La petite Fabienne, avait eut une « Ă©ducation » sexuelle prĂ©coce. benjamine d’une famille qui ne comptait que des garçons, et avait rapidement constatĂ© qu’elle n’Ă©tait pas exactement constituĂ©e comme eux. Dès qu’il l’avait jugĂ© assez grande, c’est Ă dire vers six ans, alors qu’il en avait quatorze, Pierre, l’aĂ®nĂ© de ses frères l’avait prise en main, si l’on peut dire…Enfin comme dans la chanson de Gainsbourg, Fabienne avait appris à « aimer les sucettes ». Bien plus tard, vers ses onze ans, son père s’Ă©tait chargĂ©, sans mĂ©nagement de « l’introduire » aux choses sĂ©rieuses. A la mort prĂ©maturĂ©e de ce dernier, l’un de ses oncles, sans doute lassĂ© de sa concubine, lui avait mis le grappin dessus, et le chibre dans sa fente dĂ©jĂ bien rodĂ©e!Lorsqu’Ă treize ans elle venait tout juste d’ĂŞtre « rĂ©glĂ©e » elle s’Ă©tait presque aussitĂ´t retrouvĂ©e enceinte, mais elle n’aurait su dire duquel, de son oncles ou de ses trois frères qui la prenaient Ă tour de rĂ´le et Ă qui mieux-mieux. DĂ©sirant ne pas ĂŞtre inquiĂ©té » par un chiard de plus l’oncle Marcel l’avait confiĂ© aux soins d’une bonne femme qui s’Ă©tait chargĂ©e d’arranger l’affaire. Mais un sĂ©jour Ă l’hĂ´pital, pour cause d’infection s’en Ă©tait suivit.C’est au cours de ce sĂ©jour, que Fabienne avait enfin connu pour la première fois la douceur. La jeune sĹ“ur infirmière chargĂ©e de ses soins, emportĂ©e par un Ă©lan qui n’eut vite plus rien de religieux, lui enseigna tout le savoir qu’elle avait retenu de son noviciat!Fabienne apprĂ©cia les attouchements experts et dĂ©licats des doigts de fĂ©e de sĹ“ur Marie-CĂ©cile, et plus encore les caresses linguales et autres lichettes de la jeune religieuse. Dès que la religieuse avait compris qu’elle pouvait faire confiance Ă sa jeune patiente, elle avait renoncĂ© au port de la culotte, de telle sorte que lorsque Fabienne se glissait sous sa robe, aucune entrave ne s’opposait aux diverses câlineries qu’elle dispensait avidement Ă sa bienfaitrice. Si celle ci apprĂ©ciait ces gâteries, elle ne les avait jamais sollicitĂ©s et se serait bien gardĂ©e de les avoir mĂŞme suggĂ©rĂ©es.Au cours du printemps qui avait suivi leur rencontre, Marie-CĂ©cile avait enfin eut l’occasion lors d’une brève permission de sortie d’emmener sa protĂ©gĂ©e pour une escapade dans la vallĂ©e de la Creuse. Elle avait finalement dĂ©nichĂ© une petite clairière isolĂ©e dans laquelle elle avait quittĂ© l’ensemble de ses vĂŞtements et Fabienne l’ayant imitĂ© sans la moindre hĂ©sitation elles s’Ă©taient donnĂ©es mutuellement, rĂ©ciproquement et simultanĂ©ment de la joie se livrant Ă des soixante neuf aussi passionnĂ©s qu’effrĂ©nĂ©s.Pour leur malheur un paysan qui passait par lĂ , et qui avait surpris leurs Ă©bats rĂ©clama pour le prix de son silence qu’elles lui dispense chacune une faveur. Fabienne, vu sa jeunesse en fut quitte pour une « turlutte », mais il l’obligea quand mĂŞme Ă tout avaler et Ă lui lĂ©cher la queue pour qu’elle fut bien nette avant d’honorer la « bonne-sĹ“ur ». Quand ce fut le tour de Marie-CĂ©cile, il lui dit de prendre son « cierge » dans la main lui prĂ©cisant que ce cierge lĂ donnait neuf mois plus tard des petits « Capucins ». Marie-CĂ©cile subit l’assaut du rustre sans broncher, couchĂ©e sur sa robe de nonne. Pour mieux assurer, la saillie qu’il Ă©tait conscient d’effectuer, le mĂ©crĂ©ant « remit le couvert » et tringla une seconde fois la nonne. Et pour ĂŞtre sĂ»r que ses Ĺ“uvres porteraient leur fruit, il exigea que « la « bĂŞte Ă Bon dieu » reste allongĂ©e, pour laisser Ă sa semence « le temps de germer » dit-il, ce n’est qu’après une heure interminable qu’il consentit Ă lever le camp. Non sans Ă©ructer, dans un rire graveleux, s’adressant Ă la nonne : Tu as pĂ©chĂ© par la queue, par la queue le diable te punira ».Fabienne revit une dernière fois Marie-CĂ©cile Ă travers les grilles de l’hĂ´pital fin septembre la veille de la rentrĂ©e des classes, au cours de cette ultime et brève rencontre la none lui apprit que le bonhomme avait rĂ©ussit son forfait, il l’avait bel et bien engrossĂ©e. Plus jamais Fabienne ne devait la revoir ensuite.On comprend mieux ainsi pourquoi dès ses quatorze ans, nantie de son certificat d’Ă©tudes, pour Ă©chapper aux mâles dĂ©pravĂ©s de sa famille avait saisi la première occasion pour quitter Argenton.Un couple de charcutiers parisiens, dont le mari Ă©tait originaire du village natal de sa mère, qui recherchait une jeune fille pour s’occuper du mĂ©nage et de leurs deux jeunes enfants l’avait engagĂ©e, ce qui avait mis fin Ă son esclavage sexuel. Enfin, en partie seulement, car Pierre Hardouin, le charcutier, brave homme au demeurant ne resta pas longtemps insensible Ă l’attrait de la jeune soubrette. A sa dĂ©charge, il faut reconnaĂ®tre qu’il sut y mettre les formes, complĂ©tant sans rechigner le salaire de son employĂ©e en lui glissant rĂ©gulièrement chaque fin de semaine un gros billet distrait dans la caisse. De plus il Ă©tait doux et prĂ©venant avec la jeune fille. Il ne rĂ©clamait aucune pratique particulière. Ils faisaient l’amour Ă la papa, et elle avait mĂŞme droit au lit conjugal, dès que madame Hardouin s’absentait un tant soit peu pour rendre visite Ă sa famille ou Ă une amie. Il y avait bien quelques petites exceptions Ă la règle, Fabienne y prenait mĂŞme du plaisir, par exemple se faire besogner ardemment dans l’arrière boutique, alors que madame continuait Ă servir les clients et tenir la caisse, pendant que monsieur batifolait, pistonnant la jeunette avec un bel entrain, après lui avoir brouter la minette, pour la prĂ©parer Ă le recevoir en douceur. Monsieur Hardouin, ayant particulièrement apprĂ©ciĂ© cet Ă©pisode, offrit Ă sa « petite amoureuse » une jolie parure de lingerie fine, soutien gorge, petite culotte et porte-jarretelles blancs ainsi qu’une paire de bas nylon chaire.Madame Ă©tant partie accompagner les enfants chez leurs grands-parents maternels pour les vacances de Pâques, Fabienne eut droit Ă la chambre conjugal quatre nuits de suite, quatre folles nuits d’Ă©bats amoureux. Enhardie par l’expĂ©rience, elle initia son patron amant Ă de petites variantes. « VĂŞtue » de son seul ensemble de lingerie coquine, et encore sans la culotte, elle se fit prendre en levrette par le brave père de famille qui n’avait droit avec sa lĂ©gitime, et encore seulement de loin en loin, Ă la position du missionnaire, dans le noir, revĂŞtue de sa longue chemise de nuit, dont il avait juste droit de ne remonter que le stricte nĂ©cessaire. C’est un Pierre Hardouin particulièrement en forme qui lui bourra le cul, avec une fougue et une violence qu’il avait jusqu’alors contenue. Dans la force de l’âge il Ă©jaculait sans retenue dans cette petite vulve chaude douce et bien serrĂ©e. Il lâcha six longs traits, saccadĂ©s de sperme dans la chatte de sa jeune maĂ®tresse. Il Ă©tait ivre de bonheur, de possĂ©der ce jeune corps et fier que cette gamine s’offre Ă lui sans jamais rechigner.Cette sensation Ă©tait en quelque sorte partagĂ©e, car en son for intĂ©rieur