Sarah avait ragĂ© toute la nuit, Akan avait fait couiner sa mère de multiple fois sans que son père n’intervienne. Au matin Sarah avait envoyĂ© un message Ă son amie comme quoi elle quittait la maison familial, Émilie intriguĂ©e voulu savoir oĂą elle s’en allait. Après plusieurs messages Émilie comprit que Sarah partait sur un coup de tĂŞte et n’avait aucun endroit oĂą aller.Étendu sur son lit, Émilie eut un frisson qui Ă©mergea le long de sa colonne vertĂ©brale et irradia dans son clitoris et son anus. Voyant la chance de vivre enfin son dĂ©sir le plus secret, elle lui offrit l’hospitalitĂ©. SoulagĂ©e, Sarah fourra son linge dans un sac Ă dos et s’empressa de partir avant la levĂ©e de sa mère et de son amant. Au passage devant leur porte Sarah entendit sa mère mendier la saillie sans aucune considĂ©ration pour son père. Ce fut l’horreur pour Sarah quand elle le vit en train de leur prĂ©parer le petit dĂ©jeuner. Louis obĂ©issant aux consignes portait toujours pour seul vĂŞtement le string de sa fille. C’est le visage couvert de sperme qu’il effectuait ses tâches.Sophie Ă©tait particulièrement excitĂ©e par la domination qu’Akan avait fait preuve en obligeant Louis Ă recevoir un soin du visage avant de l’envoyer prĂ©parer le dĂ©jeuner. Depuis le temps qu’elle devait faire preuve d’autoritĂ©, Sophie apprĂ©ciait de s’abandonner Ă la domination de ce mâle alpha, recevoir la semence de cet adonis comblait sa chatte au-delĂ de tout ce qu’elle avait pu imaginer. Elle Ă©tait d’accord pour se vautrer dans toutes les dĂ©bauches que son maĂ®tre exigerait, voulait glorifier son membre avec dĂ©votion et docilitĂ©.Louis fut pĂ©trifiĂ© quand il vit sa fille entrer dans la cuisine. Il baissa les yeux sous le poids de son avilissement.Sarah : « Pourquoi es-tu comme ça papa? »Louis Ă©tait incapable de rĂ©pondre, comment expliquer Ă sa fille qu’il Ă©tait un soumis et qu’il retirait du plaisir de l’humiliation et de la domination que sa mère Sophie lui faisait subir, qu’il Ă©tait prĂŞt Ă accepter ses Ă©carts pourvu qu’elle ne le quitte pas. Mais surtout comment reconnaitre devant sa fille que la domination d’Akan portait sa soumission au paroxysme de l’excitation.Louis : « OĂą vas-tu ma chĂ©rie? »Sarah : « N’importe oĂą mais surtout loin de l’influence de ce noir que maman appelle maĂ®tre. »Louis regarda sa fille partir en claquant la porte.Akan et Sophie descendirent pour se sustenter au frais du pauvre Louis. Quand Sophie lâcha un cri Ă Sarah pour qu’elle descende manger, Louis lui annonça la nouvelle, Akan dans la queue s’Ă©tait raffermit en croyant voir la petite descendre en lingerie fine fut très irritĂ© devant la tournure des Ă©vènements. Sophie inquiète essayait d’avoir des explications de la part de Louis. Akan fut très contrariĂ© quand Louis expliqua que Sarah refusait de vitre sous le mĂŞme toit que lui.Sous les recommandations d’Akan Sophie essaya Ă plusieurs reprises de convaincre Sarah de revenir Ă la maison malgrĂ© qu’elle eĂ»t une bonne idĂ©e des intentions d’Akan. Immanquablement la polĂ©mique sur le fait de vivre sous l’autoritĂ© d’un noir refaisait sur face entre Sarah et sa mère. Sophie devant son incapacitĂ© Ă convaincre sa fille subissait les foudres de son maĂ®tre.Après une semaine les parents d’Émilie trouvaient cela troublant l’attachement que leur fille dĂ©montrait pour Sarah. Voyant d’un mauvais Ĺ“il cette relation naissante, ils dĂ©cidèrent d’y