LA PENSION DE TOUS LES VICES.
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Je suis soubrette dans la pension de Madame Jeanne, une
belle femme de 38 ans. Je dois m’occuper de ses six chambres occupées par nos
pensionnaires.
Il y a d’abord Monsieur Christophe, un bellâtre d’une
trentaine d’années aux mains baladeuses.
Mademoiselle Sophie, une très belle fille de 25 ans.
Mon préféré Patrick, un beau jeune homme à peine majeur.
Monsieur Frédéric, un rentier assez moche.
Les demoiselles Jeanne et Sylvie, deux lesbiennes qui ne
s’en cachent pas.
Et enfin un représentant de commerce, Monsieur Thomas.
Pour compléter le tableau, il y a le cuistot Marc, un
coureur de première.
Et enfin moi-même, je me prénomme Micheline, j’ai 23 ans,
pas mal de ma personne.
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Au fil du temps, des habitudes et des codes se sont
Ă©tablis entre les hĂ´tes de la pension.
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Mademoiselle
Sophie.
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Ca fait plusieurs fois que Marc, le cuistot me drague,
jusqu’à maintenant je n’ai jamais voulu lui céder.
Je viens de rompre avec mon petit ami que j’ai surprit en
galante compagnie et je veux me venger avec le premier mâle venu.
Alors pourquoi-pas avec Marc ? Je vais pouvoir
constater si sa réputation n’est pas usurpée.
Je l’ai invité discrètement à me rejoindre dans ma
chambre.
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Je lui explique que ce n’est que sexuel et lui demande de
se débarrasser de son pantalon et de me montrer ce qu’il cache en dessous.
Mais il ne veut pas que ça se passe comme ça, il s’approche
de moi et me prend dans ses bras, je sens sa cuisse droite qui se presse plus
Ă©troitement contre mon entrejambe dont la chaleur traverse le fin tissu de la
robe. J’ai un gémissement sourd en sentant contre mon ventre une bosse dont la
présence m’émeut.
Il soupire sous la poussée de son désir, mordille mes
lèvres tendues, effleure la peau satinée d’une joue, embrasse une oreille et me
murmure.
– Comme vous avez la peau douce.
Il me ferme la bouche d’un long baisé tout en étreignant
des deux mains ma poitrine orgueilleuse…
Je gémis un peu, il me pousse doucement sur le lit et se
couche complètement sur moi, frottant sa braguette tendue contre mon pubis…
 Il me caresse
tendrement, laissant errer sa bouche sur mes seins, Ă mĂŞme le voile de la robe,
il sent la dentelle de mon soutien-gorge.
Sa main se pose sur une cuisse nue Ă la chair tendre, et
remonte peu Ă peu, sentant mon corps se raidir.
Ses doigt glissent sur le slip, s’introduisent hardiment
sous l’élastique, trouvent mes poils pubiens. Un doigt insistant écarte
doucement mes lèvres serrées sur la
vulve qui suinte peu Ă peu.
Je suis attentive à la lente montée de mon désir tandis
qu’un doigt habile fait vibrer mon tendre bourgeon qui s’érige sous la caresse.
Il frôle de nouveau ma vulve bombée puis enfonce
brusquement son doigt dans mon vagin humide, je cambre les reins. Je
l’encourage :
-Oui … Oui… Continue !
D’un geste prompt, il dégrafe sa braguette dégageant son
sexe à peine gonflé. Sa main écarte doucement mon slip et d’une étreinte plus
appuyée, il place son gland contre ma vulve.
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Mais je veux avant l’acte découvrir de mes yeux ce sexe
qui va mettre cocu mon ex.
Je suis sans voix quand apparaît sous mon regard son
sexe, le cuisinier a une bite énorme, toute en longueur !
Il cachait bien son jeu. Je reprends l’initiative devant
ce sexe démesuré et commence à le branler pour le voir se dresser.