l’adolescente, dont la vie sexuelle avait commencĂ©e sordidement sentait confusĂ©ment qu’elle avait barre sur cet homme. Si elle ne songeait nullement Ă abuser de la situation, elle avait compris qu’elle tenait son amant par la queue; d’ailleurs sur l’oreiller, le charcutier ne lui avait pas cachĂ© qu’il n’avait Ă©pousĂ© sa femme que pour l’argent de ses parents, riches marchands de bestiaux creusois. Au lit ce n’avait jamais Ă©tĂ© une affaire. « Maintenant que je t’ai ma petite poulette, je suis le plus heureux des hommes. Toi, tu me fais jouir ma petite chatte ».Fabienne, Ă©tait aussi fière de la paire de cornes qu’elle avait fait pousser sur le front de cette patronne que, qui sait, elle remplacerait peut ĂŞtre dĂ©finitivement et officiellement. Car par petites touches, sans se presser elle apprivoisait son charcutier, lui accordant de plus en plus ces plaisirs charnels dont il n’aurait jamais pensĂ© bĂ©nĂ©ficier de la part d’une femme, surtout pas de son Ă©pouse au cul revĂŞche. C’est ainsi que le jour ou le brave Pierre connut une lĂ©gère dĂ©faillance, sans avoir l’air d’y toucher elle l’initia aux « subtilitĂ©s linguales ».S’il n’avait jamais songĂ© Ă lui demander une gâterie, il fut transportĂ© par le rĂ©confort que la subtile fellation de la jeune fille lui apporta. D’autant qu’emportĂ© par l’Ă©lan, et l’intense excitation aidant il ne put se retenir au dernier moment… Fabienne qui en avait hĂ©las vu bien d’autre avala la semence de son bienfaiteur et lui toiletta le jonc sans hĂ©siter, insistant bien sur le gland violacĂ©, titillant le frein avant de reprendre position sur son partenaire afin qu’il l’enfile comme si rien ne s’Ă©tait passĂ©. Assise sur les cuisses de son amant, elle l’avait alors chevauchĂ© lascivement jusqu’Ă ce qu’il Ă©clate, cette fois ci dans sa chaude cramouille. Il se confondit en mot doux et caresses affectueuse, et ils s’endormirent du sommeil du juste, comme mari et femme, dans le lit de moins en moins conjugal.Le lendemain lundi, jour de fermeture hebdomadaire, le brave Pierre laissant sa petite bonne vaquer Ă ses occupations professionnelles, c’est Ă dire aux tâches domestiques, dont elle s’acquittait avec conscience sans faille partit, comme Ă son habitude ces jour lĂ vers neuf heures du matin. Lorsqu’il revint vers douze heures trente il l’embrassa amoureusement, et lui ayant demandĂ© de fermer les yeux, il en profita pour lui passer Ă l’annulaire gauche un anneau d’or serti d’un minuscule saphir. Comme elle allait lui sauter au cou, il s’excusa de la taille « ridicule » de la pierre, en lui prĂ©cisant que ce n’Ă©tait pas par souci d’Ă©conomie qu’il l’avait choisi ainsi, mais lui montra-t-il en faisant lĂ©gèrement pivoter la bague, parce qu’en fait cet anneau Ă©tait ainsi comme une alliance, l’alliance que l’homme passe au doigt de la femme qu’il Ă©pouse. Est-il nĂ©cessaire de dire que l’après midi de la jeune « Ă©pousĂ©e » fut beaucoup moins laborieuse que sa matinĂ©e et qu’elle ressembla beaucoup plus Ă une nuit de noces! Commençant par un soixante neuf somptueux, il la prit cinq fois avant de l’emmener dĂ®ner dans un petit restaurant des Halles de bonne tenue oĂą personne ne risquait de les reconnaĂ®tre.Cela faisait maintenant trois ans que notre Fabienne Ă©tait arrivĂ©e Ă Paris. Elle allait sur ses dix huit ans et Ă©tait devenue une belle jeune fille. Pierre qui lui aussi pensait Ă l’avenir, avait exigĂ©e qu’elle suive des cours du soir; elle avait ainsi appris les bases de la comptabilitĂ©. Il faut dire