Audrey,
superbe fille de dix huit ans, rentre du lycée, vers dix sept heures. Elle
rejoint sa mère Sandra, très belle blonde de quarante ans, divorcée
depuis peu. Elle entretient bien quelques relations par ci, par là , mais rien
de bien sérieux, préférant s’occuper de l’éducation de sa fille.
–Bonjour man,
dit Audrey en embrassant sa mère, ça va ?
-Très bien ma
chérie, et toi cette journée, bien passé.
-Impec, j’ai
fais la connaissance de nôtre nouvelle voisine, très jolie brune, sympa.
-Justement ma
chérie, elle s’installe en ce moment, et je ne lui ai  même pas proposé un coup de main.
-Tu veux que
j’aille lui demandé man ?
Sandra sonne
à la porte, il est dix huit heures. C’est Julia, une sculpturale italienne de
trente huit ans, qui lui ouvre.
-Bonjour Madame,
je m’appelle Audrey, et suis au lycée avec vôtre fille Rébecca. Maman demande
si vous avez besoin d’aide pour vous installer.
– Je ne
voudrai pas déranger, répond Julia, mais c’est vrai que….tu as vu le Bazard.
Viens voir la chambre.
A peine dans
la chambre, Julia ferme la porte, fixe Audrey de ses yeux bleus acier, et
s’approche d’elle.
-Tu es très
belle jeune fille, dit Julia en se serrant contre elle. N’est pas peur, je ne
vais pas te manger.
Audrey est
paralysée. Elle ne réagit pas quand la belle italienne glisse une main sous sa
mini jupe, et qu’un doigt écarte sa culotte pour caresser sa petite fente.
Mieux, elle écarte légèrement les jambes pour faciliter l’accès à son entre
cuisses. Julia a compris que la jeune fille n’était pas farouche, même si, pour
la forme, Audrey fait un pas en arrière.
-Mais…Madame…que
faites-vous…ce n’est pas bien ce que vous me faites…je pourrai être vôtre
fille.
-Tu n’aimes pas
qu’on te gratte ton petit bouton…on te le fait pas au lycée…
-Si, souffle
Audrey…deux jeunes maghrébins, un garçon et une fille…ils m‘entrainent dans un
coin, et là , la fille quitte ma culotte et gratte ma petite fente. Le jeune
garçon, lui, m’oblige à lui sucer le zob…après, il me met un bon coup de queue…si vous voyiez comme
ils me font jouir ces salauds…puis, pendant que je taille une autre pipe au
garçon, la jeune fille me lèche le clitoris…me le doigte…ils me font hurler de
plaisir. Mais ils ont mon âge…
Soudain,
Audrey passe se bras autour du cou de Julia. Elle sent le doigt de la belle
italienne former des cercles vicieux sur son clitoris. Julia sent le souffle
court de la jeune fille dans son cou.
-S’il vous
plait Madame, arrêtez…ma minette commence à être toute mouillée…Oh mon dieu…je
joui…oh oui Madame…rentrez bien vos doigts, branlez-moi…oui…oui…
-Ben tu vois
ma chérie que c’est bon de se faire gratter le minou, sourit Julia, tu t’es
bien régalé. Si tu as une grosse envie un jour, passe me voir, ça t’évitera
d’aller te le faire mettre au lycée.
-Vous êtes
méchante, se plaint Audrey, je vais dire à ma maman  que vous avez abusé de moi, vous allez voir la
fessée qu’elle va vous mettre…vous allez avoir de ses nouvelles dans pas
longtemps.
-C’est ça, va
lui dire…elle peut venir m’aider si elle veut…elle va voir le doigt que je
vais lui mettre pour la remercier. J’aimerai bien m’amuser avec elle. Elle doit
être en manque de câlin en ce moment. On m’a dit que son mari l’avait laissée,
parce qu’il à trouvée au lit avec ses deux frères. Pendant qu’un l’enculer,
elle tailler une pipe à l’autre…c’est vrai ça…qu’elle salope…
Audrey
reprend ses esprits, et se met à pleurer, c’est toute retournée qu’elle
explique sa mésaventure.
-Quoi, bondit
Sandra, elle a osé te faire ça…attend demain, je vais aller la trouver, elle sa
rappellera de la rouste que je vais lui mettre à cette conasse.
