire (encore qu’on l’on distingua après veuve le mot « joyeuse » qui avait été effacé), la référence à l’apéritif ne cessait de m’intriguer, et cela d’autant que je m’aperçus qu’elle me mandait précisément à l’heure où il peut être sacrifié à ce rite préprandial…— Bonjour, Madame UDIK.. Je suis…— Oui, je sais, appelez-moi Olympe…Entrez…dit-elle en reprenant le corridor vers ce que je supposais être le salon.Je ne manquai pas de porter mon regard sur cette croupe qui ondulait devant moi, m’apercevant que la robe était fendue bien haut et qu’Olympe portait des bas couture.Après mes deux frustations de la matinée, cette vision enchanteresse suffit à rétablir une certaine consistance de l’ami Pierrot et c’est avec une certaine tension que je la suivis dans son salon.Je pris place sur un confortable canapé de cuir beige, en même temps que je repérai sur la table basse un seau à champagne dans lequel, entre les glaçons un grand cru à bulles, attendait de jaillir.Je passerai ici les quelques propos que nous échangeâmes concernant son appartement et je fus tout heureux, bien que je n’en laissai rien paraître, de considérer que ma première affaire était dans la poche, la locataire, Melle Mélanie Bidineux, dont les avantages furent exposés à Olympe, ayant trouvé grâce à ses yeux.Je pensai donc pouvoir m’éclipser et enlever Mélanie des privautés de ma secrétaire pour sur le champ lui faire signer son bail (et finir mon ouvrage par la même occasion) mais Olympe stoppa net cet élan en déclarant que le règlement de cette affaire méritait bien une coupe de champagne.Je ne pouvais décemment refuser.— Pouvez-vous me la déboucher, Chris, je peux vous appeler Chris n’est ce pas ? minauda-t-elle en relevant légèrement sa robe sur ses jambes pliées en arrière sur le canapé.— Certainement Olympe dis-je en m’emparant de la bouteille et commençant à défaire le muselet, sous le regard pétillant d’Olympe.Le bouchon explosa, la mousse jaillit et je versai ce breuvage mordoré dans les deux flûtes posées près du seau.J’en tendis une à Olympe qui me tint les doigts un instant de trop et nous trinquâmes, les yeux dans les yeux.— J’adore le champagne, tous les champagnes et vous, Chris ?— Moi aussi, répondis-je n’ayant encore rien compris…— Surtout les champagnes naturels…— Euh oui….— Ohh.. nous partageons donc les mêmes affinités humides ?— Je crois.Elle sourit béatement. Je me donnai une certaine contenance (si l’on peut dire) en vidant ma coupe, faisant celui qui avait tout compris et qui jouait dans la subtilité.— J’en ai un excellent.. reprit-elle..— Quoi ?— Du champagne naturel et très personnel. Aimeriez-vous le goûter ?— Bien sur Olympe, avec grand plaisir…Elle vida sa coupe d’un trait et se mit debout sur la table de salon en me souriant, tout en relevant sa robe et dévoilant ses bas noirs, puis son porte-jarretelles et enfin sa toison de fausse blonde. J’avalai ma salive en constatant qu’elle ne portait pas de culotte.Elle s’accroupit ainsi sur le seau à champagne.— Donnez-moi votre coupe dit-elle et passez-moi la mienne aussi…Elle passa sa main sur sa chatte, écartant ses lèvres intimes. Soudain, la lumière fut et en même temps que je réalisai la situation, je vis le pipi d’Olympe jaillir et ce jet dru frapper les glaçons dans le seau.La source fut bientôt plus ténue et Olympe présenta sous elle nos deux coupes de champagne qu’elle remplit à moitié de son champagne personnel.Elle revint s’asseoir près de moi, négligeant de rabattre complètement sa robe, restant ainsi ses cuisses gainées de bas coquins attirer mon regard concupiscent. Elle me tendit ma coupe…— À votre santé, Chris dit-elle en portant sa flûte à ses lèvres… Moi, j’aime nature mais vous pouvez panacher avec quelques bulles si vous aimez mieux.J’esquissai un sourire. Je n’allais quand même pas rater ma première affaire pour si peu, me dis je et bus à mon tour au calice…— C’est euh délicieux…dis-je— Oui, j’adore…Nous sirotâmes lentement cette boisson forte et je compris alors l’annotation concernant l’apéritif. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises… En effet, Olympe avait vidé sa flûte et me regardait, s’avisant qu’il me restait encore de son champagne intime.— Allez, cul sec… m’encouragea-t-elle.L’expression n’était pas des mieux choisies au regard de l’origine du breuvage.— À votre tour, Chris…— Oh Olympe, vous voulez que..— Absolument, je meurs d’envie de goûter aussi à votre nectar…Elle me tendit sa coupe vide.— Servez-moi, je vous prie…Je n’eus que quelques secondes d’hésitation et à mon tour je me levai pour venir, devant elle, défaire ma braguette et sortir le robinet. Cela ne vint pas tout de suite, mais Olympe se montra patiente.— Je n’y arriverai pas si vous me faites trop euh bander Olympe…— Oh excusez-moi dit cette hypocrite en cachant un peu ses cuisses.Enfin, la délivrance survint et je me mis à mon tour à uriner dans le seau à champagne. Olympe se pencha alors et fit elle-même le service, passant les deux flûtes sous le tuyau.— Pas trop pour moi, je conduis…dis-je.Elle daigna sourire mais je remarquai qu’elle remplissait la sienne presque à ras bord.— Hum, quel arôme fascinant, sentit-elle en fermant les yeux de bonheur…— Je vous l’accorde.Nous bûmes donc de nouveau, et cette fois-ci, étant plus près l’un de l’autre sur le canapé, nos bouches se joignirent, partageant mon champagne naturel.Une telle perversité m’avait finalement placé dans un état d’excitation certain et comme j’avais vais omis de refermer mon pantalon, Olympe s’empara de mon gourdin en forte dilatation, qu’elle s’employa à faire durcir encore par une fort savante masturbation, tout en suçant ma langue comme une affamée.De mon côté, je lui mis ma main entre les cuisses, qu’elle écarta fort obligeamment pour faciliter l’accès libre et total à sa fourche humide.Nous en étions ainsi à nous branler fort gentiment et nous convînmes de ne pas en rester là, ce qui supposait que je me dévêtisse plus amplement pour venir surplomber Olympe, en tête bêche, afin que lui broute son minou tandis qu’elle me léchait les couilles, mon gland emprisonné entre les globes laiteux de ses superbes nibards.La coquine exploitait à fond, à coups de langue voraces et fureteurs, le derrière de ma personne BCBG (Belles Couilles Beau Cul).Après nous être ainsi copieusement léchés, Olympe UDIK me pria de l’enfiler sur son canapé, ce que je fis avec grand plaisir. Cuisses ouvertes devant moi, en se pelotant les nichons, elle accueillit mon gros crayon.Le sentais le plaisir monter et je me dis que cette fois, je pouvais me laisser aller entre les cuisses de cette cochonne. J’accentuai mon pistonnage à la grande satisfaction de ma cliente qui semblait aimer aller au fond des choses.Soudain, un carillon sonore retentit dans la maison. Olympe, d’un mouvement de bassin, se dégagea aussitôt bondit sur ses pieds et rabattit sa robe…Je me retrouvai ainsi, à genoux devant son canapé, mon sucre d’orge poisseux en flamberge…— Oh mon dieu… ma fille qui rentre du lycée. Elle a du sortir plus tôt que prévu. Vite Chris rajustez-vous…Cà commençait vraiment à bien faire. Mais je ne pouvais décemment insister pour allez jusqu’au terme explosif et jaillissant de notre relation.Nous eûmes juste le temps de nous composer une attitude convenable quoique un rien débraillée avant de voir débouler une