que pendant ce temps lĂ , il n’Ă©tait pas tentĂ© de la rejoindre dans la chambrette sous les toits, chambrette dont au fil des mois il avait gĂ©nĂ©reusement amĂ©liorĂ© le confort pour en faire un petit nid douillet digne de la mignonne dont il Ă©tait toujours très enamourĂ©.Cet Ă©tĂ© de 1960, madame Ă©tait partie pour le domaine paternel, avec les enfants dès le dĂ©but de juillet, Pierre devant la rejoindre en aoĂ»t pendant les trois semaines de fermeture annuelle du commerce. Le jour du quatorze juillet la belle-mère affolĂ©e tĂ©lĂ©phona pour prĂ©venir que sa fille avait fait une chute de cheval et s’Ă©tait fracturĂ© le bras droit. Pierre dĂ©cida de profiter du week-end suivant pour descendre au chevet de son Ă©pouse. Il ferma exceptionnellement la boutique dès le samedi après-midi et après un dernier câlin amoureux Ă sa jeune maĂ®tresse prit la route au volant de sa DS. Il escomptait que son arrivĂ©e prĂ©vue seulement dans la matinĂ©e du dimanche serait pour sa Lucienne une surprise apprĂ©ciĂ©e.La surprise fut en effet totale, puisqu’en pĂ©nĂ©trant, tout doucement avec mille prĂ©cautions dans la chambre de Lucienne, il trouva celle-ci agenouillĂ©e, vĂŞtue d’une nuisette aussi vaporeuse que courte, entrain de pratiquer une fellation Ă un homme, bien fait, dont le pantalon reposait sur les chevilles! Il identifia presque instantanĂ©ment l’heureux Ă©lu, le compte Bernard de Vandeuvre. Presque aussi instantanĂ©ment il rĂ©alisa quel bĂ©nĂ©fice il allait pouvoir tirer de cette « infortune».C’est donc en Ă©poux outragĂ© qu’il la leur jouât. Le comte, chevaleresque, très maĂ®tre de lui « rectifia la position » pour se placer en protecteur devant Lucienne, la bite fièrement dressĂ©e et encore toute engluĂ©e de la noble semence qu’il venait de lâcher dans la bouche de sa roturière mie. RĂ©alisant Ă son tour le ridicule de la situation, il remonta prestement son pantalon. Toute fois le hurlement calculĂ© poussĂ© par Pierre avait rapidement attirĂ©, belle-mère et beau-père qui Ă dĂ©faut de pouvoir contempler de visu la quĂ©quette titrĂ©e, ouvraient des yeux stupĂ©faits dont Pierre n’aurait su dire si c’Ă©tait l’importance de la bosse du pantalon de Monsieur, ou le fait que la langue de leur fille chĂ©rie continue Ă lĂ©cher la traces de la noble semence qui dĂ©goulinait de part et d’autre de la commissure des lèvres de leur fifille chĂ©rie.Serrant dignement les poings Pierre mima tout Ă la fois, la fureur, l’incomprĂ©hension et le dĂ©sespoir. Il rĂ©ussit mĂŞme Ă pleurer, dignement au dĂ©part, puis avec des sanglots qui se voulaient contenus. Ses beaux-parents le poussèrent hors de la chambre « maudite » sortant avec lui. Ils l’entraĂ®nèrent dans le salon, non pour consoler leur gendre infortunĂ©, mais pour tenter de recoller les morceaux…Ah, il fut grandiose le mari outragĂ©. Poli aussi, car il mourrait d’envie d’agonir sa belle-mère d’injures et de sarcasmes, de traiter sa fille de traĂ®nĂ©e, de putain, voire de salope. Non Il se contenta, dès qu’il eut jugĂ© q’il Ă©tait temps de cesser ses pleurs, d’expliquer que malgrĂ© tout l’amour qu’il avait toujours Ă©prouvĂ© pour la Lucienne, il ne pourrait jamais pardonner et encore moins poser ses lèvres sur une bouche qui avait Dieu sait combien de fois sucer le… du comte, et qui sait de combien d’autres encore.Comme madame jurait que ce n’Ă©tait pas possible, qu’une mise au point avec Lucienne prouverait qu’il s’agissait en la circonstance d’une faute certes, qui devait s’expliquer en la circonstance, par la