J’étais avec ma copine actuelle depuis trois semaines.Comme tous les débuts de relation, c’était une idylle… nous faisions l’amour constamment et la vie était remplie de petites attentions délicieuses.Physiquement, elle était géniale. Originaire d’Afrique noire, elle était athlétique, des seins lourds, des fesses rebondies, et une chatte fine et pointue cachée par une douce toison frisée. En plus, elle était cool, pas chiante, et toujours partante pour découvrir de nouvelles choses ou sortir. On s’aimait vraiment et tout semblait nous sourire, d’autant que nos deux familles étaient ouvertes d’esprit, il n’y aurait donc pas de drame à la Roméo et Juliette.La seule ombre au tableau était ce voyage, prévu par elle de longue date avec une copine, en tout cas bien avant qu’on se connaisse. Ce voyage, non annulable, allait devoir se faire. Je voyais arriver la date fatidique avec crainte, car étant ensemble depuis très peu de temps, la relation était encore fragile. En plus, elles l’avaient organisé alors qu’elles étaient encore célibataires toutes les deux, et n’avaient rien trouvé de mieux que de réserver un séjour dans l’un de ces fameux clubs de vacances avec des bungalows « sans portes » où la volonté de favoriser les rencontres est clairement affichée.Elle, de son côté, partait la mort dans l’âme, me promettant de ne pas être emportée par l’exotisme local, et de revenir avec un Amour encore plus fort. Elle m’avait même dit :— C’est promis, je ne mouillerais pas !Bref… c’était mal engagé ! Il y a des fois où on espère une grève des compagnies aériennes.Peu de temps avant le voyage, elle m’a fait un cadeau. C’était une poupée. Selon elle, c’était très ancien. Ça lui avait été donné par sa grand-mère, qui le tenait elle-même de sa grand-mère, et c’était « un peu magique » et même peut-être « vaudou », même si elle m’avait dit ça sans y croire vraiment.Il reste que sa grand-mère lui avait dit : « Ma fille ! Tu donneras cette poupée à l’homme que tu aimes vraiment, et tu ne pourras jamais la lui reprendre ». Alors, pour me prouver son amour, elle m’a offert cette poupée. J’avoue que j’aurais préféré qu’elle reste.Cette poupée était très particulière : d’environ 20 cm de haut. Le bas du corps de la poupée était exagérément grand par rapport au reste, de sorte que le sexe de la poupée était aussi grand que celui d’une femme de taille normale. Cette disproportion donnait à l’objet un côté obscène et primitif, un peu comme les sculptures préhistoriques de femmes qui représentent des seins, des fesses et un sexe énorme alors qu’elles n’ont pratiquement pas de tête ni de bras.Une sorte de poche était cousue par-dessus l’entrejambe de la poupée, un peu comme s’il s’agissait d’une culotte. On pouvait y rentrer la main dedans. Elle a plaisanté en disant que je pourrais continuer à mettre la main dans sa culotte quand elle serait partie en voyage. Alors qu’on en riait, elle a mis en même temps une main dans sa culotte et l’autre main dans celle de la poupée.À mon tour, j’ai mis une main dans la culotte de la poupée, mais, pris d’effroi, je l’ai aussitôt ressortie. Ce que j’avais senti à l’intérieur était très dérangeant. Une forme indéfinissable, une matière très froide, semblable à du carton ou du cuir. On aurait dit de la peau séchée. Voyant ma réaction, elle a réessayé de mettre sa main, mais elle ne ressentait pas du tout la même chose que moi. Pour elle, il n’y avait que du tissu. J’ai réessayé, mais le second contact m’a encore plus dégoûté que le premier.Voyant son incompréhension, j’ai voulu la rassurer en lui disant que son cadeau était très précieux et que je l’appréciais beaucoup mais que j’attendrais qu’elle soit de retour en vrai pour mettre ma main dans sa culotte à elle.La poupée est allée rejoindre le dessus de la cheminée et, le lendemain, j’ai accompagné ma chérie très tôt à l’aéroport, après avoir passé une nuit perturbée.De retour à la maison, je me sentais vide. Lorsque je suis tombé sur la poupée, posée sur le rebord de la cheminée, la sensation de vide a laissé place à une présence dérangeante. J’avais beau essayer de m’occuper, mon regard revenait sans cesse sur cette maudite poupée. Je me demandais bien ce qu’elle représentait.Je l’ai rangée dans le placard pour ne plus la voir, et je l’ai oubliée.C’est pendant la nuit que le sentiment d’une présence étrangère dans la maison est revenu. D’abord légère, puis insupportable. J’ai été incapable de fermer l’œil. Je repensais à ce que j’avais senti à l’intérieur. Ça me faisait un peu peur, et