La pension 5
Melle Bernier offre un cadeau au professeur : Fiona. Une adorable rouquine.
Proposée le 23/01/2017 par Donatien Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominéePersonnages: FFHLieu: InclassableType: Fantasme
29 octobre 1964. Deux soirs de suite je suis resté dans ma chambre à lire au lieu de rejoindre Violette. Au réfectoire, elle me lançait des regards mouillés qui me laissaient froid. Hier soir, c’est elle qui m’a abordé à la sortie du réfectoire. Je tâchais de me défiler quand elle a soufflé.
— Venez ce soir, j’ai un cadeau pour vous.
— Et ce cadeau c’est … ?
— Fiona Murray.
J’ai ralenti le pas. Fiona est une petite Irlandaise de la classe de première. Un petit joyau de dix-sept ans. Des cheveux en vrille de vigne blonds à peine teintés de roux, qui descendent jusqu’au creux de ses reins et qu’elle attache très bas d’un simple lien de satin vert, des yeux bleu-gris immenses, quelques taches de rousseur sur le bout de son nez délicat. Une vierge s’il en existe une.
— Dis m’en davantage…
— Non. Venez à onze heures et demie. Soyez prudent.Bien sûr à onze heure et quart j’attends déjà derrière la porte dont le gâche m’obéit désormais au doigt et à l’œil. À la demie un coup unique sonne à la cloche du couvent. Aussitôt Violette gratte à la porte pour me signifier que la voie est libre.
Aussitôt dans sa chambre elle m’enlace et me fourre sa langue dans la bouche. Je l’embrasse distraitement, pétris un peu ses gros seins libres sous la chemise de nuit. Mais le cœur n’y est pas, elle m’a promis Fiona.
— Elle viendra à minuit, nous avons le temps…
— Qu’est-ce qui t’en rend si sûre ?
Violette sourit d’une façon qu’elle voudrait machiavélique.
— J’ai trouvé quelque chose dans son armoire qu’elle voudra récupérer. Je l’ai remplacé par un message.
— Tu fouilles donc les armoires ?
— Je dois veiller sur ces jeunes filles, n’est-ce pas ? Et certaines cachent leurs secrets mieux que d’autres. Tenez, votre petite protégée, Eulalie…
— Pourquoi dis-tu que c’est ma protégée ?
— Les élèves parlent. Elle copie ses devoirs sur une camarade et obtient de meilleures notes qu’elle, elle a chuchoté plusieurs fois en classe sous vos yeux et n’a jamais été punie…
— Eh bien ?
— Eulalie cache des images obscènes et une lampe de poche, qu’en concluez-vous ?
Je n’avais pas trouvé la lampe de poche. Ni rien dans l’armoire de Fiona que des petites culottes bordées de rose. Violette me surclasse dans l’art de fouiller.
— Le temps passe. Entrez ici. J’ai remplacé le rideau noir par ce voile, vous pourrez tout voir. Laissez la porte entrouverte, il y aura sûrement à entendre aussi.
C’est vrai que depuis le cabinet-laboratoire, j’ai vue sur toute la chambre de Violette, d’autant que celle-ci allume de nouvelles bougies. Comme d’habitude, elle porte sa chemise de nuit blanche et un peignoir en soie mauve. Lorsqu’elle est satisfaite du résultat, elle s’installe à sa table et fait mine d’écrire. Un grattement léger se fait entendre à la porte.
—Entrez, Fiona, dit Violette à voix basse sans bouger de sa chaise.
La petite fait son entrée, regarde autour d’elle, intimidée. Elle referme doucement la porte. Dans sa chemise blanche toute simple, avec ses cheveux nattés pour la nuit, elle ressemble à une nymphe des bois. Le froid du corridor a fait se dresser les pointes de ses seins menus. Elles se dessinent sur le coton rêche.
— Vous n’ignorez pas pourquoi je vous ai fait venir ?
Fiona baisse la tête sans répondre. Violette ouvre un tiroir et en tire un objet qu’elle brandit dans la lumière, avec un coup d’œil à mon intention. C’est un splendide godemiché, sans doute un modèle ancien, en porcelaine, qui représente de façon assez réaliste un phallus en érection avec ses testicules. Violette le tient dressé vers le plafond, il a un air redoutable, avec la courbe légère de sa hampe et son gland émaillé d’un rouge vif.
— Que fait un tel objet dans l’armoire d’une pensionnaire ? Où l’avez-vous trouvé ?
Fiona hésite mais finit par répondre.
— Je l’ai… pris… à mon oncle. Il collectionne ces… choses.
Son accent léger la rend encore plus délicieuse.
— Je vois. Et en faites-vous usage sur vous-même ?
Cette fois Fiona regarde Violette avec l’air de ne pas comprendre.
— Voyons, vous en connaissez l’usage. Le faites-vous pénétrer en vous ?
Fiona semble interloquée.
— Oh, non ! Il est trop gros !
