Metz… le vieux centre ville, près de la place St Louis. C’est lĂ que je me suis assis un petit moment, Ă l’abri d’une arcade de pierre. Les passants, les oiseaux, les voitures qui vont et viennent, le soleil, le vent… tout est spectacle pour mes yeux d’enfant.Je me laisse bercer par cette ambiance simple qui me pĂ©nètre doucement, me rappelant des souvenirs enfouis, des images que j’avais cru perdues. Je les laisser se frayer un chemin Ă travers les mĂ©andres, l’écorce de mon esprit.Ainsi, il y a un an, j’étais en ce lieu. Je ne m’étais pas attardĂ© sur cette place. C’est Ă peine si je l’avais remarquĂ©e… pourtant elle aurait mĂ©ritĂ© toute mon attention. C’était l’hiver, un jour de janvier et il pleuvait.J’étais venu retrouver une femme… une femme que je n’avais jamais vue. Une femme qui Ă©tait avant tout pour moi une voix d’enfant, des mots… une voix et des mots qui dessinent une personnalitĂ©, une histoire… des sentiments. Tout cela avait suffit Ă m’envoĂ»ter, Ă m’émouvoir et je n’avais qu’une envie : la retrouver.Nous nous Ă©tions rencontrĂ©s sur un chat sur le net, puis nos voix se sont rencontrĂ©s au tĂ©lĂ©phone et la magie de nos conversations confondait mon cĹ“ur, mon corps et mon esprit. Puis j’avais pris le train pour Metz et nous nous Ă©tions retrouvĂ©s. ***Dans la rue de la goutte d’or, je passe devant une charmante boutique de lingerie fĂ©minine et je reste admiratif quelques minutes, comme un enfant Ă©bahi devant les lumières colorĂ©es d’un sapin de noĂ«l.Continuant mon chemin Ă travers les rues piĂ©tonnes, j’arrive enfin devant un grand magasin, le but de ma pĂ©rĂ©grination. Je traverse le rayon des parfums. Des senteurs musquĂ©es pĂ©nètrent mes narines, m’enivrent… chavirent dĂ©jĂ mes sens.Au premier Ă©tage, le rayon lingerie. Pas grand monde et pourtant ce sont les soldes. J’erre Ă travers les rayons, comme un enfant dans un magasin de jouets. Tant de parures charmantes, soyeuses, colorĂ©es. De la dentelle… les doigts qui courent Ă travers les motifs et les tatouages des soutiens-gorge, des strings… des porte jarretelles et des bas rĂ©silles. Tout le mystère de la femme… tout le paradis de l’homme se dĂ©ploie devant mes yeux Ă©merveillĂ©s. » Est ce que je peux vous aider ? « , me demande une voix d’enfant… une voix que je reconnaĂ®trai entre mille.Je me retourne. Ses cheveux blonds garnis de mèches sont coupĂ©s courts. Ils garnissent sont visage tel un Ă©crin avec pour trĂ©sor, des yeux magnifiques, Ă la couleur insaisissable… bleus, gris ou bien peut ĂŞtre verts : un mystères qui me laisse bĂ©at et presque rougissant. Un petit nez. Des lèvres sensuelles, pulpeuses, voraces… une bouche qui vous absorbe, qui vous mord. Joli visage, maquillĂ©e, un rouge Ă lèvre cerise… le visage d’une femme, avec une voix d’enfant… mais oĂą suis-je dĂ©jĂ Â ?Elle est grande. Son corps respire la fĂ©minité… le corps plein de santĂ© d’une femelle Ă©nergique et insatiable. Sa poitrine est magnifique, de vrais obus de chair pointĂ©s tels des armes vers mon torse… l’ouverture de son dĂ©colletĂ© me laisse apercevoir leur forme gĂ©nĂ©reuse, pleine… une irrĂ©sistible tentation… une incroyable envie de toucher, de lĂ©cher, de mordiller et de se perdre.Ses formes sont pleines, charnues, incroyablement sensuelles. Une peau blanche, laiteuse et parfumĂ©e. Elle dĂ©gage une sexualitĂ© appĂ©tissante, passionnante et je sens mon corps trembler et se tendre de dĂ©sir.Revenant doucement Ă moi, je relève mon regard vers le