Je crois que lorsque l’on aime le sexe, on ne peut pas vraiment s’en passer et à mon avis ce serait une folie, une idée idiote… et pourtant c’est ce que j’avais voulu faire. Prendre un break de sexe durant un temps indéterminé… quelle chose immonde!!Voilà presque deux semaines que j’étais en sevrage. J’étais en train de me désintoxiquer moi-même. J’avais même décidé de m’inscrire dans un gym pour femmes qui n’était pas 24 heures ! Je ne prenais aucun risque en faisant comme ça : je n’avais aucune tentation, ou du moins pas trop sexuelle. Je m’étais inscrite avec une ancienne collègue de travail, Caro. Elle trouvait cela aussi stupide que moi de vouloir se passer de cul, mais bon, je devais cesser de « courailler » à gauche et à droite sans savoir où je m’en allais. Bref, je faisais le point sur ma vie sentimentale, qui avait donné dans la simplicité ces derniers temps : je n’avais pas consacré une seconde à me chercher un homme « idéal », trop préoccupée à me chercher un mec musclé et bien membré.Un jour, alors que je faisais mes échauffements seule – Caro n’avait pas pu venir avec moi ce jour-là , elle travaillait –, je rencontrai une vieille amie d’enfance.— Oh ! Mon Dieu… Kelly-Ann ? lança-t-elle, toujours avec son sourire enjoué.Je me retournai.— Hey, Sophie ! Quel drôle de hasard ! Ça fait un bail… Qu’est-ce que tu deviens ?— Ben, tu ne le croiras pas, mais je me suis enrôlée dans l’armée, dit-elle avec un soupçon de fierté.C’était, d’ailleurs pour cette raison que l’on s’était perdues de vue. J’étais bien contente de la revoir, mais une question me brûlait les lèvres…— Pourquoi venir t’entraîner ici, alors que tu peux y aller gratuitement sur la base militaire ?Je la sentais hésitante, voire un peu mal à l’aise.— Je suis lesbienne ! répondit-elle d’un trait.J’avoue que ça me donna un choc, non pas parce qu’elle pouvait se rincer l’œil dans le vestiaire (je le faisais moi-même, et je n’étais pourtant pas lesbienne), mais plus parce qu’une jolie fille comme elle, jamais je ne me serais doutée.— J’avoue que tu es très rusée ! ajoutais-je en riant.— Y’a aussi que je déteste me faire draguer tout le temps au gym militaire, surtout que les hommes ne m’attirent pas du tout.Je me disais que c’était de valeur pour les hommes, mais tant pis pour elle… ça en faisait plus pour moi… mais que dis-je ? Je suis en pause sexe !— Au fait, je me demandais ce que tu faisais ces temps-ci ? demanda-t-elle.— Au boulot, tu veux dire ?— Ouais…— Ben je suis en vacances pour l’été, pourquoi ?— C’est juste qu’à la base, la secrétaire est tombée malade et on a personne et…— Oh… je te vois venir là …— Voyons, Kelly-Ann, tu ne ferais que répondre au téléphone et taper des lettres, rien de compliqué, mais ça nous dépannerait !— Ben, une semaine, pas plus !Elle fut contente, mais pas moi… Je me doutais que je serais sûrement en contact avec de beaux militaires et ça brassait des idées pas catholiques dans mon esprit. Par contre, je ne pouvais pas lui dire non, car elle me demanderait pourquoi et là , je lui dirais la vérité, et elle rirait de moi jusqu’à la fin de mes jours. Je tentais de me convaincre en me disant que les militaires qui viendraient me voir seraient plus âgés et moins mon type. Elle me donna rendez-vous dès le lendemain matin.Toute la soirée, je fis les cent pas à me demander ce que j’allais faire si seulement un mec désirable rentrait dans mon bureau. Cela faisait un gros deux semaines que je n’avais pas eu de sexe, et je ne m’étais pas masturbée non plus. Je me suis dit que tant qu’à faire quelque chose, aussi bien le faire jusqu’au bout. Je passai une nuit d’enfer à faire des rêves érotiques, passant par des militaires, puis des policiers, sans oublier les pompiers. Le lendemain matin, j’en avais la petite culotte trempée, je me sentais faible. Je sautai sous la douche en essayant de chasser mes pensées obscènes, mais rien n’y faisait. Juste le fait de me passer le savon sur le corps était suffisant à sonner les sirènes ! Il était clair que je ne pouvais pas me présenter dans cet état, dans un milieu masculin, respirant le sexe à plein nez !Je