ça m’intriguait. C’était plus fort que moi. Tant que je n’aurais pas éclairci le mystère de cette poupée, je ne parviendrais pas à avoir l’esprit tranquille.Alors, en pleine nuit, j’ai sorti la poupée. Sans oser remettre la main à l’intérieur, je l’ai examinée sous tous les angles. Je sentais un objet dur et rectangulaire à l’intérieur. Avec des ciseaux, j’ai défait quelques coutures délicatement. Je pouvais voir maintenant la garniture en crin qui semblait très vieille. En rentrant ma main, j’ai pu extraire l’objet qui se trouvait être une très vieille boîte en bois, avec des signes étranges sculptés dessus. J’ai réussi à ouvrir la boîte et ce que j’y ai trouvé m’a à la fois dégoûté et intrigué.De toute évidence, il s’agissait d’une touffe de poils pubiens. Ces poils, apparemment africains, car ils étaient noirs et crépus, semblaient là depuis très, très longtemps. J’ai alors compris ce qu’il y avait de magique dans cette poupée, et cela m’a fait trembler de peur, car ce que j’avais touché dans la culotte de la poupée n’était autre que la chatte de la femme à qui appartenaient ces poils. Sauf que cette femme devait être morte depuis très longtemps, et se trouver quelque part en Afrique, six pieds sous terre.J’avais honte de mon geste que je considérais comme très déplacé à l’égard de cette personne ancienne que je ne connaissais pas, mais en même temps, tout un tas d’idées très prometteuses me venaient en tête.C’était plus fort que moi, il fallait que j’essaye. J’ai foncé vers le lit et j’ai tiré la couverture jusqu’en bas. J’ai retrouvé plein de poils, tombés pendant nos multiples ébats nocturnes, au fond du lit. Il était facile de différencier les miens des siens, car les miens étaient raides et blonds.J’ai ramassé une bonne touffe des poils de ma copine et je les ai attachés ensemble. Je les ai ensuite mis dans la boîte à la place des autres, puis j’ai refermé et replacé la boîte à l’intérieur de la poupée.Le cœur battant et la main tremblante, je me préparais à retenter l’expérience. J’avais très peur que ça ne marche pas et que je sente la même chose que la première fois. Les yeux fermés, j’ai plongé ma main dans la « culotte » de la poupée, et j’ai été immédiatement rassuré. Ce que je sentais maintenant était soyeux, doux, et mou. J’étais en terrain connu ! j’avais tout de suite reconnu la chatte de ma chérie, que je connaissais par cœur.C’était merveilleux ! j’avais percé le secret de cette antique poupée vaudou. J’en ai profité quelques minutes en promenant mes doigts sur tous les contours de cette chatte si familière, en m’attardant sur ces petites lèvres et ce clitoris qui sortaient au milieu, jusqu’à ce que tout ça soit trempé et glissant…Une fois la reconnaissance faite, et la certitude acquise qu’il s’agissait bien d’elle, je lui ai envoyé un SMS dans lequel je lui disais :Coucou ma chérie ! je crois que j’ai compris comment fonctionne ta poupée, tu avais raison, elle est vraiment magique ! d’ailleurs as-tu senti quelque chose ? Parce que moi, oui !Elle m’a répondu le lendemain matin :OUI !!!!! Donc, c’était toi ! C’était chelou ! J’étais dans l’avion et je sentais plein de choses dans ma culotte ! Je me suis mise à mouiller comme une folle… Mais comment as-tu fait ?Je lui ai alors raconté rapidement ce que j’avais fait avec la poupée… Elle était emballée.— C’est génial ! On n’est pas ensemble, mais tu vas pouvoir mettre ta main dans ma culotte quand tu voudras !— Oui, mais bon, je te demanderai avant pour savoir si tu es tranquille.— Mais non, justement ! C’est beaucoup plus drôle si ça tombe n’importe quand et que je ne m’y attends pas !— En tout cas, tu étais bien mouillée !— C’est normal, le petit animal qui était dans ma culotte n’a pas arrêté de m’embêter juste au bon endroit !— Et encore, je n’ai pas fait grand-chose ! La prochaine fois, j’irai plus loin !— … Et surtout plus profond, comme ça, si je ne suis pas sage, ça me rappellera que tu es le meilleur, et je serai obligée de m’arrêter de parler !— D’accord ! Alors je choisirai exprès l’heure des repas, de l’apéro et le début de soirée !