Seuls les noms et lieux ont Ă©tĂ© modifiĂ©s, bien sĂ»r, le reste est authentique.Il y a deux ans de cela, je sortais d’une annĂ©e de galère : divorce, perte d’emploi et tout ce qui va avec. J’ai finalement dĂ©mĂ©nagĂ© Ă Nantes pour y trouver un nouveau job qui avait l’air de me convenir. Trois mois après avoir Ă©tĂ© embauchĂ©, mon patron me demanda si un chantier de longue durĂ©e, environ quatre mois, m’intĂ©resserait : je sautai sur l’occasion, car les conditions pĂ©cuniaires Ă©taient intĂ©ressantes.Me voici donc parti en Auvergne, dans une ville d’eaux, pour travailler Ă la rĂ©novation d’un hĂ´tel. Les deux premières semaines, je loge Ă l’hĂ´tel – pas celui en construction, bien sĂ»r – et comme il est convenu que toutes les deux semaines je reviendrai Ă Nantes, me voici de retour au bercail. Le lundi, je passe Ă la boĂ®te pour faire le point et c’est lĂ que je rencontre Georges, un collègue habituĂ© aussi Ă ce genre de chantier. C’est sur ses conseils que, de retour en Auvergne, je cherche une pension de famille, car j’ai nĂ©gociĂ© mes frais de dĂ©placement et d’après lui, je peux encore gagner, avec ce genre d’hĂ©bergement, environ deux cents Ă trois cents euros de plus par mois !Me voici donc installĂ© Ă la pension de madame Dutier. Une femme pas marrante, mais la pièce, au demeurant confortable, est louĂ©e Ă un prix dĂ©risoire, avec un petit-dĂ©jeuner assez copieux. J’ai une chambre au premier, la maison comportant trois Ă©tages. Les autres locataires sont des curistes, mais assez peu nombreux car nous sommes en fin de saison. Parmi eux, des hommes et des femmes, pas tout jeunes et plutĂ´t du genre casse-bonbon quand je cause avec eux. Il y a en particulier une femme – appelons-la Louisette – assez revĂŞche, Ă qui on ne peut donner un âge, mais certainement plus de soixante ans, portant moustache et qui trouve toujours un prĂ©texte pour tout critiquer, jusqu’au temps, car durant une semaine il a plu tous les jours. Je sais qu’elle occupe une chambre au troisième, et ce depuis environ six mois. La raison de sa prĂ©sence n’est donc pas la cure et pour tout dire, je m’en fiche Ă©perdument.C’est au cours de mon deuxième mois Ă la pension que madame Dutier me demande si je veux bien dĂ©mĂ©nager au troisième, car elle envisage des travaux dans les chambres du premier durant l’intersaison. C’est ainsi que je deviens le voisin de palier de Louisette. C’est aussi Ă partir de ce jour qu’elle s’est mise Ă me dire bonjour avec le sourire, mais sans plus.Un soir, quelques minutes avant de me mettre au lit, alors que je suis dans ma chambre en train de lire, on frappe Ă ma porte. J’ouvre et je me trouve face Ă une Louisette vĂŞtue d’une chemise de nuit – oh ! pas quelque chose de sexy, non : une bonne vieille chemise de nuit en coton, boutonnĂ©e jusqu’au ras du col et qui lui descend jusqu’aux pieds ; elle venait me demander de venir voir si je pouvais redonner vie Ă sa tĂ©lĂ©. Ici, je dois dire que les chambres de la pension ne sont pas Ă©quipĂ©es de tĂ©lĂ©viseur, mais ce que j’appris ce soir-lĂ , c’est que Louisette avait amenĂ© son propre rĂ©cepteur.Je me rends chez elle, pas vraiment enthousiaste, mais bon. Sa chambre est situĂ©e juste en face de la mienne et je n’ai donc qu’à traverser le couloir. La première chose qui surprend, c’est l’odeur : ça sent le vieux, ou plutĂ´t la vieille. Sur une chaise, elle a placĂ© ses affaires et la culotte blanche posĂ©e sur l’ensemble indique qu’elle doit dormir les fesses Ă l’air ; mais pour tout dire, elle n’a rien de sexy, ni l’aspect ni le corps ; on