~~ooOoo~~En préambule à cette deuxième partie de mon récit, je voulais répondre aux critiques sur la première partie publiée le 6/12/2007 (n° 12042).Vous avez le droit de ne pas aimer mon texte, mais je voulais cependant préciser certaines choses.Certains disent qu’il y a trop d’abréviations, je n’en ai pas trouvé, qu’ils me disent où elles sont.Pour ce qui est des chiffres, je les ai remplacés dans cette deuxième partie par leur expression littérale.D’autres critiquent le manque de scénario. Il n’y a pas de scénario ! Je rappelle que c’est une histoire entièrement vraie que j’ai vécue l’été dernier. J’ai écrit mon texte avec le cœur, tel que j’ai ressenti cette merveilleuse aventure. Alors excusez-moi si l’écriture est parfois maladroite, mais c’est du cent pour cent naturel.Après ces quelques précisions, voici donc la suite de mes aventures de cet été.~~ooOoo~~Quelques jours après, Laure me téléphone pour me demander si je voulais bien rester avec elle le prochain week-end. Ses parents n’étant pas là , elle me propose de rester dormir chez elle. J’accepte bien volontiers sa proposition.Samedi, j’arrive chez Laure en milieu d’après-midi, avec dans mon sac le nécessaire pour la nuit, mon maillot de bain et mon drap de bain.Je sonne au portail. Laure vient m’ouvrir. Elle est enveloppée dans un paréo bleu. Elle me propose de nous baigner sans plus attendre car il fait déjà bien chaud.Je file à la salle de bain pour enfiler mon maillot. Quand je la retrouve sur la terrasse, j’ai la surprise de la voir avec le même maillot dans lequel j’ai vu sa mère l’autre jour – rappelez-vous, le mini-bikini ! Je souris et lui dit :— Tu as le même maillot que ta mère ?— Non, c’est le sien. Mais comme j’ai vu l’autre jour qu’il avait l’air de te plaire, j’ai voulu l’essayer.— Il te va à ravir ! Tu es très belle, et il te met bien en valeur, dis-je en souriant.Et c’est vrai qu’il lui allait trop bien ! De voir Laure dans ce bikini me faisait tout drôle. Je trouvais Laure très belle, très… séduisante, très… sexy ! Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? On dirait que le corps de Laure m’attire…Laure me remercie du compliment et saute dans l’eau. Nous jouons un bon moment à s’éclabousser, se porter sur les épaules, se faire couler… bref les jeux que l’on peut faire dans une piscine.Laure sort de l’eau pour aller s’allonger sur un tapis posé sur l’herbe. Elle est sur le ventre. Je l’imite, et m’allonge sur le tapis à côté du sien, ma tête posée sur le côté, tournée vers elle.Soudain, elle passe ses mains derrière son dos et défait l’attache de son haut de maillot, puis l’enlève et me dit :— Comme ça il n’y aura pas de marque de bronzage !Je souris, lui réponds qu’elle a raison et je fais comme elle.Au bout d’un moment elle se tourne sur le dos, m’exposant sa magnifique poitrine. J’hésite un peu, ayant presque honte d’avoir des seins si petits, mais finalement je me mets aussi sur le dos.Avec Laure, depuis le temps qu’on se connaît, on s’est déjà vues souvent nues. Mais il y avait longtemps que ça n’était pas arrivé. Et de repenser à ma séance de l’autre jour au bord de sa piscine me redonne des frissons. Je vois mes tétons se dresser. Laure s’en aperçoit et me dit :Voyant à quoi elle fait allusion, je bafouille un « non, non ». Voulant détourner son attention, je lui fais remarquer qu’elle n’a pas de marque de bronzage sur les seins. Elle me répond que c’est parce qu’elle bronze assez souvent seins nus chez elle.— Et tu le fais quand tu es toute seule ?— Oui, mais aussi quand ma mère est là . Entre nous, on se gêne pas. Et parfois même on bronze toutes nues, me dit-elle en souriant.— C’est vrai ? dis-je, un peu intriguée et surprise.— Oui, je t’assure, et c’est très agréable.— Mais t’as pas peur que quelqu’un te voit ? Ton père, par exemple ?— Non. On n’a pas de vis-à -vis avec les voisins. Et puis, avec mon père, ça peut arriver. Mais c’est pas grave, je remets mon maillot quand il est là .— Oui, mais il te voit nue quand même !— Ben oui, mais c’est mon père, après tout, c’est lui qui m’a faite aussi ! me dit-elle en rigolant. Et puis, je ne me promène pas à poil devant lui exprès, c’est juste si je suis nue quand il arrive. Et l’inverse est vrai aussi. Il m’arrive de le voir nu dans la piscine des fois quand je rentre. Il enfile simplement son maillot quand je suis là , c’est tout.— OK, je trouve ça cool que vous soyez aussi à l’aise entre vous. Mes parents sont plutôt du genre pudique !— Oui c’est vrai, j’ai pu remarquer.— Pourquoi tu dis ça ?— Ben des fois, quand ta mère vient se baigner, maman se met seins nus souvent, mais ta mère très rarement, surtout si je suis là .— Oui, tu as raison, maman est du genre très pudique. Mais devant moi elle ne se gêne pas.— Ben encore heureux, t’es sa fille quand même ! Bon, c’est pas tout, mais on va peut-être se préparer à manger !On s’est levées pour aller à la cuisine préparer le dîner.Je suis d’abord passée aux toilettes pour aller faire pipi. Sur la cuvette, je repensais à ce que venait de me dire Laure au sujet d’elle et de ses parents. Je trouve ça bien d’être à l’aise avec son corps. Je comprends mieux l’attitude de sa mère l’autre jour devant moi avec son petit bikini – ma mère n’aurait pas osé mettre un maillot aussi mini devant Laure ! – mais ça n’explique quand même pas l’attitude de son père au bord de la piscine !Je rejoins Laure à la cuisine pour préparer le dîner. Elle a enfilé un débardeur, mais sans remettre son haut de maillot. Je devine ses seins libres dessous. Je mets le couvert sur la table de la terrasse. J’enfile aussi un débardeur, le soleil étant couché il fait moins chaud.À table, on papote, on rigole. La vue de ses seins qui tressautent à chacun de ses rires ne me laisse pas indifférente. Je me surprends à aimer regarder Laure. Je sens que ce n’est plus comme avant.Elle avait passé l’année scolaire qui vient de se terminer en fac dans une autre ville. On se voyait assez souvent, mais pas tous les week-ends. Et depuis le début de l’été, on se voit souvent. Je me rends compte combien je suis bien avec elle. À la rentrée, elle reste ici dans une autre section. Super, on pourra se voir plus souvent.Laure me tire de mes pensées.— Et si on se regardait un film ?— OK, pas de problème. On débarrasse et on se cale dans le canapé !On regarde le film. La pièce est dans l’obscurité. Mais la lueur de la télé me permet de regarder, que dis-je, d’admirer le corps de Laure. Quand elle rit, je vois ses seins remuer. Il me semble que ses tétons sont dressés sous son débardeur. Cela me procure un frisson qui part d’entre mes cuisses pour finir à la pointe de mes seins. Mes tétons se dressent aussi !Mais que m’arrive-t-il ? J’en envie de voir son corps, de le toucher… mais sera-t-elle réceptive ? Elle va peut être me traiter de sale gouine… À la fin du film, il me vient une idée. On sort sur la terrasse pour prendre le frais, il commençait à faire chaud dans le salon.— Laure, si on prenait un bain de minuit ? lui dis-je en souriant.— Tu es sérieuse ?— Ben oui, pourquoi ? T’as pas envie ?— Si, enfin je veux dire, tu veux prendre un bain… toute nue ?— Ben oui, un vrai bain de minuit ! On est toutes seules et tu m’as dit que les voisins ne peuvent pas nous voir !— Oui, mais je pensais que ça te gênait de te montrer nue devant moi ?— Je ne suis pas aussi pudique que ma mère, tu sais !Gamines, on se voyait souvent nues quand on prenait le bain ensemble, les fois où l’on dormait chez l’une ou l’autre. Mais depuis notre adolescence, on était plus pudiques. On s’était vu nues dans les vestiaires communs à la piscine des fois, mais chez nous pas spécialement. Mais ce soir, j’avais envie de me montrer nue devant elle, et de la voir aussi bien sûr !