La pension 04
Une punition injuste ! Comme ce professeur est méchant. Thérèse en mouille sa culotte.
Proposée le 9/01/2017 par Donatien Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominéePersonnages: FHLieu: InclassableType: Fantasme
25 octobre 1964. Une semaine est passée et je n’ai pas trouvé le temps d’écrire une ligne. Une semaine passée à filer le parfait amour avec Violette. Chaque soir j’ai franchi la passerelle dans les combles pour la retrouver. Désormais, elle m’attend nue, prenant des poses lascives à la lumière des cierges, plus provocante qu’une prostituée. À vrai dire, je la trouverais assez ennuyeuse s’il n’y avait pas quelque recherche dans nos rencontres. Avant-hier, désireux de la fesser à nouveau, car les marques de sa première correction commencent à disparaître, je l’ai amenée dans ma chambre, en passant par les greniers. Bien sûr, j’ai exigé qu’elle vienne toute nue. Sa terreur d’abord en traversant le palier au risque de rencontrer une pensionnaire, puis la vision de son corps nu et blanc frissonnant dans la lumière chiche du grenier m’ont mis en joie. J’ai réchauffé sa progression de quelques coups bien sentis de ma ceinture sur ses fesses et ses cuisses. Je l’ai pourchassée ainsi jusqu’à ma chambre, où j’ai continué à la corriger jusqu’à en avoir mal au bras. Sans crainte d’être entendue dans cette aile lointaine, la garce m’a donné le plus beau des concerts de cris et de gémissements de douleur et de jouissance mêlées. Il faut dire qu’elle n’avait pas cessé de s’astiquer le bouton comme une enragée pendant toute la séance. Après cela, fatigué, je me suis laissé sucer comme un pacha. Ses compétences dans ce domaine s’améliorent peu à peu, et surtout elle avale le foutre avec une grande avidité. Il va sans dire qu’après cela, il lui est difficile de s’asseoir sans penser à moi.Désireux de remercier le père Maheux de m’avoir procuré la clé du grenier, je l’ai envoyé à ma place à un rendez-vous que j’avais fixé à Violette. Il est entré sans frapper et l’a trouvée sur un des lits, les jupes troussées et occupée à se donner du plaisir avec ses doigts. Persuadée que c’était moi qui étais entré, elle a continué à gigoter et à soupirer pendant une bonne minute avant d’apercevoir le vieux factotum perdu en contemplation devant sa motte rasée et les pétales délicats et roses de sa vulve. Le bonhomme lui a promis un silence éternel, que naturellement elle a dû payer en nature. Elle s’est plainte à moi d’avoir dû sucer la pine de taille fort modeste du vieux pendant un gros quart d’heure avant d’obtenir de lui une éjaculation si abondante qu’elle avait manqué s’étrangler en l’avalant.La mère supérieure m’a fait savoir qu’elle était satisfaite de ma reprise en main de la discipline. Elle-même s’est réservé l’enseignement du catéchisme. On entendrait les mouches voler pendant ses leçons si c’était la saison où ces insectes se manifestent, mais il paraît qu’elle trouve à chaque cours une raison de punir l’une ou l’autre. Les punitions ne se donnent pas dans la chapelle, naturellement, mais dans son bureau où personne n’entre. La nature de ces punitions ne m’est pas connue.
Comme il faut que je maintienne ma nouvelle réputation de sévérité et qu’un peu d’injustice ne fera que l’embellir, j’ai décidé de punir une élève qui n’a rien fait pour le mériter et pour cela d’inaugurer une nouvelle baguette de bambou que Maheux m’a procurée. Fine et souple, je pense qu’elle devrait procurer de cuisantes délices aux fesses de mes pensionnaires.Le prétexte était tout trouvé après les résultats médiocres obtenus sur un devoir de version que j’avais soigneusement choisi pour sa difficulté. J’ai rendu les copies barbouillées d’encre rouge en multipliant les remarques sarcastiques. Thérèse, dont le devoir n’était pas plus mauvais que les autres, était ma victime désignée. La raison ? Elle est la voisine de la petite Eulalie.
Quand je me suis approchée de celle-ci et lui ai tendu sa copie (à laquelle j’avais attribué la seule note honorable) elle a levé sur moi son regard vert que jusqu’ici je n’ai pas réussi à soutenir. Je lui ai dit à voix basse :
— Vous, progressez, Eulalie.Et je me suis laissé aller à effleurer sa joue du dos de mon index. J’ai vu l’ébauche d’un sourire dans son regard. Cette jeune fille possède un pouvoir sur moi et elle le sait. Sa voisine Thérèse attendait avec angoisse que je lui rende son devoir. Je lui ai dit d’une voix posée combien j’étais déçu qu’elle, une de mes meilleures latinistes, se soit laissé aller à de tels contresens. En réalité, son devoir était de loin le meilleur, et elle devait le savoir.
— Je vous prierai donc de rejoindre l’estrade où vous recevrez cinq coups de baguette, de deuxième catégorie. Je pense qu’ils vous aideront à vous remémorer le rôle du subjonctif imparfait dans les propositions de temps. Eulalie, veuillez préparer votre camarade.J’improvisais là une pratique inédite.
