L’histoire que je vais vous raconter se déroule lors de vacances en Corse. Nous sommes au mois de juillet, et nous sommes partis pour une semaine de randonnée, suivie de quelques jours de farniente à la plage. C’est le marché que m’a proposé mon chéri, sachant que je ne suis pas une fervente adepte de la marche.Mais avant toute chose, faisons les présentations. Je m’appelle Sophia et j’ai 36 ans. D’origine italienne par ma mère, j’ai des cheveux noirs, longs, bouclés et des yeux noisette. Je suis assez grande, avec de longues jambes, des formes généreuses et… quelques kilos en trop, mais mes racines transalpines m’interdisent tout régime ! Mon homme se prénomme Marc. Il a 40 ans, légèrement plus grand que moi et assez musclé, ses tempes grisonnantes lui donnant beaucoup de charme.Nous voilà donc partis, équipés de nos chaussures montantes, malgré la chaleur, portant chacun notre sac à dos contenant nos duvets, habits de rechange ainsi que la nourriture et l’eau nécessaires à notre périple. Nous n’avions pas fait cinq kilomètres que je regrettais déjà d’avoir accepté de partir dans cette galère.Après plusieurs heures de marche sous les encouragements de Marc, entrecoupées de multiples pauses, nous avons fini par enfin arriver au sommet d’une crête dominant la mer. C’était splendide ! J’en ai vite oublié mes pieds endoloris et mes jambes fatiguées. Nous nous sommes assis et j’ai pu profiter du magnifique spectacle dans les bras de mon homme.J’ai très vite été ramenée à la réalité. Avant qu’il fasse nuit, il fallait monter la tente et aller se laver dans le ruisseau le plus proche. L’eau était glacée, je me suis frottée le plus rapidement possible et je suis ressortie complètement frigorifiée. Marc, lui, s’y trempait allègrement, me disant que c’était vivifiant. À ce moment-là, je crois que je le détestais !Nous sommes remontés à notre petit campement, et après s’être réchauffés, j’ai eu l’agréable surprise de voir que Marc avait pensé à tout : une bouteille de champagne, rafraîchie par le ruisseau, et des amuse-gueules pour l’apéro, charcuterie et fromage de la région pour le repas arrosé d’un très bon vin rouge. Nous nous sommes régalés en admirant le coucher de soleil sur les flots légèrement agités, puis après un peu de rangement, nous avons regagné notre tente.J’étais épuisée, mais Marc n’avait pas du tout l’intention de dormir. Malgré la température assez fraîche, il s’était déshabillé, puis allongé sur son duvet, et dans la lueur de notre petite lampe j’ai vu son sexe dressé sur son ventre, palpitant d’excitation. Je n’étais pas en état pour de quelconques ébats, j’avais toutes les peines du monde à bouger mes jambes, et il n’était pas question que je me déshabille, moi qui suis frileuse. J’ai posé ma main sur son sexe pour le caresser un peu, puis je l’ai enserré en commençant de lents va-et-vient. Sa respiration est devenue un peu plus saccadée, au rythme des mouvements de son bassin qui se propulsait de plus en plus fort vers ma main. D’un mouvement, je lui ai fait comprendre de venir se mettre à califourchon sur moi. Son sexe arrogant et luisant des prémices de son plaisir frottait sur mon menton. J’ai repris la même caresse, en y ajoutant quelques coups de langue sur son gland, et en l’attirant toujours plus près de ma bouche. Ses gémissements trahissaient son impatience et n’y tenant plus, j’ai englouti son membre d’un trait. Il est resté sans bouger pendant que mes jeux de langue et mes succions faisaient tomber ses dernières résistances. J’ai reposé ma tête sur le duvet en l’attirant avec moi, si bien qu’il s’est retrouvé à quatre pattes au-dessus de moi. Et en lui caressant les cuisses, les fesses et l’entrejambe, je l’ai encouragé à bouger dans