Résumé des épisodes précédents :Sébastien, jeune parisien amateur d’objets anciens, continue ses explorations et ses confessions. Ce dimanche d’hiver, il a décidé d’aller visiter un salon d’antiquités en banlieue : peu d’achats, mais une belle rencontre…Janvier.Ça démarre toujours un peu de la même façon : par des petits gestes, un regard soudain assez long pour accrocher les yeux d’un autre et qui vous répond et démarre ainsi un jeu d’attentes, d’attentions, puis des mots, mais après, après cette danse à deux pour se déterminer, se rapprocher lentement, doucement, sans trop se découvrir au début.Cette fois-ci c’était dans une foire aux antiquités, en banlieue parisienne, dans une grande halle couverte aménagée pour l’occasion en marché aux puces d’un jour, en plein hiver.J’allais de stand en stand, je ne trouvais pas grand-chose quand mon regard s’arrêta plusieurs fois sur un même chineur, un homme plus âgé que moi, d’aspect commun, mais plein de charme. Petit à petit mon regard s’était mis à le chercher cet autre chineur entre les stands, dans les allées, c’était un homme d’une cinquantaine d’années et qui semblait s’intéresser aux mêmes objets que moi, et aussi (je commençais à l’espérer en tous les cas) un peu à moi… Je venais de le croiser deux trois fois, quelques échanges furtifs, un sourire échangé, rien de plus, mais je commençais à lui donner beaucoup d’attention. Où était-il maintenant.En même temps pourquoi s’enflammer ? Les quiproquos sont nombreux dans ma situation alors j’étais loin de commencer à m’affoler, mais j’espérais. On verrait bien.Le temps passa, je le ne revoyais pas. Je repris contact avec les stands, j’étais venu avant tout pour chiner, donc je chinais.Soudain sur un stand à l’ambiance rustique, genre évocation « fausse ferme », j’attrapai une pile de vieilles reliures en cuir posées sur une table en chêne aux pieds tournés sans trop y croire.Une voix derrière moi :— Alors ? Il y a des choses intéressantes ?Je ne l’avais pas vu arriver derrière moi et je répondais sans me retourner tout en sachant très bien que j’avais sans doute affaire à mon inconnu :— Bof, neuf fois sur dix, ce sont des bondieuseries… Et cette fois encore, c’est pareil… quatre missels et un catéchisme. Je ne sais même plus vraiment pourquoi je regarde encore ce genre de piles et de même de stands trop bien arrangés… Y a jamais rien de bien.— L’espoir d’une bonne surprise sans doute ! Comme moi.— Oui, sans doute.— Je suis pareil, je regarde tous les stands, même si je ne trouve jamais rien sur ce genre de stand trop propre, sauf peut-être des garçons charmants.Il avait accompagné ces mots d’un sourire. Sans rien dire de plus il avait pris place à mes côtés et nous déambulions dans les allées, inspectant les stands des brocanteurs, tous des professionnels, un peu chacun de notre côté, mais sans jamais vraiment se détacher l’un de l’autre non plus.Au bout de quatre ou cinq stands, un espace vide entre deux stands du salon lui fit briser le silence :— Et quel genre de livres cherche un jeune homme comme vous sur les foires ?— Oh, je cherche de tout, des livres, des magazines, mais aussi des objets… (je continuais à marcher tout en parlant, regardant à gauche à droite), je n’ai pas de thème précis… En livres, je brasse tout ce qui est historique, politique, un peu toutes sortes de livres anciens aussi, mais profanes, et puis les vieilles BD, et les ouvrages érotiques, aussi.Oui, évidemment, « les ouvrages érotiques », le charmant garçon terminait par ça. Pas très fin, mais nullement sibyllin, clair, efficace.— Et de quel type, pour les derniers ?Il ne redit pas érotique.