ado qui ne nous accorda qu’un simple regard et regagna les étages.Peu après, je pris congé d’Olympe, certes une nouvelle fois bridé dans mes épanchements mais fort d’un contrat en bon uniforme…Je mis à profit une partie du reste de l’après midi pour faire de la prospection commerciale, ce qui ne servit d’ailleurs strictement à rien.Quelque peu refroidi, je finis par regagner mon agence en fin d’après midi, alors que Coralie s’apprêtait à partir après cette dure journée de labeur.Elle me fit signe dès mon arrivée pour me dire qu’elle avait introduit une visiteuse dans mon bureau.— Qui est-ce ? Je n’avais pas de rendez-vous prévu, ce me semble…Coralie s’approcha de moi et tout en m’indiquant qu’il s’agissait d’une dame Tousseul, posa sa main sur ma braguette tout en posant ses lèvres sur les miennes.— Ohh mon petit patron cochon, mais vous sentez encore la moule ? Ne me dites pas que vous avez mangé celle de Madame Udik ?— Euh… si Coralie, mais pour la bonne cause, on a peut-être fait notre première affaire vous savez. Je pourrai vous payer autrement qu’en nature…— Ne faites pas attendre votre rendez-vous, dit-elle. À demain toi, ajouta-t-elle en serrant mon sexe en pleine revigoration.Elle me laissa alors seul et j’entrai dans mon bureau.Une jeune femme aux cheveux châtain assez courts, avec une frange qui avait un peu souffert depuis le coiffeur, en tailleur de ville beige assez cintré, la veste croisée sur un bustier de dentelle blanche, se leva du siège visiteur sur lequel elle patientait.— Bonsoir, me lança-t-elle.— Euh, bonsoir, euh Madame… ?— Tousseul, mais appelez-moi Sébastienne.— Oui, mais…— Vous ne me remettez-pas ?A ma connaissance, je ne l’avais encore jamais mise. Il était normal que je ne la remisse point.— Attendez, je crois que…— Je suis votre concurrente du bas de la rue. Moi aussi, j’ai lancé mon agence il y a un mois et au lieu de se faire la pige, j’ai pensé qu’on pourrait peut-être travailler ensemble ?— Vous croyez ?— En couple, on travaillerait mieux. Un homme et une femme, vous comprenez ? C’est mieux pour le commercial…— Vous pensez ?— Evidemment, vous prenez la négociation avec les femmes et moi avec les hommes et on engrange les affaires…— Humm, dis-je dubitatif…Nous nous étions rassis, l’un en face de l’autre sur les deux fauteuils visiteurs. Je l’observai un peu mieux. Je crus voir – mais étais-je vraiment lucide ? – que la veste était plus ouverte que tout à l’heure et que la jupe était plus remontée que la décence l’eut raisonnablement permis.— Dites-mois la vérité, poursuivis-t-elle. Vous ne sautez pas vos clientes ou vous ne leur faites pas une petite langue ?— Vous plaisantez ? jamais de la vie, réussis-je à dire avec le plus grand sérieux.— Je ne vous crois pas…— Je suis très respectueux de la déontologie de la profession…— Mon cul…— Quoi ?— Et votre secrétaire, vous ne la tringlez pas ?— Euh… si, un peu, avouai-je.— Ah, vous voyez…— Et vous, vous baisez avec tous vos clients ?— Baiser non, pas souvent mais sucer oui, un certain nombre. C’est pour çà qu’il faut qu’on s’associe vous voyez. Je perds trop d’affaires avec les femmes. Elles ne sont pas toutes gouines vous comprenez, et les arguments d’un homme sont parfois… décisifs…— Je ne savais pas que le métier d’agent immobilier était un métier de bouche.— Ah bon, il était agent immobilier avant d’être président ?— Euh.. qui çà ?— Bush ?En plus, elle avait de l’humour…— Je peux vous poser une question ? Pourquoi moi ? Il y en a d’autres qui…— Olympe Udik m’a téléphoné.— Quoi ?— Eh oui. Je l’avais en portefeuille et je n’arrivais pas à conclure. Cet après midi, elle me passe un coup de fil pour me dire qu’elle avait fait affaire avec vous et euh m’a raconté comment vous vous y étiez pris..