La petite robe jaune et le sweat noir
Un orage, une voiture qui refuse d’avancer, un jeune homme qui lui porte secours, LĂ©a n’imaginait pas que son week-end se terminerait ainsi.
Proposée le 9/08/2015 par Marc Paul Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: ParkingType: Roman
LĂ©a roulait seule dans sa petite voiture sur une route des Landes en direction de Bordeaux.Elle avait quittĂ© Mont-de-Marsan en fin d’après-midi pour rentrer chez elle. Comme chaque dimanche, LĂ©a se prĂ©parait Ă passer une partie de la semaine seule, cela la rendait triste, mĂŞme si elle aurait dĂ» ĂŞtre habituĂ©e après plus de 30 ans de mariage avec un voyageur commercial. HervĂ©, son mari, Ă©tait très souvent, trop souvent absent, son secteur couvrait tout le sud-ouest et le gardait Ă©loignĂ© de la maison 3 Ă 4 jours par semaine. Elle venait de passer le week-end chez sa belle-mère avec son mari. Celui-ci ayant Ă faire Ă Toulouse Ă©tait restĂ© avec sa maman mais LĂ©a devait rentrer car elle travaillait le lendemain.LĂ©a n’avait pas pu avoir d’enfants et elle occupait les jours d’absence de son Ă©poux avec son travail, la tĂ©lĂ©, ses amies et une association culturelle. Outre la solitude, LĂ©a souffrait aussi du manque de sexe. LĂ©a Ă©tait une « sensuelle » comme disait HervĂ© en riant. Bien sĂ»r quand, il Ă©tait lĂ , ils faisaient l’amour tous les jours parfois mĂŞme deux fois par jour le week-end mais cela ne lui suffisait pas. Sa meilleure amie avait mĂŞme Ă©tĂ© jusqu’à lui conseiller de prendre un amant, juste pour le plaisir avait-elle dit, mais LĂ©a s’était toujours refusĂ©e Ă cette option. D’abord parce qu’elle trouvait que cela rendrait sa vie compliquĂ©e, qu’elle ne voulait pas trahir la confiance d’HervĂ©, mais aussi parce que l’occasion ne s’était jamais rĂ©ellement prĂ©sentĂ©e. Pourtant LĂ©a Ă©tait plutĂ´t jolie. A cinquante-cinq ans, elle en paraissait presque dix de moins, brune, les cheveux courts, mince et grande, le ventre plat, une taille fine, des jambes bien modelĂ©es, seule sa poitrine un peu menue ne la satisfaisait pas.Elle se masturbait frĂ©quemment, toujours de la mĂŞme façon.L’envie la prenait toujours devant sa tĂ©lĂ©. Elle Ă©tait allongĂ©e sur le canapĂ©, nue sous sa chemise de nuit, une couverture jetĂ©e sur elle. A chaque fois, presque malgrĂ© elle, comme dans un mouvement instinctif, sa main droite glissait sous la couverture et frĂ´lait son ventre. Sa main glissait ensuite sur son pubis Ă©pilĂ© et faisait de lents mouvements circulaires sur son mont de vĂ©nus et Ă chaque fois, après quelques caresses, ses jambes s’ouvraient, sa chatte gonflĂ©e s’épanouissait comme une fleur, et son majeur glissait dans sa fente humide, allait et venait dans cette tendre vallĂ©e, s’introduisait dans son vagin et remontait enfin vers le bourgeon de son clitoris. Sa main gauche se posait alors sur sa poitrine menue et pĂ©trissait ses seins. Le plaisir venant, LĂ©a se couchait alors Ă plat ventre, une main sur la chatte, l’autre sur son sein et jouissait en donnant de grand coup de reins et en criant son plaisir. Car LĂ©a avait aussi pour particularitĂ© d’exprimer son plaisir par des vocalises sonores. Elle n’y pouvait rien, malgrĂ© ses efforts, et cela faisait beaucoup rire son mari. MĂŞme si cela avait donnĂ© lieu Ă des situations gĂŞnantes quand ils leur Ă©taient arrivĂ©s de