ma bouche. Il ne s’est pas fait prier, s’enfonçant toujours plus vite et toujours plus loin, me suppliant de le sucer toujours fort, mes mains baladeuses le rendant fou. Je l’ai senti se crisper, son sexe s’est tendu et, dans un dernier coup de reins, il s’est enfoncé pour se libérer, me régalant de ce nectar dont je raffole, dans un râle de plaisir brisant le silence de la nuit.Après une bonne nuit réparatrice, nous avons été réveillés par les premiers rayons de soleil et la chaleur qui commençait à envahir la tente. Un petit-déjeuner rapidement avalé, et en avant pour l’étape du jour. Devant mes craintes et mon mal aux pieds persistant, Marc m’a montré le trajet. Journée tranquille après notre marathon de la veille : descente dans la vallée, pique-nique au bord d’un petit lac et remontée vers le refuge qui sera notre point de chute du soir.La descente s’est faite sur un rythme beaucoup plus cool que la veille, sur des petits chemins bordés de fleurs. Puis la végétation a changé avec l’altitude, la forêt a remplacé l’herbe des crêtes. Le soleil commençant à taper assez fort, l’ombre fraîche était bien agréable. Nous avons serpenté entre les arbres, un long moment, s’arrêtant de temps à autre, pour écouter les bruits de la nature et se désaltérer. Et tout à coup, nous avons débouché sur un magnifique petit lac bordé de rochers, perdu au milieu d’une mer de sapins. Après quelques minutes passées à admirer le paysage, nous avons cassé la graine, tous ces efforts m’ayant ouvert l’appétit. J’ai négocié une petite sieste avant de repartir ; mais cela faisait à peine quelques minutes que nous étions allongés que nous avons entendu du bruit derrière les rochers. Curieuse comme je suis, je n’ai pas pu m’empêcher de me lever pour regarder, sans me montrer.Deux jeunes hommes d’environ 25 ans venaient de poser leurs sacs à dos. De taille moyenne, bruns, la barbe de trois jours, ils avaient un certain charme. Ils ont échangé quelques mots en italien, puis se sont déshabillés avant d’entrer dans l’eau. Je n’en ai pas loupé une miette. Le premier – j’ai appris plus tard qu’il s’appelait Luca – avait une musculature impressionnante, de belles fesses bien dessinées et un sexe qui, bien qu’au repos, laissait entrevoir une taille fort sympathique. Son compère, Franco, était plus en rondeurs, de beaux cheveux longs, des fesses rebondies à croquer côté pile et gâté par dame nature côté face. Ils ont nagé quelques minutes puis se sont mis à chahuter avant de sortir, l’eau ruisselant sur leurs corps bronzés.Dès qu’ils se sont étendus sur leur serviette, j’ai été étonnée que la main de Luca vienne se poser sur le ventre de Franco ! Mais quand elle a commencé à le lui caresser, mes doutes se sont envolés, ils étaient en couple. Ne voulant pas être la seule voyeuse, j’ai fait signe à Marc de me rejoindre discrètement. Luca caressait maintenant la poitrine de Franco, et les premiers effets se faisaient sentir, leur sexe commençant à se redresser.Ce n’était pas les seuls d’ailleurs, j’ai senti une bosse dure contre mes fesses. Notre fantasme était d’inclure à nos jeux sexuels un autre homme, pour que Marc puisse assouvir les tendances bi que je lui avais fait découvrir. J’ai toujours eu envie de voir mon homme sucer un autre mec, se faire prendre et, bien sûr, participer à leurs jeux coquins. Je l’ai initié à ce genre de pratiques en lui faisant souvent lécher son propre sperme sur mes doigts ou mes seins, et en utilisant des sex-toys. Au début il était un peu réticent, mais il s’est vite rendu compte du plaisir et des sensations qu’il pouvait ressentir quand je le sodomisais, si bien que nous utilisons maintenant régulièrement un gode ceinture avec lequel je fais grimper mon chéri