mettre un terme et communiquèrent avec les parents de Sarah. Ayant clarifiĂ© toute l’histoire, Sarah fut invitĂ©e Ă partir au dĂ©sespoir d’Émilie qui depuis une semaine avait en la chance de partager son lit et vivre son amour secret; sept jours Ă sentir sa chaleur et humer ses aromates corporels, Ă rĂŞver de lĂ©cher le nectar onctueux dĂ©coulant de ses lèvres entrouvertes. MortifiĂ©e dans ses sentiments, Émilie voyait surtout un dĂ©licieux festin lui passer sous le nez.Sentiments qu’Émilie n’avait pas osĂ©e divulguer Ă personne et que Sarah ne partageait pas. Sarah aimait bien Émilie comme amie, si elle acceptait ses Ă©lans affectifs son seul but Ă©tait d’en tirer profit. MĂŞme si les effleurements supposĂ©ment accidentels d’Émilie sur ses seins et sa chatte n’Ă©taient pas dĂ©sagrĂ©ables cela la laissait bien souvent avec une humiditĂ© qui provoquait un trouble dans sa chair et la rendait mal Ă l’aise.L’insistance d’Émilie rentrait en conflit avec son attirance pour l’organe mâle, bien que son petit ami ne soit pas pourvu d’un membre pouvant le classer dans la catĂ©gorie des mâles alphas. Sarah Ă©tait intriguĂ©e par la raideur qu’elle avait pu ressentir Ă certaines occasions.Si l’on part du principe de la pĂ©nĂ©tration par un organe mâle, elle Ă©tait encore vierge mais elle avait tout de mĂŞme eu un avant-goĂ»t des sensations que pouvait procurer une pĂ©nĂ©tration vaginale quand un soir elle s’Ă©tait enfoncĂ©e un doigt dans la chatte.Ayant peur de perdre sa virginitĂ©, elle n’avait pas osĂ© en incĂ©rer un deuxième malgrĂ© son envie physique. Elle gardait un cĂ´tĂ© prude en elle et selon d’anciens copains elle faisait naĂ®tre beaucoup de frustrations sexuelles dans ses relations intimes.Sa rĂ©putation de vierge Ă©tait bien Ă©tablie aussi beaucoup de gars avaient renoncĂ© Ă ses faveurs. Sarah mal prise n’ayant nulle part oĂą aller se vit contrainte de rappeler sa mère pour de l’aide. Reconnaissant la voix de Sarah Akan lui rĂ©pondit : « DĂ©solĂ© ta mère est sortie mais dit moi ce que tu veux et je lui ferai le message. »Akan Ă©couta Sarah puis d’une voix mielleuse : « Je vais lui expliquer que tu voudrais revenir mais ni elle ni ton père ne pourront te permettre de rentrer Ă la maison, je suis le seul maĂ®tre dans cette maison maintenant et tous ceux qui vivent dans cette maison doivent porter mon collier. »DĂ©pourvu de solution Sarah tomba dans le piège. Sarah : « S.V.P. » Sarah s’arrĂŞta aussitĂ´t, les mots Ă©taient sortis par mĂ©garde.Akan : « Excuse moi qu’as-tu dis? »Sarah Ă©cumait, elle savait bien qu’il voulait qu’elle le supplieSarah : « Peux-tu me permettre de revenir Ă la maison, je n’ai pas d’endroit pour demeurer? » Akan : « Ce n’est pas une façon très polie de faire une demande. »Sarah Ă©tait humiliĂ©e mais au bout de cinq minutes elle reformula sa demande. Sarah : « S.V.P. Peux-tu me laisser revenir chez moi? » Akan : « Il y a amĂ©lioration mais une bonne fille doit dire monsieur et vouvoyer. »Sarah : « S.V.P. Monsieur me permettez vous de rentrer Ă la maison temporairement jusqu’Ă ce que je me trouve un endroit pour demeurer? » Akan : « Mais oui si tu consens Ă ĂŞtre une bonne fille et Ă porter un collier. »Sarah Ă©tait hors d’elle, ce sale individu exigeait qu’elle se soumettre alors dans un geste violent elle raccrocha le tĂ©lĂ©phone. Émilie Ă©tait abasourdie, elle venait de voir son amie s’avilir en tentant d’amadouer un homme qui se