baiser Ă l’hĂ´tel, ou chez des amis ou bien dans la famille. La nuit prĂ©cĂ©dente, LĂ©a avait Ă©touffĂ© l’expression de son orgasme la tĂŞte enfouie dans l’oreiller pendant qu’HervĂ© la sodomisait.Le temps Ă©tait Ă l’orage en cette fin juillet, l’air Ă©tait lourd et sa petite robe jaune lui collait un peu Ă la peau. LĂ©a ne portait rien sous sa robe. Elle aimait beaucoup pendant la saison chaude se sentir nue sous une rode. Elle aimait sentir le frottement du tissu sur ses tĂ©tons, le battement de la robe sur ses fesses, mais ce qu’elle apprĂ©ciait le plus c’était la caresse de l’air sur son pubis. Pourtant quand elle Ă©tait partie, elle portait une culotte et un soutien-gorge pour ne pas s’attirer les foudres de belle-maman. Elle avait eu droit le matin mĂŞme Ă une rĂ©flexion Ă propos de la transparence et de la longueur de sa robe, inutile de choquer la vieille dame. Mais dès qu’elle eut quittĂ© la ville elle s’était garĂ©e sur un parking, et Ă l’abri des regards, sans descendre de sa voiture elle avait quittĂ© sa culotte et son soutien-gorge au prix de quelques contorsions.ThĂ©o roulait sur la mĂŞme route que LĂ©a et dans la mĂŞme direction mais quelques kilomètres derrière elle. Interne Ă l’hĂ´pital, il rejoignait Bordeaux, pour dĂ©buter une semaine de garde au service d’urgence, un pĂ©riode Ă©puisante en perspective surtout en cette saison.ThĂ©o n’avait pas rĂ©ellement de relation sĂ©rieuse et suivie avec une fille en ce moment. Sa copine du moment Ă©tait Sophie, une Ă©lève infirmière de 3ème annĂ©e, qui effectuait son stage aux urgences. Alors qu’ils Ă©taient de garde de nuit au dĂ©but du mois, une soirĂ©e particulièrement calme de milieu de semaine, elle Ă©tait en train de descendre Ă la lingerie un chariot de linge Ă laver. Le chariot Ă©tait chargĂ© de 4 ou 5 sacs de linge et elle semblait avoir des difficultĂ©s Ă lui faire franchir le seuil de l’ascenseur. Comme il n’avait rien de particulier Ă faire, ses collègues le biperaient si besoin, et que de surcroit l’infirmière Ă©tait mignonne, il lui proposa son aide.Elle accepta avec un plaisir Ă©vident et une fois dans la lingerie, ThĂ©o eut juste besoin de poser sa main sur son Ă©paule pour qu’elle se jette Ă son cou. Sa blouse fermĂ©e par des pressions se retrouva aussi vite sur un chariot et le soutien-gorge et la culotte de Sophie la suivirent. En quelques minutes, Sophie uniquement vĂŞtue de ses sabots blancs se retrouva accroupie devant ThĂ©o et lui faisait une pipe. Elle tenait sa bite entre le pouce et l’index et ses lèvres coulissaient sur la queue droite et raide. ThĂ©o sentait sa rĂ©sistance diminuer et il releva Sophie pour la plaquer sur un chariot, la tĂŞte entre deux sacs de linge, ses jolies fesses rondes pointĂ©es vers lui. Sophie lui dit d’une voix Ă©touffĂ©e :–J’ai une capote, dans ma blouse, la poche droite. Il fouillât dans la poche, trouva ce qu’il cherchait, dĂ©chira le sachet avec ses dents et enfila le prĂ©servatif d’une seule main, l’autre Ă©tant occupĂ© Ă branler le con de Sophie qui gĂ©missait dĂ©jĂ sous la caresse. Il s’introduit en elle, et fit coulisser d’avant en arrière sa queue bien dure dans son fourreau humide et chaud. Il la baisa en lui tenant les hanches, elle accompagnait ses coups de rein en faisant onduler son bassin. Il la sentit jouir par les contractions qu’il ressentait sur sa