— Bon d’accord, me dit Laure. Mais vite fait alors, car il ne fait plus très chaud.J’ôte prestement mon débardeur, et mon bas de maillot. Je suis déjà nue quand Laure quitte enfin son maillot. Elle est nue aussi. Hmmm, qu’elle est belle ! Quels seins magnifiques !On se regarde, on rigole et on va dans l’eau.— Hmm c’est trop bien ! dis-je.— Oui, j’aime bien me baigner nue, c’est agréable.— Oui, quelle délicieuse sensation !— Bon, je sors, j’ai un peu froid, me dit-elle.J’observe Laure sortir de la piscine par l’escalier. J’ai tout le temps d’admirer son corps, ses belles fesses. J’ai pu noter aussi qu’elle a le sexe lisse, sauf une petite touffe de poils sur le haut du pubis. Elle sautille jusqu’à la douche extérieure. Je ne peux qu’admirer sa poitrine qui tressaute à chacun de ses pas. Je sors également. Elle est sous l’eau chaude de la douche.— Viens vite te réchauffer, elle est super chaude ! me dit-elle.Je me précipite sous le jet d’eau chaude. Nos corps se frôlent, se touchent. Je suis dos tourné vers elle. Elle me frotte le dos pour me réchauffer. Puis c’est de l’eau froide qui coule, le réservoir d’eau chaude étant vide. On s’écarte vite en rigolant. Laure attrape un drap de bain resté sur un fauteuil de jardin et me dit :— Viens vite, on va se sécher.Elle a le drap de bain autour d’elle, avec les bras tendus et ouverts devant pour m’indiquer de venir contre elle. Je me précipite, et me colle contre elle. Elle referme la serviette autour de nous. Elle rigole de la situation originale.Je souris aussi. Mais je sens un désir monter en moi. Ses seins contre les miens. Son sexe contre le mien. Je passe mes mains dans son dos et lui frotte comme pour la réchauffer. Je me sers contre elle, mon menton sur son épaule, ma joue dans son cou. Mes mains glissent sur ses fesses et les frottent, enfin disons plutôt les caressent doucement.Je tremble, mais ce n’est pas de froid…— Tu trembles ! Tu as froid ? me demande Laure.Je relève la tête. Mon visage à quelques centimètres du sien. Ma bouche à quelques millimètres de la sienne.— Non, Laure, dis-je doucement d’une voix douce, je n’ai pas froid.Je la regarde dans les yeux, et je lis son désir dans son regard. J’approche mes lèvres. Elle ne se recule pas quand elles viennent se poser sur les siennes. Nous échangeons un long baiser plein de tendresse, serrées l’une contre l’autre et enroulées dans un drap de bain.Laure me propose d’aller dans sa chambre. On se sèche vite fait, et on enfile nos débardeurs car il commence à faire un peu frais. On range vite les affaires qui traînent dehors et, après avoir fermé les volets, on monte dans sa chambre.Avec juste nos débardeurs et étant derrière elle pour monter à l’étage, je peux admirer ses jolies fesses se balancer à chacun de ses mouvements. Arrivées dans sa chambre, elle me demande si je souhaite que l’on laisse la fenêtre et les volets ouverts pour n’avoir que la lueur de la pleine lune. Je lui dis que je préfère profiter pleinement de ce moment et la voir sous la lumière de la chambre pour découvrir son corps dans les moindres détails.Elle ferme ses volets et allume sa lampe de chevet. On s’approche du lit que l’on défait. On se met à genoux sur le lit, face à face. On s’approche doucement. On s’embrasse de nouveau tendrement et longuement. Nos mains caressent nos corps tandis que nos langues se cherchent.Je passe mes mains de chaque côté de son débardeur et le tire vers le haut. Elle lève les bras pour l’ôter complètement. Elle fait de même avec moi. Nous sommes nues. On se regarde dans les yeux. On admire nos corps. Nos seins sont gonflés de désir. Nos pointes sont dressées d’excitation.Elle me sourit, me caresse la joue et me dit tendrement :— Tu es belle, Carole, j’ai envie de toi.— Moi aussi, Laure. J’ai envie de te faire du bien, et que tu me fasses du bien.Je l’invite à s’allonger. Je me mets à ses côtés. Je me penche pour l’embrasser sur le front, les joues, le menton, les oreilles, la bouche. Puis je descends dans le cou, sur ses seins. Je suce doucement ses tétons. Elle pousse un « Oh oui ! » de satisfaction. Je les aspire un peu plus fort. Je les sens durcir dans ma bouche. Elle caresse mes cheveux et m’encourage à continuer. Je passe d’un sein à l’autre. Mes doigts pincent et font rouler un téton pendant que ma bouche s’occupe de l’autre.Ma bouche descend ensuite sur son ventre, lèche au passage son nombril avant d’atteindre son pubis. Mon nez frotte son petit triangle de poils qu’elle a conservé. Je me place alors à genoux entre ses cuisses pour être en face de son sexe. J’embrasse l’intérieur de ses cuisses. Je remonte et dépose un léger baiser sur sa vulve déjà bien humide. Je respire son odeur. Hmm, qu’elle sent bon, ma Laure, quand elle est excitée.Elle pousse son ventre en avant en soulevant son bassin comme pour aller à la rencontre de ma bouche. Je passe mes mains sous ses cuisses, sous ses fesses. Je les caresse. Puis mes mains viennent écarter ses lèvres. Je lèche sa fente de haut en bas. Elle pousse un nouveau « Oh oui ! » encore plus fort que le premier. Je tire un peu plus sur ses lèvres pour dégager son clito de son capuchon. J’y pose ma langue dessus. Elle pousse un cri en soulevant fort son bassin pour que ma bouche se colle davantage à son sexe. Je reçois un petit jet de cyprine. Je viens de lui provoquer son premier orgasme.— Hmm Laure, oui c’est bon, je t’aime, ma chérie.— Oui ! Vas-y Carole ! Fais-moi jouir, ma chérie !Ces paroles nous stimulent, nous encouragent. Ma langue fait des ronds sur son clito, puis elle descend sur sa fente baveuse à souhait. Je l’introduis légèrement pour recueillir sa liqueur. Je m’en délecte. J’aime le jus d’amour de ma petite Laure. Je veux tout boire !— Oh Laure, c’est bon ! J’aime ton jus ! C’est si bon !— Vas-y, Carole. Bois tout ! Fais-moi jouir, chérie !J’ai du mal à suivre le rythme de son bassin qu’elle agite de bas en haut, toujours à la recherche de plus de contact. Je soulève ses jambes, et lui demande de plier ses genoux et de passer ses bras derrière ses genoux afin de tirer ses jambes en arrière. Elle s’exécute. J’appuie alors encore un peu sur l’arrière de ses cuisses. Hmm, qu’elle est belle, ma chérie, comme ça ! Totalement offerte, impudique. Son sexe, ses fesses complètement ouverts, vous imaginez le tableau ?Laure se rend compte de la vue que je peux avoir d’elle à ce moment-là .— Oh Carole ! Oui ! Fais de moi ce que tu veux ! Prends-moi de partout ! Je suis toute à toi !C’est alors que je replonge entre ses cuisses. Ma langue lèche sa fente de haut en bas. Puis mes mouvements se font plus amples, ils vont de son clito jusqu’à son anus entre ses fesses ouvertes. Je titille tantôt son clito, tantôt son petit trou. Elle apprécie et elle me le fait savoir.