sien. Elle semble n’avoir rien perdu de mon observation minutieuse de son anatomie et me sourit adorablement. Je parviens Ă bredouiller non sans peine : » Euh oui. Pourquoi pas. Je suis Ă la recherche de quelque chose de sexy pour une amie «  » Pour une amie, hein ? ou bien pour vous ? Je veux dire quelque chose que vous voudriez voir sur votre amie », me dit-elle en esquissant un sourire adorable. » Euh oui, je pense qu’on peut dire ça comme ça. « Mes yeux ne peuvent s’empĂŞcher de parcourir les courbes enivrantes de son corps. Ses seins majestueux… la courbure de ses hanches… ses jambes. Je me forçais Ă la regarder de nouveau dans les yeux. Ces yeux magnifiques de camĂ©lĂ©on… aux couleurs changeantes. Elle me sourit. » Vous avez vu quelque chose qui vous plaĂ®t ? « , dit-elle, laissant Ă dessein planer une dose d’ambiguĂŻtĂ© dans sa question. » Oui assurĂ©ment « , dis-je en souriant » Je veux dire, avez vous remarquĂ© un modèle de lingerie qui vous plaĂ®t « , me rĂ©pond elle en riant. » Eh bien… il y a tellement de modèles. J’ai un peu de mal Ă me dĂ©cider. «  » Peut-ĂŞtre puis-je vous aider. Quelle taille ? «  » Eh bien euh, la taille ? Ah oui, la taille… je dirai…eh bien votre taille. «  » Ah eh bien ça tombe très bien. Ça n’en sera que plus facile « , me rĂ©pond-elle d’un sourire dĂ©sarmant.Me prenant par le bras, elle m’entraĂ®ne Ă travers le rayon, sĂ©lectionnant au passage quelques parures, toutes les plus affolantes les unes que les autres… une nuisette de soie rouge… pour m’amener devant une porte qu’elle ouvre avec une clĂ©. Nous entrons… elle referme derrière elle… Ă clĂ©.DrĂ´le de salle d’essayage… » Ici nous serons plus tranquilles. Je vais essayer ces modèles pour vous. Comme ça, vous vous rendrez mieux compte de ce qui vous plaĂ®t. Ça ne vous dĂ©range pas ? « , dit-elle en me faisant un clin d’œil.Mon dieu… j’ai dĂ» mal entendre… cette superbe crĂ©ature me propose d’essayer des modèles de lingerie pour moi. Soit, je suis en train de rĂŞver… soit, j’ai une vraie veine de cocu. » Non… non. Pas du tout. Euh, je veux dire…euh, oui je suis d’accord si vous ĂŞtes d’accord aussi «  » Ah la bonne heure. Asseyez-vous dans ce fauteuil. Vous dĂ©sirez boire quelque chose ? Si vous voulez, j’ai un peu de Bourbon. «  » Oui. D’accord pour le Bourbon « Elle s’avance jusqu’à une armoire et en sort un verre et une bouteille. Sa robe courte dĂ©voile ses jambes gainĂ©es de bas rĂ©silles noires… ses pieds chaussĂ©s de hauts talons noirs… je suis aux anges.Elle revient vers moi, un air amusĂ© dans le regard. Elle me tend le verre et se penche vers moi pour me servir. My god… quelle vision ! Deux globes de chair crĂ©meux s’offrent Ă mon regard…un sillon Ă©troit… un dĂ©colletĂ© Ă faire bander un eunuque ! Je suis raide comme une barre d’acier… ma queue me fait mal tellement elle se sent Ă l’étroit dans mon pantalon.Je la regarde. Ses yeux restent longuement rivĂ©s sur la bosse qui dĂ©forme mon froc. Elle se lèche les lèvres, puis me regarde en souriant. Si ça continue, je ne rĂ©ponds plus de rien… » Bien commençons. Si vous le voulez bien. Restez assis, je vais essayer les modèles l’un après l’autre et vous tâcher de choisir celui qui vous plaĂ®t le plus «  » Euh oui, d’accord « Elle se dirige derrière un paravent, alors que je goĂ»te mon Bourbon et essaye vainement de dĂ©bander. J’entends le froissement de ses vĂŞtements et l’imagine nue derrière le paravent. Puis, je vois sa main poser sa robe noire tandis