devine simplement ses gros seins sous sa chemise de nuit, mais sans plus.La tĂ©lĂ© est du genre portatif et fonctionne avec une antenne intĂ©rieure. Je ne suis pas long Ă trouver la panne ; c’est le câble qui est cassĂ© au niveau de la prise. Je lui fais une rĂ©paration de fortune, en lui indiquant que le lendemain, j’amènerai ce qu’il faut pour rĂ©parer de façon plus solide. Je regagne ma chambre après qu’elle m’ait remerciĂ©, et je continue ma lecture jusqu’à ce que le sommeil me gagne.Le lendemain soir, en rentrant du travail, je frappe Ă sa porte et, muni d’une paire de pinces et d’un tournevis, je fais une rĂ©paration plus solide. Elle est très satisfaite et me demande Ă combien se monte ma prestation. Je ne lui demande rien, mais ce dont je me rappelle, c’est qu’elle me dit quelque chose comme « Cela mĂ©rite bien une rĂ©compense ».Le mĂŞme soir, il est environ neuf heures, je viens de me laver les dents et on frappe Ă nouveau Ă ma porte. ImmĂ©diatement, je pense que ma rĂ©paration a lâchĂ© et je me prĂ©pare Ă revenir chez Louisette pour reprendre mon travail. C’est bien elle qui est lĂ , toujours avec la mĂŞme chemise de nuit que la veille, si ce n’est un dĂ©tail que je ne remarque pas de suite, mais qui a son importance : les quatre boutons ne sont pas attachĂ©s. Elle est tout sourire et me dit :— Je viens pour vous rĂ©compenser.C’est vrai que quelquefois, je suis un peu naĂŻf, et je pense qu’elle va me donner quelque chose du type bouteille de vin ou autre, mais elle ajoute :Je m’efface, et c’est elle qui ferme la porte derrière elle. Je m’attends Ă ce moment-lĂ qu’elle sorte de derrière son dos une bouteille, mais non ; elle est venue les mains vides !— J’ai envie de vous sucer, vous voulez bien ?Alors lĂ , je ne sais plus quoi dire ! Les bras m’en tombent, surtout – je le redis – elle n’a pas un physique agrĂ©able, avec ses moustaches, ses bajoues, rien d’attirant.— Ça me ferait plaisir, vous savez, j’ai pas souvent l’occasion de rencontrer des gens aimables comme vous.C’est vrai que depuis que je suis arrivĂ© dans cette ville, je n’ai pas trouvĂ© chaussure Ă mon pied, peu de jeunes, pas d’endroit oĂą draguer, et puis mon boulot me prend pas mal de temps. Et lĂ , une vieille, fanĂ©e, moche, flasque vient me proposer une gâterie. Je ne sais pas quoi rĂ©pondre mais, allez savoir pourquoi, je rĂ©ponds « oui ». Je m’attends Ă ce qu’elle Ă´te sa chemise de nuit, ou quelque chose comme ça, et je n’ai pas envie de la toucher, ni mĂŞme de la caresser au travers du tissu, tellement ma surprise est grande. Elle me dit simplement :Je fais glisser mon pantalon et mon slip et je m’assieds sur le bord du lit. Ă€ cet instant, j’ai vraiment l’impression de me trouver avec une pute que j’ai raquĂ©e et qui me fait, vite fait bien (ou mal) fait, une pipe au tarif syndical. Elle s’assoit Ă ma gauche et, d’un geste, elle m’incite Ă m’allonger complètement sur le lit, ce que je fais sans chercher Ă comprendre. Ă€ ce moment-lĂ , j’imagine tout et n’importe quoi : en particulier je la vois bien relever ou enlever sa chemise de nuit, et se mettre Ă califourchon sur moi pour me sucer en offrant sa chatte de vieille Ă ma vue, et peut-ĂŞtre me demandera-t-elle de la sucer Ă mon tour, ce qui ne m’enchante guère ! Mais non, elle se penche et, immĂ©diatement, ma queue se retrouve enserrĂ©e entre ses lèvres. Elle commence alors un travail que je dois qualifier de remarquable. Je ne sais rien d’elle, ni mĂŞme son âge, mais ce que je peux affirmer c’est qu’elle sait travailler une queue !En dĂ©sespoir de