pris un petit déjeuner en vitesse, car j’étais déjà en retard. Retard volontaire… j’espérais arriver là -bas et que tout le monde soit à son boulot, comme ça je pourrais passer en douce, sans croiser de militaires ! J’arrivai à l’entrée de la base, j’expliquai au mec qui gardait la « gate » que je devais rejoindre Sophie Bérubé dans l’édifice du Royal 22e Régiment. Il me laissa passer. J’arrivai dans le stationnement. Je stationnai ma Ford Focus à côté d’une Sentra noire, vitres teintées, un peu remontées. Juste le fait de la regarder, je sentais une odeur masculine non loin… Je m’appuyai sur mon volant quelques secondes pour penser à autre chose…TOC TOC…Je sursautai et eus peur de lever la tête pour voir un mec irrésistible. C’était Sophie. Je baissai ma vitre.— Qu’est-ce que tu fous ? Je t’attends depuis quinze minutes !— Désolé, c’est juste que j’ai mal dormi.— Allez… tu vas voir, avec tous les mecs qu’il y a là , tu ne pourras pas t’endormir !C’est ce qui m’inquiétait ! Je sortis de la voiture et on se rendit en direction de la porte. Durant ces quelques pas, je dus croiser au moins trois beaux hommes avec des bérets verts… je faillis perdre l’équilibre, en fait, le peu que j’avais sur mes bottes à talons aiguilles. On entra dans l’édifice… Moi qui pensais ne croiser aucun homme, ou du moins pendant une partie de la journée… mais comment ai-je pu imaginer cela ? C’est une fourmilière à mecs, ici ! Je suivis Sophie en fixant le plancher jusqu’à ce qu’on arrive dans le bureau. En entrant, je faillis perdre connaissance.— Mais c’est quoi ça ?— Ben ton bureau, ma belle ! dit-elle.— Hahaha… tu me niaises ? ajoutais-je en voyant que mon bureau était carrément au beau milieu d’autres bureaux, avec derrière ceux-ci, des tas de militaires !— En tout cas, si j’étais toi, je ne me serais pas habillé comme ça!Et moi non plus, si j’avais su ! Je pensais être seule dans un bureau et peut-être avoir, au besoin, à aller aux toilettes pour me faire de petites caresses si jamais la tentation était trop forte. Alors je ne m’étais mis qu’une petite jupe courte noire et une camisole (1) à larges bretelles, blanche et vert kaki. Je compris que ça n’allait pas être de tout repos pour moi quand je vis les mecs se lever d’un bond pour me saluer. Mes grands yeux bleus devinrent très ronds et je me mis à rire nerveusement, alors que je me retournai vers Sophie qui avait… déserté ! Je me dirigeai alors, tranquillement, mais sûrement, vers mon « supposé » bureau.Mais dans quelle galère m’étais-je embarquée ? Je sentais déjà l’humidité me gagner les cuisses… Je ne fis mine de rien en me concentrant sur les papiers qu’il y avait sur la grande table devant moi. J’ouvris l’ordinateur pour commencer à taper les textes et surprise… ma chaise faillit basculer en arrière : il y avait un mec presque nu comme fond d’écran !J’ouvris un fichier Word afin de ne plus voir cette créature irrésistible. Comme je commençai à taper sur le clavier, je sentis des regards se poser sur moi, je levai la tête et me rendis compte que j’avais six paires d’yeux qui me contemplaient. Mais quel gaspille… j’avais quasiment le goût de me mettre à pleurer… trop c’est trop… et comme si ce n’était pas suffisant, la chanson Inside Outside se mit à jouer dans la pièce. Ça résonnait dans ma tête, sans vouloir en sortir…Mon ancienne personnalité me regagnait peu à peu et je me sentais redevenir la cochonne que j’étais il y a deux semaines… Je devais d’abord aller à la toilette pour me satisfaire un brin, sinon je crois bien que je les aurais mangés tout cru ! J’attrapai mon sac à main et me dirigeai vers la salle de bains de l’étage. J’entrai dans celle-ci et verrouillai la porte, plus par habitude que par gêne. Je m’assis sur le comptoir entre deux lavabos et sortis un gode-vibrateur rose transparent de 8 pouces de longueur et de 5 pouces de diamètre. Je remontai ma jupe pour avoir accès à ma petite chatte rasée, lignée dans le centre par une petite stripe (2). Elle était déjà mouillée, elle s’ennuyait d’une bonne bite, j’allais lui en donner un aperçu, question de l’assouvir un peu avant la débandade ! J’appuyai mon gode sur mon petit bouton de sensation et mis la vibration en marche. Je commençai par une basse vitesse question de me faire grimper tranquillement au plafond. La sensation me faisait déjà grimacer… je sentais ma mouille me couler jusque dans l’anus, j’en avais les jambes qui faiblissaient.Je m’adossai au mur, et par le fait même je pouvais me regarder dans le miroir. Je remis mon gode sur mon clito et augmentai la vitesse d’un quart de tour, je pus sentir des chocs électriques qui me parcouraient le corps à une vitesse phénoménale.J’avais déjà plein d’images de grosses queues juteuses de militaires en chaleur… Plus j’y pensais, plus de violents spasmes me gagnaient. J’attrapai, alors le bouton de vitesse et le mit à fond, ensuite je poussai mon gode au plus profond de moi-même pour faire des va-et-vient quasi-agressifs. Je ne faisais plus que haleter, je hurlais, ne pensant pas deux secondes au bureau voisin. Tout ce qui comptait était mon plaisir actuel. Chaque entrée et sortie de mon vibrateur me faisait reculer au mur et je pouvais sentir mon jus d’excitation me couler dans les mains et inonder mon gode. Je me regardai dans le miroir un instant et j’y reconnus la jolie petite cochonne que j’étais, il y a deux semaines, alors que je faisais une pipe royale à l’ami de ma copine. Rien ne pourrait m’arrêter maintenant que je m’étais allumée.Alors que je sentais mon intérieur vibrer et mes parois vaginales absorber mon gode comme une éponge, je hurlai des « Ahhh… oui c’est bon… », et en un instant, j’eus un orgasme si violent que j’en tremblai. Après quelques secondes de récupération, je me remis sur pied, passai mon gode trempé de ma mouille surette sous l’eau pour en enlever l’excédent. Je l’épongeai légèrement et le remis dans mon sac.Je remis un peu de gloss sur mes lèvres pulpeuses et quittai la salle de bain en regardant à gauche et à droite pour voir si je ne pourrais pas tomber sur une victime potentielle, mais sans succès ! Je sentais qu’avait ressurgi en moi la mangeuse d’hommes… et j’en voulais un tout de suite. J’étais encore sous l’effet pervers de mon orgasme égoïste. Je savais qu’il y avait six beaux mâles qui m’attendaient dans mon bureau, mais pas question d’y aller tout de suite : ceux-là , je vais les garder pour le dessert !Je continuai ma marche à la recherche d’un bureau plutôt isolé et avec un mec chaud ! Je croisai un petit bureau au coin d’un couloir, je m’étirai le cou pour voir ce qui s’y cachait à l’intérieur, et je ne fus pas déçue de voir un militaire vêtu de son uniforme à m’en faire mouiller à nouveau les jambes. Il se tenait debout devant un classeur, semblant chercher quelque chose. J’entrai, alors en douce dans le bureau sur la porte duquel était pourtant écrit « Personnel autorisé seulement ». Je fermai la porte, sans faire de bruit pour ne pas le faire sursauter. Je le regardai quelques instants, pour voir que c’était bien le type de mec que j’aimais manger : il était grand, assez costaud, de belles grandes mains et il portait un béret… hummm !— Besoin d’aide ? demandais-je d’une voix sensuelle.En relevant la tête, il se la cogna sur le classeur du dessus. Il grommela quelques mots, alors je m’approchai de lui pour lui flatter la tête. Je pus voir son visage… un visage coquin. Il me fixa de ses yeux bleus perçants et me dit qu’il cherchait un dossier, mais qu’il ne le trouvait pas. Je lui proposai de jeter un coup d’œil. Il se recula et me laissa me pencher devant lui.Évidemment, j’en profitai pour lui exposer toute ma sexualité en pleine face, en cambrant les hanches et en ressortant mon cul de bomba. Sans le voir, je pouvais sentir qu’il commençait à avoir chaud. Je finis par mettre la main sur le dossier, je me retournai, toujours accroupie, faisant face à sa braguette. Je me mordis la lèvre, me doutant de ce qui pouvait se cacher l’autre côté. Je me relevai, tranquillement, pour qu’il puisse contempler mon décolleté. Il respirait de plus en plus fort.— Voilà votre dossier, caporal… dis-je en le lui tendant.Il me sourit du coin de la bouche en ne quittant pas mon corps des yeux une seconde. Je m’approchai alors plus de lui, et me penchai sur le bureau pour saisir un crayon. Il soupira.