qu’elle attrape la nuisette rouge.Mais qu’est ce que je fais lĂ dĂ©jà … est-ce que je rĂŞve ? Je me pince le bras, mais rien n’y fait… je ne me rĂ©veille pas.Et puis voilĂ qu’elle rĂ©apparaĂ®t, sortant de derrière le paravent et marchant vers moi…HAOUU ! quelle vision sublime ! Elle marche doucement jusqu’au centre de la pièce. La nuisette en soie rouge, presque transparente, flotte gracieusement autour de ses hanches. Ses seins gĂ©nĂ©reux, libres d’entrave, gonfle le tissus soyeux… ses tĂ©tons durs bien visibles Ă travers la fine Ă©toffe. Mes yeux s’aventurent plus bas vers ses hanches que la nuisette recouvre Ă peine. Ses jambes sont nues… dĂ©licieuses. Elle effectue une pirouette et je peux apercevoir un string de dentelle blanche qui dessine magnifiquement ses fesses. » Est-ce que vous aimez ce modèle ? C’est simple, mais efficace, vous ne trouvez pas ? «  » Oh oui,  » rĂ©pondis-je  » J’aime beaucoup « Mes yeux restent fixĂ©s sur elle tandis qu’elle marche autour de la table pour venir se tenir juste en face de moi. Je la regarde avec un Ă©norme sourire… complètement captivĂ©. » Touchez le tissus.  » Elle s’est baissĂ© vers moi, a pris ma main et l’a placĂ©e sur le bord de la nuisette … la soie a glissĂ© sur mes doigts… c’est grisant ! »Pensez-vous que votre amie l’aimera ? » »Je ne sais pas mais moi en tout cas, j’adore! » »Laissez-moi aider votre imagination. » Et, tandis qu’elle prononce ces mots, elle s’assoit soudain sur mes genoux. Ma main vient soutenir son dos. »Voyez – est-ce que cela n’est pas agrĂ©able Ă toucher ? » me demande-t-elle. « Ce modèle vous plaĂ®t-il ? » »J’aime surtout le voir sur vous, » rĂ©pondis-je. Elle glousse en ramenant ses fesses sur mon membre dur qu’elle frotte Ă travers l’étoffe du pantalon. Il n’y a plus de doute possible sur mon excitation… elle sait que je la veux et elle sourit.Elle se relève prestement et se dirige vers le paravent. »Bien. Laissez-moi vous en montrer un autre. » Et sur ces mots, elle disparaĂ®t derrière le paravent me laissant Ă mon Bourbon et Ă ma queue dure comme du bois, que je sens palpiter dans mon froc.AgitĂ© comme un lion, je bouge dans le fauteuil et essaye d’atteindre ma queue pour ajuster sa position dans mon pantalon. Inutile semble-t-il… si c’est encore possible, je sens ma bite se raidir encore d’avantage entre mes doigts et juste Ă ce moment lĂ , elle surgit Ă nouveau de derrière le paravent. J’essaye d’enlever rapidement ma main de mon froc, mais pas avant qu’elle ne se soit rendu compte de mon manège. »Oh pauvre biquet ! Cela doit ĂŞtre si inconfortable. Vous devriez enlever le bas et vous dĂ©tendre tandis que je vous montre le reste des dessous que nous avons choisis. »Oh bon Dieu. Elle portait un bustier blanc sans bretelles avec des jarretières blanches, des bas transparents Ă©crus et un string blanc. Et elle m’invitait Ă lui montrer ma queue !!!Complètement hypnotisĂ©, je me suis levĂ© comme dans un rĂŞve et ai enlevĂ© mon pantalon et mon slip, les arrachant presque de moi. Ses yeux se sont posĂ©s sur mon membre, dur, palpitant, roide et gluant de liquide sĂ©minal. Elle a lĂ©chĂ© consciencieusement ses lèvres en ne quittant pas ma bite du regard. »Humm, quelle belle grosse queue »Rougissant, je ne pouvais dĂ©tacher mes yeux de son corps superbe, inondĂ© de lumière blanche, qui s’avançait lentement vers moi. Instinctivement, ma main est descendu vers ma queue que j’ai commencĂ© Ă branler en la regardant s’approcher. Elle a