aux rideaux ! Et comme il a envie, depuis longtemps, de me voir avec un autre homme… il n’y a plus qu’un pas à franchir pour réaliser nos fantasmes, le plus dur peut-être.Se pressant contre moi, ses mains ont pris possession de mes seins déjà durcis d’excitation. Devant nous, Luca s’est relevé et penché sur son ami pour prendre son sexe en bouche. Franco soupirait, gémissait et a attiré Luca sur lui pour un 69. Marc m’a descendu mon short et ma culotte, puis m’a repoussé contre le rocher en m’écartant les jambes et en revenant se plaquer derrière moi. Ses mains sont très vite descendues vers mon sexe trempé. La vue de ces membres bandés coulissant entre leurs lèvres, de ces mains serrées autour de ces colonnes de chair, me mettait dans tous mes états. Je voyais leur langue s’agiter sur leurs glands, leur joues creusées quand ils aspiraient. Marc avait maintenant deux doigts en moi, pendant qu’il me caressait le clitoris. J’avais du mal à me contenir et je me mordais le bras pour étouffer mes gémissements. Tout à coup Franco a sorti le sexe de Luca de sa bouche, et a pris son pied dans un cri. La vue de ce flot de sperme, éclaboussant les lèvres et le menton de son amant, a eu raison de moi, et j’ai joui intensément sous les doigts de mon homme.Le temps de reprendre mes esprits, j’ai relevé la tête pour voir Luca allongé sur Franco, le sodomisant vigoureusement en l’embrassant tendrement. Tel un marteau-pilon, ses fesses sur lesquelles se crispaient les mains de Franco montaient doucement avant de retomber lourdement, son sexe s’enfonçant dans ce beau petit cul, arrachant chaque fois des râles de plaisir à tous les deux. Marc se frottait à mes fesses de plus en plus vite, je savais qu’il aurait aimé être à la place de Franco et subir les assauts de ce membre turgescent. Très vite, Luca a accéléré, ses mouvements sont devenus plus saccadés et plus brutaux, jusqu’à ce qu’il se libère dans les entrailles de son amant, dans un grognement bestial.Mon chéri était devenu très pressant, son sexe coincé entre mes cuisses, mais j’ai réussi à m’échapper de son étreinte, lui glissant à l’oreille qu’il avait eu sa part la veille au soir et qu’il allait devoir attendre qu’on arrive au gîte pour assouvir ses envies. Je tenais là ma petite vengeance pour m’avoir fait faire tous ces kilomètres de marche. Devant sa mine dépitée et son pieu toujours aussi droit, je suis venue le rassurer avant de reprendre le chemin, lui laissant entrevoir de folles galipettes, le soir venu.L’après-midi, la marche a été plus difficile que le matin, il fallait remonter sur les crêtes opposées pour rejoindre notre refuge. Cependant, je n’avais pas trop le temps de penser à mon mal aux pieds car Marc, passablement excité par le spectacle sexuel, avait les mains très baladeuses. Je m’arrangeai pour maintenir la pression en lui parlant de notre fantasme, lui posant plein de questions sur ses envie et, moi aussi, en glissant de temps en temps ma main sur ses fesses ou entre ses cuisses.Nous sommes arrivés au refuge, à plus de deux mille mètres d’altitude, en fin d’après-midi. Il commençait à faire un peu frais ; d’ailleurs, il y avait de la neige pas très loin. Et quelle ne fut pas notre surprise de trouver assis sur les marches les deux petits coquins qui nous avaient offert ce spectacle si excitant ! Nous les avons salués et sommes allés prendre une douche bien chaude. J’en ai profité pour exciter encore un peu plus mon chéri, même si son obélisque dressé me laissait penser qu’il n’en avait pas besoin ! Puis nous sommes revenus dans la salle commune où Luca et Franco avait commencé l’apéro. Ils nous ont invités à nous joindre à eux. J’ai fait office de traductrice car ils ne parlaient pas français