cause, je ferme les yeux, me laissant aller au plaisir, et elle sait y faire. TantĂ´t aspirant le gland contre son palais, tantĂ´t glissant ma queue entre sa joue et ses dents, tout cela sans aucune morsure, pompant, puis s’arrĂŞtant d’un seul coup, elle prend le gland entre ses lèvres, titille le mĂ©at avec sa langue, puis recommence le pompage.De la façon dont elle est habillĂ©e, avec cette chemise de nuit, sous laquelle je sais qu’elle n’a rien, je peux juste caresser un sein, et encore : de temps Ă autre, elle repousse ma main. Ce qui doit arriver arrive ! Ă€ force d’aspirer, de pomper, de sucer comme il le faut, je lui lâche toute ma marchandise dans sa bouche qui demeure collĂ©e Ă mon gland, tandis qu’elle me caresse les testicules avec un savoir-faire d’experte. J’ai l’impression que sa langue est arrivĂ©e au fond de mes bourses et qu’elle y nettoie la rĂ©serve de sperme ! Je suis vidĂ© comme rarement je l’ai Ă©tĂ©Â !Et elle ne lâche toujours pas le gland. Je la sens dĂ©glutir, car elle avale tout le contenu de mon Ă©jaculation ! Puis, sans que ma queue ait le temps de se remettre de ces Ă©motions, elle se remet Ă me pomper, mais l’effort ayant Ă©tĂ© ce qu’il fĂ»t, ma queue refuse tout service nouveau ! Comprenant rapidement que ce sera vain, elle se dĂ©tache enfin, se lève :Je rĂ©ponds un timide « oui », tout en regardant ma queue flasque et rouge posĂ©e sur ma cuisse. Alors, sans rien dire, elle attrape le bas de sa chemise de nuit et l’ôte, se dĂ©couvrant entièrement nue devant moi ! Elle a le corps d’une vieille femme, des seins gros et pendants, le tĂ©ton face au sol, quant Ă son sexe, il Ă©merge au milieu d’une toison des lèvres fripĂ©es, noires plus que roses. Elle pose sa chemise de nuit sur mon lit, et s’approche de moi en posant ses mains sur son sexe qu’elle ouvre.Alors lĂ , la trouille me prend, je n’ai pas honte de l’avouer. Je me vois contraint de sucer ce sexe, dont la partie intĂ©rieure lĂ©gèrement rosĂ©e m’apparaĂ®t dĂ©jĂ entre ses doigts. Elle masturbe lentement le clitoris, puis elle tire sur ses lèvres qui s’allongent d’au moins cinq Ă six centimètres ! Je ne sais pas quoi faire devant une telle exhibition. Elle est toujours debout, les jambes Ă©cartĂ©es autant que ses rondeurs le lui permettent, ses lèvres pincĂ©es entre ses doigts, son index passant lentement sur son petit bouton.Je dĂ©cide alors de me relever pour m’asseoir sur le bord du lit. Il ne lui en faut pas plus, elle vient se placer de chaque cĂ´tĂ© de mes jambes, et s’assied sur mes cuisses, en posant ses mains autour de mon cou. J’ai devant moi ses seins qui se balancent, et qui me tentent. Je pose timidement une main dessus.— Vous pouvez les caresser, ils aiment ça !Je les prends alors Ă pleines mains, et sans m’en rendre compte, je commence Ă sucer un des tĂ©tons que j’ai relevĂ© en passant une main dessous ! Diable ! me voilĂ en train de sucer les nichons d’une vieille, et en plus elle aime ça, Ă voir comment ils sont devenus durs entre mes lèvres et mes dents.— J’aime ça, vous savez ! Si ça vous plaĂ®t, continuez.Elle a toujours ses mains autour de mon cou pour ne pas tomber Ă la renverse, et moi je caresse et suce ces tĂ©tons qui durcissent Ă un point que c’en est pas croyable pour une femme de cet âge. Comme elle s’est assise sur mes cuisses, en fait sur mes genoux, en Ă©cartant lĂ©gèrement mes jambes, je fais de mĂŞme avec les siennes, et ma main droite abandonne son sein pour se poser sur sa cuisse, et remontant vers son entrejambe, je peux glisser un doigt dans son sexe qui bâille. Je sens