Eulalie a sans doute très vite compris le jeu. Les deux jeunes filles se sont levées et Eulalie a roulé la jupe de Thérèse dans sa ceinture, le but étant bien sûr de lui faire parcourir l’allée centrale dans cette tenue, les cuisses nues et culotte au vent. À mon immense surprise, Eulalie a commencé à remonter au maximum la culotte de sa voisine, la faisant pénétrer entre ses fesses pour exposer la plus grande surface de peau possible. Elle m’a consulté du regard et j’ai hoché la tête pour lui signifier que j’approuvais son initiative.Thérèse est une jeune fille de dix-huit ans assez banale, plutôt grande et longiligne, aux cheveux châtains toujours attachés par une barrette. Mais elle ne manquait pas d’un certain attrait en traversant la classe dans cette tenue, son derrière haut perché merveilleusement mis en valeur par la culotte réduite au minimum.
Je l’ai rejoint sur l’estrade.
— Placez-vous ici Thérèse. Je désire que vos camarades profitent aussi de la leçon.
Elle a pris place, les fesses tournées vers la salle. Ses yeux étaient déjà pleins de larmes.
— Avez-vous peur, Thérèse ? ai-je murmuré.
— Oui, Monsieur.
— La douleur n’est rien, mon petit. Allons, serrez les dents.
La baguette a sifflé. Thérèse a poussé un cri.
— Il ne faut pas crier, Thérèse. Celui-ci ne comptera pas.La trace du coup commençait à se révéler sur les fesses nues de la jeune fille comme l’image sur un papier sensible. Au deuxième, elle a levé un pied, puis l’autre mais a réussi à se maîtriser. Au troisième elle a pissé dans sa culotte. J’ai cessé la punition pendant que la tache humide apparaissait sur le coton blanc, que la pauvre Thérèse se tortillait vainement pour retenir le flot. Puis la cascade a dégouliné entre ses jambes, le long de ses cuisses, inondant ses chaussettes et ses chaussures, et formant finalement une large flaque entre ses pieds. Je l’ai écoutée sangloter bruyamment, puis j’ai continué la punition jusqu’au bout.
— Relevez-vous, Thérèse, c’est fini.
Elle a séché ses larmes avec sa manche en reniflant.
— Merci, Monsieur. Dois-je nettoyer ?
— Laissez, ce n’est rien. Mais vous irez au coin face à la classe.
Thérèse a obéi, prenant même l’initiative de relever le devant de sa jupe. Sa toison sombre était bien visible à travers le coton mouillé. Heureusement, mon veston dissimulait mon érection.
À la fin de l’heure, je l’ai envoyée se faire soigner chez Violette, qui j’en étais sûr apprécierait le cadeau. À son retour une demi-heure après, Thérèse portait un petit sachet qui je le devinais contenait sa culotte mouillée. Je devinai à la rougeur de ses joues qu’elle était nue sous sa jupe. Elle s’est avancée vers mon bureau, y a posé le sachet de papier brun sans me regarder puis elle a regagné sa place. Je n’ai pas douté que c’est à Violette que je devais ce cadeau.
Plus tard pendant le cours j’ai fait venir Thérèse près de mon bureau sous le prétexte de regarder son devoir. Les élèves étaient penchées sur leur thème d’imitation ou faisaient semblant.
— Y a-t-il ce que je crois dans ce sachet ?
— Oui, Monsieur.
— C’est bien. Approchez-vous. Prenez mon stylo. Corrigez ce datif. Quatrième déclinaison. Vous êtes distraite. Mademoiselle Bernier vous a-t-elle soignée ?
— Oui, Monsieur.
— Je veux en être sûr. Continuez à écrire. Penchez-vous davantage en avant.La pauvre fille a continué à tracer quelques traits tremblotants sur sa copie pendant que ma main remontait le long de sa cuisse jusqu’à sa fesse nue. J’ai passé mes doigts doucement sur les reliefs que la baguette avait dessinés sur son cul et que Violette avait tartinés de pommade grasse. Je la sentais trembler. J’entendais son souffle rapide. Ma main s’est immiscée entre ses cuisses et de la tranche du doigt j’ai effleuré sa vulve. Par réflexe, elle a resserré les jambes, emprisonnant ma main. Je ne l’ai pas retirée et peu à peu elle s’est détendue. Comme je m’y attendais elle était mouillée et cette fois le pipi n’en était pas la cause.
— C’est bien. Allez à votre place.Elle s’est rassise avec mille précautions près d’Eulalie qui ne parvenait pas à cacher un sourire en me voyant passer mon doigt sur mes lèvres.
Pendant le court moment où les élèves se rendaient au réfectoire pour le repas de midi, j’ai entraîné Violette dans la cage d’escalier qui mène à ma chambre, je l’ai fait mettre à genoux sur le dallage et pendant que je plongeais mon visage avec délice dans la culotte pisseuse de Thérèse elle n’a eu que le temps d’accueillir dans sa bouche ma queue qui n’en pouvait plus.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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