— Besoin d’autre chose ? demandais-je en faisant tourner une couette de mes longs cheveux blonds.Il resta sans voix, et je commençai à trouver que c’était long avant qu’il agisse. Comme j’allai faire quelque chose, il me saisit par le cou et m’embrassa fougueusement. J’en eus des sensations jusque dans le bas ventre… Cela faisait plus de deux semaines qu’un mec ne m’avait pas embrassé… D’autant plus qu’il embrassait comme un dieu ! Il me poussa vers le bureau, toujours en faisant tourner sa langue dans ma bouche. Il m’agrippa les hanches d’une main, et de l’autre il fit virevolter toutes les feuilles qui se trouvaient sur le bureau. Il m’y coucha et vint appuyer son corps athlétique sur le mien. Je sentis mes mamelons devenir tous durs sous la pression de ce beau militaire. Il cessa de me frencher (3) et descendit de plus en plus bas, en passant par mon cou et par ma poitrine pour se rendre à mon ventre. Il fit tournoyer sa langue sur mon piercing rose, avant de me relever un brin pour me débarrasser de ma camisole.Il m’enleva par la même occasion mon soutien-gorge blanc en dentelle pour découvrir une poitrine ferme et des petits mamelons rose pêche. Il ne s’attarda pas à les regarder, il les mit dans sa bouche, les léchant, pétrissant, mordillant et il les empoigna fermement avant de venir déposer un autre baiser sur ma bouche avide de son sexe. Il poursuivit ensuite sa route vers mon volcan en éruption, il défit la fermeture éclair de ma jupe et la jeta derrière lui. Il m’écarta les jambes au maximum pour voir que ma chatte reluisait déjà … Je m’appuyai sur les coudes pour le regarder me savourer. Il me fit un petit sourire coquin et plongea sa tête, toujours couverte de son béret, dans mon gouffre chaud à souhait. Il me dégusta comme une fraise fraîche, faisant courir sa douce langue sur tout ce qui se trouvait sur son passage.— Mets-toi à quatre pattes ! ordonna-t-il.Je m’exécutai en lui répondant « Oui, caporal ! ». Je me retournai et lui mis mon cul en pleine face. Il m’empoigna les fesses fermement et approcha sa bouche pour les mordre. Il se pencha un peu pour pouvoir récupérer les petites gouttes qui s’échappaient de mon antre féminin et il glissa sa langue jusque dans mon anus. J’eus un soubresaut et me poussai davantage pour qu’il y mette plus d’ardeur. J’étais tellement excitée que je ne savais plus où donner de la tête.Après quelques minutes de délicieuses dégustations de toute part, il me retourna doucement pour déposer sa bouche couverte de mouille sur la mienne. Je lui pris le visage, le reculai un peu et je passai ma petite langue autour de sa bouche pour goûter à mon excitation. Il me sourit et me fit un petit clin d’œil en regardant plus bas. Je tournai les yeux vers son pantalon, je ne pus que constater une bosse. Je m’agenouillai devant lui, je défis son bouton et puis sa braguette et laissai tomber le pantalon au sol. Je fis de même avec son boxeur vert kaki.J’eus son érection en pleine face, une belle queue ressemblant étrangement à la grosseur de mon gode. Son gland était quasiment rouge tellement le bandage était fort, je pouvais percevoir de petites gouttes d’excitation s’échapper de celui-ci. Quelle joie ! Je le pris d’une main et le mis tout dans ma bouche. Il poussa un petit râle et me prit par les cheveux pour m’appuyer bien au fond. À la suite de quoi, il prit de lui-même sa queue entre ses mains pour m’en donner quelques coups dans le visage. Je lui souris et bougeai mon visage de façon à ce que sa queue puisse me toucher partout. Il la reprit en main et la leva plus haute pour que j’ai accès à ses testicules, et que je puisse y mettre ma langue et toute ma bouche par la suite. Il poussait de longs râles de plaisir à ma plus grande excitation.Il me releva et me coucha sur le ventre, sur le bureau. Il me releva les fesses, et entra doucement sa queue dans ma chatte dégoulinant de plaisir. Il entama des va-et-vient de plus en plus rapides, allant même jusqu’à déplacer le bureau. Cela me faisait un tel