distinctement, sans les voir, ses lèvres noires que j’ai vues l’instant d’avant, et que je peux prendre entre mes doigts, et les tirailler comme elle l’a fait quelques minutes plus tĂ´t. Effectivement, je sens qu’en les prenant entre le pouce et l’index, sans qu’elle en manifeste la moindre douleur je peux les tirer de façon Ă les apercevoir par-dessous son ventre, car assise comme elle l’était, son ventre flasque ne me permet pas de voir son sexe.J’essaie alors d’introduire un doigt dans son vagin ; il y rentre sans mal, d’abord l’index, puis le majeur, enfin les deux, mon pouce ayant trouvĂ©, sans avoir trop Ă le chercher, son petit bouton. Elle secoue son ventre, ferme les yeux, et moi je ne sais pas ce que je dois faire d’autre, car ces caresses que je lui prodigue ont eu pour consĂ©quence première de me faire bander Ă nouveau. Je sens son sexe s’humidifier, et s’écarter sous la pression de mes doigts. Je les ressors, car elle a glissĂ©, et je dois poser mes mains derrière son dos pour la rapprocher.C’est lĂ que je vois que mes deux doigts sont recouverts d’une pâte blanche, formĂ©e de petits grumeaux, assez consistants, et humides ; elle a des Ă©coulements de je ne sais quoi, mais pas quelque chose qui incite Ă la pĂ©nĂ©tration sans protection !— Ah ! vous avez vu, j’ai des pertes blanches, vous savez Ă mon âge…Son âge ! Justement, je l’ignore, mais de l’avoir vue lĂ , devant moi, de la tripoter, je lui donne maintenant près de soixante-dix ans ! Et pourtant elle m’excite ! Avec sa moustache, mais quand je la regarde, je ne vois que ses lèvres qui m’ont donnĂ© tant de plaisir quelques minutes plus tĂ´t !Dans le mouvement que j’ai fait pour la rapprocher de moi, elle a collĂ© ses seins sur ma poitrine, ce qui contribue Ă augmenter mon excitation, et son ventre est Ă prĂ©sent collĂ© Ă ma queue qui pointe vers le haut !Nous ne nous sommes toujours pas embrassĂ©s, et pour tout dire, cette bouche qui m’a sucĂ© un peu plus tĂ´t ne me tente pas ! Surtout la moustache. Maintenant je devine son dĂ©sir, elle veut que je la pĂ©nètre, sans dire un mot, mais je sens son dĂ©sir se faire plus fort chaque seconde. Je me dis que sous son poids (elle n’est pas maigre) si je bascule en arrière sur le lit, elle ne mettra pas plus d’une seconde Ă s’enfiler ma queue dans sa chatte largement ouverte !Mais pour moi, pas question ! D’abord un petit chapeau s’impose. Je me rends compte alors comment j’ai pu me faire piĂ©ger ! C’est elle Ă prĂ©sent qui mène les dĂ©bats, ou plutĂ´t les Ă©bats !Mes mains sont passĂ©es sous ses fesses, et j’essaie en vain d’arriver Ă son sexe, mais elle est assez corpulente et mes tentatives demeurent sans effet. Il me faut quelques instants pour trouver la solution : je me laisse aller Ă la renverse et la fais glisser sur le cĂ´tĂ©, de façon Ă ce qu’elle se trouve allongĂ©e en travers de ma couche, me permettant ainsi de me dĂ©gager.Je me retrouve debout, tandis qu’elle, ayant compris ce que je veux, s’est installĂ©e en travers du lit, et en remontant ses jambes, elle ouvre son sexe en tirant sur ses lèvres. Quel spectacle ! La chair rose de son entrĂ©e vaginale est toute gluante de ces pertes blanchâtres dont j’ai encore les traces sur mes mains, et le pire c’est que ça se met Ă dĂ©gouliner sur le dessus-de-lit ! Je pense Ă la femme de chambre de madame Dutier qui, trouvant ces traces, se demandera quelle en peut en ĂŞtre l’origine !C’est la première fois qu’elle me tutoie.— Je me couvre avant, lui dis-je.