— Oh Carole ! Oui ! Vas-y ! Lèche-moi bien de partout ! Lèche mon cul, j’aime ça !Un peu surprise par ses paroles un peu crues, mais néanmoins bien excitée, je m’applique à bien lécher sa rosette. Après l’avoir bien lubrifié, j’y présente mon index que j’avais pris soin d’introduire dans son sexe afin de le lubrifier. Elle m’encourage à aller plus loin. J’introduis la première phalange et reste un moment sans bouger afin qu’elle s’habitue à sa présence. Je ressors mon doigt et lèche à nouveau son anus. Puis je remets mon doigt un peu plus loin. Je recommence plusieurs fois jusqu’à avoir mon doigt en entier dans son anus.Elle gémit moins fort. Peut être apprécie-t-elle moyennement la caresse. Alors je laisse mon index entre ses fesses sans le bouger. Puis je lèche à nouveau sa fente. Je suce ses lèvres, les mordille. Ses gémissements se font de nouveau plus forts. Ma langue titille son clito, puis redescend et pénètre sa fente baveuse. Son bassin se soulève à nouveau. Je lève les yeux vers le haut et vois Laure prendre ses seins à pleines mains pour les caresser, que dis-je, les tripoter, les malaxer sans retenue !Je la sens au bord de la jouissance. Alors je présente mon pouce sur sa fente, et je l’introduis doucement. Elle gémit de plus en plus fort. Je la vois malaxer sans retenue ses seins, étirer ses pointes, les pincer. Mon pouce est en entier dans son antre chaud et humide, disons même trempé ! À travers sa fine paroi je sens mon index dans son rectum. Elle me dit alors :— Oh oui, Carole ! Vas-y ! Branle-moi bien ! C’est bon, je viens !J’accélère alors les allers et venues avec mes doigts tout en léchant son clito. Soudain, son corps se soulève, elle crie sa jouissance. Un flot de mouille inonde mes doigts et ma bouche. Puis elle pose à nouveau ses fesses sur le lit, épuisée par un nouvel orgasme. Je retire alors doucement mes doigts de ses orifices. Elle repose ses jambes sur le lit et m’attire vers elle. Je monte sur elle. Elle me sourit, me prend la main et lèche tous mes doigts avant de m’embrasser tendrement et amoureusement. Je trouve ce geste osé mais très sensuel. Elle me dit alors :— Merci ma chérie. Je n’ai jamais joui aussi fort. Je t’aime !Je lui souris, et lui dit que moi aussi, je veux ma part !Laure me sourit et me dit de m’allonger. Me voilà sur le dos, prête à recevoir ses caresses.Elle se penche au-dessus de moi, me sourit et viens m’embrasser sur la bouche. Quel baiser ! Il est profond, passionné. Sa langue me fouille à la recherche de la mienne. Sa bouche s’ouvre largement comme pour manger la mienne. Je la sens respirer profondément pour garder sa bouche le plus longtemps possible en contact avec la mienne.Au bout d’un temps qui m’a paru une éternité, elle se redresse et me regarde avec des yeux plein d’envie.— Ouah, ma chérie, quel baiser ! lui dis-je.— Attends, Carole, ça ne fait que commencer !Effectivement ce n’était que le début d’une longue étreinte.Elle a caressé mes cheveux, mes joues, tout en déposant des petits bécots un peu partout sur mon visage. Ensuite elle est descendue sur ma poitrine qui n’attendait que ses caresses.Voyant mes tétons déjà bien durs, elle me dit :— Oh ma chérie, tu es déjà bien excitée !— Oui Laure, c’est toi qui m’as mise dans cet état !Elle effleure mes pointes avec ses doigts. Puis elle approche sa bouche et suce doucement mon téton droit tandis que sa main s’occupe du gauche en le faisant rouler entre deux doigts. Je soupire de plaisir. Je caresse ses cheveux. Elle aspire mon téton un peu plus fort et l’étire. Hmm, c’est bon …. Puis elle passe à l’autre.Après s’être occupée de mes seins, elle descend sur mon ventre. Joue avec sa langue sur mon nombril. Enfin, elle arrive jusqu’à mon bas-ventre. Comme je l’avais fait précédemment, elle se place entre mes cuisses, que j’ouvre largement pour lui dévoiler mon intimité sans pudeur. Elle se redresse pour admirer mon sexe lisse, et me dit :— Laure, j’aime bien ton sexe lisse. C’est beau.— Et c’est doux, rajoute-t-elle en passant le plat de sa main sur ma fente.— Il est à toi, Laure. Fais-en ce que tu veux.Elle se penche entre mes cuisses. Dépose un petit baiser sur mon sexe. Puis elle commence à faire des ronds avec son index sur mon clito. Hmmm, un vrai bonheur ! Mon petit bouton se gonfle et pointe hors de son capuchon. Laure sourit, et vient le titiller avec sa langue.— Hmm, Laure ! Oui ! C’est bon !Mon bassin se soulève pour aller à la rencontre de sa bouche. J’appuie sur sa tête pour lui faire comprendre que j’apprécie ce qu’elle me fait. Sa langue laisse la place de nouveau à son index, puis descend sur ma fente déjà bien baveuse. Elle lèche mes lèvres, les aspire, mordille. Sa langue pénètre un peu ma fente.— Hmm Laure, c’est bon ce que tu me fais ! Continue, ma chérie ! Fais-moi jouir, fais-moi crier !Laure passe ses mains sous mes fesses qu’elle pétrit pendant que sa langue s’active sur ma fente et mon clito. Elle me lèche sans retenue du haut de mon pubis jusqu’en bas de ma fente. Je replie mes jambes et les écarte en grand en prenant appui sur mes pieds. Elle comprend que c’est pour mieux lui offrir mes fesses. De ses mains, elle écarte bien le haut de mes cuisses. Sa langue prolonge sa course de mon sexe jusque entre mes fesses pour venir lécher mon anus.— Oh oui ! Laure ! Oui c’est bon ! J’aime ça ! Lèche-moi bien de partout !En voulant encore plus, je passe mes bras derrière mes genoux et tire sur mes bras. Je suis comme Laure tout à l’heure, complètement ouverte et impudique sous le regard de ma belle.— Viens Laure ! Prends-moi de partout ! Fais-moi du bien !Encouragée par ses quelques mots, ma chérie se replonge entre mes cuisses. Sa langue s’active de mon clito jusqu’à mon anus. Elle lèche un long moment ce dernier. Puis elle remonte sur mon clito qu’elle agace pendant quelques minutes. Je soupire, halète, râle, … Je sens mon sexe, mon cul complètement ouverts et offerts.Sa langue descend sur ma fente. Son index titille mon clito, puis descend et pénètre mon sexe doucement mais sûrement. Quand son doigt est en entier en moi, elle le remue doucement, puis de plus en plus vite. Je le sens à l’intérieur. Hmm, c’est bon !Elle fait des va-et-vient avec son doigt. Elle me branle le sexe de façon énergique. Je sens le plaisir monter. J’ai l’impression que tous les fluides de mon corps se concentrent vers mon sexe pour jaillir hors de moi. Elle continue à me doigter et vient lécher mon clito. C’est est trop. J’explose. J’arrose sa main, sa bouche de ma liqueur expulsée de mon sexe lors d’un orgasme ravageur. Laure continue de me lécher le clito et son index sort doucement de mon sexe pour se poster sur mon anus.— Oh oui, Laure ! Prends-moi par là aussi !Son doigt n’a aucun mal pour me pénétrer, car mon anus est plein de mon jus qui a coulé le long de ma raie. Elle le pousse doucement en entier. Elle reste quelques instants sans le bouger. Son pouce vient alors caresser mes lèvres toute gluantes de mon plaisir, puis il va titiller mon clito.— Oh oui, Laure, c’est bon ! Je suis toute à toi ! Fais de moi ce que tu veux !Laure commence alors à remuer doucement son index dans mon petit trou. Son pouce pénètre à son tour mon sexe. Je sens ses doigts en moi se frotter à travers ma paroi. Je gémis, halète de plus en plus fort. Je me mords les lèvres tellement c’est bon.Ma chérie est alors prise d’une frénésie que je ne pouvais pas imaginer. Elle accélère le mouvement de ses doigts. Elle approche sa bouche et vient lécher mon clito sorti de son capuchon tellement je suis excitée. Elle le mordille, le suce, l’aspire.— Oh Laure ! Oui ! Tu me fais du bien ! Continue !Elle accélère encore ses mouvements.— Tu aime ça, ma cochonne, mes doigts dans ton cul ! Tu aimes te faire branler le cul et la chatte !Surprise par ses mots crus (que j’aurais plutôt réservé à des mecs …), mais tout de même excitée, je m’entends lui répondre :— Oui, Laure ! Branle-moi bien à fond ! Fais-moi jouir !Elle s’active toujours avec ses doigts et sa langue sur mon clito. Je sens le plaisir monter.Mon corps se tend, se raidit, je jouis.— Oui ! Laure ! Je jouuiiissss !!!Je sens mon plaisir se déverser sur les doigts de ma chérie, qui continue de me doigter jusqu’à ce que mon corps s’apaise.