— … Pas de problème, quand tu veux ! C’est toi que j’aime de toute façon… et puis si je suis à table avec quelqu’un, ça m’excitera encore plus ! Comme quand tu m’as masturbée au restaurant l’autre jour alors qu’il y avait Fabienne et Sarah à la table !Fabienne et Sarah… bien sûr ! C’est là que je me suis rappelé qu’elles avaient dormi à la maison quelques jours avant dans le canapé du salon.Nous avions mis les draps au sale et la lessive n’était pas encore faite. Je me suis rué dans le panier à linge sale et j’ai sorti le drap. Il était roulé en boule… avec un peu de chance… Je l’ai déplié délicatement par terre, et… Bingo, un coin du drap était rempli de poils.L’avantage d’avoir hébergé un couple de lesbiennes était que tous les poils appartenaient à des filles, et qu’en plus il y en avait beaucoup… Car quand les filles font des cochonneries entre elles… !Les expériences que j’ai pu faire après m’ont montré qu’un seul poil présent dans la boîte suffisait pour avoir le même effet. Elles m’ont montré aussi que tous les poils devaient appartenir à la même femme, sinon ça ne marchait plus.J’ai pu jouer toute la soirée avec la chatte de Fabienne puis avec la chatte de Sarah, que j’ai trouvée intéressante, car elle était un peu grassouillette et, à l’inverse de ma copine dont les petites lèvres et le clitoris jaillissaient dehors, là, il fallait plonger au plus profond de sa fente pour les trouver.Très vite, c’est devenu une obsession. Je jouais avec la chatte de ma copine, nous en parlions après par message, elle me faisait des commentaires sur ce qu’elle avait ressenti, sur les fois où elle s’était interrompue au milieu d’une phrase tellement elle était perturbée, et sur les fois où, ne pouvant plus se maîtriser, elle lâchait un petit soupir ou fermait les yeux alors qu’elle n’était pas seule.Pour la surprendre encore plus, j’ai commencé à emmener la poupée au boulot. Je l’enfermais dans un sac suffisamment ample pour y glisser la main et je pouvais ainsi la perturber à distance toute la journée durant. Ses messages en retour m’encourageaient à continuer et m’incitaient parfois à y aller plus fort. Cette poupée était devenue le lien qui nous unissait pendant le déchirement du voyage, mais il m’en fallait plus. Je voulais essayer d’autres chattes, et surtout, je voulais voir le résultat de mes propres yeux. Mais comment faire ? Il fallait que je trouve les poils d’une femme et que je puisse la côtoyer après.J’ai commencé à élaborer des plans très compliqués sur mes collègues de travail, mais évidemment, récupérer leurs poils n’était pas chose facile. J’ai fini par me rabattre sur les toilettes qui étaient mixtes. J’ai fait plusieurs essais avant de m’apercevoir qu’il fallait passer avant que les femmes de ménage ne nettoient tout.Une fois, je me suis retrouvé dans une des toilettes et une femme est venue utiliser l’autre juste à côté. Elle était visiblement très pressée. Je ne savais pas qui c’était. Elle s’est enfermée et a pissé bruyamment, s’est essuyée, puis a commencé à se masturber à côté de moi. C’était tôt le matin, et visiblement, elle ne s’était pas aperçue qu’elle n’était pas seule. J’entendais le bruit mouillé rapide de son doigt et aussi ses soupirs saccadés. Elle a joui avec de petits gémissements étouffés, puis je l’ai entendue se rhabiller et ressortir se laver les mains, puis partir.Ce jour-là, j’ai pu récupérer plusieurs de ses poils par terre au pied du siège et aussi sous la lunette en plastique. Je n’avais toujours pas vu qui était cette femme, mais j’avais bien enregistré le bruit de ces talons. Je comptais bien découvrir qui elle était.C’est en la croisant dans le couloir un peu plus tard que j’ai reconnu ses pas. Il s’agissait de Geneviève, la responsable des achats. Environ 50 ans, c’était une véritable bombe qui cachait ses formes voluptueuses sous des vêtements stricts et sobres qui ne laissaient de place qu’à l’imagination. C’était parfait, d’autant que son bureau était dans le même open-space que le mien. Je pouvais donc l’observer à bonne distance.Après avoir « testé » l’un de ses poils dans la poupée le soir même, j’ai constaté qu’il s’agissait bien d’une femme (les toilettes étant mixtes, il valait mieux vérifier) et qu’elle était particulièrement poilue. J’ai préparé la poupée pour le lendemain.Le lendemain, l’open-space n’était pas très peuplé. J’avais Geneviève dans mon champ de vision et sa chatte dans mon sac à portée de main. Quelques rares collègues éparpillés ne pouvaient déranger mes activités douteuses, tout était réuni pour que mon expérience se passe bien.Bien sûr, vous vous doutez que ça n’a pas été aussi simple. Il y a d’abord le fait que, ce jour-là, j’ai complètement oublié ma copine. Celle-ci, ne sentant rien dans sa culotte de toute la matinée, m’a relancé plusieurs fois pour me demander ce qui se passait. C’est là que je me suis rendu compte qu’elle était très jalouse, car elle s’est immédiatement imaginé que je l’avais larguée pour une