— Tu sais, ça fait si longtemps… avec moi, il n’y a pas de risque.Elle est offerte, son sexe flasque ouvert, ses doigts tirant de façon exagĂ©rĂ©e sur ses lèvres noires et excitantes, je me pose la question du prĂ©servatif ou pas. La seule chose qui m’indispose est en fait cet Ă©coulement blanchâtre.Disant cela, je lui introduis mon index dans le vagin, et le tournant un peu, je le retire tout plein de cette matière blanchâtre.— Oui, je sais, mais c’est Ă cause de vous ! J’ai très envie, maintenant ! Venez, je vous en supplie !En d’autres temps, une femme plus jeune se positionnant comme ça devant moi, je lui aurais bouffĂ© le clitoris, mais lĂ cette vieille, avec ses bourrelets, ses seins qui tombent maintenant de chaque cĂ´tĂ© de sa poitrine, non, merci bien !Je bande quand mĂŞme de plus en plus Ă cette vue de sexe ouvert, et je n’ai qu’une trouille, hormis les maladies, c’est qu’elle se mette Ă gueuler Ă ameuter le quartier ! Je sais qu’à l’étage, il y a un couple d’une cinquantaine d’annĂ©es, et je veux faire ça en toute discrĂ©tion. Au moins, la pipe ça se passait bien !— Venez, j’ai envie, rĂ©pĂ©ta-t-elle Ă plusieurs reprises.Je fais un rapide aller-retour dans le coin toilette, et Ă l’aide d’un gant humide, je lui nettoie l’entrĂ©e du vagin, allant mĂŞme jusqu’à rouler le gant pour essuyer ces pertes blanches. Je remarque que lorsque je ressors le gant de son vagin – il est entrĂ© de quelques centimètres – des fils de jus transparents le suivent. Je pose le gant sur le lit, et me penchant en avant, je prĂ©sente ma queue en face de son sexe qu’elle maintient toujours largement ouvert.Je n’ai mĂŞme pas Ă pousser, elle se cambre, d’une façon Ă©tonnante, et ma queue est aspirĂ©e dans un milieu chaud, lubrifiĂ©, et pour tout dire très agrĂ©able ! Elle a Ă prĂ©sent lâchĂ© ses lèvres, et ses mains sont posĂ©es sur mes bras, tandis que je lui imprime de classiques mouvements de va-et-vient au plus profond de son ventre de vieille.Elle ferme les yeux, mais moi, je n’ai toujours pas envie de l’embrasser, surtout que, regardant de près, je dĂ©couvre au coin de ses lèvres, des traces de mon sperme, et ce n’est pas trop mon genre de faire bisou-bisou après la pipe ! Mais il faut dire qu’elle semble apprĂ©cier la prĂ©sence de ma queue en elle, ses mains se crispent une première fois sur mes fesses, ses ongles rentrant dans le gras de celles-ci, et deux ou trois coups de reins violents suivis d’un « Oui oui oui » : elle vient d’arriver. Je poursuis encore quelques coups et c’est Ă mon tour de lâcher, dans son vagin cette fois, ma deuxième dĂ©charge de la soirĂ©e !Et elle mouille, elle mouille. Je sens mes bourses devenir moites. Un coup d’œil pour voir s’il s’agit de cette crème blanche vue au dĂ©but : non, elle perd de l’urine ! Je me retire vivement et, prenant le gant – heureusement qu’il n’est pas loin – je l’applique sur son sexe bĂ©ant, le mĂ©at situĂ© près de son clitoris laisse s’écouler de l’urine, tandis que de son vagin s’écoule ma semence et peut-ĂŞtre aussi ces pertes blanches, le tout mĂŞlĂ© en un liquide visqueux !Elle applique le gant sur son sexe, tandis que je me dĂ©pĂŞche d’aller me rincer la queue afin de prĂ©venir je ne sais quelle infection !Elle arrive derrière moi, et le plus naturellement du monde s’installe sur la cuvette des WC et se met Ă uriner. Elle doit avoir une sacrĂ©e envie, car le flot fait un bruit de cascade et dure un bon moment. Tout cela sans dire un mot. Ma queue lavĂ©e et essuyĂ©e se trouve, de par la position relative du lavabo et des WC, Ă hauteur de son visage. Je tente bien de la lui prĂ©senter, espĂ©rant qu’elle