La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 7
Je ne suis pas au bout de mes surprise avec ma belle Eléa… Désormais complices dans la lingerie et ses fantasmes, elle m’en demande plus. Me voilà à nouveau poussé par cette jeune demoiselle à pratiquer des choses encore jamais imaginées.
Proposée le 28/08/2019 par albanphoto Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: FétichismePersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Cette mise en bouche, pour toute excitante qu’elle fut m’inquiéta sur mon sort.
Par quel mystère pouvais-je tirer du plaisir de la souffrance de celle que j’aimais le plus au monde ? Je me trouvais plongé au cœur d’une complexité encore jamais connue. La douche accompagnée d’une masturbation énergique libéra totalement mes instincts mâles et, les 30 minutes passées, je me présentai devant sa porte en t-shirt et boxer.Je tapai.
Immédiatement, la porte, comme automatique, s’ouvrit sur elle. Elle était absolument craquante. Toujours la tête baissée, les mains dans le dos, elle n’était vêtue que d’un petit slip blanc en coton dont le tour des hanches et les tours de cuisses étaient agrémentés d’une fine dentelle et d’un petit haut de même facture.
Pour toute innocente qu’elle parue, ses petits seins pointant sous le coton, je décidai immédiatement de la punir pour le choix de cette lingerie juvénile.Je la poussai avec force vers le milieu de la chambre et refermai derrière moi.
Toujours la tête baissée et les bras dans le dos, je décidai de la conduire face à la fenêtre qui avait été ma complice il y a peu.
De là, je m’approchai d’elle et commençai à embrasser sa nuque seulement, sans oublier de la mordre mais avec délicatesse.Cette simple action eut pour effet d’augmenter le rythme de sa respiration alors, comme la veille, ma main fit le tour de son torse et vint d’abord caresser un de ses tétons déjà dressé. Mes doigts continuant cette pratique, Eléa rabaissa sa garde et se laissa aller à un début de plaisir.
C’est le moment que je choisis pour lui tordre le téton sans merci. Elle poussa un cri bien compréhensible et je fus le premier étonné à sentir mon érection redoubler en entendant cela.
– Je t’avais bien dit de refuser… lui glissai-je à l’oreille.
Je sentis une panique la saisir. Sans doute se demandait-elle vraiment si elle tiendrait le coup ? je repris ma caresse plus douce en lui demandant.
– N’ai-je pas fait de toi une femme hier soir ?
– Si mon chéri.
– Alors peux-tu me dire pourquoi tu portes de la lingerie d’ado aujourd’hui ?
Elle hésita un peu
– J’écoute ?!
– Je pensais… je pensais que cela t’exciterai…
– Mhhh, belle intention ma chérie, belle intention… Toutefois, cela ne va pas me suffire. Écarte tes jambes !Elle s’exécuta, docilement tandis que je venais appuyer mon boxer tendu contre ses fesses encore emballées.
– Tu sens ce que j’ai pour toi ?
– Oh ouiiii, je sens, j’en ai envie…
– Qu’est-ce qui me le prouve ?
Elle prit ma main et la guida vers son entrejambe. La frottant à son petit slip, je pus apprécier le sexe offert et gonflé et l’humidité se préparant à le traverser.
– Tu crois que ce sont des manières de jeune fille que de faire de telles choses ?
Elle comprit le piège et baissa à nouveau la tête.
– Non, tu as raison, je n’aurai pas du.
– Alors tu mérites une punition, c’est ça ?
Elle soupira de peur et d’envie
– Oui…
– Très bien. Retire cette culotte.
Elle s’exécuta.
– Pose-la sur le radiateur devant toi.
Ses mains tremblantes posèrent le petit slip déjà marqué par le jus de son sexe.
– Et maintenant, tends ton cul pour recevoir une fessée !
Elle hésita un quart de seconde puis tendit ses merveilleuses fesses. Elle était si cambrée, que je pouvais deviner, en dessous, le début de sa vulve encadré par ses grandes lèvres déjà luisantes d’envie. Sans la prévenir, une première claque résonna sur sa fesse. Elle fit un bond en avant mais, craintive, reprit immédiatement sa place de soumise. J’en profitai pour lui en asséner une seconde encore plus forte. Elle mit cette fois plus longtemps à reprendre sa place mais y revint tout de même.