Épuisée, je repose les jambes sur le lit. Laure sort doucement ses doigts. Elle vient s’allonger sur moi. Comme elle l’avait fait tout à l’heure, je prends sa main et lèche ses doigts avant que nous n’échangions un tendre baiser. Elle soulève la tête et me regarde amoureusement.— Alors, c’était bien ?— Mieux que ça ! Merveilleux ! dis-je en la serrant fort contre moi.Laure se détache ensuite de moi pour s’allonger à mes côtés.— Il fait chaud, je suis trempée de chaud, dit Laure.— Tu es sûre que c’est de sueur que tu es trempée ? dis-je en rigolant.Elle rigole aussi et se lève pour aller ouvrir les volets et éteindre la lumière. Elle reste un moment devant la fenêtre pour respirer l’air frais. J’admire son corps juste éclairé par la lumière de la pleine lune. Ses formes sont mises en valeur entre ombre et lumière. Je peux apprécier la courbe de ses seins généreux, sa chute de reins. Qu’elle est belle, ma Laure !Je me lève et me met à ses cotés accoudée comme elle sur le rebord de la fenêtre. Elle passe son bras autour de ma taille.— Hmm Carole, je suis si bien ! Ça était un merveilleux moment. J’attendais ça depuis si longtemps…— Moi aussi je suis bien Laure. J’ai joui de façon merveilleuse entre tes bras, ma chérie.On s’embrasse tendrement.— Mais dis-moi, Laure, tu me dis que tu attends ça depuis longtemps …— Oui, Carole. Je n’ai jamais osé franchir le pas de peur de te choquer, mais ça fait environ deux ans que j’en avais envie. Je pensais que tu étais très pudique et peu portée sur les choses du sexe entre filles. Mais je vois que je m’étais trompée ! Tu sais, cette année à la fac, j’ai eu ma première expérience lesbienne et j’ai bien aimé. J’avais vraiment envie de vivre des instants magiques comme ça avec toi.— Moi aussi, Laure, j’ai eu quelques expériences avec des filles cette année. Et depuis que tu es revenue j’avais envie aussi. C’est quand je t’ai vu avec le mini-bikini de ta mère que j’ai craqué !— Je préfère que tu ais craqué sur moi que sur ma mère ! dit-elle en rigolant.— Oui, bien que… dis-je en souriant à mon tour.— Bien que quoi ? tu ne vas quand même pas me dire que t’as envie de ma mère ?— Disons que je trouve que c’est une très belle femme qui sait se mettre en valeur !— Oui c’est vrai, je l’avoue, je suis fière d’avoir une maman aussi belle.On retourne s’allonger sur le lit et on s’endort, serrées l’une contre l’autre.Je me réveille. Il fait à peine jour. C’est la fraîcheur de la nuit qui m’a réveillée. Je vais pour me lever et fermer les volets, mais je ne peux m’empêcher de prendre le temps d’admirer le corps de Laure allongée sur le lit. Elle est sur le ventre, le drap remonté à moitié sur ses fesses. J’ai envie d’approcher ma main, la toucher, la caresser, mais d’un autre côté je veux profiter de ce spectacle sans la réveiller.J’ose quand même faire descendre le drap juste en dessous de ses fesses, de façon à pouvoir contempler son si joli postérieur en entier. Avec ma main à quelques centimètres au-dessus d’elle, je fais comme si je la caressais. Je pars de sa nuque, pour descendre sur son dos, épouser la forme de sa chute de reins pour venir sur ses fesses rebondies.Je sens une vague de chaleur m’envahir. J’ai besoin de caresses aussi. Alors tout en continuant à faire semblant de caresser ma belle, je me caresse aussi. Mon autre main caresse mon cou, descend sur mes seins. Hmm… mes pointes se dressent. Je les roule. Je mords mes lèvres pour ne pas émettre de son. Ma main continue sa descente sur mon ventre et arrive enfin entre mes cuisses. Je masse ma vulve avec le plat de la main. Oh mais je suis déjà bien humide !Laure bouge. Je stoppe net tout mouvement. Elle plie une jambe et la remonte un peu sur le côté. Cela a pour effet d’ouvrir un peu ses fesses. Je me décale en me mettant à genoux. J’ai une belle vue. J’aperçois son petit anneau fripé et le bas de son sexe. J’ai envie d’y déposer un baiser mais je me retiens. Je reprends mes caresses qui deviennent plus pressantes. Je sens mon sexe s’ouvrir, mes lèvres s’écarter. Je ne peux résister à l’envie de me pénétrer avec un doigt. Je lâche un léger soupir de plaisir.Tout en se tournant vers moi, j’entends Laure me dire :— Alors, on se fait du bien toute seule ?Je stoppe net, surprise par ce que je croyais être un soudain réveil. Mais la coquine était réveillée depuis un petit moment et était attentive à ce que je faisais ! Elle est sur le dos et me dit :— Continue, Carole. Caresse-toi devant moi.Je reprends alors mes caresses. Mon doigt s’active dans mon vagin. Je me sens mouiller abondamment, excitée d’être observée par Laure. La faible lumière du jour qui pointe rajoute encore à l’érotisme de la situation.Laure écarte ses cuisses. Ses mains en caressent l’intérieur avant de s’occuper de son sexe. Je l’observe. Elle est impudiquement ouverte devant moi. Cela m’excite. Je gémis.— Oh Laure, oui tu es belle quand tu te caresses, continue ma chérie.Elle se met à genoux face à moi. Puis elle prend ses seins à pleines mains et les triture sans ménagements. Elle en prend un à deux mains et tire la langue en baissant la tête pour en lécher la pointe.— Oh, Laure ! Tu m’excites ! Continue !Elle caresse sa poitrine d’une main et descend l’autre entre ses cuisses. Elle masse deux ou trois fois son sexe avec la paume de sa main avant de glisser un doigt dans sa fente. Elle le ressort et le porte à sa bouche pour le sucer en me regardant. Je l’imite, mais comme par défi, je mets un deuxième doigt dans mon sexe avant de porter ma main à ma bouche pour lécher mes doigts souillés par ma mouille.— Hmmm, c’est bon, tu aimes ça, hein ma chérie, de lécher ta mouille ! me dit Laure.— Oui, Laure. J’aime ça ! Comme toi, espèce de cochonne !Excitées par nos paroles un peu crues, on se doigte à qui mieux mieux. On gémit, on râle, on soupire. Laure s’assoit et me demande de faire de même. Puis elle s’approche de moi en passant ses jambes en ciseaux entre les miennes.— Viens, Carole, on va se frotter nos minous, tu verras, c’est bon. Fais comme moi.Elle prend appui sur ses bras en arrière, et elle s’approche de moi. Je l’imite jusqu’à ce que nos deux sexes se touchent (je conseille aux filles d’essayer ça, c’est trop génial !). Puis Laure commence à remuer doucement son bassin. Je sens son sexe frotter contre le mien. Ses lèvres humides font des bisous aux miennes. Je fais de même. Nos mouvements sont lents et amples en même temps. La tension monte. C’est divin comme sensation. On accélère tout doucement.On gémit de plus en plus fort notre plaisir. On accélère encore. Je sens le plaisir monter en moi. Tout mon corps converge vers mon sexe. J’accélère encore. Nos sexes se frottent énergiquement presque à s’en faire mal. Je viens. Laure aussi. On crie notre jouissance toutes les deux ensemble. Je sens ma liqueur se déverser sur nos sexes. Elle se mélange à la sienne aussi abondante. On retombe en arrière, allongées avec nos jambes toujours entremêlées. On se remet de ce bel orgasme en duo. Hmmm, que c’est bon de jouir ainsi.Au bout de quelques minutes, Laure se lève pour aller aux toilettes. J’en profite pour admirer ses belles fesses qui tressautent à chacun de ses pas. Quand elle revient, je suis allongée sur le lit et j’ai tiré un peu le drap jusqu’à ma taille. Elle ferme les volets et vient se coucher à mes côtés. On se fait face. Elle me caresse la joue et s’approche pour m’embrasser tendrement sur la bouche.— Merci, Carole, pour cet instant magique.