La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 8
Demandeuse de soumission, Eléa va subir ma possession. Bien que découvrant cette pratique, je pousse chaque fois plus loin mes outrages envers celle que j’aime le plus. Jusque où tiendra-t-elle ?
Proposée le 2/09/2019 par albanphoto Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: FétichismePersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
C’est à nouveau elle qui m’éveilla.
Ayant repris ces caresses légères, elle parcourait mon dos avec une infinie douceur et me sourit lorsque j’ouvris un œil.
– Je me suis régalée mon chéri
– Moi aussi ma belle soumise
– Je savais que je pouvais te demander cela et je ne regrette pas que nous l’ayons fait.
– Pardon ?
– Je suis heureuse que nous ayons fait cela ensemble….
– Comment ça que nous « ayons ». Tu crois que c’est toi qui décide si c’est fini ou pas ?
Elle comprit son erreur et commença à se raidir…
– Tu sembles penser que j’ai terminé alors
– Je… je ne sais pas
– Comment ça, tu ne sais pas. Tu penses que cela va me suffire
– … sans doute pas..
– Non, en effet, je n’ai pas fini et tu sais pourquoi ?Elle reprit son attitude de dominée.
– Non…
– Parce que ton dressage est loin d’être terminé et que d’autre part, tu ne sortiras pas vierge de cette chambre.
Il lui fallut quelques secondes pour comprendre de quelle virginité je parlais cette fois-ci.
– Non…
– Pardon ma belle ?
– …
– Il est trop tard, tu t’en souviens ?
– Oui mais…
Avant qu’elle ait le temps de développer, d’une main, j’attrapai une poignée de cheveux de sa nuque et immobilisai sa tête en arrière.
– Il n’y a pas de « mais ». Dans cette chambre, ce soir, c’est moi qui commande. Est-ce que c’est bien compris ?
– Oui…
– C’est bien. Tu as donc bien compris qu’avec ou sans ton consentement, je mettrai bientôt ma bite dans ton cul ?
– … oui…
– Parfait. Dis-le alors…
– Tu mettras ta bite dans mon cul…
– Non, mieux que ça, comme tout à l’heure. Ce n’est pas la gamine que je veux entendre mais la putain.
Elle se contorsionna un peu…
– Tout à l’heure, parce que je ne mérite que ça, tu mettras ta grosse bite dans mon petit trou.
– Bien. Et comment est-il ton petit trou ?
Elle recommença à bouger son bassin, excitée par ses propres paroles.
– Il est vierge, serré et tout chaud et lorsque tu vas y enfoncer ton gland, je serrerai mes fesses afin de te masser ta grande bite à chacun de ses passages.
– Parfait…Je la laissai redescendre un peu, me relevai et l’aidai à en faire autant.
Afin de souffler le chaud et le froid, je lui retirai son haut et commençai à l’enlacer en lui portant les plus doux des baisers.
Alors que nous étions debout l’un contre l’autre, je collai mon corps au sien. J’entamais alors une longue séance de baisers chauds et agréables pour nous deux et retrouvais une ardeur nouvelle.
– Mais avant ce sacrifice, nous allons nous amuser un peu. Ou sont rangées tes sous-vêtements ?
– Là. Dit-elle en m’indiquant le tiroir se trouvant sous le PC.
– Puisque tu es une experte, tu vas me faire un petit show. Je veux te voir avec chacune des tes culottes et je te dirai à la fin avec la quel je t’enculerai.
Elle eut cette même expression mêlée de peur et d’envie que je lui avais déjà connue. Se dirigeant vers le tiroir, me conduisant par la main, elle l’ouvrit. Sous mes yeux, s’étalaient des dizaines de slips, culottes string et autres tanga de toute formes, matières et couleurs.
– Mhhhh magnifique collection. Nous sommes partis pour plusieurs heures d’essayage non ?
– Ouiiiiii…
Je lui offrais là une occasion unique de profiter pleinement de son fantasme. Ce n’était là que le moyen de la prépare à la suite qui serait bien plus dure.
– Je t’écoute. Je veux savoir pourquoi tu les as achetées et comment tu les portes ou ce que tu as fait avec.N’en croyant pas ses oreilles, Eléa plongea au cœur de son fantasme et tira une première culotte du tiroir. Une petite culotte toute simple, noire, en coton avec juste un petit liseré blanc autour des cuisses.
– C’est une culotte de tous les jours. Elle me sert surtout quand je vais au sport mais elle est douce.
– Pas d’anecdote particulière ?
– … si…une fois, au gymnase dans les vestiaires, j’ai commencé à me caresser dedans en regardant les culottes que les autres filles avaient laissées avec leurs affaires. Mais mes copines sont arrivées trop tôt et j’ai dû m’arrêter.
– Tu avais eu le temps de la salir un eu ?
Eléa se tordait de plaisir à mes questions et commençait à y répondre avec gourmandise.