— De tout… je suis assez ouvert. Puis je revends un peu et en érotiques tout marche. Pour mon goût perso, en fait, plutôt les littératures homosexuelles.Voilà, le mot était lâché. Il en fera ce qu’il voudra.— Moi aussi je recherche les ouvrages érotiques de ce type… et leurs jolis lecteurs.OK, attaque frontale.Risquant tout, je laissai ma main qui dépassait à peine de la manche de mon gros manteau appuyer de son dos sa cuisse moulée dans un basique, type 501. Je regardais toujours ailleurs, mais je souriais. Mon geste était sans équivoque. Je lâchai, enjoué :— Il faudra me montrer votre collection alors. Pourquoi pas aujourd’hui. Vous faites quoi, après vos achats ?— Pas grand-chose. Je n’habite pas loin en plus, ce sera avec plaisir. On pourra se mettre au chaud et se boire un thé, j’ai de très bons thés.— Bon, on finit le marché et OK pour un thé !Le reste des stands nous donna le temps de mieux nous connaître. Je lui précisai mes collections : l’érotisme, la bande dessinée, les assiettes anciennes et les bibelots des guerres mondiales, le fameux « militaria » qui me passionne… Lui me parlait de sa passion pour les jouets anciens, la gravure de l’entre-deux-guerres et la photographie érotiques. Enfin, comme moi, il s’intéressait un peu à tout, c’était des thèmes de cœur, mais nullement des absolus. Il avait des goûts éclectiques, achetait et entassait de tout, un peu comme moi.Nous finîmes notre parcours, ni lui ni moi, n’avions acheté quoi que ce soit.Pour l’accompagner, je décidai de laisser en plan ma voiture. Je trouverai bien un moyen de venir la récupérer. Lui conduisait une Clio grise. Je montai dedans, à l’avant. Ceintures. Il démarra. La discussion était chaleureuse. Nous parlions de tout et de rien, d’art, du temps si froid, mais ensoleillé. « Oui, le thé serait bien agréable ». Il riait à mes blagues un peu nulles, rebondissait sur mes remarques sur le paysage de la banlieue qui défilait. Je lui donnais mon prénom, il me donnait le sien.Je me sentais à l’aise, j’étais ravi, empourpré d’être tombé sur un mec sympa et attirant. Les rues pavillonnaires défilaient seulement interrompues aux carrefours par les feux rouges de banlieue au coin desquels se dressaient des bistrots fermés.Je me sentais tellement à l’aise qu’alors que nous roulions je fis glisser ma main gauche du bord de mon siège au milieu de sa cuisse droite.Ça y est je franchissais le Rubicon de nos échanges entre garçons pour la deuxième fois.Je caressais sa cuisse, moulée, belle, ronde : d’abord sur le côté, puis sur le dessus, à peu près au milieu de sa cuisse.Lui continuait de regarder la route, mais sa respiration changea.Je continuais mon manège en le caressant, lentement, sagement, mais de façon décidée, appuyée, léger mais décidé. Ma main appuyait sur le tissu bleu clair. Je sentais ses muscles, bandés, au-dessous. Sa respira sembla un peu suspendue, puis plus forte.Je le caressais il regardait la route.Je le regardai lui : son corps, son entrejambe, son visage. Il eut un sourire rapide, d’acquiescement, puis tourna son visage vers la route.Je remontai ma main vers la bosse triangulaire formée par son jeans au croisement de ses cuisses. Voilà. Je touchai son sexe ramassé en paquet, contraint par la toile, sa verge tassée de mâle. Ma main fut accueillie un léger tremblement et une respiration lourde, une déglutition aussi. La bosse était pleine, ronde, le contact de ma main la durcit encore. Je le massais, je cherchai, sous le tissu, à dégager la hampe de sa queue.Un râle s’échappa de sa bouche. Une espèce de murmure un peu rauque. De mes doigts je sentais la bordure de son gland, la hampe de son pénis. J’alternais les caresses plus ou moins pressantes. Je sentais sa queue de plus en plus