Cette première salve m’indiqua combien elle était prête à supporter mes outrages et je fus soudainement totalement libéré de mes craintes d’abuser de sa proposition.La claquant à nouveau, je lui demandai
– Tu sais pourquoi je claque ton joli cul ?
– Ouiii… aïe !
– Alors dis-le et ne me fais pas attendre
– Aïe ! Parce que je n’ai pas mis la bonne culotte pour te faire plaisir…
– Non ! Ce n’est pas ça ! Une nouvelle fessée…
– Aïe ! Parce que je porte une culotte d’ado alors que je suis une femme grâce à toi…
– C’est presque ça… mais quel genre de femme es-tu ?
– Une jeune femme ?
Je redoublais de force et son cul portait désormais plusieurs marques de ma main…
– Non, ce n’est pas ça encore. Quel genre de femme retire sa culotte mouillée devant un homme qui lui claque le cul ?
– Une… une…
Claque !
– Aïe !!!!!
– Une quoi
Comme à bout de résistance, sa tête bascula vers l’avant et un libéra une parole incontrôlée.
– Une salope ! Une grosse salope qui aimes se faire fesser son cul. Une salope qui aimes la bite de son homme et qui veut l’avaler et la prendre dans ses trous Aaaahh Aaaaahhhh !!!!Je compris à cet instant combien les mots vulgaires pouvaient l’exciter et ce flot d’insanités dans la bouche de cette jeune fille de bonne famille fut une nouvelle surprise pour moi. Il me revint à l’esprit les mots qu’elle prononçait lors de mes séances d’espionnage et que je n’arrivais à entendre. Sans doute s’insultait-elle afin de faire monter son plaisir…Alors qu’elle continuait à délirer, je ramassai la culotte sur le radiateur et lui enfonçai dans la bouche. Elle se mit à pleurer.
– Voilà comment on traite les petites salopes chez moi. Est-ce que c’est bien ce que tu mérites ?Sans pouvoir répondre, elle hocha la tête en essuyant une larme. Certain désormais d’être en train de lui donner ce qu’elle attendait, je la saisis par les cheveux.
– Et maintenant, tu vas manger ma bite et le faire avec cette culotte de gamine dans la bouche. Hier j’ai goûté ton jus dans ta culotte, aujourd’hui, c’est toi qui va boire ma semence à travers ton slip. Et je la précipitai à mes genoux.Sans plus aucune résistance elle arrangeai sa culotte de gamine pour en faire une alcôve épousant les contours de sa bouche et y attirai ma queue après l’avoir fait passer par-dessus mon boxer. Ce fut alors une fellation hors norme dont la douceur venait autant de sa langue agile que du coton de sa petite culotte souillée.Après quelques va et vient, mon sexe gonflé d’envie se mit à tressauter et, se souvenant de ses exploits de la veille, elle se mit à aspirer mon gland avec une avidité animale. Lui saisissant la tête, je la pénétrais du plus que je pouvais, emplissant sa gorge de tout mon sexe.
– Allez, suce-moi bien petite dévergondée. C’est toute ce que tu mérites petite chienne mal élevée. Je vais te remplir la bouche de mon sperme chaud et tu vas tout avaler car tu adores ça. Tu n’es qu’une petite suceuse !
Lui tirant la tête en arrière, je la questionnais pour le plaisir de l’entendre à nouveau.
– N’est-ce pas que tu vas me sucer jusqu’à ce que je jute à travers ta culotte ?
– Ouiiiii…
– Et tu vas tout avaler ?
– Ouiiiii….
– Pourquoi ?Pour répondre, elle retira sa lingerie de sa bouche et emballa mon gland avec et se mit à dire très vite.
– Parce que je suis la dernière des salopes et que je veux que tu vides tes couilles bien pleines dans ma bouche. Je veux ton sperme délicieux au fond de la gorge comme hier. Vide-toi dans ma culotte !Sans égards, je repris sa tête et m’enfonçai au moment où le sperme jaillit dans sa bouche emplie de coton.
Se refermant hermétiquement sur ma hampe, sa bouche me pompa avec une avidité extraordinaire, faisant passer le sperme au travers du coton.Me jambes furent ensuite incapables de me soutenir et nous nous retrouvâmes au sol tous les deux, mêlés, épuisées, complices et heureux.
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