— Croyez-vous ? C’est ce que nous verrons. Alors que fait-il caché sous votre linge ?
Fiona reste muette.
— Allons, approchez. En tant qu’infirmière, je dois vous examiner. Voir si cet engin a fait des dégâts.
N’ayez pas peur, je sais être douce. Baissez votre culotte.
Fiona avance d’un pas, hésitante.
—Allons, obéissez.
L’habitude prend le dessus, malgré l’heure et le lieu étranges. Fiona obéit. Elle soulève le bord de sa chemise et fait descendre sa culotte qui tombe au sol.
— Tenez, gardez cet objet à la main. Et votre chemise levée.
Violette a un ton autoritaire que je ne lui connaissais pas. Elle tend sa main qui disparaît entre les cuisses de la pensionnaire. Celle-ci pousse un petit cri.
— Vous êtes trop tendue. Je vais mettre un peu de crème.
Violette ouvre un pot, y plonge ses doigts.
— Ainsi, c’est plus doux, n’est-ce pas ?
Fiona ouvre de grands yeux mais elle laisse Violette explorer son entrejambes. Sans doute s’y prend-elle bien car Fiona ne tient plus maintenant le phallus de porcelaine comme un objet quelconque, mais le serre par la tige comme on ferait d’une verge véritable. Ses lèvres sont entrouvertes, sa respiration se précipite.
—C’est bien, ma petite. Montre-moi ce que tu fais quand tu te caresses toute seule. C’est ça, prends-le en bouche. C’est bon. Oh ! Comme tu es étroite ! Et vierge, c’est certain.
Fiona ondule maintenant sous les caresses de Violette qui de temps à autre me lance des œillades. Derrière ma vitre, j’ai bien du mal à me contrôler. Tout en caressant la jeune fille, Violette a remonté peu à peu sa chemise. Maintenant elle a les jambes écartées et exhibe sa fente glabre. La petite Fiona garde les yeux braqués dessus.
— Tu aimes regarder mon sexe, il est beau, n’est-ce pas ? Moi, jeune fille, je ne suis plus vierge. Comprends-tu ?
— N… non, répond Fiona d’une voix haletante.
La main libre de Violette claque sans avertir sur la cuisse nue de Fiona.
— Mets-toi à genoux, sotte ! Et fourre cet engin dans ma chatte ! Je t’ai attendue pour y goûter.
Fiona s’agenouille, mais elle hésite, le godemiché à la main.
— Allons, vite, ne sais-tu pas comment est faite une femme ? Regarde comme je mouille ! Baise-moi, vite !
Fiona a enfin compris la manœuvre. Elle trouve l’entrée et pousse hardiment le phallus qui disparaît jusqu’aux couilles dans le vagin de Violette.
— Ah ! Que c’est bon ! Maintenant, fais-le bouger. Oui, comme ça, plus vite ! Ah ! N’aie pas peur de me défoncer !
Fiona s’active aussi vite qu’elle peut. Violette se tord sur son fauteuil au comble de la jouissance. Je choisis ce moment pour faire mon entrée. Le tapis amortit le bruit de mes pas et la pièce est sombre hors du cercle des cierges. J’ouvre la porte et la claque doucement derrière moi pour faire croire que je viens d’entrer.
— Que se passe-t-il ici ?
Fiona se lève brusquement. Elle se mord le poing, ses yeux bleus pleins de terreur. Violette rattrape le godemiché prêt à tomber et se le remet dans le con.
— Madame, n’avez-vous pas honte de pervertir cette jeune fille ?
Mon accent ne doit pas être très convaincant, car Violette continue à se branler doucement mais avec volupté. Je déboucle ma ceinture.
— Ah, c’est ainsi, vous l’aurez voulu !
Fiona amorce un mouvement vers la porte. Je la rattrape par le bras.
— Non, jeune fille, vous devez au moins assister à la punition. Venez près de moi. Regardez cette femme, n’est-ce pas l’image même de la dépravation ?
Violette fait en effet de son mieux pour ressembler à cette image. D’une main elle agite le gode, de l’autre elle se masse le clitoris avec ardeur. Sa chemise déboutonnée bâille et laisse voir la pointe rose et dressée d’un sein. J’enroule ma ceinture autour de ma main et je cingle sa cuisse très fort. Bien sûr, cela ne fait que l’exciter à se branler plus fort.
— Vois-tu, Fiona, cette garce est incorrigible. Il faut que tu m’aides à la remettre dans le droit chemin. Toi, putain, mets-toi en position sur le lit.
Violette, sans laisser le gode s’échapper, prend place, le visage dans l’oreiller et les fesses levées. Les jambes écartées, elle continue à faire coulisser le gode dans sa chatte trempée. Les traces des précédentes corrections ne peuvent échapper à Fiona. Je lui tends la ceinture. Elle la prend par la boucle mais la laisse pendre.
— Eh bien, qu’attends-tu ?
Fiona secoue la tête, ses yeux se remplissent de larmes. Sans l’avertir, je lui colle une claque retentissante sur la fesse. Elle en perd la respiration.