prenait pour son maĂ®tre et dans un emportement, elle lui avait raccrochĂ© au nez.AffectĂ©e par l’Ă©preuve de Sarah, elle la prit dans ses bras et affectueusement l’embrassa. BrisĂ©e Sarah la laissa faire mais au bout d’un moment et devant l’ardeur de sa copine elle mit fin au rapprochement. Émilie blessĂ©e par l’indiffĂ©rence de Sarah envers son amour dĂ©tourna la tĂŞte pour cacher ses larmes naissantes pendant qu’elle lui expliquait la raison de son emportement.Assujettie au joug de l’amour, Émile lui offrit d’aller discuter avec Akan. Sarah : « Ferais tu ça pour moi? » Émilie : « Oui, tu ne peux pas rester ici et on doit trouver une solution. »Sarah Ă©tait impatiente de connaĂ®tre le rĂ©sultat de la dĂ©marche d’Émilie. DĂ©jĂ soixante minutes qu’elle Ă©tait partit pour aller voir Akan et elle n’Ă©tait pas encore de retour.Plus de quatre heures s’Ă©taient Ă©coulĂ©s quand Sarah entendit enfin la porte d’entrĂ©e s’ouvrir.Impatiente de savoir pourquoi elle avait mis si longtemps avant de revenir, Sarah se rua vers la porte. Le choc fut violant, Émilie se tenait lĂ dans l’embrasure de la porte un collier autour du cou, sa jupe remontĂ©e exagĂ©rĂ©ment laissant voir sa culotte. Une chaine limitait sa dĂ©marche. AngoissĂ©e Sarah rĂ©alisa le drame que sa meilleure amie avait dĂ» vivre pour lui venir en aide quand elle vit la silhouette d’Akan en arrière.MalgrĂ© la quantitĂ© importante de sperme qui recouvrait son visage, Sarah pu entrevoir l’Ă©preuve endurĂ©e dans les yeux d’Émilie. Akan ne perdit pas de temps pour lui expliquer la situation.Akan : « Ta copine porte le collier qui t’Ă©tait destinĂ© parce que tu l’as envoyĂ©e lâchement Ă ta place maintenant tu as le choix, tu changes de place avec elle ou je la ramène Ă la maison et elle deviendra notre chienne.Émilie : « S.V.P. Sarah ne me laisse pas entre ses mains, je n’ai rien avoir dans votre histoire. »Sarah Ă©tait paniquĂ©e, elle ne pouvait laisser son amie endurer les sĂ©vices que lui rĂ©servait Akan. Sarah : « Tu es un ignoble individu, je n’ai pas le choix je vais prendre sa place et me soumettre Ă tes dĂ©sirs. »Akan : « Bien enlève lui le collier. » Sarah obtempĂ©ra, aussitĂ´t enlever sous la consigne d’Akan Émilie reprit le collier des mains de Sarah. Akan força Sarah Ă s’agenouiller, aussitĂ´t Émilie s’approcha et lascivement fit glisser ses doigts autour du cou de Sarah, Émilie mettait tout son amour dans la lenteur Ă joindre le fermoir.Faignant une difficultĂ© Émilie obligea Sarah Ă coller son visage dans son entrecuisse. Sarah tenta un mouvement de recul mais la main d’Akan empoigna l’arrière de sa tĂŞte et obligea son nez Ă entrer en contact avec le tissu imprĂ©gnĂ© de sève charnel. ExcitĂ© par cette caresse nasale inĂ©vitable sur son clitoris Émilie bascula ses hanches pour augmenter les sensations que lui prodiguait cette contrainte.Akan : « Petite chienne respire le parfum des tourments qu’a dĂ» subir ton amie dans ta fourberie Ă lui faire croire qu’elle Ă©tait ton amie pour mieux l’exploiter. » Sous la direction d’Akan, Émilie du mettre un terme Ă cet humiliation imposĂ© Ă Sarah.Rigide Akan se montra intraitable, profitant de sa position Ă genoux il incita Sarah Ă refaire sa demande. Rougissante Sarah prononça les mots confirmant sa soumission.Quinze minutes plus tard Sarah posa son petit cul dans la voiture sport d’Akan. Histoire de la griser un peu, Akan sous prĂ©texte d’avoir une