autre.J’ai dû lui expliquer que j’avais une journée très chargée et que je n’avais pas pris la poupée avec moi. J’ai immédiatement senti le scepticisme dans sa réponse.Il y a eu ensuite Geneviève. C’était pourtant bien parti. J’avais passé une bonne partie de la matinée la main dans sa chatte, à promener mes doigts entre ses babines poilues, en passant régulièrement sur son clitoris qui devenait de plus en plus dur.Extérieurement, les signes ne trompaient pas. Ses tétons étaient devenus si durs qu’ils crevaient presque le tissu de son chemisier. Elle se dandinait sans arrêt sur sa chaise, les jambes croisées, et fermait régulièrement les yeux en ouvrant la bouche ou en se mordant la lèvre. Elle se cachait de temps en temps le visage dans ses mains. Intérieurement, ce que je sentais sous ma main était un véritable marécage. Elle était en train d’inonder sa culotte.Mon petit manège, je ne sais pourquoi, a provoqué une réaction très inattendue chez Geneviève. Elle a commencé à me regarder d’une manière plutôt coquine. Peut-être que dans sa tête elle avait associé les sensations qu’elle ressentait au fait de me voir, ou bien peut être que je la regardais sans m’en rendre compte… Cela n’a fait que m’encourager, et je me suis retrouvé à la mater tout en la masturbant. Plus elle me regardait, et plus j’y allais franchement.L’instant d’après, j’avais sorti mon sexe sous mon bureau et j’ai commencé à l’accompagner en me masturbant aussi en même temps. C’était en train de dégénérer… Elle ne cachait même plus ses sensations et, moi, je n’avais plus aucune retenue ni avec ma main droite ni avec ma main gauche, ce qui fait que nous avons joui tous les deux en même temps. Heureusement, tout est arrivé dans mon slip, sinon, j’aurais fait un véritable carnage.Je me suis rhabillé. Elle, rouge comme une tomate, a réajusté sa robe, ses cheveux… Nous nous sommes levés et nous sommes allés spontanément l’un vers l’autre. Elle a commencé en bredouillant, et nous avons parlé presqu’en même temps :— Je… Je…— Je suis désolé…— … Non, c’est moi ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ?— Moi non plus…— J’ai eu un coup de chaud… Oh-là-là… c’est gênant !— J’espère que tu ne m’en veux pas !— Ça ne m’est jamais arrivé avant, je te promets !— Moi non plus !— En tout cas, c’était…— Oui, c’était…— Intense !— Oui !— On doit être très en manque, tous les deux !— C’est clair !— J’ai eu un orgasme, toute seule, sur ma chaise (elle rigolait en disant ça).— Moi aussi !— Oui, mais toi, c’est normal… Alors que moi je n’ai rien fait du tout !— Ah bon (j’ai fait l’étonné pour ne pas me trahir) ?— Remarque, je croisais les jambes un peu fort, c’est peut-être ça !— Qu’est-ce qui nous arrive ?— Je n’ai jamais ressenti ça juste en regardant un mec ! Tu es le premier avec qui ça me fait ça !— Et si on allait déjeuner pour en discuter ?Nous avons déjeuné ensemble et recouvert tout ça d’un voile de banalités. À aucun moment, nous n’en avons parlé. La gêne était trop importante.Mais l’après-midi, j’ai remis le couvert. J’ai recommencé à la masturber de plus belle en allant droit au but, elle a recommencé à me regarder, secouée par des spasmes dès que mon doigt touchait l’endroit sensible. Elle s’est levée et a marché vers les toilettes en me regardant, la démarche saccadée, car je continuais à la torturer pendant qu’elle marchait, et je l’ai suivie, sans la poupée bien sûr, bien décidée à continuer pour de vrai.Nous nous sommes enfermés et ma main est partie directement dans sa culotte finir ce qu’elle avait commencé. Puis je l’ai prise de dos, en rebondissant contre ses grosses fesses pendant que ses seins tombés de son décolleté ballottaient éperdument sous elle.La journée a fini de façon aussi banale que le déjeuner, comme après un plan cul dans un ascenseur, et nous n’avons pas non plus parlé de cet épisode par la suite.Ma copine est rentrée le lendemain, bien décidée à reprendre ses droits. Après avoir garni l’intérieur de la boîte de ses poils de foufoune bien à elle (même si j’avais déjà pris soin de remettre les siens avant qu’elle rentre), elle a recousu solidement le côté de la poupée et a pris un air satisfait avant de me la rendre.Nous nous sommes mariés quelque temps après. Je prends chaque jour un grand plaisir à jouer avec sa poupée, même si parfois, une certaine nostalgie m’envahit lorsque, arrivant aux toilettes du boulot alors qu’une collègue femme en sort, je prends exprès sa place, et débusque un magnifique poil de foufoune tombé à terre ou posé sur la porcelaine blanche.