— Merci à toi, Laure. J’ai adoré me frotter à toi et mélanger nos plaisirs.On s’est endormies l’une près de l’autre en se tenant la main.Je me réveille. Laure est déjà levée. J’enfile un long tee-shirt que j’utilise en guise de chemise de nuit. Il descend juste sur le haut des cuisses. J’arrive à la cuisine. Laure est debout devant le plan de travail où elle prépare le petit déjeuner. Elle a un kimono en satin bleu ciel lui arrivant à mi-cuisses.Je viens me plaquer contre son dos. Je l’embrasse dans le cou. Je pose ma tête contre elle, passe mes mains autour de sa taille et me sert fort contre elle.— Hmmm, Laure, c’est si bon d’être avec toi ! Je t’aime fort, ma chérie. Il est très joli ce kimono, tu es très belle… et sexy avec, dis je en passant furtivement mes mains sur sa poitrine et sur ses fesses pour vérifier qu’elle est nue dessous.— Merci Carole me dit-elle en se retournant. Il est à ma mère, je lui pique des fois.Puis elle me regarde dans les yeux. Je sens son regard inquiet. Elle caresse ma joue, me tient par la main, et d’une voix un peu tremblante, elle me dit :— Tu sais, Carole, on vient de vivre toutes les deux de merveilleux moments. On s’est donné beaucoup de plaisir. Je souhaite que l’on continue à faire l’amour ensemble. Mais je ne voudrais pas que tu t’attaches trop, je ne veux pas que tu sois amoureuse de moi, je ne souhaite faire ma vie avec une fille. J’apprécie beaucoup les filles mais je ne suis pas lesbienne.— Rassure-toi, Laure, dis-je d’une voix tendre. Moi non plus, je ne suis pas lesbienne. Quand je dis « je t’aime », ça veut dire que je suis bien avec toi, que je veux vivre à fond l’instant présent. Tu es ma meilleure amie et je souhaite que tu le restes longtemps, mais je suis consciente que je ne suis pas l’amour de ta vie !On se sourit. Puis on se serre dans les bras l’une de l’autre. Et Laure de me dire :— Alors si c’est ça, moi aussi je t’aime !On rigole de concert. Ses seins tressautent sous son kimono. Je m’approche d’elle et l’embrasse tendrement. Je caresse son dos, ses fesses. Elle fait de même. Entre deux baisers je lui dis :— Laure, j’ai envie de toi.— Moi aussi, Carole, me dit-elle en passant sa jambe entre mes cuisses.Je frotte mon sexe sur sa cuisse. Je continue à l’embrasser en caressant ses seins à travers son kimono. Ses tétons pointent sous le fin tissu. Nos baisers se font plus fougueux. J’ouvre son kimono. Ses seins gonflés de désir m’apparaissent.— Laure, tu es si belle.— C’est pour toi, Carole. Fais-moi du bien, ma chérie, me dit-elle en attirant ma tête sur ses seins.Je tète ses pointes dures. Je les aspire, les mordille. Elle remonte un peu sa jambe entre mes cuisses comme pour caresser mon sexe. Je sens mon jus couler sur sa cuisse. Je veux la sentir contre moi. J’ôte mon tee-shirt. Elle enlève son kimono. Nues, nous nous enlaçons, seins contre seins, sexe contre sexe.On s’embrasse de longues minutes. Je pétris ses fesses. Ma bouche descend sur ses seins. Je m’agenouille devant elle. Elle écarte les jambes pour m’ouvrir son sexe. Elle crie de plaisir quand ma bouche se pose sur son sexe tellement elle est sensible à mes caresses. Je m’enivre de son odeur. Ma langue vient titiller son clito, lécher sa fente, ses lèvres. Elle gémit, elle caresse mes cheveux, les tire un peu par moment.Je passe mes mains sur ses fesses pour mieux la plaquer contre moi. J’en profite pour caresser sa raie et son petit trou. Elle glousse de bonheur quand ma langue pénètre son vagin en même temps que mon doigt pénètre un peu son anus. Elle imprime un rythme à son bassin. Elle gémit de plus en plus fort. Je la sens au bord de l’orgasme. Un doigt vient remplacer ma langue dans sa fente. Elle a deux doigts en elle. Je les remue en même temps que je lèche son clito avec ma langue. Elle crie sa jouissance en m’arrosant copieusement de sa liqueur d’amour que j’avale avec bonheur.Je me redresse et vient l’embrasser à nouveau tendrement partageant avec elle sa délicieuse mouille. Elle lèche mon menton pour en récupérer encore et le partager encore avec moi dans un baiser tendre et passionné.— Merci, Carole. C’était si bon.— Comment ça, merci ? dis-je en rigolant Et moi, alors ? Je veux ma dose aussi !Je m’allonge sur la table de la cuisine (un peu dure) et elle s’assoit face à moi pour être à la bonne hauteur. Je replie les jambes et les écarte en le tenant par les genoux. Je suis ainsi totalement ouverte et impudique devant ma chérie.— Oh mais tu es trempée, ma chérie ! me dit-elle en passant sa langue sur mon sexe.Je lui fais savoir que j’ai pris beaucoup de plaisir à lui faire du bien, et que c’est elle qui est responsable de mon état. Laure lèche méticuleusement mes lèvres, mon clito, puis descends jusque entre mes fesses pour atteindre mon anus. Je gémis de plaisir, l’implore de continuer, de me faire du bien, de me prendre !Excitée par mes paroles, Laure se lève. Elle me pénètre le vagin avec son index d’un coup sec. Hmmm ! C’est bon ! Elle fait quelques va-et-vient d’abord lentement, puis accélère un peu. Son autre main vient s’occuper de mes seins. Elle les malaxe, étire mes pointes. Ma tête va de droite à gauche, mon bassin se soulève par moment. Mes mains rejoignent la sienne sur ma poitrine pour l’obliger à me caresser plus fermement les seins. Son index sort de mon sexe et vient se poster sur mon anus.— Oh oui, Laure ! Vas-y ! C’est bon ! Mets ton doigt dans mon cul, j’aime ça !Mes paroles, un peu crues je l‘avoue, l’excitent encore plus. Elle enfonce son index en entier dans mon anus et son pouce pénètre ma fente baveuse. Et elle commence un mouvement coordonné de ses doigts dans mes deux orifices. Je gémis de plus en plus fort quand elle imprime une cadence croissante de ses mouvements en moi. Je crie ma jouissance en serrant fort sa main sur ma poitrine.Je repose mes jambes sur la table. Elle m’aide à me remettre debout. On se sourit. Elle approche sa main et sa bouche de ma bouche et on s’embrasse en léchant ses doigts souillés de mes sécrétions.— Bon, et si on déjeunait, maintenant ? dit Laure.— Oui, ma chérie. Rien de tel qu’un petit jus avant le café ! dis-je en rigolant.Il est presque midi. On prend un petit déjeuner copieux qui remplace le repas de midi. On est installées sur la terrasse, face au jardin et à la piscine.— Le café m’a donné chaud, dit Laure et défaisant la ceinture de son kimono et en secouant les côtés comme pour se faire de l’air.— Enlève-le, dis-je en souriant, tu auras moins chaud !C’est ce qu’elle fait. Je la regarde, je l’admire. J’aime la voir nue, j’aime voir ses seins se soulever au rythme de sa respiration.— Tu sais Laure, je trouve que tes seins sont magnifiques. Les miens sont trop petits. Ce doit être héréditaire, tu ne crois pas ? Ma mère a des petits seins, moi aussi. Ta mère a des beaux seins et toi aussi !— Oui, je pense aussi. Et encore les miens ne sont pas aussi gros que ceux de maman. Je fais du 90C et elle fait du 95C.— C’est vrai qu’Isabelle (la mère de Laure) a vraiment de très jolis seins.— Et si tu voyais ceux de son amie Corinne, ils sont encore plus gros !— C’est qui, Corinne ?— C’est une amie d’enfance de maman. Elles se sont connues à l’école primaire, un peu comme nous !— C’est super qu’elles soient restées amies. J’espère qu’on fera pareil, dis-je en prenant la main de Laure.— Oui, moi aussi, me dit Laure tendrement en approchant sa bouche pour un petit baiser.— Mais comment sais-tu qu’elle a des seins plus gros que ceux de ta mère ? Tu les a déjà vus ?— Oui, des fois elle vient à la maison et avec maman elles se baignent et bronzent souvent nues.— Tu veux dire, toutes nues ?— Oui ! Ça te choque ?