chute de cheval… Alors Pierre qui n’avait cessĂ© d’ĂŞtre attentif Ă ce qui se passait et qui avait bien remarquĂ© que personne d’autre qu’eux trois avaient franchi le seuil de la porte de la chambre, se rua suivi des infortunĂ©s parents dans le couloir et ouvrit la porte « bĂ©nite »a volĂ©e. Le spectacle ainsi offert Ă belle-maman et beau-papa, comme Pierre l’escomptait, Ă©tait loin d’ĂŞtre celui d’une repentante tout Ă sa dĂ©solation, Lucienne nullement encombrĂ©e par son plâtre se faisait littĂ©ralement saillir par un cavalier intrĂ©pide, enfin pour ĂŞtre moins lyrique, nous devrions dire, qu’elle se trouvait dans la posture de la jument et le comte dans celle du fier Ă©talon. Comme tout Ă leur besogne ils ne s’Ă©tait Ă l’Ă©vidence pas rendu compte de l’irruption, les parents eurent droit en prime Ă l’expression oratoire, en version non expurgĂ©e que procurait leur transport amoureux aux deux protagonistes.Belle-maman referma la porte. Bien que pour ce qui Ă©tait de la mauvaise foi, son maquignon de beau-père n’aurait pu s’en faire remontrer par personne, il n’essaya mĂŞme plus d’argumenter avec son gendre bafouĂ©. Pas dupe, Pierre se doutait qu’Ă ce point, le vieux devait certainement gamberger sur la façon d’obtenir un arrangement honorable entre sa fille et le comte. Ce qui l’intĂ©ressait, c’Ă©tait de tirer le meilleur parti d’un divorce qui le libĂ©rerait enfin de cette rabat joie de Lucienne.Elle ne revint jamais Ă Paris, pas mĂŞme pour quĂ©rir ses toilettes. Ses bijoux, y compris ceux qu’elle possĂ©dait de longue date, revinrent quasi immĂ©diatement Ă notre petite Fabienne qui les avait bien mĂ©ritĂ©s. Pierre s’empressa de faire ajuster la bague de fiançailles de l’infidèle et au cours d’un dĂ®ner dans un grand restaurant la passa au doigt de la jeune fille. Est-il nĂ©cessaire de prĂ©ciser que dès le retour de son patron, elle avait dĂ©finitivement quittĂ© sa chambrette sous les toits et s’Ă©tait installĂ©e officiellement dans l’appartement. Elle ne changea rien Ă ses habitudes et surtout continua Ă donner le maximum de plaisirs Ă son « homme » . Certes il avait presque le double de son âge, mais il Ă©tait toujours aussi attentionnĂ©, ayant Ă cĹ“ur de la choyer. Leurs Ă©bats loin d’avoir perdu en intensitĂ© les amenaient toujours Ă l’extase. Pierre connaissait maintenant toutes les « positions ». Il l’avait mĂŞme prise dans la boutique, une fois le rideau de fer baissĂ©, sur l’Ă©tal habituellement rĂ©servĂ©e Ă la dĂ©coupe des quartiers de porcs!Pour les dix neuf printemps de sa belle, ils descendirent Ă Argenton, ou ce fut un jeu d’enfant d’obtenir le consentement de sa mère pour le mariage. Quatre mois plus tard, après des jours et des nuits de baise, radieuse, elle annonça Ă Pierre qu’elle Ă©tait enceinte, ce qui hâta leur mariage prononcĂ© discrètement, mais en blanc et mĂŞme bĂ©nit dans une Ă©glise de Fontainebleau par un prĂŞtre, ancien copain de rĂ©giment de Pierre.Après la bĂ©nĂ©diction, alors que le curĂ© et les servants furent partis, les laissant seuls elle aguicha son Ă©poux, flattant son entre jambes jusqu’Ă ce que Pierre n’y tenant plus se laisse dĂ©braguetter. Se saisissant alors du braquemart bandĂ© Ă mort, elle releva sa voilette et entrepris de le sucer. Pierre apprĂ©ciait les fellations depuis qu’Fabienne lui avait rĂ©vĂ©lĂ© ses talents buccaux. Sans oser se l’avouer et surtout le lui dire, le fait de dĂ©charger son foutre dans la bouche de sa jeune compagne Ă©tait pour lui un plaisir intense, une revanche sur sa