J’y connais rien moi aux femmes, ni aux bourgeoises ni aux salopes. J’ai jamais vu des tribades se grignoter le minou ou se cajoler la rondelle. Dans ma campagne on se trouve une donzelle on la lutine un peu dans les granges ou derrière l’église. Ensuite on la marie, on fait des gosses et voilà .Enfin c’était comme ça que je voyais les choses jusqu’à ce que les parisiens achètent la grange de l’Émile et se mettent à la décorer en « chaumière pleine de cachet ». Tu parles d’une pilule.La famille ça la fait bicher de venir à la ferme. Le cul bouseux de mes vaches c’est tellement « authentique », et mes poireaux sont tellement « naturels ». Té, j’en ai un autre bien naturel ! Je pensais en reluquant la Catherine, c’est le nom de la daronne. Gironde à souhait avec un cul plus beau que ma Rosalie, ma plus belle génisse. Et la Camille, le rejetonne 20-22 berges deux obus qui vous menacent sous des vêtements toujours trop courts. J’aimerais bien savoir où ils les vendent ces soutifs, ça améliorerait ma Rose, la patronne, ma femme. Elle, la Camille, c’est mes œufs qui la font pâmer. Pas ceux qui pendouillent dans mes braies, malheureusement, ceux de mes poules qui « vivent à l’air libre », je vais pas y faire des poules sous cloches !Pour finir de vous peinturer la famille, il y a le Robert, le daron, qui se pique de jardinage et de bricolage, mais qui finit toujours par m’appeler au secours. Et puis il y le Jean, boutonneux de dix-huit ans, que la campagne fait chier. Il peut toujours caguer sur mon fumier.La Catherine, elle me trouve tellement « typique », un « bel homme », je fais « pas mon âge » il paraît. Ma Rose, ça la flattait au début et puis elle s’est mise à imaginer que ça voulait dire qu’à côté de moi elle faisait usée, tallée comme les vieilles pommes. C’est peut-être ça ?La Camille quand elle vient à la ferme avec ses frusques de la ville, elle se met sur la pointe des pieds pour pas crotter ses escarpins. Ça lui fait des jambes de chevrettes et ça remonte ses petites jupes trop courtes. Un jour elle a trébuché et j’ai vu sa petite culotte, à peine un fil dans la raie du cul. Putain de petit cul, ça m’a chatouillé les roubignoles. Nous, la Rose, on a pas d’enfants. Ce jour-là ma Rose elle a aidé la Camille à enlever les taches de sa jupe. Elle frottait avec son chiffon. L’autre main sous la jupe. Elle a jeté son petit coup d’œil. J’ai bien vu que ça la troublait la Rose, la culotte à ficelle. Sous la jupe la pogne de ma Rose s’est attardée un peu, un peu loin, la Camille avait les joues toutes rouges.Un soir, la Catherine est venue nous offrir une bouteille de scotch, un « pur malt » qu’elle a dit, le Robert nous l’avait rapportée d’Écosse. Pendant qu’elle causait avec ma Rose, j’ai été cueillir des fleurs pour la remercier. Elle avait l’air contente. Elle a approché les fleurs pour les sentir. Mais je n’avais pas enlevé ma main et mes doigts se sont retrouvés contre son sein. J’ai senti un petit téton tout dur. Pour le coup, c’est moi qui ai rougi.Le coup du téton, ça m’a chauffé le sang. Quand la Catherine est venue chercher du lait avec son petit bidon je l’ai emmenée à l’étable. Il y avait une petite bouse par terre, j’ai vu le moment où elle allait y plonger le pied. J’ai tendu la main pour lui attraper le bras et la sauver de ce caca. Mes doigts sont tombés à moitié sur son sein. C’était peut-être pas tout à fait involontaire. J’ai pas retiré mes doigts. Elle a pas enlevé son sein. On bougeait plus. Elle souriait. J’ai caressé un peu. Elle a une belle mamelle, chaude. On a rien dit et puis je lui ai servi son lait. En sortant de l’étable j’a mis la main sur sa fesse. Elle s’est arrêtée et ma laissé lui caresser un peu la croupe. Puis elle a tourné vers moi son visage tout rouge et elle a murmuré comme à confesse « bonsoir Séraphin ». J’avais jamais entendu mon nom dit comme ça.Le Robert a eu besoin de moi pour l’aider avec l’électricité. On bricolait en bas de l’escalier. En haut, la Catherine est apparue. J’ai levé la tête. J’ai regardé ses jambes. Elle s’en est rendu compte. Elle s’est avancée un peu. Elle a écarté les jambes et elle est restée là quelques