Lorsque Jack vint nous réveiller, ni Alex ni moi n’avions fermé l’œil de la nuit. Sans même nous dire bonjour ou s’être inquiétée de la nuit passée, Madame nous dit :— J’ai bien aimé le petit spectacle que vous nous avez offert tous les deux hier. Refaites-moi le donc en faisant durer le plaisir.Nous dûmes refaire un soixante-neuf, à même le sol, sous les yeux pétillants de Madame. Pendant que nous étions en pleine action, elle s’approcha de nous et nous caressa gentiment avec sa cravache.— Je ne vois guère ta langue s’activer, caresse-le bien partout, et mets-y un peu plus de cœur, m’intima-t-elle.Je dus donc caresser le sexe d’Alex avec plus d’attention pour ne pas être puni. Elle resta à côté de moi à me regarder, tout en me caressant le dos et les fesses, comme on flatte la croupe d’un jeune chien. Un peu plus tard, elle appela Jack en annonçant qu’il fallait agrémenter un peu notre plaisir. Jack nous tendit à chacun un vibromasseur de diamètre aussi gros que l’olisbos que nous avions dans les reins, et il nous retira les plugs sans ménagement. Après l’avoir rapidement lubrifié dans ma bouche, je l’introduisis dans Alex et commençai les va-et-vient. Alex fit de même avec le sien. Après un court moment, la douleur fit place à une légère sensation de satisfaction. J’avais honte de prendre plaisir à être ainsi pénétré et humilié.— Essayez d’être synchros tous les deux, sinon celui qui fera jouir son partenaire avant l’autre devra garder sa liqueur jusqu’à ce qu’il se libère également. Vous attendrez que je vous autorise à vous délecter.Évidemment Alex se lâcha rapidement, il dut faire preuve de beaucoup de patience avant que je ne me délivre. Le fait d’avoir toute sa semence dans ma bouche m’avait refroidi immédiatement. Cela n’arriva que plusieurs longues minutes plus tard. Madame Clémence exigea de voir le contenu de nos bouches avant de nous autoriser à tout ingurgiter, et de proclamer :— Vous êtes trop excitants tous les deux, venez donc ici me donner un peu de bonheur !Nous allâmes la retrouver vers son fauteuil, à quatre pattes comme elle l’aimait. Notre show l’avait vraiment excitée, car elle fut rapide à apprécier son plaisir.— Il est temps maintenant d’essayer votre dernier plug, celui-là vous le garderez en souvenir de ce merveilleux week-end.Jack nous montra les objets, ils avaient vraiment une taille hors norme, jamais ils ne pourraient entrer à la place des autres.— Je sais qu’ils sont peut-être un peu gros, mais montrez-vous forts, comme vous l’avez été jusqu’à maintenant.Jack entreprit Alex en premier et fit pénétrer petit à petit ce dernier modèle. Alex serra les dents et n’émit aucun son, il avait vraiment du courage. Lorsque ce fut mon tour, Jack procéda de la même manière. J’eus l’impression que l’on m’enfonçait une bouteille entre les fesses et, comme mon compagnon, je me retins pour que Madame soit fière de moi. Une fois debout, j’étais vraiment mal à l’aise, et j’avais du mal à marcher. À peine l’opération faite, Madame nous invita à reprendre nos activités ménagères de la veille, avant son retour. Ce fut à tous les meubles de recevoir leur ration de cire. Madame Clémence revint nous voir peut-être deux heures plus tard.— Raoul, tu vas recevoir les marques de ton passage chez moi, Jack a tout préparé. Allonge-toi sur le ventre sur la table.Ne sachant pas comment elle allait me poser ces marques, je n’étais guère confiant. Jack me lia fermement les membres aux quatre pieds de la table. Il m’enduisit ensuite une fesse d’une pommade assez froide. Madame s’approcha de moi avec un fer chauffé à blanc, sur lequel je pus apercevoir un M et un C à l’envers. Voyant mon inquiétude, elle me rassura :— Je t’avais promis que tu recevrais mes initiales en souvenir de mes conseils. Comme tu as été bien obéissant, tu n’auras aucune douleur. Jack t’a appliqué une crème anesthésiante, et ensuite tu auras un baume calmant. Je te garantis que tu ne sentiras rien.Elle appliqua alors son tison pendant quelques secondes. Hormis l’odeur, il est vrai que je ne ressentis rien. Jack passa immédiatement et à plusieurs reprises le baume promis.