queue, les crispations de ses mains sur les sacs de linge et les gĂ©missements Ă©touffĂ©s qu’elle poussa. Il jouit juste après elle en l’attirant vers lui, sa queue plantĂ©e au plus profond de son ventre.Depuis ce jour-lĂ , ils se voyaient, chez lui dans son studio ou bien Ă l’hĂ´pital quand leurs horaires correspondaient. MĂŞme si Sophie lui plaisait, mĂŞme si elle Ă©tait toujours partante pour une petite gâterie, ou une petite baise vite faite dans un local discret de l’hĂ´pital, mĂŞme si elle se donnait sans retenue pendant leurs soirĂ©es torrides, ThĂ©o ne pouvait s’empĂŞcher de douter de la sincĂ©ritĂ© de cette fille. Une question lancinante se posait Ă lui : Sophie Ă©tait-elle une petite salope qui faisait la chasse aux futurs toubibs ? A cause de cela, il limitait leur relation Ă des jeux sexuels.L’orage Ă©clata brutalement, un Ă©clair suivit d’un coup de tonnerre et des trombes d’eau s’abattirent sur la voiture de LĂ©a. Elle fut si surprise qu’elle fit un Ă©cart sur la route mais elle reprit le contrĂ´le de sa voiture, ralentit et alluma ses phares. Elle continua de rouler prudemment jusqu’à ce que sa voiture soit secouĂ©e par un hoquet. Aux aguets, tendue, LĂ©a Ă©coutait le bruit de son moteur qui recommença Ă hoqueter de plus en plus. Il finit par s’arrĂŞter complètement et LĂ©a n’eut que le temps de dĂ©brayer pour se garer en roue libre sur l’accotement. Elle tenta de redĂ©marrer mais ce fichu moteur refusait de fonctionner. Elle essaya de tĂ©lĂ©phoner mais il n’y avait pas de signal dans ce coin perdu des Landes. Elle avait passĂ© le village prĂ©cĂ©dent, il y avait bien un bon quart d’heure et autant de distance la sĂ©parait du prochain. Deux voitures l’avaient dĂ©passĂ©e depuis la panne. Il fallait qu’elle en arrĂŞte une pour au moins aller jusqu’au prochain village. Mais elle ne se faisait pas beaucoup d’illusions sur la possibilitĂ© de se faire dĂ©panner un dimanche soir Ă vingt heures passĂ©.Deux autres voitures passèrent sans s’arrĂŞter. A chaque fois qu’elle apercevait des phares dans ses rĂ©troviseurs, LĂ©a sortait de sa voiture. Elle rentrait ensuite se mettre Ă l’abri de la pluie battante. LĂ©a Ă©tait trempĂ©e, sa fine robe bain de soleil ne la protĂ©geait pas de la pluie et moulait son corps comme une seconde peau, une peau glacĂ©e.ThĂ©o avait Ă©tĂ© lui aussi surpris par l’orage et il roulait plutĂ´t lentement Ă cause de ses essuie-glaces en piteux Ă©tat. Une voiture l’avait dĂ©passĂ© Ă vive allure e klaxonnant, il avait marmonnĂ© entre ses dents :–Pauvre dĂ©bile, continues comme ça et je te retrouverais bientĂ´t sur un brancard. Il aperçut au loin les feux de dĂ©tresse d’une voiture. Il ralentit encore et s’approchant il distingua une silhouette qui sortait de la voiture et lui faisait de grands signes. ThĂ©o s’arrĂŞta, une femme se prĂ©cipita vers lui, il ouvrit sa fenĂŞtre et demanda :–Un problème, je peux vous aider ? –Ma voiture est en panne, mon tĂ©lĂ©phone ne passe pas, vous pouvez m’emmener ? –D’accord, montez ! LĂ©a retourna Ă sa voiture, prit son sac Ă main, et ses affaires de toilettes. Dans sa prĂ©cipitation, elle oublia totalement sa petite valise dans le coffre. Elle jeta tout cela dans le coffre de la voiture de ThĂ©o avant de se rĂ©fugier Ă cĂ´tĂ© de lui, trempĂ©e, frigorifiĂ©e.ThĂ©o reprit la route prudemment et engagea la conversation :–Sale temps pour tomber en panne, moi c’est ThĂ©o et je vais Ă Bordeaux, Et vous ? –Je vais Ă Bordeaux aussi, enfin Lormont pour ĂŞtre prĂ©cise. Moi je m’appelle LĂ©a. Vous pouvez m’emmener jusqu’au prochain village ? –Vu le trou perdu que c’est, je ne crois pas que vous pourrez vous faire dĂ©panner surtout aujourd’hui et Ă cette heure. Vous ne voulez pas que je vous dĂ©pose chez vous ? –C’est gentil mais…C’est au nord de la ville. –Bof, ça ne fait pas un grand dĂ©tour et j’ai tout mon temps. Je prĂ©fère ça plutĂ´t que de vous laisser seule dans un patelin perdu. C’est d’accord ? –D’accord, c’est très gentil. Brrrrr, la pluie n’est pas chaude, je suis glacĂ©e. –Vous devriez vous changer, vous ĂŞtes trempĂ©e, vous allez attraper une pneumonie si vous restez comme ça. –FlĂ»te, j’ai oubliĂ© ma valise dans ma voiture. –Vous voulez que je fasse demi-tour pour la rĂ©cupĂ©rer ? –Non, inutile, je vais rester comme ça. Je n’avais presque rien dedans, juste quelques affaires pour le week-end. –J’insiste, il ne faut pas rester comme ça, vous allez ĂŞtre malade. Je sais de quoi je parle, je suis mĂ©decin. Tenez, je dois avoir un sweat sur la banquette arrière. ThĂ©o tendit le bras et attrapa son sweat qu’il tendit Ă LĂ©a. Pendant toute cette conversation, ThĂ©o avait eu tout le temps de regarder LĂ©a. MalgrĂ© les trente annĂ©es qui les sĂ©paraient, il trouvait LĂ©a très Ă son goĂ»t. La robe un peu remontĂ©e dĂ©couvrait Ă moitiĂ© des cuisses des jambes parfaites. Ses cheveux mouillĂ©s lui donnaient un air de chien battu qui l’attendrissait. Le tissu jaune paille, trempĂ©, avait perdu toute opacitĂ© et il voyait nettement ses seins menus avec leurs tĂ©tons durcis par le froid ainsi que les petites arĂ©oles très foncĂ©es. Il voyait clairement qu’elle ne portait pas de soutien-gorge pas plus qu’il ne voyait de trace d’une quelconque culotte, ni sur ses hanches, ni sur son ventre que le fin tissu moulait parfaitement. Cette observation en amena une autre, puisque LĂ©a Ă©tait brune et qu’il ne voyait pas de trace de sa toison, cela voulait dire qu’elle avait le pubis Ă©pilĂ©. Cette dĂ©duction provoqua chez lui une Ă©rection brutale et le dĂ©sir intense de possĂ©der cette femme si belle et dĂ©sirable.LĂ©a prit le sweat et le posa sur sa poitrine. ThĂ©o insista :–Ça ne sert Ă rien, il faut poser votre robe. Mon sweat est suffisamment long pour faire une robe acceptable. LĂ©a tenta de refuser, consciente que si elle posait sa robe elle serait totalement nue. ThĂ©o insista encore :–Vous savez votre robe mouillĂ©e ne cache rien de votre anatomie. Changez-vous, je vous promets de ne pas regarder. D’ailleurs je suis trop occupĂ© par la conduite sous ce dĂ©luge. Et il fixa ostensiblement la route. LĂ©a rougit Ă cette remarque et se rendant Ă l’évidence, glacĂ©e par le contact de sa robe trempĂ©e, elle fit glisser sa robe sous ses fesses et la remonta jusqu’à la taille. Elle essayait de se tourner un peu pour que ThĂ©o ne la voie que de dos. Elle passa une main dans son dos, attrapa le zip de la fermeture Ă©clair et tira. Il rĂ©sista, elle essaya encore sans succès. Elle murmura :–DĂ©cidĂ©ment, ce n’est pas mon jour. –Que vous arrive-t-il ? Demanda ThĂ©o en gardant les yeux rivĂ©s sur la route. –Ma fermeture Ă©clair est coincĂ©e, je vais avoir besoin de votre aide encore une fois. –Volontiers, je vais me