— Euh, non ça ne me choque pas. J’ai vu l’autre jour que ta maman était assez à l’aise avec son corps. Son bikini ne cachait pas grand chose ! Et son amie n’est pas gênée d’être nue devant toi ?— Non, elle me connaît depuis que je suis née. Et puis entre femmes c’est normal de ne pas être gênée non ? Devant elle je ne suis pas gênée, moi non plus, d’être nue.— Ah, parce que tu te mets nue devant elle ?— Ben oui, bien sûr ! Elle me voit nue depuis le berceau !— Oui d’accord, mais maintenant tu es une femme et plus une enfant.— Oui, c’est vrai. Mais entre femmes je trouve naturel de se montrer nue sans être gênée. Regarde, nous, on se gêne pas !— Oui, tu as raison. Et d’ailleurs avec toi, ce serait même plutôt le contraire, je préfère être nue plutôt qu’habillée !— Alors qu’attends-tu pour enlever ton tee-shirt ?Je rigole et j’enlève mon tee-shirt pour être nue devant ma Laure chérie.On débarrasse la table, puis on se prépare pour un après-midi baignade-bronzette. On installe nos serviettes dans l’herbe avec lunettes de soleil, crème solaire et un petit bouquin. On va barboter un moment dans l’eau. On s’éclabousse, on se fait couler, on se chatouille. Bref des petits jeux qui sont prétextes à se toucher se frôler. On sort et on s’allonge sur la serviette. Dix minutes de chaque côté pour se faire sécher.Laure s’assoit, prend le tube de crème et commence à s’en barbouiller sur la poitrine. Je m’assois également et la regarde faire. Elle masse ses seins avec de la crème. Disons plutôt qu’elle les caresse, vu l’état de ses tétons ! Je l’imite et m’enduis aussi les seins avec la crème solaire.On se regarde dans les yeux tout en se caressant la poitrine. Laure reprend de la crème et s’en enduit le ventre, les cuisses, l’intérieur des cuisses. Je l’imite à nouveau. Nos regards se font plus profonds, pleins de malice, pleins d’envie. C’est à celle qui ira le plus loin dans l’indécence de ses gestes.Laure continue de masser l’intérieur de ses cuisses. Mes mains remontent entre mes cuisses. Une de chaque côté de mon sexe, j’applique de la crème sur mes lèvres… Je masse lentement mes lèvres. Je sens la mouille perler au bord de ma fente. J’en récupère un peu et vient l’étaler sur mon clito.Laure n’est pas en reste. Elle masse son sexe avec le plat de sa main. Elle ouvre un peu plus ses jambes. Ses lèvres s’écartent, son sexe s’ouvre. Je vois sa fente mouillée, non pas de sueur car il fait chaud, mais de son plaisir grandissant tout comme le mien. Elle se pince les lèvres (du visage !) et introduit un doigt dans sa fente en me fixant comme par défi. Elle ne peut s’empêcher de gémir.Voulant relever le défi, je ne la quitte pas des yeux et titille mon clitoris avec des mouvements circulaires rapides. Je gémis également, me sentant déjà proche de l’orgasme tellement la tension est grande.Laure se branle vigoureusement avec maintenant deux doigts plantés au plus profond de son intimité. Nos gémissements se font de plus en plus forts, comme le rythme de nos doigts sur nos sexes. Nous crions de concert notre jouissance. Nous tombons épuisées sur nos serviettes, une main entre nos cuisses.— Hmmm ! C’était bon, hein, dis-je en souriant.— Oh oui ! Et j’ai adoré te voir te masturber. C’est très excitant.— Oui, moi aussi j’aime te voir te donner du plaisir, Laure. Comme ça je sais ce que tu feras, seule dans ton lit, quand tu penseras à moi !— J’espère que toi aussi tu feras pareil.— Bien sûr ! N’aie crainte !— Bon, ce n’est pas tout, mais si on ne veut pas avoir les fesses rouges, il faudrait qu’on les badigeonne aussi ! Allez, montre-moi tes fesses !— Avec plaisir, dis-je en me mettant sur le ventre.Laure étale de la crème sur mon dos, puis descend sur mes fesses sans s’y attarder (dommage, pensé-je), continue sa descente sur mes cuisses et mes jambes. Puis elle remonte sur mes fesses et fait mine d’essuyer le restant de crème de ses doigts sur ma raie pour aller titiller mon anus.— Laure, tu crois vraiment qu’il risque quelque chose, caché dans ma raie ?— Non, mais j’avais envie de le sentir sous mes doigts. Tu sais, ce que tu as fais avec mon anus, c’était la première fois pour moi et j’ai bien aimé. Je ne pensais pas être sensible aux caresses de ce côté.Je me redresse et lui dit :— Je suis très contente que ce soit moi qui te l’ai fait découvrir. Je crois qu’on a encore plein de choses à découvrir ensemble.Je l’embrasse tendrement sur la bouche et lui dit :— Allez, à moi maintenant de te badigeonner le dos !— Juste le dos ?— Mais non, tu sais bien, dis je en lui donnant une petite tape sur les fesses.Je lui étale de la crème dans le dos, sur les fesses, les jambes et viens comme elle finir d’essuyer mes mains dans sa raie en insistant sur son petit trou, ce qui lui fit échapper un soupir de bien-être.Nous sommes restées un bon moment à bronzer, tantôt côté pile, tantôt côté face. Puis nous nous sommes à nouveau baignées afin de nous rafraîchir. En sortant de l’eau, Laure me dit :— Carole, va falloir penser à se rhabiller, mes parents ne vont pas tarder.— OK ! C’est dommage, je suis si bien nue avec toi.— Moi aussi, Carole, je te promets qu’il y aura d’autres occasions. Je t’inviterai un après-midi quand je serai seule.— Je viendrai en courant !On s’est enlacées debout l’une contre l’autre. Seins contre seins, sexe contre sexe, et on s’est embrassées tendrement, longuement, tout en se caressant le dos, les fesses. On est remontées dans la chambre de Laure, on s’est habillées. Laure m’a raccompagnée jusqu’au portail. Ses parents arrivaient juste au moment où je partais.La maman de Laure nous dit :— Alors les filles, vous vous êtes bien amusées ?— Oh oui Isabelle, nous avons passé un excellent week-end ! dis-je avec un regard complice à Laure.Quelques jours plus tard, Laure me téléphone.— Carole, tu as quelque chose de prévu demain après-midi ?— Non, je suis libre.— Tu peux venir à la maison si tu veux. Je suis seule à la maison. Mon père est au boulot et ma mère doit passer l’après-midi avec sa copine Corinne.— OK, alors je passe.— On pourra profiter pleinement de la piscine, si tu vois ce que je veux dire…— OK, j’ai compris ! dis-je en rigolant.J’avais bien compris que, étant seule avec Laure, on pourrait profiter de la piscine en restant dans le plus simple appareil. J’en était toute excitée, et le soir je me suis fait un petit plaisir solitaire en repensant à ce merveilleux week-end passé avec Laure.Le lendemain, je mets une serviette dans mon sac. J’hésite à y mettre un maillot, puis finalement je me dis que ce n’est pas la peine. Me voilà partie chez Laure.Arrivée chez elle, Laure m’accueille au portail, l’air un peu ennuyé.— Quelque chose ne va pas, Laure ? Tu as l’air toute chose.— Figure-toi que ma mère est là . Finalement sa copine a eu un empêchement.— Ah, mince ! Et moi qui n’ai même pas pris de maillot !— Si ce n’est que ça, ce n’est pas grave. Ma mère est déjà au bord de la piscine à faire bronzette, et elle est à poil !— Ah bon ? Mais tu crois que je peux…— Je lui ai dit que tu venais, et elle m’a demandé si je pensais que tu serais gênée de la voir nue. J’ai répondu non.— Oui, tu as bien fait.C’est vrai qu’elle a drôlement bien fait, si elle savait ce que je pense de sa mère…— Mais… on va se baigner nues aussi en présence de ta mère ?— Ben, si t’as pas de maillot, tu vois une autre solution ? Ça te gêne de te montrer nue devant elle ?— Euh, non non, ça ira.Je me sentais quand même un peu gênée de devoir me mettre nue devant Isabelle. D’un autre côté, elle m’avait déjà vu nue, mais il est vrai que j’étais gamine ! Et puis, moi aussi j’allais la voir nue ! Ainsi, de savoir que j’allais voir Isabelle en tenue d’Ève et profiter pleinement de la vue de son corps superbe me donna du courage.Laure me précède jusqu’à la terrasse.