minutes à me montrer sa culotte. Puis elle est partie, puis elle est revenue, elle avait plus de culotte. J’avais pas bandé comme ça depuis longtemps.Quand je suis rentré à la ferme j’avais encore la viande toute raide. La Camille était là , encore. Elle parlait couture avec Rose qui lui disait qu’elle avait un beau chemisier. Elle caressait le tissu, un peu aussi les beaux seins de la gamine je crois. Elles ne m’avaient pas vu. La Rose a dit : — J’ai une jolie robe qui t’irait bien. Je l’ai faite quand j’avais ton âge. Je ne l’ai mise qu’une fois. Tu veux l’essayer ?Elles sont parties dans la chambre. Rose a apporté la robe et Camille s’est déshabillée. Vrai, elle a un beau cul, la grenouille. Avant de donner la robe, Rose a caressé Camille. Les épaules, les seins, le ventre. La petite se laissait faire. Quand Rose a glissé sa main dans sa culotte, elle a fermé les yeux. De ma cachette, j’entendais le bruit des doigts de Rose qui s’agitaient dans le petit sexe trempé. Ça faisait le même bruit que quand la Rose elle bat la crème. La gamine a joui puis Rose lui a passé la robe. La petite était heureuse. Elle s’est regardée longtemps dans la glace. Puis elle a pris Rose dans ses bras en disant merci. Je sais pas si c’était pour la robe.Quelques jours plus tard Catherine est venue chercher des salades. Elle m’a accompagné dans la grange. J’avais les mains occupées à porter un cageot. Elle m’a empoigné l’entrejambe et a exploré ma virilité. Les boutons du bénard ne demandaient qu’à sauter. Sa main est entrée. Elle m’a branlé. J’ai joui dans ses doigts. Elle avait l’air heureuse en sortant sa main tout engluée de ma semence. Elle a attrapé les salades après s’être lavé les doigts à grands coups de langue. En partant elle s’est arrêtée devant moi pour que je lui caresse encore la croupe. Le laboureur qui lui a fait la raie du cul a fait du beau boulot, un sillon bien droit, bien profond.C’était un bel été.Un jour la famille a reçu des amis. J’ai retrouvé le Jean dans la grange la tête enfouie entre les cuisses de la fille des amis. Je les ai regardés un peu puis je suis retourné à la maison où j’ai retrouvé ma Rose dans la même position avec la Camille. Je suis allé à la chaumière. Robert et son ami causaient politique sur la terrasse Catherine m’a fait entrer pour me présenter son amie, puis elles m’ont entraîné au grenier pour me demander mon avis sur un aménagement à faire. En chemin la Catherine n’arrêtait pas de poser ses mains sur moi. J’étais un peu gêné. Une fois dans le grenier elle a ouvert ma braguette et y a fait entrer la main de son amie en lui disant :— Tu vois je n’ai pas menti.L’amie palpait le matériel en se pourléchant les lèvres avec la langue. Catherine lui caressait les seins. Les deux femmes se sont agenouillées, ont sorti mon dard et l’ont sucé tour à tour jusqu’à ce que ma semence se répande dans la bouche de l’une d’elles. Pendant que je remettais mon pantalon en état, les deux échangèrent ma semence dans un long baiser. En repartant à la ferme, il m’a bien semblé voir le Robert palper l’entrejambe de son ami.En chemin j’ai croisé la Camille qui rentrait pimpante et joyeuse. J’ai jeté un coup d’œil dans la grange. Le Jean limait avec ardeur la gamine à quatre pattes.Vers la fin des vacances, il pleuvait fort. Catherine est venue chercher du lait avec son petit pot. Elle avait un grand pull et une jupe. J’ai pris le pot, je suis allé le remplir, mais je ne l’ai pas donné à Catherine. Je l’ai posé et j’ai enlevé le pull et la jupe de Catherine. J’ai embrassé ses seins en glissant mes mains dans sa culotte sur ses fesses. Elle a murmuré « oh oui » et elle m’a déshabillé. Elle s’est offerte à moi. Nous avons fait l’amour longtemps dans la paille sur la vieille couverture. Elle m’a mis dans des positions je saurais pas refaire. Elle a pas arrêté de murmurer des cochonneries :— Baise-moi, mets-la-moi, je veux ton foutre, chatouille-moi la rondelle, pénètre-moi, lèche-moi, j’aime te sucer les couilles…La Rose, elle m’a jamais dit tout ça.L’été était fini.Pendant l’année, parfois Robert vient à la chaumière dans la journée avec d’autres femmes que Catherine. Parfois