garer, il y a un parking lĂ -bas. ThĂ©o arrĂŞta la voiture et se tourna vers LĂ©a, il dĂ©coinça la fermeture Ă©clair, l’ouvrit complètement, dĂ©couvrant le dos bronzĂ© de LĂ©a. Puis poussant son avantage, il prit la robe Ă deux mains et lui fit passer par-dessus la tĂŞte. Il ne rĂ©sista pas au dĂ©sir de lui poser sa main sur l’épaule et lui susurra Ă l’oreille « Tu es très belle ».LĂ©a ne rĂ©agit pas immĂ©diatement, elle resta immobile, figĂ©e, tĂ©tanisĂ©e. La chaleur de la main sur son Ă©paule, le tutoiement employĂ© par ce jeune homme qui aurait pu ĂŞtre son fils, ce compliment banal mais oh combien charmant pour une femme, la tension nerveuse accumulĂ©e depuis une heure, tout cela la fit chavirer. Elle se retourna, posa sa main sur sa nuque, attira sa bouche vers la sienne pour un très long baiser. Quand elle libĂ©ra la bouche de ThĂ©o, il ajouta :–J’ai envie de toi. –Moi aussi, j’ai envie de toi. Lui rĂ©pondit LĂ©a avant de le bâillonner de nouveau avec sa bouche. ThĂ©o sentait LĂ©a grelotter dans ses bras. Il mit fin au baiser pour lui dire de passer le sweat. Elle le fit pendant que ThĂ©o redĂ©marrait, il ne savait pas quoi faire exactement mais il n’était pas très bien garĂ© et l’endroit n’était pas vraiment propice pour la suite qu’il comptait donner Ă ce premier contact.Il roula un peu, sa main droite posĂ©e sur la cuisse de LĂ©a. Il la caressait doucement, remontant inexorablement vers l’objet de son dĂ©sir. LĂ©a se laissait faire, elle apprĂ©ciait cette caresse qui l’excitait, faisait gonfler sa chatte et s’écarter ses jambes. La douce chaleur qui l’enveloppait maintenant ne provenait pas seulement du sweat de ThĂ©o. Elle remarqua, pourtant que la voiture faisait de lĂ©gers Ă©carts et elle lui repoussa la main en lui disant :–Ce n’est pas prudent. Il vaudrait mieux s’arrĂŞter. –Tu as raison. Mais ici impossible. Ils approchaient de l’autoroute et ThĂ©o ne voulait pas s’y engager sinon impossible de trouver un coin tranquille. Il prit une route secondaire puis, quelques kilomètres plus loin, s’engagea dans un chemin forestier. Il arrĂŞta la voiture après une courbe, en pleine forĂŞt. L’endroit Ă©tait dĂ©sert, il n’avait pas vu de maison avant et aucun signe de vie ne venait troubler la quiĂ©tude de la forĂŞt. L’orage n’était pas passĂ© ici, l’air Ă©tait chaud. ThĂ©o descendit de la voiture et la contourna. Il ouvrit la portière Ă LĂ©a. LĂ©a se tourna comme pour descendre puis se ravisa. Elle posa simplement les pieds sur le sol et ouvrit le pantalon gonflĂ© de ThĂ©o. Il ferma les yeux et sentit la main de LĂ©a tirer sur la ceinture Ă©lastique de son boxer et libĂ©rer sa queue. Un long frisson parcourut sa colonne vertĂ©brale quand après avoir dĂ©calottĂ© son gland, elle l’avala. LĂ©a le pompait adroitement, alternant les coups de langue sur sa queue, les succions de son gland. D’une main elle le branlait et de l’autre massait doucement ses couilles. Elle l’avalait profondĂ©ment ou bien bloquant la pointe de son gland entre ses lèvres serrĂ©es, elle l’agaçait du bout de la langue.Tout en suçant ThĂ©o, LĂ©a ne pouvait s’empĂŞcher de comparer ce jeune homme Ă son mari. D’abord le goĂ»t de sa queue, elle dĂ©couvrait cette saveur diffĂ©rente de celle de son mari. Elle avait sucĂ© d’autres hommes avant HervĂ© mais c’était il y bien longtemps, elle avait oubliĂ© que chaque