et Marc ne connaît que quelques bribes d’italien.Ils nous ont donc expliqué qu’ils venaient de Naples et étaient en randonnée pour trois semaines. Je leur ai expliqué notre programme, en leur précisant notre itinéraire du jour, notamment notre pose pique-nique, près du petit lac. Ils se sont regardés avec un sourire, en rougissant légèrement pour Franco, mais n’ont pas parlé de leur halte au même endroit. Nous avons passé une soirée très agréable, en partageant nos provisions et en discutant assez tard. Avant d’aller nous coucher, nous avons convenu de passer la journée du lendemain ensemble, puisque nous faisions le même trajet.Une fois dans notre duvet, Marc s’est carrément jeté sur moi. Ses mains et sa bouche parcouraient mon corps à une vitesse folle. Sa langue s’enroulait autour de mes bouts de seins avant de remonter m’embrasser, pour mieux replonger sur mon ventre et mes cuisses. J’étais aux anges ! Il m’a relevée et écarté les jambes en les couvrant de baisers qui se rapprochaient de plus en plus de sa cible. Quand sa langue s’est posée sur mon clitoris, une onde de plaisir m’a parcourue tout le corps. Il a commencé à me lécher doucement, alternant les mouvements sur mon bouton et les longues léchouilles sur toute la longueur de mon sexe, en s’enfonçant profondément en moi à chaque passage. Ses doigts sont rapidement venus en renfort, s’enfonçant sans peine dans ma grotte humide, faisant encore grimper mon plaisir.Mon ventre était en feu, je pressais sa tête contre mon petit minou, pour qu’il me dévore encore plus. Je haletais sans fin, je ne contrôlais plus rien, je me cambrais de plus en plus lui demandant d’accélérer toujours plus. Mais quand il sentait que j’étais presque au paroxysme du plaisir, il abandonnait mon sexe pour mon ventre ou mes cuisses, laissant retomber la pression. À chaque fois, il m’amenait toujours plus près du plaisir ultime, me rendant complètement folle. J’ai resserré mes jambes autour de sa tête, pour l’empêcher de partir. Il a compris que je demandais grâce, il s’est agrippé à mes cuisses pour appuyer le plus fort possible avec sa langue, en me léchant comme j’aime, et j’ai senti cette chaleur caractéristique m’envahir avant d’être submergée par l’orgasme.Il ne m’a pas laissé une seconde de répit. Il est venu sur moi, entre mes cuisses, et s’est enfoncé en moi en m’embrassant fougueusement. Il était très gros après avoir été excité tout l’après-midi. Nous sommes restés emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger, un petit moment, les yeux dans les yeux, profitant de ce moment de pur bonheur.Tout à coup, nous avons entendu des gémissements venant de la chambre voisine. Mes râles avaient dû éveiller les envies de nos voisins ! Marc a alors commencé à bouger en moi, tout doucement, comme j’aime, en ressortant presque entièrement avant de replonger complètement en moi, en m’arrachant une longue plainte à chaque fois. Je le caressais partout en même temps, et lui venait me lécher et me sucer les seins de temps en temps. Je sais qu’il aime les mots crus quand nous sommes au summum de l’excitation. Je me suis approché de son oreille en lui disant que j’avais envie de me faire défoncer bien à fond. Je n’ai pas eu à le dire deux fois. Il s’est surélevé un peu et m’a pénétrée beaucoup plus rapidement et sauvagement. Je voulais le sentir tout au fond de moi, m’abandonner à lui, à mon plaisir, à son plaisir. À ce rythme, je n’ai pas résisté longtemps et j’ai explosé d’un orgasme encore plus puissant que le précédent, pendant que lui se vidait en moi dans un cri rauque. Nous sommes restés enlacés de longues minutes, épuisés mais heureux, en écoutant les derniers soupirs de jouissance de nos voisins.Le lendemain