— Maman, Carole vient d’arriver !— Ah, bonjour Carole, dit Isabelle en se relevant sur ses avant-bras.Je m’approche dans l’herbe pour lui faire la bise. Je suis un peu intimidée de la voir nue si près de moi. Je me penche pour l’embrasser. Elle s’est assise, me permettant de profiter pleinement de la vue sur ses seins lourds et arrogants.— Excuse ma tenue Carole, j’espère que je ne te choque pas ?— Non, Isabelle, tu es chez toi !— Maman, j’ai proposé à Carole de se baigner nue aussi, elle a oublié son maillot. Ça ne te dérange pas ?— Non, ma chérie. Profitez pleinement du soleil !On retourne sur la terrasse. Laure quitte son tee-shirt et apparaît seins nus. J’hésite quelques secondes puis, voyant Laure retirer son short, je me déshabille aussi. Laure est nue car elle n’avait pas mis de sous-vêtements, la coquine. Ayant retiré ma robe et mes sous-vêtements je me retrouve nue aussi.Isabelle est allongée sur le ventre, elle ne nous voit pas. Laure s’approche de moi, m’embrasse tendrement sur la bouche et caresse furtivement mon sexe. Je passe ma main sur ses seins voluptueux qui pointent déjà .On file en courant jusqu’à la piscine et on saute dans l’eau. On joue au ballon, on se taquine, se chatouille.Isabelle vient se rafraîchir un peu. Elle descend par l’escalier et s’arrête sur la dernière marche, le temps de s’habituer à la fraîcheur de l’eau. Elle passe de l’eau dans son cou, sur ses épaules, ses seins. Je vois ses pointes se dresser. Dieu, que cette femme est belle !Je suis subjuguée par sa beauté, si bien que je n’entends pas Laure me parler. Cette dernière me sort de ma torpeur, voyant bien que je regardais sa mère. Je continue à barboter avec Laure. Mais je ne peux m’empêcher de regarder furtivement Isabelle nager tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, nous dévoilant ses seins et son sexe glabre.Laure me propose de sortir un moment voyant que je ne suis plus concentrée sur ce qu’on fait. On s’allonge sur le dos, sur les chaises longues à côté de celle d’Isabelle. Je suis sur la chaise du milieu.Isabelle sort à son tour. Elle passe tout près de moi pour venir s’allonger. Je l’observe derrière mes lunettes de soleil. Son sexe et ses fesses passent à quelques centimètres. Elle s’allonge.En essayant d’être la plus discrète possible, je l’observe du coin de l’œil pour ne pas tourner trop la tête. Hmmm, elle est belle. Elle doit souvent bronzer nue car elle n’a pas de marque de maillot. Ni en haut, ni en bas.Ayant séchée devant, je me mets à plat ventre, la tête tournée vers… Isabelle. Elle ne tarde pas à se tourner également à plat ventre. Pour ce faire, elle effectue un demi-tour en me faisant face. Dans son mouvement, elle écarte les cuisses et je peuw voir ses lèvres s’ouvrir pour m’offrir une vue magnifique sur son sexe.Je sens une chaleur m’envahir, et ce ne sont pas les effets du soleil. Un feu commence à naître dans mon ventre. Je sens ma liqueur perler.Isabelle se met assise, face à moi. Elle prend le tube de crème et commence à se badigeonner le corps. Les seins – hmm, que j’aurais aimé que ses mains soient les miennes ! – puis son ventre, ses cuisses. Elle écarte un peu ses cuisses pour étaler la crème à l’intérieur de celles-ci et finir d’essuyer ses mains sur son sexe !Je ne sais pas si elle l’a fait volontairement si près de moi, mais je n’ai pas perdu une miette du spectacle. Je ne vous dis pas l’état de mon sexe. Il est trempé ! Pourvu que ça n’aie pas coulé sur le matelas ! Isabelle me dit alors :— Carole, je vais te mettre de la crème dans le dos, et tu me feras de même après, s’il te plaît.— Euh, oui d’accord Isabelle, bredouillé-je, faisant semblant de sortir d’un sommeil.— Tu m’en mettras aussi après, maman, s’il te plaît, ajouta Laure.Je sens un liquide froid dans le dos quand Isabelle verse un peu de crème sur moi. Elle étale soigneusement la crème dans le dos. Elle a les mains si douces… J’aimerais que cela dure encore et encore…Elle passe rapidement sur mes fesses, mais en les massant quand même fermement, en disant sur le ton de plaisanterie qu’il ne fallait pas prendre de coup de soleil ici. Puis elle finit par les mollets avant d’aller faire de même à Laure. Elle me tend ensuite le tube en disant qu’elle me laissait faire le devant. J’aurais préféré que ce soit elle qui le fasse !J’étale la crème comme Isabelle l’avait fait précédemment. Je me doute qu’Isabelle m’observe, mais je n’ose pas regarder de son côté. Je regarde plutôt Laure en lui souriant tendrement. On devait penser toutes les deux à la même chose, on aurait bien aimé étaler la crème sur le corps de l’autre !En finissant de mettre un peu de crème sur mon sexe, j’ai dû écarter un peu les jambes et Laure a bien vu que mon entrecuisse était humide. Elle m’a sourit avec un clin d’œil lourd de sous-entendus.Nous avons alterné plat dos et plat ventre. Au bout d’un moment, j’ai éprouvé le besoin d’aller me rafraîchir. Je suis allée me tremper un peu, rejointe par Laure. Isabelle est allongée à plat ventre, elle ne nous voit pas.Laure s’approche de moi et se colle derrière moi en m’enlaçant avec ses bras autour de ma taille. Puis elle pose son menton sur mon épaule et me chuchote à l’oreille :— Alors, qu’est-ce qui t’a mis dans cet état ?— De quoi tu parles ?— Ne fais pas l’innocente, j’ai vu tout à l’heure que ton minou était trempé !— Euh, c’est l’ambiance, toi et moi nues …— Ce n’est pas plutôt de voir ma belle maman toute nue ?— Qu’est-ce que tu vas imaginer là …— Allez, avoue !Je me retourne en me détachant d’elle et la regarde d’un air faussement contrarié (car elle avait raison). Et Laure de rajouter :— Tu sais, je trouverais ça normal. Je trouve aussi maman très belle. Et que tu la trouves désirable ne m’étonne pas.— Oui, tu as raison, je trouve Isabelle vraiment très belle et désirable. J’adore ses seins, ils sont somptueux ! Mais ne va pas t’imaginer des choses.Là , je suis une menteuse : si Isabelle m’avait proposé quelque chose, je n’aurai pas hésité une seconde ! Laure rigole et s’approche de moi. Elle me dépose un baiser furtif sur la bouche en disant :— De toute façon, il est hors de question que je te partage !Je sors de l’eau et m’approche de la chaise longue. Je prends ma serviette pour m’essuyer un peu. Debout, en train de me frotter, j’observe Isabelle qui est allongée sur le dos. Elle bouge un peu, ses jambes s’écartent très légèrement. Je peux voir son sexe entrouvert. Ses lèvres brillent au soleil. Est-ce la crème solaire ? J’ose imaginer que non…La situation ne me déplaît pas, au contraire, mais j’ai peur qu’Isabelle s’aperçoive de quelque chose. Alors je me dirige vers la terrasse et me rhabille. Laure me rejoint encore nue.— Tu t’en vas ?— Oui, Laure, maman avait besoin de moi en fin d’après-midi, je dois rentrer (là j’ai encore menti !).— OK. Attends je te raccompagne jusqu’au portail.Elle va chercher une serviette et s’enroule dedans. Elle lui cache à peine les fesses. Je vais dire au revoir à Isabelle. Elle se lève pour me faire la bise. Je peux l’admirer encore une dernière fois entièrement nue. Je m’aperçois que ses seins ont leurs pointes dressées…En m’embrassant elle me sourit en me disant de revenir quand je voulais, et qu’entre filles on n’avait pas besoin de maillot comme j’avais pu le constater, mais qu’il était prudent de ne pas l’oublier la prochaine fois, au cas où on ne serait pas seules !Arrivées au portail, Laure m’embrasse tendrement sur la bouche en passant sa main sous ma jupe pour caresser ma culotte. Moi je passe ma main sous la serviette et accède facilement à son sexe.