gonflée dans son jeans de plus en plus petit.Il poussait quelques râles assourdis. J’entendis un « c’est bon ce que tu me fais ». Sa main était venue se poser directement sur mon pubis. Il lui aussi massait maintenant mon sexe à travers mon pantalon de jogging très lâche. Quand il atteint de ses doigts mon gland, j’étouffai un soupir. C’était si bon d’être branlé par un mec.La voiture obliqua sous un porche.Nous étions arrivés chez lui, un bâtiment de charme, années 1960, quatre étages.Il se gara. « C’est là ».Une fois la voiture garée nous nous sommes tournés l’un vers l’autre, avide de nos bouches, pour nous embrasser longuement, langoureusement. Mes mains cherchaient son ventre sous son gros pull à col roulé et son manteau en cuir heureusement ouvert, lui cherchait mes côtes, la naissance de mes fesses sous mon manteau de laine et mon gilet de coton à capuche ouvert sur un t-shirt blanc détendu. J’aimais le contact de ses mains froides sur mes côtes avides. Sa langue emplit ma bouche, une langue lourde, salée… bien plus grosse et pâteuse que la mienne. Quelle pelle délicieuse, là, dans l’habitacle, moteur éteint sur le parking désert. Je tentai d’ouvrir les boutons de sa fermeture Éclair pour le sucer enfin, libérer sa queue, il m’arrêta :— Non, pas ici. On va monter.Pas d’ascenseur, une cage d’escalier qui sentait le renfermé, une petite plaque en émail « Essuyez vos pieds svp » vissée sur une marche. Il me devançait dans la montée vers son logis le pas alerte. J’en profitai pour caresser ses fesses. Il semblait un peu stressé, mais me laissa faire.Troisième étage, une porte neutre. Il ouvrit. Je me glissai à l’intérieur.La porte se referma derrière moi : paille japonaise aux murs, des tons marron, des cadres, plein de bouquins, décor vieillot, années 1960-70, mais agréable. Un appart de vieille fumeuse érudite.— Fais pas attention au bordel, j’ai acheté, mais je n’ai jamais repeint, j’ai juste jeté un peu partout mes meubles et mon bordel.— C’est parfait.Je l’embrassai encore. Cette fois je prenais tout mon temps et je m’empourprais, je crois. Je regardais son visage. Sa mâchoire anguleuse, ses yeux un peu tristes. Et puis je descendis. Je baissai son jeans, son slip.À genoux devant lui, avide, affamé, j’embrassais puis j’engloutissais sa verge déjà dure. Le goût salé d’une perle de liquide séminal. La chair.À peine en bouche, après un léger « embrassage-suçage » du gland, comme un hommage à ce chibre heureux de me voir j’empalai ma gorge sur son sexe. Je sentais ses jambes légèrement trembler. Mon manteau tombait de mes épaules. Les yeux mi-clos, un peu hors de moi, je besognais.Vite j’arrivai à l’engloutir complètement. Quelle sensation incroyable de sentir sa gorge remplie, empalée sur une bite bien dure. Quel bonheur de sentir ses lèvres, sa bouche, écrasées contre le pubis d’un amant, de sentir la chair de l’autre, dure, tendue, s’enfoncer comme une bougie dressée et s’éteindre là-bas, tout au fond, entièrement absorbée, engamée, avalée par sa gorge accueillante.Au-dessus mon homme râlait, soufflait, j’entendais des imprécations « Tu suces bien », « Han » « J’aime ça », « Han j’aime, vas-y, engloutis mon sexe ».De la bave s’écoulait de ma bouche, mais j’étais décidé à continuer. Entre deux avalages goulus, j’essayai moi aussi de le flatter :— Hum elle est bonne ta queue, elle remplit bien ma bouche.Il semblait redoubler de plaisir à chacun de mes mots.Je m’autorisai alors à faire un peu la catin, le visage empourpré et les genoux un peu endoloris je lui haletai :— Vas-y, appuie sur ma tête, écrase-moi si tu veux, remplis-moi, je kiffe !J’avais bien senti que sa jouissance approchait. Sa respiration était