avec des jeunes hommes. Dans tous les cas, ils sortent pas beaucoup de la chaumière, ils bricolent pas, ils font pas de jardinage.Parfois Catherine vient seule, là elle me fait toujours venir pour bricoler, mais il s’agit surtout de la bricoler elle. Parfois Catherine vient avec son amie, c’est double bricolage acrobatique. Quand je les lutine, il leur arrive de se raconter comment elles se font culbuter par d’autres hommes, moi ça m’excite.Parfois Camille vient seule, elle fait venir Rose pour faire de la couture. Ces jours-là ma Rose sent bon quand elle vient se coucher et on fait l’amour. En fermant les yeux j’ai l’impression de monter la Camille. Parfois je me cache pour les regarder s’enfourner les naseaux dans le cul l’une de l’autre. Moi aussi je me la ferais bien. L’été prochain peut-être.Finalement j’y prends goût aux bourgeoises et aux tribades.Pendant le printemps, sont pas beaucoup venus. Tant mieux il y a du boulot à la ferme. Et puis est revenu l’août et la famille. Chacun avait un petit cadeau pour nous, la Camille pour la Rose, la Catherine pour moi et le Robert pour les deux, avec la recommandation de ne pas parler des voyages d’hiver. La Catherine m’a dit pareil en me caressant la fesse et j’ai bien vu la Camille qui murmurait à la Rose en effleurant son sein. Elle devait lui dire la même chose. Le Jean, lui, était pas là . Il filait le parfait amour avec Chloé. La petite qui s’était mise à quatre pattes dans ma grange. Petit cul, nichons pointus.Le Robert, il a eu tout de suite besoin de moi pour bricoler et jardiner. La Catherine nous aidait et dès qu’elle pouvait, elle mettait sa fesse ou son nichon dans ma main. Le Robert voyait rien. À qui il pense ? À ses donzelles ou à ses minets. Je l’imaginais pas bien mon Robert avec ses jeunes garçons. Un jour en regardant Catherine me sucer goulûment le manche, je me suis demandé ce que ça ferait si c’était le Robert.Cet été-là , la famille est pas venue seule. Quelques jours après les autres, le Jean est arrivé avec Yvonne, la bonne. Une bonne bretonne, rondouillarde, solide avec les joues roses. Pétard ! Quand je l’ai vue cette petite toute potelée dans sa robe bleue, j’ai bandé direct. J’ai vu aussi l’œil de ma Rose, depuis la Camille on a un peu les mêmes goûts pour le sexe. J’ai bien compris qu’elle mouillait en reluquant cette énorme poitrine qui cherchait à faire péter les boutons de la robe. Le lendemain…— Ben l’auteur, pourquoi tu t’arrêtes ?— Elle me fatigue un peu cette histoire. Séraphin va se faire Yvonne. Elle va s’avérer un super coup dont tout le monde profitera. Elle fera un beau trio avec Camille et Rose. Séraphin et Robert se la feront ensemble et à cette occasion Séraphin découvrira ce que ça fait de se faire sucer par Robert. Et comme un leitmotiv, Séraphin se tapera Catherine dans tous les lieux et toutes les positions.— Oh oui, c’est bien ça, vas-y continue.— Non, j’ai l’impression de pousser la charrue et de faire un sillon interminable. Tiens, tu vois, me voilà englué dans la métaphore agricole j’ai envie de varier les registres.— Oui, mais je l’aime bien ce Séraphin avec son air paysan, il est plus subtil qu’il n’y paraît, il arrive à prendre son pied.— Tu trouves ? Il se fait promener par le bout de la queue !— C’est un homme !— Et cette pauvre famille de bourges frustrés, elle est tout de même caricaturale. Je n’ai pas su leur donner de consistance. Ils sont creux.— Oui, mais ils se font bien remplir les creux !— Ah c’est sûr, pour toi lecteur, faut que ça baise, ça suffit. Mais c’est toujours la même histoire. Lecteur, la seule différence qu’il peut y avoir, c’est le style, les métaphores, les variations de registre, le choix du vocabulaire. Les images, les couleurs, les sons, les odeurs, les goûts.— Ben oui, la baise c’est mieux quand c’est bien écrit.— Tu me désespères.— Allez, tout ça finira en partouze gigantesque ou Séraphin enculera Camille et Catherine, pendant que Jean se fera Yvonne et Rose avec Robert. À la fin de l’histoire, un nouveau personnage apparaîtra, la boulangère et ses belles miches pour te laisser espérer en un nouvel épisode.— Maintenant j’ai du boulot.