homme Ă une saveur particulière. La forme de son chibre ensuite, HervĂ© avait une bite de taille normale, pas très longue mais plutĂ´t grosse avec une lĂ©gère courbure alors que celle d’HervĂ© Ă©tait droite, rectiligne, longue et plus fine que celle de son mari.Au bout de quelques minutes, ThĂ©o l’attira en dehors, Ă´ta le sweat qu’il jeta sur la siège et l’entraĂ®na vers l’avant de la voiture. Il s’accroupit Ă ses pieds et lui fit poser un pied sur le pare-choc pour la sucer Ă son aise. Elle Ă©tait trempĂ©e, ses lèvres intimes gonflĂ©es, gorgĂ©es de sève s’écartaient au passage de sa langue. Quand il atteint son petit bouton, LĂ©a laissa Ă©chapper un petit cri. Tout en la suçant, ThĂ©o lui massait les fesses, ouvrant sa raie culière, introduisait ses doigts dans son con ruisselant, lubrifiait sa rosette de la mouille qui suintait de sa chatte. Il introduisit son majeur dans le cul de LĂ©a, d’abord la première phalange. Elle ne protesta pas, au contraire, elle se cambra en gĂ©missant. Il l’enfonça encore plus et fourra son pouce dans son con. HervĂ© connaissait bien son Ă©pouse et au bout de trente ans, il jouait de son corps comme un virtuose joue de son instrument. Il savait comment lui apporter le plaisir, parfois rapidement, parfois lentement en fonction des circonstances. LĂ©a se donnait Ă lui sans retenue Ă chaque fois, en jouissait. Maintenant les caresses que lui prodiguait ThĂ©o la surprenaient, changeaient ses habitudes, provoquaient des rĂ©actions inconnues dans son ventre. Ainsi ses doigts dans ses orifices, cette « pince de crabe » la ravissait, la langue de ThĂ©o sur sa chatte prenait des chemins inusitĂ©s, lui faisait dĂ©couvrir de nouvelles sensations.Ses jambes tremblaient sous son corps, LĂ©a appuya de ses deux mains la tĂŞte de son amant sur son ventre. Elle tremblait de tout son corps maintenant pendant que les doigts de ThĂ©o fouillaient son entrejambe et que sa bouche aspirait son clitoris. LĂ©a jouit en criant, en hurlant si fort qu’un oiseau s’envola d’un arbre voisin, protestant d’avoir Ă©tĂ© dĂ©rangĂ©.Les cris de LĂ©a s’apaisèrent en mĂŞme temps que son orgasme retombait. Il est vrai que ThĂ©o, surpris par la manifestation vocale de son plaisir avait brutalement cessĂ© de la sucer et avait retirĂ© ses doigts de son ventre, craignant d’être Ă l’origine d’une quelconque douleur. Il se remit debout et lui demanda :–Ca va ? –Oui, oui, tu m’as fait jouir. Mais excuses moi, j’avais oubliĂ© de te prĂ©venir. Je fais beaucoup de bruit quand j’ai du plaisir. SoulagĂ© de savoir que bien qu’étant la cause des cris de LĂ©a, cela n’était pas le fait d’une quelconque brutalitĂ© involontaire de sa part, ThĂ©o embrassa tendrement LĂ©a, puis la fit s’appuyer de ses deux mains sur le capot de la voiture. Il prit un prĂ©servatif dans sa poche et en gaina sa queue. Il prit LĂ©a par les hanches et la pĂ©nĂ©tra doucement. LĂ©a gĂ©mit, la belle queue de ThĂ©o la pĂ©nĂ©trait profondĂ©ment. Elle commença Ă bouger son bassin, alternant les mouvements d’avant en arrière avec d’amples ondulations. ThĂ©o n’avait pas besoin de ses mains, puisque LĂ©a venait elle-mĂŞme s’empaler sur son dard, il les occupa Ă lui caresser ses petits seins et le clitoris.LĂ©a gĂ©missait de plus en plus fort, bougeait son cul plus vite, plus violemment. ThĂ©o introduisit son pouce dans son anus, LĂ©a