soufflante, il rugissait… Je sentais qu’il allait cracher son jus dans ma gorge, j’étais prêt, mais il s’interrompit. Il me coupa :— Non, pas comme ça, je veux te voir à poil, je veux te caresser, te pénétrer. Viens dans la chambre.J’obtempérai. Lit deux places, draps blancs, deux chevets années 1950. Une jolie lampe en inox sur l’un des deux, des livres. Rien sur l’autre. Je laissais tomber mon gilet. Je soignai mon strip-tease. Je dégageai mon corps blanc, mes fesses rondes, mon sexe épilé de leur gangue de textile. Tout tombait au sol. Je baissai un peu les yeux :— Ça te plaît ? T’as envie de moi ?Je posai la question même si j’en connaissais la réponse. Il était à demi-habillé, dressé devant moi, son pull à col roulé dont un t-shirt gris dépassait était maintenant ses seuls vêtements. À la lisière de son pull, son sexe rouge, dur, brillant de mes sécrétions largement répandues m’attendait, tendu entre ses deux cuisses épaisses, dures et poilues. Oui je le voyais bien, il avait envie de moi et il me détaillait sous tous les angles. Je tournais peu sur moi-même. Je m’offrais en spectacle autour du lit. Il caressait mes hanches. Je lui présentai mon cul, mon sexe, petit manège de chair, poupée prête à baiser puis je m’allongeai sur le lit sur le dos, offert. Prenant sa main je l’invitai à me rejoindre, à accompagner ma chute.Déshabillé complètement, il vint contre moi.Nous nous embrassions encore. Je tournais mon bassin pour lui présenter ma queue. J’avais envie qu’il suce mon sexe glabre et blanc. Sans dire un mot, il se pencha et prit mon sexe menu en bouche.Je sentis sa langue rouler l’amas de mon pénis au repos comme un bonbon, à gauche, à droite. Il me suçait langoureusement, lentement. J’appréciais le spectacle de son crâne à la peau mate, recueilli par le berceau de mes cuisses. Mon sexe disparut entièrement dans sa bouche, au chaud. C’était bon.Ma bite devint moins molle, lentement, doucement, elle se tendit. Il dégagea de ses doigts mon gland qu’il recueillit du bout de ses lèvres humides. Il me suça la pointe de la verge tout en me branlant. La pointe de ses doigts disparut dans sa bouche. Je commençais à fondre. Je le suppliai presque :Je relevais mes cuisses et mon bassin. Il enfila un préservatif qui attendait non loin et présenta sa queue à l’entrée de mon cul, à genoux. J’étais prêt, je me calai pour le recevoir. Il se pencha sur moi. Son sexe appuya sur ma tendre chair qui s’ouvrit lentement, le cherchant, l’acceptant. Il s’immisça, s’introduit en moi. Mon anus était aussi souple autour de sa verge que celle-ci était dure, assez fine, mais dure comme du bois de buis, de l’os. Je relevai encore un peu mon bassin pour faciliter sa pénétration lente, mais appuyée, pour devenir offrande à son sexe avide, à son corps haletant et poilu qui voulait disparaître en moi.Mon corps céda complètement. Mes cuisses relevées relâchèrent leur tension et il s’enfonça en moi. Le gland, puis la tige. Tous les deux trois centimètres environ il faisait une pause, me baisait un petit peu en allant et venant et moi je mourrais de plaisir un peu plus.Je mouillais du cul. Littéralement. Et je l’absorbai, heureux, presque « heureuse », et contenté. Il était maintenant entré à fond, s’était écrasé contre moi.Il m’embrassa. Je sentis son ventre appuyé contre mon sexe. Je me creusai un peu pour ne pas qu’il l’écrase, mon petit bijou si peu mâle. Mais en même temps je cherchais à garder ce contact si fort. Je voulais sentir, surtout sur mon ventre, sur mon sexe, la pression de son ventre viril.Arrivé au bout de son chemin en moi il s’était immobilisé. Je le regardais, presque en larmes, souriant, si heureux de l’accueillir