Entre elle et moi c’est une histoire ancienne, je la partage aujourd’hui avec vous pour la dissiper de mes pensées.Durant mes vacances d’été je travaillais pour mon père, j’effectuais des travaux de maintenance sur ses immeubles locatifs. Cet été là , un de mes jobs consistait à repeindre l’extérieur de la maison ou habitait Serge et Monique. Ce couple avait emménagé dans cette maison de campagne suite à la promotion et au transfert de Serge en tant que gérant de banque dans cette localité de campagne. Quelques semaines avant le début des travaux je me suis rendue accompagné de mon père rencontrer ces nouveaux locataires enfin d’établir le moment propice pour le début travaux.J’eus le souffle coupé quand dans une démarche de mannequin, le visage partiellement voilé par une chevelure ample, longue, et soyeuse elle fit son entré dans la pièce ou nous nous trouvions.Je croyais rêver !À peine à un mètre de nous, de sa main elle écarte cette soyeuse chevelure blonde dévoilant ainsi un visage aux traits doux, soigneusement maquillé, et d’une grande beauté. Dans l’encadrement de ses cheveux une poitrine bronzée et bien ronde que le décolleté de sa robe laisse entrevoir, ses formes gorgées, ses courbes parfaites lui donnent une silhouette épanouie et radieuse.Mettant en valeur ce corps si bien proportionné, elle était tout simplement merveilleuse et désirable. Au contact de sa main lors de notre présentation, une douce chaleur monte en moi parcourant doucement tout mon corps. Ma main aurait aimé s’attarder à la toucher d’avantage.Après les présentations d’usage, nous avons placoté un peu, et examiné les travaux à exécuter.Durant notre bavardage elle mentionna qu’elle aimait bien la campagne mais qu’elle se sentait seule dans cette maison loin de tout, Serge apprivoisant son nouvel emploi devait travailler de longues heures. Cette remarque m’avait accroché.Nul besoin de vous dire que depuis le jour ou mes yeux se sont posé sur elle, elle occupait mes pensées et mes fantasmes. Que voulez-vous à dix huit ans tous les fantasmes sont permis ? Qui n’a pas fantasmé d’une femme d’expérience dans sa jeunesse !Première semaine de juillet, je me rends chez Serge et Monique pour le début des travaux. Début de la matinée, l’air est frais, limpide, le ciel est bleu immaculé, je respire à pleins poumons l’air pur de la campagne, le stress de l’année scolaire derrière moi Walkman en tête j’écoute la musique, cependant une pensée expectative est toujours bien encrée dans ma tête : celle de la revoir’.Comble de bonheur quand je l’aperçus, d’une démarche libre et sensuelle, pieds nus dans le gazon elle avançait en direction de sa chaise longue. Ses cheveux maintenus par un chignon, ses yeux sont dissimulé par de sombres lunettes de soleil, elle est vêtue d’un deux pièces de couleur jaune, contrastant superbement avec sa peau bronzée.Un mince morceau de tissu avait de la peine à contenir sa poitrine et parvenait difficilement à cacher ses mamelons pointant au travers, à son bas ventre, le petit triangle de son maillot lui, est soutenu par de fines ficelles, laissant voir ses formes dans toutes leurs splendeurs.Depuis son arrivé je scrute son corps des pieds à la tête. Allongé sur sa chaise, le soleil lui en avait fait sienne, et touchait chaque partie de son corps exposer.Le voilier de mon désir vogue aux mouvements de son corps, il aimerait bien pouvoir accoster dans son île et se laissé caresser aux rythmes de ses vagues. Au terme d’une exposition grisante au soleil d’environ une heure, elle se lève, et se dirige vers moi.— Prendrais-tu un verre de limonade glacé ?— Volontiers, avec une chaleur comme celle là , ça me fera le plus grand bien.’— Suis-moi.’Sans hésitation et avec beaucoup d’excitation je descends de l’échafaud pour la suivre. La légère couche d’huile à bronzage qui couvre sa peau, accentue toutes ses formes, et met en valeur son corps si bien proportionné. Sa jolie chute de rein, et son déhanchement m’envoûte, les mouvements de son corps sont d’une fraîcheur exquise.Rendu à la cuisine elle retire la limonade du réfrigérateur, y ajoute quelques glaces, et nous coule deux verres. Elle porte son verre à ses lèvres bien fardées tandis que ses yeux d’émeraude ne me quitte pas du regard. Après s’être abreuvé de cette délicieuse limonade elle dépose son verre sur le comptoir, à ses lèvres fraîchement humectées elle porte un sourire enivrant et très explicite.D’un mouvement de va-et- vient, un glaçon à la main, elle glisse celui-ci sur la partie exhibé de ses seins, au contact de cette glace et à la chaleur de son corps, elle dévoile d’avantage ses charmes, à ses seins culmine ses jolis mamelons bien hérissés qui ne demande qu’à être libérer.