commission Ă faire lui paya une randonnĂ©e sur l’autoroute. Cheveux dans le vent Sarah s’humidifiait de la caresse du vent sur ses petits mamelons. Quand elle porta son regard sur la dĂ©coration suspendu au rĂ©troviseur sa chatte se resserra, une jeune femme Ă genou les bras menottĂ©s dans le dos suçait la queue d’un noir. Sarah regardait la statuette avec fascination, elle Ă©tait troublĂ©e par la rĂ©action de son corps. Imaginant Akan la forçant Ă l’honorer de la mĂŞme façon. C’est la culotte trempĂ©e de sĂ©crĂ©tion que Sarah entra chez elle tenu en laisse par son maĂ®tre.Akan avait perçu l’odeur assez rapidement alors il dĂ©cida de capitaliser sur l’excitation croissante de Sarah. Elle n’eut pas le temps de rĂ©agir, Akan l’empoigna par sa chevelure, la traina jusqu’au divan, la coucha sur ses genoux et lui administra une douloureuse fessĂ©e.BAF! , SPLAF! , PAF! , SPAF! , BAF! , SPLAF! , PAF! , SPAF! .Sarah : « AĂŻe!, OuĂŻe!, Aah!, AĂŻe!, OuĂŻe!, Aah!, Ouille! Hiiii-hiiiii,Snif-snif, Hiiii-hiiiii, Snif-snif, Ouinnn Sniff Sniff, AĂŻe!, OuĂŻe!, Aah!, Ouille! AĂŻe!, OuĂŻe!, Hiiii-hiiiii, Snif-snif Sniff Sniff. S.V.P. Arrètez, arrĂŞtez, j’ai mal. »Akan regardait le petit cul rougit de Sarah. Elle ne tentait mĂŞme plus de se soustraire Ă la correction qu’il lui prodiguait. Sarah Ă©tait brisĂ©e, son but Ă©tait maintenant atteint. L’heure Ă©tait maintenant Ă la retenue, Akan lentement convertit ses claques en caresses, effleurant du bout des doigts les boursouflures bleutĂ©es, ses doigts agiles maintenant faisait l’aller-retour dans l’abĂ®me des lunes violacĂ©es.Sarah involontairement relevait son cul, l’anneau anal imploraitplus d’attention. Satisfait de son abandon, Akan effleura l’accès plissĂ©. RĂ©coltant un peu de cyprine sur la chatte poisseuse Akan badigeonna l’anus suppliant. Sarah s’immolait dans le plaisir, un subtil dandinement du bassin informait Akan qu’un tsunami sexuel croissait dans les entrailles de la petite salope.Akan : « Bon tu vas ĂŞtre une bonne fille maintenant. » Sarah : « Oui monsieur. »Une claque châtia sa civilitĂ©.Sarah : « Oui maĂ®tre. »Après lui avoir exprimĂ© sa satisfaction pour sa soumission il dĂ©cida qu’il Ă©tait temps d’Ă©tablir son rĂ´le dans la relation qu’il avait avec sa mère. Amatrice de baignade Sarah accepta d’aller conclure tout ça dans la piscine familiale. L’eau Ă©tait bonne, ça lui avait manquĂ© Ă©normĂ©ment pendant sa petite fugue. SoulagĂ©e d’ĂŞtre de nouveau chez elle, Sarah accepta sans mĂ©fiance le verre qu’Akan lui offrit. Le trouble se vit surson visage quand elle eut sous les yeux et le nez l’incroyabledĂ©formation qui ornait le devant du speedo blanc d’Akan.TrempĂ©, ce dernier laissait deviner la veine principale servant Ă irriguer ce membre imposant. Sarah eut une pensĂ©e pour sa mère ayant Ă subir les assauts incessants d’une telle monstruositĂ©.Conscient du trouble qui parcourait la jeune fille, Akan dĂ©cida de la laisser mijoter dans ses troublantes pensĂ©es. Les prochains gĂ©missements de sa mère porteraient ses fruits et avant longtemps cette future chienne solliciterait ses faveurs et viendrait partager les allĂ©luias dĂ©bauchĂ©s de sa mère. Émilie et Louis Ă©ventuellement seraient invitĂ©s dans une grande orgie familiale.Pour le prochain chapitre membres de la gent fĂ©minine j’aimerais avoir vos suggestions afin d’Ă©crire une suite pleine de dĂ©bauches et de tourments purement fĂ©minins. MaĂ®tre Pol