effectuĂ© une nouvelle pirouette, posant pour moi… me faisant admirer ses formes tandis que je continuais Ă me caresser et que le liquide cristallin continuait Ă sourdre de mon gland violacĂ©. »Est-ce que ce modèle vous excite ? Vous le trouvez joli ? » m’a-t-elle demandĂ©Â ? »TU me rends dingue. » Et ce modèle te va Ă ravir ! »Ses magnifiques yeux me regardent, puis lentement, dĂ©libĂ©rĂ©ment elle porte son regard vers mon Ă©rection. « Je peux voir jusqu’à quel il vous ravit ! » dit-elle d’une voix douce et sexy. Regardant fixement ma queue, elle se laisse glisser Ă genoux entre mes jambes. Je continue Ă faire coulisser ma main de haut en bas sur toute longueur de ma tige… elle devient de plus en plus dure grosse et fière tandis que je regarde cette femme magnifique agenouillĂ©e devant moi.Son visage Ă quelques centimètres de mon membre gonflĂ©. Je peux sentir son souffle sur mon gland tandis que le liquide sĂ©minal continue Ă couler sur mon membre. »Quelle belle bite, » dit-elle dans un souffle. « Votre ami a bien de la chance d’avoir ça Ă sa disposition ! »Je ne pensais plus vraiment Ă rien en ce moment et certainement pas Ă mon amie. Je pensais juste Ă la chance fantastique que j’avais de me trouver lĂ avec cette dĂ©esse.Elle a tendu sa main droite vers moi… son index touche doucement mes couilles, remonte le long de ma tige… pour finir sur le gland, qu’elle entreprend de caresser …. juste la pulpe du doigt… Elle retire son doigt trempĂ© de mouille masculine… le regarde longuement… avant de me regarder Ă nouveau. Ses yeux bleus-verts… une lueur perverse y brille, tandis qu’elle ramène son doigt Ă ses lèvres et promène le bout de son doigt autour de ses lèvres… les faisant luire sous la lumière… les faisant mouiller de moi. Sa langue s’insinue entre ses lèvres pour lĂ©cher son doigt . Puis elle entrouvre ses lèvres… suce son doigt… pour ne pas en laisser une goutte.Je la regarde bĂ©at d’admiration, ma queue tremblante d’émotions devant cette superbe femme qui se dĂ©lecte de ma mouille. »Humm. J’adore ! J’aime goĂ»ter un homme… je ne peux tout simplement pas m’en passer… vous avez un goĂ»t merveilleux… je sens que je vais me rĂ©galer ! »Lentement elle s’est relevĂ©e. « Il y a encore un modèle que vous devez voir. Je reviens tout de suite. »J’ai soupirĂ© profondĂ©ment, tandis qu’elle s’en est retournĂ©e derrière le paravent. J’ai bu un peu de Bourbon, me demandant combien de temps je pourrai encore rĂ©sister Ă cette affolante donzelle. Après quelques minutes elle a dit, « PrĂŞt ou pas, j’arrive ! »Pour ĂŞtre prĂŞt, je l’étais. Et j’ai failli jouir en la voyant sortir Ă nouveau de derrière le paravent… de hauts talons noirs avec des lanières enserrant ses chevilles, des bas noirs remontant le long de ses dĂ©licieuses jambes, un porte-jarretelles noir, un magnifique slip brĂ©silien ouvert laissant deviner les plis charmants de ses lèvres roses, duvetĂ©es de poils blonds et un soutien-gorge noir, transparent, au moins deux tailles trop petit pour sa magnifique et plantureuse poitrine.Elle s’est arrĂŞtĂ©e Ă quelques pas de moi. « Vous aimez ? » a-t-elle demandĂ© en tournant gracieusement sur elle-mĂŞme.Le souffle coupĂ©, je parviens nĂ©anmoins Ă bredouiller « J’adore, oui ! » Ma main fĂ©brile continue Ă courir le long de mon manche surchauffĂ©.Me faisant face Ă nouveau, elle caresse ses seins opulents, les soulève en me regardant, les serrent dans ses mains. Une main descend vers son entre-cuisse, caresse