Je suis allongée sur le lit de ma chambre d’hôtel, nue,
en train de m’émerveiller de la virilité exorbitante du cuisinier.
Ce gars a une bite d’âne toute en finesse. Je caresse ce
sexe énorme qui prend une taille démesurée dans ma main.
 Je branle cette grosse
pine Ă deux mains. Son gland est Ă©pais et je le renifle pour en prendre plein
les narines. J’aime sentir l’odeur de la bite excitée.
J’ouvre ma bouche, sors ma langue douce et gobe son gland
qui continue de grossir.
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-Vous avez une belle bouche, Madame.
Il a pris ma nuque qu’il rabat sur sa tige pour que je le
suce. Ma bouche est trop petite pour gober entièrement sa queue.
J’ai la bouche pleine et il pousse sur ma tête pour
enfoncer son engin dans ma gorge.
Arrivée au trois-quarts de sa queue, je lui fais signe de
stopper, car je ne peux avaler un centimètre de plus. J’ai son gland qui touche
mes amygdales.
Je commence Ă le sucer avec passion.
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Il me défonce la mâchoire. Pour me faire mieux goûter sa
bite, il décide de passer en position de 69 et cela lui permet de me bouffer la
chatte qui s’impatiente.
J’ai eu une bouffée de chaleur qui me fait couler de la
mouille en abondance.
 Il boit à la
source. Mais il va falloir lui donner accès désormais à ma chatte avec sa bite
démesurée.
Il s’est relevé et a placé un coussin sous mon dos. Cela
a surélevé ma croupe qui est mieux offerte. Il doit avoir l’habitude de manier son
terrible engin!
La verge me pénètre d’un trait au plus profond, et je
pousse un cri rauque…
Ses hanches commencent Ă se tendre en cadence, mon vagin
se contracte pour mieux aspirer la verge dure. Il me fouille Ă grands coups de
son dard.
J’ai la tète renversée sur l’oreiller, tandis que la
longue verge, se frayant un passage entre les parois humides, me pénètre d’un
coup jusqu’au plus profond…
Ma cavité humide aspire son membre, je me tords sous lui,
il n’y a plus que soupir et gémissement, au rythme des mouvements qui tendent
alternativement nos corps l’un vers l’autre.
Le sexe épais émerge un peu de mon fourreau, puis s’y
glisse à nouveau, toujours plus loin, toujours plus fort…
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Il  se retire et frotte
sa queue sur ma chatte. Son gland s’engouffre avec une facilité déconcertante
dans mon vagin qui a prit ses dimensions. Je me sens toute de mĂŞme remplie bien
comme il faut. J’ai le souffle coupé.
 Il se met Ă
onduler son bassin et Ă faire des va-et-vient qui me donnent chaud au ventre.
Le gars s’enfonce au plus profond de ma chatte et ses
petites couilles tapent sur mon anus.
Il me lime pendant un moment puis me fait mettre  en levrette. Je sens encore mieux sa longue
bite me perforer la chatte et le vagin.
Il me pilonne maintenant comme une chienne et je me sens
vraiment comme une esclave qui ramasse des coups de bites surpuissants. Je me
cramponne au lit pour mieux le sentir et recevoir ses coups de reins.
Il me baise ainsi, sauvagement pendant un temps infini et
me laisse pantelante, épuisée, frissonnante d’amour…
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J’ai joui je ne sais combien de fois avant que mon amant
ultra membré ne se retire et me mette sa bite dans la bouche. Il s’est branlé
et a joui. Son éjaculation est proportionnelle à la taille de sa queue. J’ai la
bouche pleine de son foutre chaud. J’ai tout avalé pour ne rien gaspiller.
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Marc est parti sans rien dire et je ne l’ai revu que le
lendemain.
Quand j’ai croisé son regard, je suis devenue toute
rouge.
Je ne sais pas si les autres pensionnaires s’en sont
rendu compte.
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