matin, nous avons pris un petit-déjeuner copieux et nous avons repris notre route. Notre parcours du jour n’était pas très long mais présentait des dénivelés importants. Nous avons progressé en file indienne. Marc ouvrait la voie, suivi de Luca dont je fixais les fesses appétissantes, juste devant moi, et Franco fermait la marche. Nous n’avons pas trop parlé car le chemin était raide, seulement quelques phrases échangées au cours de la pause. Je me retournais de temps en temps pour voir si Franco suivait, et deux ou trois fois j’ai eu l’impression de le surprendre le regard posé sur mes fesses, ce qui m’a étonnée un peu. J’ai décidé d’accentuer mes mouvements, en me tortillant le plus sensuellement possible, pour voir l’effet que cela produirait. Je n’ai pas tardé à constater, en regardant furtivement, que le short de Franco présentait une bosse bien visible qui ne laissait aucun doute. J’avais tiré des conclusions un peu hâtives, les femmes ne le laissaient pas indifférent.Nous sommes arrivés dans une clairière ombragée, traversée par un torrent dont la fraîcheur était bienvenue par cette chaleur écrasante. Marc a suggéré de faire la pause pique-nique, pour nous reposer un peu avant d’attaquer les derniers kilomètres qui devaient nous conduire à notre gîte du soir. Pendant que les trois hommes préparaient les sandwichs, je suis allée me rafraîchir en trempant mes pieds fatigués dans l’eau glacée. Un vrai bonheur !Pendant le repas, nous avons discuté des relations de couples, et de la difficulté d’être homosexuel dans notre société pleine de tabous. Ils nous ont raconté comment ils s’étaient rencontrés, il y a trois ans, en prenant des cours de théâtre alors qu’ils étaient en couple chacun de leur côté. Ils avaient quitté chacun leur compagne pour vivre leur histoire, même si Franco rajouta immédiatement, en me souriant malicieusement, qu’ils aimaient toujours les femmes.J’ai profité qu’ils se sont éloignés pour rincer leurs couteaux, pour demander à Marc ce qu’il pensait de la situation. Il m’a répondu qu’il avait remarqué les coups d’œil appuyés que nos compagnons de voyage jetaient sur mon anatomie, et qu’il trouvait ça plutôt excitant. M’approchant de lui pour l’embrasser, j’ai passé une main entre ses cuisses pour constater qu’il était effectivement en très grande forme ! Dans un regard complice, sans dire un mot, la décision de donner une réalité à nos fantasmes a été scellée par un baiser langoureux.Nous avons marché tout l’après-midi en discutant de choses et d’autres et en admirant les paysages superbes que nous offrait la nature. Nous sommes enfin arrivés à destination, après une escale dans l’épicerie d’un petit village du coin pour le ravitaillement.C’était un petit chalet avec une pièce principale, une grande chambre avec plusieurs lits, pouvant accueillir huit à dix personnes et un coin salle de bain avec une douche. Dans la salle à manger, il y avait une grande table en bois, des fauteuils devant une vieille cheminée en pierre et un petit coin cuisine.Après une douche bien méritée, nous nous sommes répartis les tâches. Luca s’est occupé de rentrer du bois pour le feu, car à cette altitude les soirées et les nuits sont très fraîches, même en été. Franco et Marc se sont occupés de préparer l’apéro et le repas, et moi j’ai fait la lessive de tout ce petit monde. J’observais par l’entrebâillement de la porte, ces trois mâles qui s’activaient avec pour seul vêtement une serviette enroulée autour de la taille, et cette vision réveillait en moi des envies et des sensations très agréables. J’ai fini rapidement de laver les derniers habits et je suis sortie les étendre, sous les commentaires grivois de ces messieurs. Il faut dire que la serviette, assez