– Oui, un peu, quelques traces au fond lorsque je l’ai retirée…
– Parfait. Suivante !
– C’est un string. Je l’adore.
– Pourquoi ? Il a une histoire particulière ?
– Non, il a un effet particulier…
– C’est-à-dire ?
– C’est-à-dire que sa coupe fait qu’il passe son temps à descendre entre mes cuisses et que ce qui serait normalement un inconvénient devient rapidement une douce caresse lorsque je marche…
– Alors un jour, tu le mettras et je te ferai marcher devant moi pour voir ça… Suivante.
– Un slip noir transparent avec du plumetis sur les fesses. Il me rend dingue et il est rare que je le porte sans me regarder dans la glace de dos, juste pour voir mon cul au travers.
En disant cela, elle écartait de deux doigts la ceinture du slip et le faisait tourner afin que j’en vois bien les deux côtés aussi transparents l’un que l’autre.
– Je dois ajouter que le fond est tellement petit que lorsque je l’enfile, on devine le début de mes lèvres.
– Montre-moi…
D’un geste expert, elle enfila le slip et se rapprocha de moi. Je vis en effet qu’une grande partie de sa fente apparaissait juste avant la doublure du fond et en tirai beaucoup d’envie. Posant mon majeur sur le haut de cette fente, je commençai à appuyer la faisant tendre son pubis en avant.
– Tourne !
Elle s’exécuta et tendit même son cul vers moi afin que je puisse y déposer ma main. Caressant ses deux globes brûlants, j’y déposais un baiser puis une claque sonore.
Elle bondit mais, la tirant à nouveau vers moi, je commençai à toucher sa chatte par en dessous, à travers le slip.
Accompagnant mes mouvements, elle commença à ronronner et je mis fin à ce jeu d’une nouvelle claque.
– Suffit petite salope ! Nous n’avons pas fini. Suivante !
La suivant, que je reconnus immédiatement, était celle qu’elle avait porté le premier soir de mon espionnage. C’était en fait la même que la noire mais en blanc. Sans attendre, je lui demandai de la passer, opérai le même traitement que pour la précédente et lui demanda de la mettre de côté.
– Je me verrai parfaitement t’enculer dans cette belle culotte…
Elle ne répondit rien.La séance continua un long et délicieux moment. Parfois, cela ne demandait que quelques secondes mais pour certaines pièces, je prenais le temps de la caresser un peu, voire de commencer à la masturber afin d’observer comment le slip se comportait sur sa vulve. Une culotte haute en satin, en particulier, était ourlée le long des cuisses et glisser ma main par cet entrebâillement pour malaxer sa chatte nous mit dans état d’excitation que j’eus du mal à stopper.De son côté, Eléa me raconta ses nombreuses séances de masturbation avec cette lingerie. Comment elle eut un début d’aventure lesbienne avec une camarde de collège dans telle petite culotte blanche. Comment elle se fit draguer par une vendeuse le jour où elle acheta l’ensemble blanc d’ado qu’elle portait au début de la soirée.
Mais aussi, comment elle ne put retenir quelques gouttes d’urine dans un slip en dentelle vert qu’elle venait tout juste d’acheter.
En pleine rue, son émoi avait été fort, pourtant une fois de plus, de retour chez elle, elle s’était branlée dans sa culotte odorante et en avait tiré honte et plaisir.J’avais saisi mon sexe depuis longtemps et, sans plus aucune gêne entre nous, je me masturbais lentement devant elle qui ne cachait pas son envie de me toucher la bite, ce que je lui refusais.L’inventaire prit fin avec un joli porte-jarretelles qu’elle ne pouvait porter hélas, faute de bas.
Pour cette faut, elle reçut encore une claque sur les fesses.
– A quoi as-tu pensé ?
– C’est que je m’en sers seulement pour… pour m’exciter mais comme personne ne le voit d’habitude…
– Bien…Alors qu’elle pensait en avoir fini, le tiroir étant désormais vide, je me penchai à son oreille.
– Il me semble qu’il en manque un non ?
Elle me questionna du regard…
– Ce shorty dont tu m’as parlé cet aprem’
– Ah oui, c’est vrai. Il est au sale… je vais le chercher.
Alors qu’elle me tournait le dos pour se rendre au cabinet de toilette où se trouvait la panière, je la rattrapai par le bras.
– Une seconde.
– Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda-t-elle, craintive.
– Il me semble que nous avons constaté que tu étais une petite chienne tout à l’heure
– .. oui…
– Alors, que fais-tu debout ?
Je sentis un véritable abattement mais décidai de ne rien changer à mes volontés.
– Tu iras le chercher à quatre patte et le ramènera dans ta gueule. C’est bien compris ?
Elle baissa la tête, poussa un profond soupir et se mit à quatre pattes. Je jubilais. Dans cette position, ses adorables seins pendaient mais surtout, sa vulve gonflée dépassait très clairement de ses fesses et je pris quelques secondes pour observer ce spectacle affolant tout en faisant de lourds commentaires.