Le lendemain,
Audrey rentre du lycée vers dix sept. Elle entend des rires mélangés de
plaintes provenant du salon de la nouvelle voisine. Elle pousse la porte laissée
entre ouverte. Elle découvre sa mère nue, jambes écartées, le corps cambré sur
les genoux de la belle italienne, en train de se faire caresser
-Mais maman,
dit-elle surprise, que fais-tu dans cet état.
-C’est la
Dame qui m’a mise toute nue pour me punir, parce que je n’ai pas été sage…regarde
ce qu’elle fait à la chatte de maman…elle est tout mouillée…c’est bon tu
sais…elle a fait ça à la tienne…
-Bien sur que
je lui ai fais, sourit Julia…je lui ai gratté son petit bouton aussi…elle a bien
joui…attend…et si c’était ta fille qui te décalotte le clitoris…qui te le
doigte…qu’elle te fasse jouir, comme je l’ai faite jouir, hein. Allez…Audrey,
viens t’amuser avec la chatte de ta maman…je vous laisse.
Audrey
s’approche, saisit le clitoris de sa mère et le décalotte. Lentement, elle le
frictionne avec son majeur.
-Hum…sage
maman…c’est bon ce que je te fais…je vais bien doigter ta petite bille…puis je
vais te mettre deux doigts dans la chatte et te la branler…d’accord…ta fille va
te régaler…mais…tu fais pipi…
-Mais non ma
chérie…ce n’est pas du pipi…c’est que maman jouit…c’est tellement bon…prend
moi…bien profond…oh oui…comme ça…oui…oui…
Sandra se
cambre d’avantage sous les doigts vicieux de sa fille, elle hurle quand elle
atteint l’orgasme. La jeune fille sait que le soir, elle va pouvoir jouer avec
sa mère… Elle l’a fait jouir une seconde fois.
-Allez,
rentrons maman, je vais t’épiler la chatte pour qu’elle soit belle, qu’on voit
bien ta petite fente…dis merci à la Dame…va lui embrasser le minou….bien avec
la langue.
Sandra
s’avance à quatre pattes, écarte le string de la belle italienne, et lui lèche
la fente jusqu’au clitoris.
Le lendemain,
Audrey va rendre visite à sa copine Rebecca. C’est Julia qui lui ouvre.
-Bonjour,
dit-elle, ça va, vous n’auriez pas vu ma maman, je la cherche depuis ce matin.
-Elle est Ã
la remise avec Rebecca, dit-elle, je l’ai entendu crier toute à l’heure, elle
doit s’amuser avec elle.
Audrey va Ã
la remise, et effectivement, elle découvre sa mère assise sur les genoux de sa
copine, jambes écartées, en trains de se faire gratter la chatte en gémissant
de plaisir.
-Oh…jeune
fille…comme tu me gouines…c’est ta maman qui t’a appris ça…vas-y ma
chérie…décalotte mon petit bouton…doigte le…comme ma fille me la doigté…tu
t’amuses comme ça avec elle…
-Bien sur,
sourit Rebecca, dans le bus, je la mets toute nue, l’assied sur mes genoux, et
lui doigte le clito pendant tout le trajet. Vous l’entendriez jouir…après, elle
va au fond du bus se faire mettre un coup de queue par un copain black. Bon, c’est
bien beau, on est en retard…man, tu viens me remplacer s’il te plait.
Audrey et
Rebecca rejoigne l’arrêt de bus, entendent déjà les gémissements de Sandra.
-Allez ma
chérie, dit Julia, met toi à plat ventre, la croupe bien cambrée, les jambes
bien écartées, que ta fente soit bien dégagée…parfait…je vais bien te chatter,
et bien te ramoner le cul…houa…elle a du en prendre des coups de queues cette
chatte…ton petit trou aussi…hein…petite pute…
-Oh oui
Madame…j’aime tellement me le faire mettre…même avec les femmes c’est bon…faites
ce que vous voulez…mais faites moi jouir…je vous appartiens maintenant…c’est
bon d’être vôtre pute.
Sandra supplie
Julia de la doigter, de lui branler la chatte, de la sodomiser avec ses doigts,
de la faire jouir.