son coquillage et en un rien de temps, je la vois se tordre et jouir en gĂ©missant doucement.Franchissant le pas qui nous sĂ©pare, elle s’accroupit au-dessus de mes cuisses, son minou bien visible et humide Ă quelques centimètres de ma pauvre queue folle de dĂ©sir. Ses seins volumineux au niveau de mon visage… Incapable de rĂ©sister, je les saisis dans mes mains, les caresse doucement, les pĂ©tris avec plus de force en agaçant les pointes dures… puis descends le soutien-gorge en dessous de ces magnifiques obus de chair. Mes bras l’enveloppe, tandis que mon visage vient s’enfouir entre ses seins. Doucement, les lèvres de son minou, luisantes de mouille, frotte mon gland huileux… descend vers moi…. m’accueille inexorablement dans sa douce et infernale fournaise… si lentement… sa chatte me serre… m’avale petit Ă petit… si doucement… jusqu’à ce que son con mouillĂ©, brĂ»lant, serrĂ© m’absorbe totalement.Elle s’est mise aussitĂ´t Ă gĂ©mir… son corps saisi de convulsion… la tĂŞte renversĂ©e en arrière… ses seins majestueux Ă©touffant mon visage. Sa chatte serrĂ©e autour de mon membre comme un poing ne me laisse pas bouger, me garde au plus profond d’elle.Mes mains sur ses hanches je la laisse lentement monter et descendre…. monter et descendre sur ma grosse queue roide.  » Hummm, c’est le paradis  » Encore et encore, je l’enfourne vigoureusement, profitant de chacun de ses mouvements pour mieux l’empaler sur mon membre dur. Ses fesses battent contre mes cuisses, poussant fermement contre moi, Ă la rencontre de ma bite en feu. Je suce, lèche ses gros seins tandis qu’elle me baise. Ma queue bande, vibre dans sa conque humide, huileuse, chaude, incroyablement douce et soyeuse. »Oh OUI, baise-moi, baise-moi, DEFONCE-MOI, » dis-t-elle en poussant des petits gĂ©missements. « Baise-moi avec ta grosse queue ! Donne-la-moi. Baise-moi … oh mon Dieu… Je vais … jouiii … jouir… AHHHHHHHHH OUIIIIII! »J’empoigne ses seins dans mes mains, ma tĂŞte enfouie dans leur magnifique opulence… ma verge la fourre comme un bĂ©lier de guerre… elle jouit sur moi en gĂ©missant… gardant ma bite au trĂ©fonds d’elle, dans l’étau brĂ»lant de son intimitĂ©.Je la relève, la plaque le ventre contre la table. Mon mandrin se promène sur ses fesses, le gland caresse ses grosses lèvres humides comme un pinceau, avant de pousser le gland Ă l’orĂ©e de sa chatte trempĂ©e. Je pousse mon gland violacĂ© Ă l’intĂ©rieur, puis me retire. » Ohhh viens, je t’en prie…. Fourre-moi par derrière… je n’en peux plus « , dit-elle en gĂ©missant.J’avance de nouveau mon gland près de son ouverture suintante… et cette fois, d’une poussĂ©e vigoureuse, je m’introduis entièrement en elle. Les lèvres de sa chatte m’agrippent. Je commence Ă la limer doucement, entrant Ă fond, puis ressortant presque complètement avant de replonger au fond d’elle. »BAISE!!! BAISE BAISE BAISE. Baise-moi. DĂ©fonce-moi avec ta bonne queue ! Casse moi, ramone-moi, bien dur salaud ! »C’est exactement ce que j’ai fait. J’ai enfoncĂ© ma queue encore et encore dans sa chatte… elle a joui … et jouit autour de moi… serrant ma queue comme un Ă©crou autour d’une visse. » Hummm, oh merde… qu’est ce que c’est bon… t’arrĂŞte pas « , soupira-t-elleJ’ai continuĂ© Ă la pilonner rudement, jusqu’à sentir Ă nouveau sa vulve se contracter convulsivement autour de ma verge… son corps entier tremblant de plaisir. J’ai senti mon propre orgasme venir et le lui ai dit. » Je veux que tu jouisses sur moi. Je veux goutter