– Voilà qui est mieux. Tu sais que lorsque tu es comme ça, ta chatte est parfaitement visible et accessible ? Tu as déjà dû te voir dans cette position non ?
– Non…
– Quel dommage !!! Attends…Prestement, je pris le grand miroir se trouvant contre le mur et le posais juste derrière sa croupe.
– Vas-y, regarde maintenant.
Tournant la tête lentement, elle découvrir son impudeur et la honte fit monter son plaisir. Je vis son bassin commencer à onduler tandis qu’elle observait sa chatte s’entrouvrir légèrement à chaque mouvement. Du bout du pied, je frottais cette chaire bouillante et Eléa laissa tomber sa tête vers le sol en grognant de plaisir.
– Alors, qu’est-ce que ça te fait de te voir ainsi ?
– Ça me rend dingue, j’adore voir ma chatte. Ma belle chatte de catin ! Et j’adore que tu puisses la mater toi aussi.
– Tu adores encore plus te la branler n’est-ce pas ?
– Oui, j’adore fourrer mes doigts dans ma vulve…
– Et ma langue, tu en as pensé quoi ?
Elle poussa un long soupir et se lâcha.
– J’ai adoré ça aussi. Lorsque tu as sucé mon clitoris tout neuf et que tu m’as fait m’ouvrir avant de planter ta grosse bite chaude au fond de mon vagin vierge. Tu as cogné contre mon utérus, j’étais comme une folle, comme une folle, comme maintenant. Je veux ta bite ! Enfonce-la-moi tout au fond, je t’en supplie !!!
– Demande-le encore !
– Je veux ta grosse bite chaude entre mes cuisses, je veux que tu me défonce ma chatte de grosse salope. Depuis des années que je me branle j’ai bien mérité une bite maintenant. Je veux te masser les couilles pendant que tu me défonces et sentir ton foutre m’inonder la chatte comme hier !Elle était comme folle et afin de la calmer, je lui claquai les fesses deux ou trois fois. Elle tomba sur le sol, frottant son pubis et ses seins écrasés sur le parquet en sanglotant.
Me penchant sur elle, je lui offrais quelques baiser sur le dos et les fesses et lui rappelai la mission attendue.Alors, obéissante et épuisée, elle se rendit jusqu’à la panière, l’ouvrit du bout des dents et en extirpa le fameux shorty.
– Je veux voir le fond pour savoir si tu as joui quand je t’ai raconté ma douche…Avec difficulté et avec ses seules dents, elle retourna le shorty plusieurs fois jusqu’à ce que le fond fut apparent sur le carrelage. Il était en effet bien souillé et témoignait de son excitation passée.- Joli ! Dis-je ne regardant le résultat au fond du slip. Tu as droit à ta récompense.
Me plaçant à genoux derrière elle, j’enfonçai ma bite en une seule poussé vigoureuse qui la fit hurler de plaisir. Sa chatte trempée n’opposait aucune résistance et de temps à autre, ma main s’abattait sur ses fesses pour les claquer.
A nouveau son étroit et jeune vagin commença à malaxer ma bite. N’attachant plus aucune importance à ce qu’elle pouvait penser de moi, je la secouais à grands coups de rein, cherchant à atteindre le fond de con. En quelques vas et vient et malgré l’étroitesse de son conduit, ma verge vint cogner le col de son utérus et elle commença à nouveau à délirer.
– Oh putain oui, défonce-moi, défonce moi la moule mon salaud. Tu vas me faire jouir avec ta grosse bite toute gonflée. Remplis-moi le ventre avec ton barreau, je ne mérite que ça. Me faire baiser comme une chienne. Une chienne qui a sali sa culotte pour toi. J’ai la chatte en feu ! Déchire-moi comme hier ! Mets-moi la chatte en sang !Emporté par ses paroles, je me lançai aussi
– Elle te plait ma grosse queue hein ma belle putain ?
– Oui, oui ouiiiii, mets-la-moi au fond, claque moi le cul, mon cul de petite salope. Regarde comme je suis trempée à cause de ta bite !
– Tiens, tiens grosse cochonne, prends-ça, prends-ça ! Je vais te tapisser la chatte de mon sperme !
– Oh oui mon amour !!!! Défonce-moiiiiii !!!!!!!! Eclate-moi la fente comme un salaud !!!!!!Incapable de tenir plus, elle laissa tomber son visage dans son shorty et partit dans un orgasme qui faillit m’éjecter de son antre. La laissant vibrer de longues secondes, je retournais ensuite de ma brune sur le dos et, plaçant le shorty sur son ventre, je jutais dessus à grandes giclées.D’une main folle, elle se saisit du slip poisseux de sperme et l’enfonça pour partie dans sa chatte dilatée ce qui lui provoqua un nouvel orgasme.Une nouvelle pause se fit et nous restâmes amoureux et mêlés, remontant sur le lit lorsque le sol nous parut trop froid.
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