petite, avait déjà bien du mal à tout cacher, mais chaque fois que je me penchais pour attraper un vêtement mouillé ou que je levais les bras pour l’accrocher, elle remontait sur mes fesses et les laissait à la vue de ces petits voyeurs, qui n’en perdaient pas une miette. Je me retournais de temps en temps en souriant, l’air faussement naïve en tirant sur ma serviette, mais pas trop fort quand même !Nous nous sommes ensuite attablés. Ça creuse, la marche ! Charcuterie, fromages de chèvre, salade de tomates, arrosés d’un vin rosé de la région, absolument divin, et pour finir des petits gâteaux au chocolat pour la touche de gourmandise.Un rapide ménage et nous nous sommes installés confortablement dans les fauteuils, devant le feu qui crépitait, profitant de sa chaleur, à moins que ce ne soit celle de l’alcool de prune que nous sirotions ! La discussion prit très vite un tour plus coquin, Luca et Franco n’étant pas avares de compliments sur mon physique. Je les ai laissés faire et fanfaronner un moment, leur répondant uniquement par des sourires espiègles, et traduisant leurs dires à Marc. L’ambiance devenait de plus en plus érotique, les regards plus appuyés et les serviettes de mes trois compères arboraient une jolie bosse au bas du ventre.Ce petit jeu a duré jusqu’à ce que je leur fasse comprendre sans ambiguïtés que nous avions assisté à leurs ébats et que le spectacle de leurs corps sensuels m’avait beaucoup plu, ainsi qu’à Marc. Ils se sont regardés en rougissant, n’osant plus me regarder, comme deux petits garçons pris en faute. Je me suis levée pour venir m’asseoir sur les genoux de Marc, en leur disant de ne pas se sentir gênés, et qu’au contraire, leur partie de jambes en l’air avait réveillé nos fantasmes. Et tout en répondant à leurs questions et à l’intérêt soudain qu’ils portaient à nos envies, d’un clin d’œil, j’ai incité Marc à devenir un peu plus entreprenant. La ligne rouge venait d’être franchie, on se lançait à la découverte de nouvelles sensations et de plaisirs inconnus.Pendant que je leur détaillais nos fantasmes, la main de Marc est remontée le long de ma cuisse pour s’aventurer sous ma serviette. Luca et Franco ne perdaient pas de vue le moindre morceau de peau mis à nu par la serviette, qui commençait à se desserrer autour de moi. L’excitation me prenait littéralement aux tripes, je frémissais sur les genoux de Marc, qui m’a placé tout à coup dos à lui, une jambe de chaque côté des siennes. J’ai tiré sur le petit bout de tissu qui cachait encore mes charmes, pour faire durer le plaisir, mais c’était peine perdue, et la serviette s’est ouverte en grand quand Marc m’a écarté les jambes avec les siennes, me laissant nue, ouverte, impudique, face à mes deux futurs amants.Les mains de mon homme parcouraient mon corps, s’attardant sur mes seins puis descendant caresser mes cuisses, se rapprochant doucement de mon sexe. Luca et Franco suivaient d’un œil lubrique les mains de mon homme sur mon corps, et quand il a plongé une main entre mes cuisses, enfonçant un doigt dans mon sexe mouillé et m’arrachant un gémissement, ils ont jeté leurs serviettes, laissant jaillir leurs membres fièrement dressés. Je me laissais masturber en suçant un doigt de Marc, les yeux plongés dans ceux de mes deux Italiens qui se caressaient frénétiquement devant le spectacle.N’y tenant plus, je leur ai fait signe d’approcher, ce qu’ils ont fait sans se faire prier. Ils sont venus se positionner sur chacun de mes côtés, m’offrant leur sexe bandé. J’en ai pris un dans chaque main et j’ai commencé à les branler au rythme des caresses de Marc sur mon clitoris, pendant que leurs mains me titillaient la pointe de mes seins. Puis Luca s’est éloigné pour s’installer à genoux