complètement en moi. Il me sourit, m’embrassa encore. Lui aussi maintenant était un peu rouge. Moi je bouillais de ce sexe si bien planté en moi.Les va-et-vient commencèrent. Il me lima lentement, mais pesamment, s’arrêtant longuement quand il arrivait au bout de sa tige, appuyant pour être bien certain que sa queue s’enfouisse le plus profond possible. Il s’écrasait en moi et s’était délicieux d’être baisé ainsi, lentement, mais en puissance. Il embrassa mon torse, ma bouche. Son torse cherchait toujours le contact de mon torse. Il m’écrasait presque, me recouvrait.Ses va-et-vient étaient très courts, mais appuyés, lourds, irradiants. Il me donnait l’impression de chercher à s’enterrer, en moi, à y disparaître. Il me baisait un peu comme je l’avais sucé, « à fond », sans deuxième mesure.Je passai mes bras autour de son cou, j’enterrai sa tête dans mon torse. J’étais prêt. Je sentais sa queue au fond de moi, si dure, de plus en plus pressante et encastrée dans le secret de mon corps, il allait jouir. Je sentais sa peau brûlante. Je l’encourageai.Sa verge me sembla alors encore plus dure et son corps se crispa. Il jouit en moi dans une succession de mouvements crispés, une chaîne de petits mouvements tectoniques au long de ce corps encastré en moi. Je l’accompagnais par des mots doux :— Viens, viens, voilà. Vide-toi bien en moi. Jouis. Huuum c’est bon. Tu me baises bien. Vide bien tes couilles complètement en moi.La pénétration n’avait pas dû durer plus de cinq minutes, mais elle avait été si intense que j’en tremblais, les larmes aux yeux.Ses yeux aussi étaient mouillés. Il retira sa capote et j’en profitai pour m’installer sous la couette bien au chaud, satisfait de notre premier accouplement.Il revint et s’étendit contre moi. Nous étions côte à côte. Je mis ma tête contre ses épaules. Mon mâle. Le câlin fut long, tendre, chaud. Je glissai ma jambe par-dessus la sienne et je sentis alors son sexe débandé contre ma cuisse. Petite andouillette chaude, douce. J’ôtai alors ma cuisse pour glisser ma main. Doucement je saisis mon sexe redevenu sage, réduit, et le branlai doucement de la main droite. De ma main gauche, je commençais à me toucher moi aussi.Je sentis alors une main caresser ma cuisse, puis venir saisir ma verge. Il voulait me faire jouir. Une main chassait l’autre. Je retirai ma main de mon sexe.Je me laissais branler tout en gardant ma main avide sur sa verge molle.Il me branla encore un peu puis je me tournai sur le côté. Il se colla derrière moi. Sa main droite s’activait merveilleusement sur ma petite tige dure. Collé en cuillère derrière mon dos, nu, il me branlait avec rapidité et attention. Ma main tenait maintenant sa nuque. Il trouvait son plaisir à lui en frottant sa queue tout contre mon fessier bombé et tendu. Ses gestes étaient de plus en plus précis et rapides et ma tête s’enfonçait de plus en plus dans l’oreiller. Ma main passée derrière mon dos tâchait d’atteindre un peu sa verge pour le branler langoureusement, comme un hommage à une bête qui repend sa course. Cette branlette mutuelle était divine. J’étais à deux doigts de réclamer qu’il glisse un ou deux de ses doigts pour fouiller mon cul avide quand finalement je me tordis, me tendis, submergé par la vague de l’orgasme.Je venais entre ses doigts par petites giclées, lové contre lui en berceau. La main toujours sur sa bite de nouveau dure. Mon hommage avait plu.Quand j’eus fini de m’écouler dans ses draps en jappant, tordu, il coupa nos jeux par une phrase cristalline et enjouée :— Alors, je nous fais un thé et je te fais visiter ? Ça te dit ?Moi je retrouvais tout juste mon souffle. Je lui souris :— Oui ! Mais je m’essuie juste un peu, avant.