— Cet après-midi, vos amies viendront vous chercher, je vais vous expliquer le petit spectacle auquel j’ai pensé.Après nous avoir décrit brièvement le scénario, elle nous proposa de passer à table. Comme la veille nous dûmes rester debout, et en plus nous devions nous nourrir mutuellement, ce qui ne s’avéra pas être trop simple. À la fin du repas, nous dûmes lécher tout ce que nous avions renversé sur notre partenaire. Nos belles arrivèrent un peu plus tard, Madame les accueillit hors de notre présence.— Soyez les bienvenues. Vous m’avez confié vos amis pour le week-end, afin qu’ils soient plus doux avec vous. Ils ont bien travaillé, vous pourrez être fières d’eux.Sur un de ses claquements de doigts, nous sommes apparus, et sommes allés nous placer chacun en face de la partenaire de notre compagnon. Nous étions nus bien évidemment, dans la position habituelle, jambes écartées et mains croisées derrière la tête. Ma douce parut surprise de ne plus voir aucun poil sur mes parties intimes, et d’après son sourire je vis que cela lui faisait plaisir. Voyant ses traits, Madame expliqua :— C’est beaucoup plus hygiénique et très agréable au toucher. Maintenant, ils vont vous montrer les cadeaux que je leur ai offerts.Nouvelle position, à quatre pattes, les cuisses naturellement ouvertes, la poitrine le plus prés possible du sol, et les fesses relevées dans leur direction. Là, je ne pus voir la réaction de ma douce, mais je me doutai qu’elle devait être encore plus étonnée. Madame Clémence s’approcha de nous, et nous palpa doucement le sexe, en quelques secondes nous fûmes au garde à vous.— Ne sont-ils pas mignons ainsi ? À présent, ce sont eux qui vont vous offrir quelque chose.Le clou du spectacle arriva, nous allâmes nous placer à genoux devant nos voisines d’en face, c’est-à-dire Alex devant ma douce et moi face à sa chérie. Je lui écartai doucement les jambes et lui retirai son string. Alex eut un peu plus de travail, ma douce n’était pas en jupe, mais avait mis un pantalon assez moulant. Je plongeai directement ma tête entre les cuisses de la chérie de mon compagnon, sans plus m’occuper d’Alex. Ma partenaire appréciait mes caresses et, sans aucune retenue, prit mes mains qu’elle plaça sur ses seins qu’elle avait dénudés. Puis, elle guida mon visage pour m’adapter au rythme qu’elle souhaitait.Elle voulait profiter le plus longtemps possible de son plaisir, et m’écartait régulièrement de son ventre quand elle sentait qu’elle n’allait plus pouvoir se retenir. J’eus le temps de jeter un œil sur ma douce, celle-ci était rouge comme une pivoine. Elle était entièrement nue, Madame Clémence lui avait retiré son chemisier et lui caressait délicieusement les seins. Je l’entendis quelques minutes plus tard râler de jouissance. Comme par osmose, ma partenaire fit de même une ou deux secondes plus tard.Notre calvaire allait bientôt toucher à sa fin et nous allions enfin pouvoir rentrer à la maison, lorsque Madame Clémence intervint.— Messieurs, montrez-nous donc une nouvelle fois les jolis présents que je vous ai procurés. Et vous, mesdames, restez telles que vous êtes.Bien que surpris par la demande qui n’était pas prévue aux festivités, nous allâmes reprendre la position. Nos amies étaient, quant à elles, nues ou quasiment, face à nous. Madame appela Jack et le présenta à nos compagnes. Lui aussi était intégralement nu, l’amie d’Alex eut un sourire d’envie en voyant sa virilité.— Mesdames, je vous présente Jack, mon fidèle serviteur qui m’a aidé pour la formation de vos amants.Ce dernier en voyant la tenue des deux visiteuses, commença à se dresser et à prendre du volume. En quelques secondes, il était tout droit et avait doublé de taille, il présentait maintenant une magnifique érection.