bien que je ne pouvais m’empêcher de crier de plus en plus fort. Plus je criais et plus il redoublait d’ardeur. Il avait même commencer à me donner de petites claques sur les fesses. Quand j’en fus rendue à hurler, il me releva pour mettre sa main sur ma bouche en me faisant des « chut ». Il me retourna face à lui et me prit dans ses bras, faisant glisser habilement sa grosse queue à nouveau dans mon trou féminin, devenu un aller simple vers l’orgasme. Je pouvais voir son joli visage se crisper à chaque coup de queue qu’il me donnait.Il était si beau à regarder que je ne pouvais pas me défaire de son regard pétillant de désir. Je ne pouvais pas bien voir ses bras au travers de son haut d’uniforme, mais je n’avais pas de misère à m’imaginer un corps parfait et des bras musclés, résultat d’un entraînement rigoureux. Il continua de me ramoner ainsi l’intérieur en me regardant prendre mon pied. Il n’en fallut pas plus pour que je hurle un orgasme intense avec ses encouragements de « ah ouais ma belle, vas-y ! » et ses coups de queue réguliers. Il dut me tenir plus fort car d’autres spasmes violents m’envahissaient.— À deux, ce serait meilleur ! dis-je.Il fronça les sourcils. J’attrapai mon sac et ressortis mon gode. Il me regarda tout sourire. Je le poussai sur la chaise derrière lui, je l’approchai de la table, je me mis à quatre pattes pour qu’il puisse bien voir. Je réglai la vitesse de mon vibrateur à moyen et je l’entrai sans difficulté à fond dans ma chatte mouillée. Je lui fis faire des va-et-vient, sous le regard excité de mon militaire en chaleur. Je poussai de longs râles et me tordant de gauche à droite. Je pouvais avoir un œil sur mon homme qui avait commencé à se branler, activement en me regardant. Ça m’excitait deux fois plus d’être matée ainsi. Je me retournai devant lui pour pouvoir le regarder comme il faut. Je remis mon gode en position et commençai à me lécher un doigt pour pouvoir le faire entrer dans mon anus doucement. Il se branlait de plus en plus vite et se tordait lui aussi de gauche à droite, ne sachant plus quoi faire pour se retenir de venir me sauter dessus.— Viens me baiser ! dis-je en lui faisant signe de l’entrer.Je m’étais remise à quatre pattes et je le suppliai de me pénétrer, pendant que je me baiserai le cul avec mon gode trempé. Il entra son engin tout doucement et entama des allers-retours de plus en plus rapides. Il me vola même mon jouet pour faire lui-même les allers et venues. Je sentais ses jambes faiblir sous l’excitation. Il se raccrocha à mes hanches et mit le bout du gode dans sa bouche pour continuer de me le passer. Wow ! Cette image me vit vibrer dans tous les sens et je jouis à nouveau dans un cri, qui cette fois-ci ne put être couvert avec une de ses mains qui étaient trop occupées.Il continua le processus encore quelques instants et se retira me disant qu’il allait éjaculer. Je m’empressai alors de m’agenouiller devant sa queue si juteuse. Je la mis dans ma bouche d’un trait, lui arrachant un spasme du bassin, elle était sensible. J’entamai une fellation en douceur, question de le faire savourer. Quand je sentis une pression dans sa queue, je me retirai un tout petit peu pour qu’il vienne sur mon visage et dans ma bouche. Il me fixait toujours de ses yeux intimidants et, soudain, il m’explosa tout son orgasme dans le visage en hurlant que c’était bon et que j’étais une petite cochonne. Quand il eut fini de faire déferler son sperme sur moi, je passai deux doigts sur mon visage pour avaler tout ce qui pouvait rester et qui n’était pas tombé dans ma bouche. Il me regardait d’un air amusé. Je me relevai, renfilai ma jupe et ma petite camisole, alors que lui remontait son pantalon. J’attrapai mon soutien-gorge et un crayon, j’y écrivis mon numéro de téléphone et lui balançai à la figure, l’obligeant à me rappeler ! Il me fit un dernier sourire avant que je quitte le bureau pour retourner au mien…(1) Camisole : Au Québec, débardeur(2) Stripe : Bande, rayure, raie (dérivé de l’anglais « strip »).(3) Frencher : Embrasser « à la française », avec la langue (dérivé de l’anglais « french kiss »).