entre nos cuisses et j’ai vite senti sa langue s’activer sur mon bouton. Franco s’est rapproché de moi pour m’enfoncer sa belle queue entre les lèvres.Mon fantasme se concrétisait au-delà de mes espérances. Je prenais un plaisir fou, et la longue tige dure que je sentais entre mes fesses, m’indiquait que mon homme prenait son pied aussi. Je suçais un autre sexe que le sien à quelques centimètres de son visage, pendant qu’une bouche inconnue se délectait de mon abricot.La langue de Luca, les doigts de Marc et le sexe de Franco ont eu vite raison de ma résistance et m’ont conduite à un premier orgasme, aussi rapide que violent. J’ai tourné la tête pour embrasser mon chéri, qui me regardait amoureusement, et durant notre baiser, j’ai senti un sexe entrer en moi. Franco avait pris la place de Luca entre mes cuisses et s’était enfoncé dans mon antre trempé du plaisir précédent. Trop excité par la fellation que je venais de lui faire, il s’est mis à me chevaucher sauvagement, me faisant gémir et presque crier tellement c’était bon.Luca, ne voulant pas être en reste, est venu me présenter son sexe alors que j’embrassais encore Marc. J’ai attiré Luca vers nous et son membre s’est glissé entre nos lèvres. Nos langues jouaient sur son gland, ma main le branlait pendant que celle de Marc lui caressait l’entrejambe. Les soupirs de Luca se mêlaient aux grognements de Franco, à mes gémissements et aux bruits de succion, c’était un vrai concert de plaisir. Franco me prenait de plus en plus fort, si bien que j’ai abandonné le sexe de Luca à Marc qui l’a avalé goulûment, pour pouvoir extérioriser toutes les sensations que cette queue fichée en moi me provoquait. Les mains de Franco se sont crispées sur mes cuisses et il m’a empalé une dernière fois, nous faisant jouir tous les deux dans un râle de bonheur partagé, en s’écroulant sur moi.Tout en nous remettant de nos émotions, nous avons assisté au spectacle de mon chéri se découvrant des talents cachés pour la fellation. J’avais imaginé cette scène tant de fois, et maintenant c’était bien réel. Mon Marc était en train de sucer un membre gros et dur, prêt à exploser, et il s’acharnait comme un damné dessus, comme si sa vie en dépendait. C’est une des choses les plus excitantes que j’aie jamais vues. Ses joues se creusaient à chaque aspiration, on voyait sa langue par moments s’enrouler autour de ce sexe qu’il dévorait voracement, pendant que ses mains branlaient et caressaient la queue qu’il désirait tellement. Il l’a sucé encore et encore puis, dans une dernière accélération, l’a achevé, buvant toutes ses giclées de sperme avec gourmandise.Après toutes ses émotions, nous avions besoin d’un petit remontant. Franco nous a servi une petite prune que j’ai dégustée, blottie dans les bras de mon homme. Son sexe bandait encore dur et battait contre ma cuisse, vu qu’il n’avait pas encore joui, contrairement à nos deux partenaires, qui n’avaient pas retrouvé leur rigidité, du moins pas encore. Nous avons fini nos verres, puis je me suis levée en prenant Marc par la main, nous nous sommes mis à quatre pattes entre leurs jambes, lui entre celles de Franco, et moi entre celles de Luca et nous avons entrepris de leur redonner leur vigueur avec nos langues agiles. J’ai été plus efficace que lui car, à peine deux minutes plus tard, Luca avait retrouvé une magnifique érection alors que Franco commençait difficilement à se redresser, ce qui valu à mon homme quelques gentilles moqueries.J’ai ensuite fait comprendre mes envies à Luca en lui montrant la croupe offerte de Marc qui ondulait au rythme de sa fellation. Ravi de ma proposition, il s’est placé juste derrière lui, pendant que je m’installai dans le fauteuil pour satisfaire mes pulsions