— Vos amis vont maintenant remercier Jack pour son aide pendant leur petit séjour.Il se tourna vers nous et retira les plugs qui étaient toujours fichés entre nos reins. Puis, il nous poussa de chaque côté des hanches pour nous rapprocher, jusqu’à ce que nous nous touchions. À ce moment, il commença à me pénétrer avec douceur. Malgré sa taille, je n’eus pas spécialement mal, et je dois reconnaître que c’était plus agréable que le contact froid du métal du plug. Après plusieurs allers et retours, il me délaissa pour s’enfourner dans mon condisciple, avec lequel il pratiqua les mêmes gestes. Il revint ensuite vers moi et ainsi de suite pendant plusieurs longues minutes. Nous nous demandions s’il allait bientôt se libérer.C’est alors que Madame Clémence l’arrêta et nous demanda de faire face à nos compagnes. Jack reprit alors son petit manège mais dans nos bouches cette fois. Quelques minutes plus tard, sur un signe discret de Madame, il se libéra à long trait en faisant attention de bien partager sa semence entre nous. Lorsqu’il eut terminé, Madame nous autorisa à avaler cette liqueur. Ma douce était toute rouge de confusion et n’osait pas me regarder.— Messieurs, vous pouvez aller vous rhabiller. Mesdames, ils sont à vous. J’espère que cette petite formation vous comblera d’aise, vous saurez maintenant comment vous y prendre avec eux. S’ils oublient mes conseils, n’hésitez pas à me les renvoyer pour un week-end, ou même plus longtemps si le besoin s’en fait sentir.Le chemin du retour fut particulièrement sombre, ma douce n’osait dire un mot, et moi j’étais gêné qu’elle m’ait vu dans ces situations. La nuit fut tout aussi pénible, aucun de nous deux n’osant lancer la conversation. Comme je ne travaillais pas le lendemain, j’abordai la question.— J’espère que tu es satisfaite de ce que tu as vu, et que mon séjour comblera tes espérances.Elle se jeta alors dans mes bras en pleurant et en affirmant que ce n’était pas ce à quoi elle s’était attendue. Elle me demanda alors si je pourrais lui pardonner un jour. Saisissant la balle au bond, et prenant ma voix la plus autoritaire, je lui annonçai :— Eh bien maintenant, je vais mettre en pratique tous les conseils que Madame Clémence m’a gentiment prodigués. Tu vas commencer par te mettre nue, et me sucer comme jamais tu ne l’as fait.Elle s’exécuta dans la seconde, et me fit la plus belle gâterie de ma vie. Maintenant que j’avais pris le mors aux dents, plus question que je me laisse faire comme ce week-end. C’est ainsi qu’en moins d’une semaine, ma douce est devenue ma meilleure soubrette. Mais la réparation n’aurait pas été complète, si Carole n’avait pas également bénéficié de mes bontés.L’occasion se présenta le samedi suivant où ma douce, sur mes conseils avisés, l’invita à venir à la maison. Ma douce l’avait vue régulièrement pendant la semaine, et lui avait conté ma mésaventure. Carole était tout aussi gênée, et n’osait plus apparaître devant moi. Soumise et complice dans mes desseins, ma chérie lui avait fait comprendre que si elle était gentille avec moi, je lui pardonnerais.Elle arriva donc le samedi matin, bien pénétrée de l’idée de me faire plaisir. Je l’abordai comme je l’avais fait avec ma douce, et Carole, qui n’était pas spécialement pudique, joua le jeu. Je leur fis subir tout ce que Madame Clémence m’avait fait endurer. Petit à petit, Carole se piqua au jeu et je découvris qu’elle aspirait, sans le savoir, à cette vie de soumise. Elle est restée tout le week-end, puis est revenue tous les soirs passer la nuit à la maison. Elle doit maintenant libérer son appartement et emménager définitivement ici.J’ai à présent deux femmes à la maison qui me sont totalement soumises et obéissantes, et auxquelles je peux tout demander. Je suis devenu ou redevenu le véritable maître à bord.Merci Madame Clémence !