la prendra une nouvelle fois dans sa bouche, mais non, elle tourne la tĂŞte.Elle s’essuie, se lève et revient toujours sans dire un mot dans la chambre, oĂą elle se revĂŞt de sa chemise de nuit. Je ne sais pas trop quoi dire ; il est vrai que je viens d’avoir une pipe d’enfer, de la satisfaire Ă son tour, que demander d’autre ! Elle ouvre la porte et me dit simplement, avant de la refermer :Je l’entends rentrer chez elle et fermer sa porte. Je n’ai qu’à nettoyer un peu, laver le gant plein d’urine et de sĂ©crĂ©tions et une petite demi-heure plus tard, je dors.C’est le lendemain, au petit-dĂ©jeuner, que je prends vraiment toute la mesure de ce qui m’est arrivĂ©. Je descends en gĂ©nĂ©ral vers sept heures, et Louisette arrive invariablement vers sept heures et quart. Elle s’installe Ă sa place habituelle, sur la table voisine de la mienne. Pas un mot, pas un regard, aussi revĂŞche que les autres jours, alors que nous sommes seuls dans la petite salle Ă manger. C’est en la regardant d’un autre Ĺ“il, ce matin-lĂ , que je me dis que quand mĂŞme, j’ai bien peu de goĂ»t : elle est effectivement pas du tout attirante, et pourtant je me dis que cette bouche, entourĂ©e de poils noirs, m’a procurĂ© une douzaine d’heures plus tĂ´t un sacrĂ© plaisir, comme quoi… Sur ce, je termine mon cafĂ©, et je vais Ă ma journĂ©e.Le soir venu, lorsque je rentre, j’entends la tĂ©lĂ©vision dans sa chambre. Je me douche, et je vais ensuite, comme souvent, dĂ®ner en ville. C’est en revenant vers dix heures qu’à peine entrĂ© dans ma chambre, je l’entends frapper de nouveau Ă la porte. Ce soir, elle est habillĂ©e comme je l’ai vue le matin, c’est-Ă -dire avec une robe de coton.Elle entre, je referme ma porte derrière elle. Elle me regarde en souriant :— On recommence ? Ça m’a bien plu, vous savez. Cela fait plus de dix ans que je n’avais pas eu un homme.Je suis stupĂ©fait. C’est Docteur Jekyll et Mister Hyde, du moins au fĂ©minin ! Le matin pas un regard, et le soir elle vient chercher son petit plaisir ! Je suis pris au dĂ©pourvu, mais je me reprends vite :J’essaie de l’attirer contre moi, mais elle se refuse. Elle entreprend alors de dĂ©boutonner sa robe, et de la faire glisser. Strip-tease de vieille ! On aura tout vu ! Je me recule lĂ©gèrement, et admire – si on peut dire – ce spectacle. Elle porte sous sa robe une combinaison de couleur chair, comme on dit, mais assez transparente tout de mĂŞme pour que l’on aperçoive au travers qu’elle a une espèce de combinĂ© qui fait soutien-gorge, gaine et porte-jarretelles, car elle a des bas. Elle Ă´te sa combinaison comme elle a, la veille, enlevĂ© sa chemise de nuit. Elle n’a plus que ce combinĂ© et une culotte blanche, la mĂŞme que celle que j’ai aperçue sur la chaise, chez elle, lorsque j’y suis allĂ©. Elle la pose, après l’avoir pliĂ©e soigneusement, sur sa robe tout aussi bien pliĂ©e, sur une des deux chaises qui meublent ma chambre.Je n’ai jamais vu un tel spectacle ! Pas un mot. J’ai l’impression qu’elle se dĂ©shabille comme si je n’existais pas, comme elle doit le faire chaque soir dans sa chambre. Elle continue, en faisant glisser sa culotte, la pose sur la combinaison, et lĂ , lorsqu’elle se tourne, je dĂ©couvre quelque chose que je n’ai jamais vu : ses fesses serrĂ©es par cette gaine, avec ses jarretelles tenant ses bas tendus Ă en craquer, tout cela m’excite prodigieusement. Je ne peux me retenir, et ma main se pose sur ces fesses rebondies sous la gaine. Elle ne dit rien ne bouge plus : elle attend mes caresses, Ă prĂ©sent.Je pose la seconde main sur l’autre fesse