de voyeuse. Une main sur chacune des fesses de Marc, il s’est penché et j’ai vu sa langue disparaître entre ces deux lobes, monter et descendre tout le long, enfouissant son visage dans ce cul qui ne demandait que ça. Une jambe sur chaque accoudoir, je me régalais de cette scène pornographique en me caressant le clitoris, deux doigts dans mon petit minou humide. Marc gémissait de plus en plus et avait du mal à s’occuper de Franco, si bien que celui-ci se masturbait lui-même en frottant son gland sur ses lèvres entrouvertes.Pour profiter encore mieux de toutes ces sensations, je me suis glissée sous mon homme. Je sentais son sexe palpiter contre mon ventre, et je voyais à quelques centimètres de moi sa langue avide cherchant à happer cette queue qui lui échappait à chaque passage. Luca s’est relevé derrière lui, et a placé son dard dressé et luisant sur son anus. Je lui ai pris la tête entre mes mains pour le regarder dans les yeux. Je voulais voir en lui le moment où, pour la première fois, un homme prendrait possession de son si beau petit cul. Je sentais la pression de Luca de plus en plus forte, une grimace sur le visage de Marc témoignant de la pénétration. Il en avait le souffle coupé, et quand Luca l’attira vers lui et enfonça toute la longueur de son sexe jusqu’à la garde dans ses fesses, il n’a pas pu retenir un cri. J’ai passé une main entre nous pour diriger son sexe vers le mien, je voulais qu’il ressente le plaisir conjugué des deux pénétrations, un peu comme si Luca me prenait à travers lui.Nous l’avons laissé un peu récupérer, et c’est lui qui, au bout d’un moment, tout doucement s’est mis à bouger. Tout en m’embrassant fougueusement, il me pénétrait au plus profondément, à chaque avancée, et s’empalait de la même manière sur la queue de Luca quand il reculait. Son sexe n’avait jamais été aussi gros et me donnait l’impression d’être remplie comme jamais. Luca commençait à son tour à bouger en se synchronisant sur les mouvements de Marc, pendant que Franco venait nous redonner son membre à lécher. Nous étions tous les quatre à l’unisson, à la recherche du plaisir ultime. Je voyais dans ses yeux que Marc avait perdu tout contrôle, ses mouvements de bassin étaient de plus en plus violents et saccadés. Il s’engouffrait en moi pour mieux se projeter à la rencontre de ce sexe qui le défonçait, dans des gémissements toujours plus forts.C’était vraiment le super-pied, mon homme me faisait l’amour à un rythme effréné en se faisant sodomiser par un mec et en suçant un autre, juste sous mes yeux. Jamais je n’aurais imaginé vivre ce fantasme jusqu’au bout. J’étais déchaînée moi aussi, je plantais mes ongles dans le dos de Marc ou dans les fesses de Franco qui se lâchait complètement dans la bouche de mon chéri. Enfin, Luca n’était pas en reste, à en juger par les secousses que je ressentais et les râles que Marc poussait à chaque assaut. C’est Franco qui a cédé le premier entre ses lèvres, qui ont laissé échapper deux coulées blanches que j’ai lapées avant de l’embrasser tendrement. Il a été suivi de peu par Luca, qui a éjaculé en défonçant les fesses de Marc, ce qui a déclenché notre orgasme à tout les deux, dans une vague de plaisir d’une rare intensité, les yeux dans les yeux.Nos deux amis nous ont laissés, épuisés, dans les bras l’un de l’autre, tendrement enlacés, profitant de ce moment de complicité, rêveurs et heureux. Nous avons passé la nuit sur le tapis devant la cheminée, et le lendemain matin, après une douche et un petit en-cas, nous avons dit au revoir à nos amants d’une nuit, après avoir échangé nos coordonnées, et nos chemins se sont séparés. Nous ne les avons pas revus depuis, mais nous pensons faire un voyage en Italie bientôt, qui sait…