ton jus « , m’a-t-elle priĂ©, en se retirant brusquement de ma queue tremblante et en se retournant vers moi. Ses mains sur mon torse, elle m’a doucement poussĂ© vers le fauteuil. Elle a couru vers le paravent pour prendre les deux autres parures essayĂ©es plus tĂ´t. Elle s’est agenouillĂ©e entre mes jambes, a enroulĂ© la fine soie de la nuisette rouge autour de mon mandrin et a entrepris de me branler vigoureusement avec, souillant la soie de nos jus d’amour mĂŞlĂ©s. Elle m’a regardĂ© dans les yeux. »Tu aimes ça ? Tu aimes le contact de la soie sur ta queue ? tu as beaucoup de foutre pour moi ? » »Oui … oui … j’adore. Ne t’arrĂŞte pas et tu vas obtenir plus de foutre que tu ne l’espĂ©rais ! » dis-je d’une voix rauque.Elle a retirĂ© la soie rouge et a rapprochĂ© son visage de ma queue. Entrouvrant ses lèvres, elle a englouti mon gland dans sa bouche, nappĂ©e de salive chaude et a continuĂ© Ă m’aspirer. Ă€ m’aspirer goulĂ»ment… centimètre par centimètre… dans sa gorge brĂ»lante.  » Mon dieu… je deviens fou… hummm  » Elle a continuĂ© Ă m’avaler, Ă me prendre au fond de sa gorge jusqu’à ce que ses lèvres touchent finalement mon pubis. » Hummm, putain que c’est bon… c’est pas possible… je vais mourir ! « Elle a doucement fait glisser ses lèvres et sa langue sur mon frein, puis est redescendue rapidement pour m’engouffrer de nouveau en entier. Mes mains serrant ses cheveux, j’ai entrepris de baiser sa bouche avec ma queue… m’enfonçant dans sa gorge encore et encore… jusqu’à ce que je me sente prĂŞt Ă exploser. » Je jouis « , ai-je beuglĂ©, tandis qu’une première bordĂ©e de crème chaude fuse au plus profond de sa gorge.Elle s’est rapidement retirĂ©, tandis que je continuais Ă Ă©jaculer.  » Jouis sur moi . Partout sur moi. Couvre moi de ton jus  » a-t-elle criĂ©Ma queue crache des jets de sperme sirupeux qui atteignent son visage, ses lèvres, ses seins… je n’en finis pas de jouir sur elle, tandis qu’elle caresse son clitoris et se met Ă jouir simultanĂ©ment en me regardant.AgenouillĂ©e devant moi, elle engouffre de nouveau mon sexe dans sa bouche et aspire les dernières giclĂ©es de mon foutre au fond de sa gorge. Elle continue de me sucer… dĂ©terminĂ©e Ă ne pas perdre une goutte de moi. Finalement, elle laisse ma queue, Ă prĂ©sent ramollie, sortir de sa dĂ©licieuse bouche.Se penchant en arrière, elle prend le bustier et s’en sert pour essuyer le sperme qui recouvre ses seins. Elle me regarde en souriant… puis elle rapproche le bustier de ses lèvres et se met Ă lĂ©cher le foutre qui le recouvre. » Oh baby love. Tu as un goĂ»t merveilleux ! « , dit-elle, dans un souffleAffalĂ© dans mon fauteuil, je reste bouche bĂ©e devant cette superbe et chaude femelle. » Alors,  » dit-elle.  » As-tu dĂ©cidĂ© quel modèle tu prĂ©fĂ©rais ? «  » En fait,  » rĂ©pondis-je.  » Aucun d’entre eux ne correspond vraiment Ă ce que je recherche. Peux tu m’en montrer quelques autres ? « Cessant de me regarder, elle laissa lentement ses yeux glisser vers le bas pour voir la queue toujours dure que je caressais entre mes doigts. »Ce sera avec plaisir, » dit-elle souriante, avec sa voix d’enfant, tandis qu’elle se prĂ©cipitait dĂ©jĂ dans le magasin pour choisir de nouvelles parures Ă essayer pour moi.Je souriais en pensant Ă cette femme Ă moitiĂ© nue, couverte de sperme sur le point de surgir dans le rayon lingerie d’un grand magasin plein de monde et… j’étais impatient qu’elle revienne pour voir ce que pouvait offrir les nouveaux modèles.