— C’est rafraîchissant’ me dit-elle.Son regard est toujours plongé dans le mien, elle retire lentement la main de ses seins pour me tendre la glace.— Veux-tu me rafraîchir le dos ?Sans ne rien dire, je saisis la glace, la lui dépose à la base du cou, au contact de celle-ci elle frisonne, son corps s’arque, et elle lança un ouffffffffffffff discret. Ma main glisse sur ce superbe corps, mes doigts effleuraient à peine sa peau humectée à la fonte de ce glaçon sur ce corps tout chaud.Je la sens s’exciter entre mes doigts, quand je touche la base de son dos, ses fesses se bombent, elle oscille les épaules.Envahis de plus en plus par l’intense excitation de la toucher, mon bas ventre est en feu, crispé, et tremble de désir.Mu par ce désir de la caressé, je laisse le glaçon me filer des doigts.Ma main descend sur son joli petit cul bien bombé et commence à en faire la découverte. Elle étire lentement les bras pour libérer ses cheveux qui lui tombent à mi-dos, pendant que son cul, lui, s’harmonise des caresses de mes mains. Très lentement elle se retourne porte ses mains à son maillot pour dénuder sa poitrine qu’elle m’expose dans toute sa somptuosité. C’est ma première expérience avec une femme d’âge mur et elle le sait bien !Je suis ébahie à la vue de ses seins si fièrement portés qu’elle caresse, harmonieux en réaction à chacun de ses gestes, elle esquisse leur contour avant de comprimer leur rondeur de ses avant-bras, pour ensuite prendre possession de ses mamelons hérissés qu’elle presse et roule entre ses pouces et index.Quand ses mains quitte ses seins elle les dirige de chaque côté de ma figure, frôle mes joues, se trace un chemin dans mes cheveux, pour m’empoigner et m’attirer à ses lèvres. Je sens le mistral de son souffle sur ma bouche, pendant qu’une douce chaleur touche mes lèvres pour les entrouvrir, se frayer un chemin et atteindre ma langue.Dans leurs fougues nos langues se confondent, se battent passionnément, nos saveurs s’harmonisent dans l’apprivoisement d’un long et enivrant baiser. Mes doigts se baladent avec douceur sur son corps, je découvre la fermeté et la passion de ses seins, quand son corps devenu liane se glisse et s’enlace contre moi.Ses yeux sont brillants de plaisir, sa libido la pousse, elle chavire, elle me respire. Dans cet élan de passion, d’une main salvatrice et experte, animé par son désir elle me caresse, m’entraînant vers sa chambre, elle me chuchote affectueusement à l’oreille— J’ai une malicieuse envie de toi, tu surexcite toute ma sensualité, on va passer de bonnes heures ensemble !Après avoir franchi le seuil de la porte, je dépose mes lèvres sur ses seins proéminents à la peau si douce pour les mettre dans ma bouche, mordiller et sucer ses mamelons, tandis que mes mains explore ses arrières, je presse mon bas-ventre contre le sien, elle soulève son bassin et porte son ventre à la rencontre de l’objet des ses désirs, glissant lascivement, dans sa direction, pour en prendre possession.Elle s’agenouille devant moi, me libère de mon pantalon et glisse lentement mon sous-vêtement le long de mes jambes. Ma virilité culmine, elle la regarde, l’effleure à peine de ses doigts, elle me fait languir.Son regard est devenu fauve, sa proie n’est qu’a quelques centimètres, son visage se métamorphose quand sa bouche prend possession de mon sexe, d’une langue exercée elle parcourt mon organe, elle bouffe sa proie, s’abandonne dans une série de mouvements turbulents et gloutonneux, sortant parfois mon pénis de sa bouche pour en caresser son visage, le reprenant avec sa langue pour en retracer les contours, animés par ce désir qui témoigne de l’ardeur des ses passions.Je sens le plaisir qui monte en moi, la sève qui veut prendre mon membre d’assaut, je retiens difficilement cette exquise jouissance qui malgré mes efforts se déverse en une pluie chaude sur son visage, dans sa bouche, sur sa poitrine, mon corps est électrifier à la décharge de cet orgasme.Elle se lève, se dirige au pied du lit tout près de la porte patio d’où un soleil chaud y pénètre, les rayons de soleil prennent de nouveau possession de son corps, elle caresse ses seins tout en les crémant avec le reliquat de mon sperme qu’elle n’avait pu complètement avaler.Elle se donne à moi en spectacle tel une strip-teaseuse, employant parfois des poses provocatrices, elle fléchit délicatement les genoux, bifurque légèrement les hanches, pour retirer cet infime morceau de tissus qui entrave son corps, elle semble soulagée, libérée de toutes contraintes, m’exposant maintenant tout son corps à nu, ses seins bien dressés vers l’avant m’expose leur magnificence, hautement perchés, ronds, et fermes, son ventre lui est plat avec une délicieuse petite toison blonde bien taillé à son pubis, à peine un petit triangle qui s’arrête avant les lèvres, son cul