et commence Ă les lui masser. Elle pose ses mains sur le dossier de la chaise, et ainsi penchĂ©e en avant, elle offre Ă mes yeux une vue nouvelle sur son sexe. Vu de derrière, je distingue ses lèvres noires et charnues. En fait, la surface de chair qui m’est offerte est très rĂ©duite, entre le bas et la gaine, c’est tout. Je lui Ă©carte lĂ©gèrement les jambes, elle se laisse faire ! Le plus compliquĂ© pour moi, c’est de dĂ©faire mon pantalon et mon slip, car j’étais encore habillĂ© lorsqu’elle est entrĂ©e. Comme la veille, je pose mon index entre les bourrelets formĂ©s par ses lèvres, et je pousse : il y entre sans forcer. Quelques allers-retours plus tard, je le ressors, mais lĂ , pas de pâte blanche, comme la veille. Son sexe est propre, ce soir. Il ne m’en faut pas plus, si ce n’est qu’elle se dĂ©place, d’elle-mĂŞme, posant ses mains sur le bord du lit, plus stable que la chaise, Ă©cartant ses jambes autant que la gaine le lui permet, et c’est pas mal ! Je remplace avantageusement mon index par ma queue, et lĂ , plaisir, jouissance, un sexe serrĂ©, humide, chaud, des contractions internes amplifiant mon plaisir. Chacune de mes poussĂ©es se traduit par des ondes sur la partie visible de ses fesses, ondes qui s’arrĂŞtent Ă la limite de la gaine, mais la pĂ©nĂ©tration se limite aussi par ce butoir contre lequel mon ventre se heurtait.Et toujours pas un mot, simplement quelques gĂ©missements très faibles, lorsque ma queue entre au maximum permis par ses fesses. Au bout d’un moment de cette position, je veux changer, et je me retire.— Continuez, encore, c’est trop bon comme ça, dit-elle, Ă peine ma queue est-elle ressortie.Je vois alors, en prenant un peu de recul, son sexe ouvert. C’est lĂ que je comprends que chez les vieilles, le vagin Ă©tant moins souple, il reste bĂ©ant lorsqu’on se retire. Cette vue m’excite et je m’amuse Ă glisser ma queue, la retirer, mais elle me demande de rester : elle attend que je l’inonde. Je l’attrape alors par les hanches et je la dĂ©fonce de plus belle, jusqu’à ce que mon sperme s’épande en elle en longues giclĂ©es. Les « Oui, oui » qu’elle prononce, sans parler de certaines contractions ressenties m’indiquent qu’elle est arrivĂ©e, elle aussi.Je me retire, tandis qu’elle se laisse aller sur le lit, allongĂ©e en travers, son sexe tout gluant de mon sperme qui coule. Je pense alors Ă l’urine : si elle pisse maintenant, elle inonde mon lit ! Aller expliquer ça Ă la mère Dutier ! Mais non, c’est juste mon sperme qui coule, d’autant plus que je ne l’ai pas dĂ©chargĂ© complètement au fond, mais plutĂ´t Ă l’entrĂ©e. Je lui passe un coup de gant entre les cuisses, puis elle se relève. Elle reprend alors sa robe, la passe et, prenant sa combinaison et sa culotte Ă la main, elle repart. C’est au moment oĂą elle ouvre la porte qu’elle se retourne et me dit :La porte refermĂ©e je reste un moment Ă me demander ce qu’elle cherche. Je me douche pour la seconde fois de la journĂ©e, et je m’endors.Je suis restĂ© encore six semaines chez la mère Dutier. Tous les soirs, je dis bien tous les soirs, Ă l’exception des week-ends oĂą je rentrais Ă Nantes, elle est venue. Pipe, baise, parfois les deux, mais jamais elle n’a passĂ© la nuit dans la chambre. Cela s’est toujours passĂ© entre dix heures et minuit, et toujours aussi peu de paroles.Je suis reparti Ă Nantes, je ne savais mĂŞme pas quel âge elle avait.En tout cas, Ă de nombreuses reprises, je n’ai pas honte de le dire, j’ai pris beaucoup de plaisir Ă me faire sucer par cette bouche, mĂŞme si elle avait de la moustache.