n’en pouvait plus, entre deux gĂ©missements, elle souffla « Oh oui, dans mon cul, dans mon cul ». ThĂ©o enfonça son pouce plus loin encore mais LĂ©a ajouta « Ta queue, vite». Comprenant sa mĂ©prise, il se retira de son con et appuya son gland sur la rosette de LĂ©a, qui s’empala elle-mĂŞme dans d’un violent mouvement de bassin. ThĂ©o perdit toute retenue, il Ă©tait fou de dĂ©sir, surpris de constater que cette femme de l’âge de sa mère pouvait se donner Ă lui, entièrement, totalement, lui demander des choses que bien des jeunettes pourtant dĂ©lurĂ©es se refusaient Ă pratiquer. AgrippĂ© Ă ses deux seins, il commença Ă sodomiser cette femelle avec de violents coups de reins, son ventre percutait les fesses de LĂ©a avec une telle violence que l’on pouvait croire qu’il la fessait. Son long chibre s’enfonçait dans son cul jusqu’à la garde, ses couilles battaient sa moule. LĂ©a ponctuait chaque pĂ©nĂ©tration de cris, de hurlements, reprenant son souffle pendant qu’il se retirait un peu, pour mieux revenir ensuite. PrĂ©venu de la particularitĂ© de son amante, ThĂ©o continuait de plus belle, excitĂ© par ces hurlements annonciateurs de l’orgasme de LĂ©a.LĂ©a s’effondra sur le capot, hurlant en continu, tout son corps agitĂ© de tremblements dans une jouissance intense, Ă©norme, pendant que ThĂ©o continuait de la pilonner de son dard. Il la rejoint avant que ses cris ne se soient apaisĂ©s, il se vida en elle, provoquant de nouveaux cris, un nouvel orgasme.Il leur fallut de longues minutes pour revenir de ce voyage dans l’extase. ThĂ©o se retira doucement et releva LĂ©a, qui l’embrassa profondĂ©ment, tendrement avant de le remercier pour le plaisir qu’il venait de lui donner.Ils reprirent ensuite la voiture, LĂ©a somnolait un peu dans le sweat noir de ThĂ©o. Il fut obligĂ© de la rĂ©veiller pour qu’elle lui indique le chemin de sa maison. LĂ©a le guida Ă travers des lotissements jusqu’à un joli petit pavillon. ThĂ©o arrĂŞta la voiture, LĂ©a le regarda d’un air triste, dĂ©posa un bisou sur sa joue en disant :–Merci…Pour tout. Elle sortit et alla prendre ses affaires dans le coffre et s’engouffra en courant dans le jardinet.La dernière vision que ThĂ©o eut de LĂ©a Ă©tait ses fesses nues que ne cachait pas son sweat noir.Il attendit quelques minutes après que LĂ©a eut disparue dans la maison, espĂ©rant qu’elle l’appelle mais voyant la lumière s’éteindre, il remit le moteur en route et rentra chez lui.ThĂ©o passa sa semaine de garde en pensant très souvent au dimanche prĂ©cĂ©dent, puis les jours passant le souvenir de LĂ©a s’attĂ©nua. Il revenait parfois quand il couchait avec Sophie, il ne pouvait s’empĂŞcher de comparer les deux femmes. Il avait conservĂ© une petite robe jaune paille toute froissĂ©e dans le fond de son placard et parfois il la reniflait cherchant Ă y retrouver le parfum de LĂ©a.Deux mois plus tard, au cours d’une garde de nuit, alors qu’il sirotait son cafĂ© en jetant un Ĺ“il distrait sur un journal de petites annonces, il tomba sur un encadrĂ© qui disait :Echange Sweat-shirt homme noir taille XL contre petite robe jaune paille taille S. Ecrire au journal.Il posta la lettre le lendemain et depuis ThĂ©o ne quitte plus son tĂ©lĂ©phone© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
La fille Ă la robe jaune
Le ciré jaune
Mon premier noir
En noir et blanc
Ma petite saleté 2