— Oh, Laure, tu es trempée, ma chérie, lui dis-je en portant mon doigt à ma bouche avant de le poser sur la sienne.— Oui, Carole. C’est pour toi, ma chérie.Le soir, dans mon lit, je repensais à cet après-midi.Je revois Isabelle nue. Je la vois allongée sur la chaise longue. Ma main va entre mes cuisses. Je caresse doucement mon sexe, mes lèvres, mon clitoris.J’imagine Isabelle devant moi. Elle se masturbe comme je le fais. Je vois son corps se tendre, je la vois jouir. Mon corps se tend, je jouis.Et si elle était en train de faire la même chose dans son lit…Le lendemain matin en me réveillant, mes premières pensées vont à Isabelle. Mais que m’arrive-t-il ? Voilà que maintenant la mère de ma meilleure amie hante mes pensées. Essayant de penser à autre chose, je me lève et file sous la douche.Voilà que ça me reprend. Je suis sous la douche. Mon corps réclame des caresses. Comme souvent je le fais dans mon bain ou sous la douche, mes mains partent à l’exploration de mon corps. Je caresse mes seins. Mes tétons se dressent. Je les roule, les pince, les étire. Mon sexe devient humide, mais ce n’est pas l’eau de la douche qui en est responsable.Les caresses de mes mains sur mon corps me renvoient l’image d’Isabelle, nue à mes côtés, me passant de la crème solaire. Mes mains descendent entre mes cuisses, en caressent l’intérieur, frôlent mon sexe de part et d’autre. Je gémis. Je sens mon clitoris se gonfler de désir. Je pose l’index dessus pour le titiller doucement. Je pousse un « Oh oui ! Oui, Isabelle, c’est bon, continue ! ». Ma main s’active sur mon sexe, dans mon sexe. Je coule, je crie, je jouis. Je m’accroupis dans la douche, appuyée contre la paroi, mes jambes ne me supportant plus après cet orgasme d’une grande intensité.Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Je me rends compte que j’ai joui en prononçant le prénom d’Isabelle.C’est vrai que j’ai très envie de la belle femme qu’elle est. Sa façon d’être à l’aise avec son corps, d’être à l’aise totalement nue devant moi, tout cela dégage une forte sensualité.Et si elle aimait les femmes ? Et si son attitude hier, sa façon de se passer de la crème sous mes yeux n’était pas innocente ? Et sa position sur la chaise longue, allongée sur le ventre, les cuisses légèrement écartées qui laissent entr’apercevoir sa fente lisse …Et après, même si elle est bisexuelle, est-ce pour autant qu’elle voudra faire avec moi ? Et puis, vis-à -vis de Laure, je me sentirais coupable, déjà qu’avec l’épisode avec son père, je culpabilise. Et hier dans la piscine, quand Laure m’a dit qu’elle comprenait que je puisse être attirée par sa mère, elle a rajouté : « De toute façon, il est hors de question que je te partage ! ». Mais ça veut peut être aussi dire « ma mère aime les femmes, mais il est hors de question qu’elle te touche ! ». Et si c’était vrai ? Il faut que je sache.Je téléphone à Laure pour lui proposer d’aller faire un tour en ville. Je trouverai bien une occasion pour aborder le sujet avec elle.J’arrive chez elle. Laure se dirige vers la terrasse pour aller dire à sa mère que l’on va en centre ville. Je l’accompagne pour saluer Isabelle. Et là , que vois-je…Isabelle est allongée à plat ventre sur une chaise longue, elle est nue. Mais sur la chaise longue d’à côté il y a aussi une femme allongée, nue également.— Maman, je vais avec Laure en ville.Isabelle lève la tête, et me voyant se lève pour venir me dire bonjour. Elle s’approche de moi très naturellement et me fait la bise.— Bonjour, Laure.— Bonjour, Isabelle. Excuse-moi, je pensais que tu étais seule. Laure ne m’a rien dit. Je ne voulais pas vous déranger.— Tu ne nous dérange pas, dit Isabelle très tranquillement ! C’est Corinne, mon amie.— Oui, Laure m’en a parlé.Corinne se lève, et très naturellement et sans être le moins du monde gênée par sa nudité, elle vient me faire la bise. J’ai du mal à rester naturelle. Je n’en crois pas mes yeux. Isabelle a de très jolis seins, mais ceux de Corinne sont encore plus volumineux. Elle est brune, le sexe épilé avec juste un ticket de métro. Ces deux femmes sont divinement belles !— Carole, allez on y va, me dit Laure.Heureusement qu’elle me sort de cette espèce d’envoûtement qui m’empêchait de réagir, sinon je serais restée là , plantée bêtement à contempler ces deux corps nus.— Bon après-midi, nous dit Isabelle.— Vous aussi, dis-je en remerciement.Je vois Isabelle et son amie me sourire.— Tu ne crois pas si bien dire, me dit Laure en rigolant.— Que veux-tu dire par là  ?— Je suis sûre que maman et Corinne vont passer un « agréable » moment, si tu vois ce que je veux dire…Surprise par ce que vient de me dire Laure, je rajoute :— Ah, parce que ta maman et Corinne …— Oui ! Tu as bien compris ! Maman et Corinne se connaissent comme nous depuis très jeunes, et elles sont très, très complices …— Tu veux dire que… elles sont bi et elles couchent ensemble ?— Oui ! Bien sûr !— Mais, comment tu en es sûre ?— Leur façon d’être ensemble, et puis une fois où j’étais rentrée sans qu’elles le sachent, je les ai vues en train de s’embrasser sur la bouche. Elles étaient nues dans la piscine et elles se caressaient les seins en même temps.— Eh ben, tu m’en apprends, là  ! Mais ton père est au courant ?— Oui. Mes parents se disent tout. Ils sont très amoureux. Ils n’ont aucun secret entre eux.— Ah bon, dis-je un peu gênée, en pensant à l’épisode avec Charlotte et Gilles, le père de Laure… et si Isabelle savait ?— Je trouve ça super d’avoir des parents amoureux et aussi complices qu’eux.L’après-midi avec Laure se passa dans quelques magasins de vêtements. On est passé devant un magasin de lingerie. On s’est promis qu’un jour on irait toutes les deux ensemble. On attend que nos moyens nous le permettent !Quand nous sommes revenus chez Laure, la voiture de Corinne n’était plus là , mais celle du père de Laure était là . J’ai préféré rentrer à la maison.Le soir dans mon lit, je repensais à tout ce que Laure m’avait dit, de sa mère avec son amie, de ses parents …Et si Gilles avait tout raconté à Isabelle sur ce que j’avais fait avec lui et Charlotte ? Voyons le bon côté des choses, Isabelle n’en tient certainement pas rigueur à Gilles puisqu’ils ne se cachent rien, et elle sait que j’aime les filles. Ce dernier point est plutôt bien pour moi …Mais il y a Laure. Elle m’a dit, qu’elle ne voulait pas me partager. Comment réagirait-elle si elle apprenait que j’ai fait l’amour avec sa mère ? Je ne veux pas la perdre. Mais lors de notre week-end intime, on s’est dit qu’on s’aimait. Mais on était d’accord, c’est un amour fraternel plutôt que sentimental (je ne sais pas si je m’exprime avec les bons termes mais je pense que vous comprendrez). Alors, de quel droit elle me garde pour elle ? Je ne suis pas « mariée » avec elle. Je dois être prudente sur l’attitude à avoir avec Laure. Ne brusquons pas les choses. Laissons le temps au temps…Sur ce, je me suis autorisée une séance de masturbation comme j’aime le faire avant de m’endormir le soir dans mon lit.J’ai imaginé Isabelle et Corinne se câlinant dans la piscine. Moi et Laure tout à côté. Puis Isabelle me prend dans ses bras pendant que Corinne s’occupe de Laure. J’ai rapidement joui sous les caresses d’Isabelle …Voilà , l’été s’est terminé ainsi. Je n’ai pas eu d’autres occasions de me baigner nue chez Laure, ni de revoir Isabelle en tenue d’Ève. Mais l’envie de m’offrir à cette belle femme dans la quarantaine épanouie est toujours là …FIN