radieux parfaitement rond et bien ferme est à croquer, tel un fruit appétissant près à être cueillis.Elle se glisse sur le rebord du lit ou elle s’alanguit en féline sur le dos, elle me livre son entrejambes, son sexe accueillant onctueux est près à recevoir toutes mes audaces.Enivré par le parfum de son vagin, je dirige ma bouche avide sur son sexe, je me fraye un chemin dans ses lèvres souples, qui s’adaptent à chaque passage de ma langue. La cyprine ruisselle légèrement de ses grandes lèvres, je la déguste, le goût de son sexe sur ma langue fait jouir mes papilles gustatives.Seule ses lamentations, nos soupirs, et le bruit charmeur de léchage et de succion rompaient le silence.Mon appétit sexuel aussi exigeant que le sien s’exprime parfois un peu plus brutalement, dans une série de mouvements sauvages, en réaction aux encouragements du rythme de son du bassin envoûté par la passion, je lui mordille, liche, et pénètre son sexe avec démence, je glisse deux de mes doigts dans son tunnel d’amour, son corps est ivre de mes caresses, elle me supplie de l’enfoncer plus profondément, je la pénètre avec violence et elle en redemande encore, son corps arqué et secoué par le plaisir se renverse, son joli petit cul, s’offre à moi dans toute sa splendeur, je retire mes doigts de son vagin, pour y introduire mon pouce qui continue de la masturbée, avec mon majeur je lui caresse doucement l’entrée de son joli petit cul, quelle douce et étrange sensation quand j’introduis pour la première fois le bout de ma langue entre ses fesses, la glisse jusqu’à son anus pour bien le licher et le sucer. Après quelques minutes de ce jeu enivrant, je retire ma langue pour y introduire mon majeur qui lui fouille le cul sans relâche tout en continuant de la masturber.Elle gémit sans arrêt, et m’en demande d’avantage.J’enfonce une première fois mon pénis, dans son tunnel chaud, à mi-course, je le retire pour l’enfoncer au plus profond d’elle.Oh ! Oui, comme ça Oh ! Oui, comme ça continue.Dans l’éclatement de nos corps, au-delà du désir, nos corps se conjugue.Soudain elle se crispe, ses mains contractent les soies du lit pendant que le va-et-vient de son corps est secoué brutalement, elle ne parvient plus à suivre la cadence de nos ébats, elle gémit son plaisir pendant que l’orgasme lui, la traverse. Je continue à la baiser au même rythme pour qu’elle savoure pleinement cette jouissance. Quand tous les tremblements, les frémissements, et les palpitations se dissipèrent, je me retire lentement de son vagin en immersion, empoigne ma verge et la lui promène dans le galbe du cul, après une brève résistance, sa chair répond à l’insistance de mon gland quand elle s’ouvrit docilement, pour le faire disparaître lentement, inflexiblement et peu à peu ma verge s’enfonce en elle.Bien cloué en elle, stationnaire, seuls s’activent les palpitations de mon sexe contre ses parois qui déguste ce savoureux instant. Ses reins s’activent de petits coups, elle en redemande, elle veut que je la pompe.Elle hurle de plaisir et de douleur quand je bastonnade de ma queue son passage étroit qui à peine à me prendre en totalité— Hmmmmmm OUIIIIII ENCORE. !D’une main ferme, je trouve appui sur son bassin, tandis que l’autre empoigne ses seins, pour incarcérer ses formes. Geôlier de son corps je la foule profondément avec passion, en elle comme une deuxième peau je suis son guide.Après avoir franchi le brouillard du plaisir, mes yeux se ferment pour mieux contenir la brise de passion qui s’est perpétrer à nos corps, mes yeux se crispent pour mieux voir et percevoir dans mon fort intérieur la jouissance des vagues de lumière boréale qui en moi forme un tout d’aura magnétique.D’un puissant jet je submerge ses profondeurs.Fourbu, je m’écroule sur ses reins, m’immobilise une brève instante pour reprendre mon souffle, je respire et collectionne les odeurs de son corps pendant que nos hanches se laissent glisser sur les contextures du lit.Nos mains remplies de douceur caressent mutuellement nos corps encore imprégnés par le plaisir, de longues minutes passèrent avant que nous puissions séparer nos peaux suaves.Au revers de sa spontanéité la morale à un parfum de regrets quand une larme coule sur sa joue,— Tu sais, je n’aie jamais trompé mon époux, en proie à l’ennui des dernières semaines, j’ai agrémenté mes journées de lecture érotiques, ce qui fit monter en moi une fièvre de désir et de fantasme.’Heureusement pour moi les remords ayant fait place aux plaisirs, les fantasme de Monique ne se sont pas arrêter à cette seule journée.Nos routes se sont séparés à la fin des vacances d’été, longtemps elle défila dans mes rêves, beaucoup d’images me reviennent, je suis devenue esclave d’une histoire de passion et de l’emprise de son charme.Eroto