— Oups… et elle vous a raconté l’apéritif ?— Quel apéritif ? non, vos prestations canapéennes seulement.— Ah…— Vous voyez, çà marche.— Peut-être…— Alors, on fait affaire ?Sur ce, elle commença à remonter sa jupe de tailleur découvrant progressivement ses cuisses.Sébastienne Tousseul portait naturellement des dim-up chair au large liseré qu’elle semblait fière d’exhiber avec son petit sourire de carnassière. Elle retira alors sa veste de tailleur pour dévoiler son bustier blanc. Je sentais l’ami Pierrot se réveiller.— En somme, on se montre nos outils de travail ?— Oui, si on veut, opina-t-elle en souriant…Et puis, je veux savoir si mon associé est à la hauteur.— La longueur et la largeur vous intéresse aussi ? dis je en sortant mon engin alors qu’elle même retirait gracieusement son string noir en écartant les jambes, me montrant sa jolie toison châtain et sa chatte aux lèvres épilées.— Qui commence ?— Moi ?— Je vous en prie… m’invita-t-elle en ouvrant largement les cuisses.Je me mis à genoux sur ma moquette râpeuse et commençai à lécher ma quatrième chatte de la journée. Ce n’était pas la plus désagréable. J’y mettais tout mon art, la bouche, la langue, les doigts, le grand jeu.A tel point que Sébastienne explosa bientôt de plaisir. Elle était absolument ravissante à voir jouir.Après quelques instants de récupération, me voyant assis en train de flatter l’ami Pierrot, elle vint à son tour à s’agenouiller devant moi et me rendis l’hommage de sa bouche. Elle avait de la pratique incontestablement.Peut-être la fatigue de la journée, toujours est-il qu’elle me demanda de l’enfiler sur mon bureau.Je m’empressai de lui donner satisfaction. J’adore cette position. Une femme en bas sexy, les cuisses écartées, mouillant sur mes dossiers, et moi debout en train d’aller et venir en elle, tous deux regardant la queue dans son mouvement d’aller et retour.Je ne me privai donc pas de ramoner le conduit hospitalier de ma nouvelle associée, elle-même semble-t-il ravie de faire intime connaissance avec l’ami Pierrot.Nous y allions de bon train, lorsque, soudain, son portable sonna, coupant court à nos ébats en plein crescendo.— Ohh, excuses-moi, c’est la sonnerie de la maison. C’est mon mari qui m’appelle. Je dois répondre..— Ah bon en plus, tu es mariée ?— Oui et alors ?— Alors ? euh rien…— Je ne confonds pas la vie privée et les affaires, tu sais.On aura tout entendu… Tandis qu’elle donnait du « mon chéri » à son époux, je continuai à lui fourrer ma praline, mais je sentais bien que cette fois encore, je serai chocolat. Ça n’a pas raté, crotte !.— Bon, je suis désolée Chris, mais il faut que je file. Encore un ou deux petits coups s’il te plait, pour la route. Humm, je crois bien que la connexion est passée entre nous deux. On finira demain promis. On a tout le temps maintenant…Sur ce, elle remit son string, sa veste et m’envoya un baiser des lèvres.— À demain, cher associé…Et voilà, je me retrouvai un nouvelle fois avec l’ami Pierrot tout fier et personne pour s’en occuper.Le temps avait passé. Je ramassai toutes mes affaires, éteignis la lumière, verrouillai ma porte et me dirigeai vers mon petit restau habituel du soir, en pensant que Polly, la serveuse rousse incendie, serait peut-être d’humeur badine et un peu plus.Oui, son nom de famille est Sohn et alors ??Lorsque j’y arrivai, et me fus installé, j’appris que c’était son jour de congé, à Polly. Je n’y avais plus pensé…Je dînai donc bien tristement et une heure plus tard, je regagnai mes pénates plus BCBG que jamais (ici « bite contrariée, baise gâchée »).Quelle journée…Chris