première et triste expĂ©rience conjugal avec Lucienne.La mariĂ©e qui avait pris soin de ne pas passer de petite culotte pour la cĂ©rĂ©monie, rĂ©cupĂ©ra avec son majeur une partie de la semence et retroussant sa robe largement en enduisit son petit Ĺ“illet, puit guidant le chibre engluĂ© de Pierre vers l’anus offert. Pierre, hĂ©sitant, elle le supplia tout en remuant se petites fesses de l’empaler bien Ă fond. Le sphincter bien engagĂ© par le membre viril de Pierre engloutit bientĂ´t la totalitĂ© de sa bite jusqu’ Ă ce que ses couilles butent sur les fesses de sa partenaire. Sa timiditĂ© vaincue il commença Ă la limer prudemment puis, avec une violence contenue et ne s’arrĂŞta, comme hĂ©bĂ©tĂ©, qu’au moment ou il lâcha sa purĂ©e. Lorsqu’il la libĂ©ra de son emprise, comme elle dĂ©faillait presque, il la pris dans les bras. Elle se laissa porter ainsi jusqu’Ă la voiture, le nĹ“ud de Pierre Ă©mergeant de la braguette Ă©tait par chance cachĂ© Ă la vue des quelques passants par l’ample robe d’Fabienne qui Ă l’oreille lui murmurait des mots doux et lui jura que jamais un autre homme ne la possĂ©derait.Pierre ne voulant pas que sa femme, « la petite patronne » comme il l’appelait se fatigue inutilement, la limita Ă la seule occupation de la caisse. Il engagèrent une bonne Ă tout faire. Fabienne exigea seulement de pouvoir choisir elle mĂŞme la candidate. Elle se dĂ©cida pour une jeune fille de son âge, plate comme une planche Ă pain aux traits ingrats, mais qui se rĂ©vĂ©la ĂŞtre une fille brave, tout Ă la fois dĂ©vouĂ©e et courageuse. Par ailleurs l’affaire tournant bien, Pierre qui avait rachetĂ© les murs et le bail de la petite Ă©picerie voisine, dont les propriĂ©taires dĂ©siraient profiter d’une retraite bien mĂ©ritĂ©e. Il annexa le local et engagea un ouvrier, puis un apprenti.Pendant toute sa grossesse, ils continuèrent leurs habituelles parties de jambes en l’air. Pierre disait en riant qu’il fallait fignoler le travail commencĂ©, simplement lorsque vers la fin le ventre d’Fabienne fut bien rond, il prenait mille prĂ©cautions pour ne pas l’Ă©craser. Elle Ă©tait insatiable, de plus en plus chaude, et le rĂ©veillait parfois en pleine nuit, l’implorant pour qu’il l’enfile encore et encore… Une heure avant qu’elle commence Ă perdre les eaux il la trombonnait encore et c’est l’utĂ©rus empli de sperme qu’il la conduisit Ă la clinique. Elle donna naissance Ă un garçon de sept livres qu’ils prĂ©nommèrent Jean-Pierre comme son papa. Profitant de l’intimitĂ© de sa chambre particulière Fabienne, qui malgrĂ© son Ă©tat, ne voulait pas que Pierre souffre de manque, lui prodiguait une bonne pipe Ă chacune de ses visites bi-quotidienne..Quelques semaines après son retour de clinique, Fabienne surprit involontairement Jeanne dans la salle de bain en train de se caresser face au miroir. Elle ne voulait pas blesser l’adolescente qu’elle sentait confuse. La gamine lui expliqua que laide comme elle Ă©tait, jamais un garçon ne s’intĂ©resserait Ă elle. Fabienne sut trouver les mots pour la rĂ©conforter. Le lendemain elle prit un rendez-vous pour la jeune fille chez sa coiffeuse, en spĂ©cifiant de lui prodiguer ses meilleurs soins pour la rendre aussi belle que possible, lui prĂ©cisant qu’elle passerait payer dès que possible. A son retour Jeanne Ă©tait radieuse, et lorsque Jacques l’apprenti la vit il Ă©mit un sifflement qui en disait long sur la mĂ©tamorphose de sa collègue. La scène n’Ă©chappa pas Ă Pierre que sa jeune femme avait tenu informĂ© du problème de sa bonne.