— Dois-je recommencer ?
Elle lève le bras en pleurnichant et abat la ceinture faiblement sur le cul de Violette. Ma main claque son autre fesse, un peu plus fort. Elle lève à nouveau la ceinture. Cette fois-ci elle met toute sa force dans le coup. Violette tressaille mais continue à se branler de plus belle.
—Voilà qui est mieux, jeune fille. Nous ferons quelque chose de vous.
Je n’ai pas besoin de la stimuler pour qu’elle donne le coup suivant. Je vois qu’elle se mord les lèvres et que ses yeux brillent. Elle commence visiblement à prendre du plaisir à corriger Violette. Elle raccourcit la ceinture pour frapper avec plus de précision les cuisses et les fesses blanches de Violette qui grogne la tête enfouie dans l’oreiller pour retenir ses cris. Ses coups marquent la peau blanche de jolies traînées roses. Je passe ma main sous sa chemise, m’empare de sa cuisse mince.
Elle sursaute mais me laisse faire. Ma main remonte. Sa fesse est petite et tient presque dans ma main. Mon petit doigt glisse sur son périnée enduit de crème, puis effleure l’entrée humide de son vagin. Je l’entends inspirer profondément. Elle fouette Violette de plus en plus fort, visant les cuisses jusqu’ici épargnées. Je remonte encore et trouve son anus. Elle se crispe un peu et serre les fesses quand je l’effleure mais une nouvelle claque la ramène à la docilité. Pendant que mon annulaire masse doucement sa rosette, mon autre main a remonté sa chemise et s’est emparée de ses petits seins tendres. Je les presse, je les pince, je les froisse, je les efface sous mes doigts. Ma première phalange est entrée dans son cul, une douce prémonition de l’intrusion qui se prépare. De temps en temps, elle lève encore la ceinture, mais ses coups n’ont plus de force. Je souffle à son oreille :
— Prends le godemiché. Enfonce-lui dans le cul.
— Mais ça ne va pas rentrer, proteste-t-elle timidement.
— Oh, oui, ça va très bien rentrer ! Allez, elle n’attend que ça !
Fiona se décide enfin. Elle laisse tomber la ceinture et empoigne l’engin que Violette lâche aussitôt. Il sort du vagin couvert d’une mouille épaisse. Elle cherche un moment entre les fesses de Violette, puis pousse un grand coup. Violette pousse un gémissement que celui de Fiona suit aussitôt, car en même temps j’ai enfoncé mon doigt à fond dans son anus à elle.
—Branle-lui le cul maintenant, allez !
Et mon doigt dans son derrière lui donne le bon rythme qu’elle applique à Violette. De temps en temps, je retire mon doigt pour le lubrifier à la mouille qui dégouline de sa petite chatte. Je glisse un deuxième doigt et la donzelle commence à gémir de concert avec Violette. Il est temps de lui proposer quelque chose de plus consistant. Je défais mon pantalon d’une main et libère ma queue tendue. Je m’empare de sa main et la pose sur ma tige. La petite ouvre de grands yeux en voyant le jumeau de chair de son jouet mais elle ne le lâche pas.
— Ton petit cul est prêt, jeune fille. Il est temps.
Je la saisis par la taille et la pose sur le lit. Violette se charge de lui faire prendre la bonne position. Fiona se laisse faire sans trop savoir ce qui l’attend. Enfin elle est en place, en levrette, bien cambrée, les genoux écartés et son visage enfoui dans les seins opulents de Violette.
Dans cette position, c’est à peine si sa petite motte s’entrouvre. Un petit toupet de poils blonds orne son pubis. Son anus brille de mouille et de pommade. Je juge inutile de tergiverser. Je présente mon gland à l’entrée et je pousse résolument. Elle n’a pas eu le temps de se crisper et je la pénètre facilement. Le cri qu’elle pousse et plus de surprise que de douleur, mais la vision de son cul étroit envahi par ma pine est délicieux. Les doigts de Violette ont trouvé son clitoris et la masturbent énergiquement. Je fais de lents va-et-vient jusqu’à ce que j’entende dans ses gémissements la montée de son orgasme, alors j’accélère et la pilonne de plus en plus vite. Violette sentant qu’elle va crier lui met sa main en bâillon sur la bouche et c’est dans le seul bruit de nos souffles précipités que nous jouissons tous les deux ensemble.Une longue minute je reste immobile, les jambes tremblantes. Ma queue sort toute seule de l’anus de Fiona. Je soulève la jeune fille dans mes bras et l’allonge près de Violette sur le lit. Elle a les yeux fermés. À la lumière des bougies elle a l’air encore plus jeune. J’ai presque des remords de l’avoir enculée. Je pose un baiser sur ses lèvres, elle me le rend doucement. Violette l’embrasse aussi et Fiona met ses bras autour de son cou. Je pense que ces deux-là vont passer quelques nuits agitées à l’avenir.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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