La Reine du Capricorne-Chapitre 4 : Le Capricorne
Depuis que Hervé, son amant et dominateur, lui a fait connaître Sonia, Martine la voit plus que lui. Elle a découvert les plaisirs saphiques en compagnie de Sonia. Un jour, Sonia lui demande de se préparer à sortir. Ce qui voulait dire, se doucher, se masturber et porter des bas et des chaussures à talons pour seuls vêtements.
Proposée le 13/01/2019 par Marc Paul Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: GroupesLieu: Sauna, club, sexe shopType: Roman
DĂ©but mai, Martine reçut un SMS de Sonia :« Ce soir, nous sortons, fais toi belle ».Martine se prĂ©para, se caressa sous la douche car Sonia avait les mĂŞmes exigences qu’HervĂ©. Elle se coiffa et se maquilla très soigneusement comme cela lui Ă©tait demandĂ©. Elle mit des bas en fine rĂ©sille et des escarpins Ă talons de douze centimètres. Vers sept heures et demi, Sonia arriva, portant une petite mallette en cuir bordeaux. Après l’avoir embrassĂ©e et vĂ©rifiĂ© qu’elle Ă©tait bien mouillĂ©e, Sonia ouvrit sa mallette et en sortit deux pinces Ă tĂ©tons reliĂ©es par une chaĂ®ne en or. A chaque pince, un pendentif en cristal blanc taillĂ© en larme pendait. Elle fixa les pinces sur les seins de Martine, immobile qui attendait que Sonia la prĂ©pare. Elle se disait que cette sortie devrait ĂŞtre très particulière pour que sa maĂ®tresse prenne tant de soin quant Ă son apparence. Elle tira ensuite de sa mallette des petits pendentifs en cristal blanc eux aussi, quatre en tout, plus petits que ceux qui pendaient aux tĂ©tons de Martine, et les fixa Ă l’aide de pinces Ă ses petites lèvres violacĂ©es encore gonflĂ©es par le plaisir rĂ©cent qu’elle s’Ă©tait donnĂ©e sous la douche. Martine grimaça un peu sous la douleur provoquĂ©e par les pincements de ses lèvres intimes mais la gĂŞne s’attĂ©nua vite. Sonia termina sa prĂ©paration en introduisant deux boules de geishas dans le con de Martine. En montant dans la voiture, Martine osa poser la question qui lui brĂ»lait les lèvres :
– Ou m’emmènes-tu ?
– Tu verras bien, la seule chose que je peux te dire c’est que tu verras HervĂ©.Et Sonia dĂ©marra, lui signifiant ainsi qu’elle ne devait pas poser d’autres questions. Les deux femmes roulèrent une trentaine de minutes dans la campagne avant que Sonia ne se gare Ă proximitĂ© d’un bâtiment, une ancienne grange rĂ©novĂ©e et dont le toit portait une enseigne lumineuse qui indiquait « Le Capricorne ». Martine avait dĂ©jĂ entendu parler de ce club Ă©changiste qui faisait les gorges chaudes dans toute la rĂ©gion. Sonia avait garĂ© sa voiture Ă l’extrĂ©mitĂ© du parking qui longeait la route. Quand Martine descendit de la voiture, Sonia lui demanda de quitter l’impermĂ©able qui couvrait sa nuditĂ© et de lui donner. Martine s’exĂ©cuta et Sonia jeta l’imper sur la banquette arrière de la voiture et sans dire un mot, elle se dirigea vers l’entrĂ©e du club. Martine la suivit, elle dut parcourir nue, la cinquantaine de mètres jusqu’Ă l’entrĂ©e du club. Deux ou trois voitures passèrent rapidement, une seule ralentit. Martine ne cherchait plus du tout maintenant Ă prĂ©server sa nuditĂ©, l’exhibition de son corps ne lui faisait plus peur, elle adressa un signe de la main aux occupants de la voiture qui venait de klaxonner et continua sa marche. Sonia appuya sur la sonnette Ă la porte. Un guichet s’ouvrit, Martine devina un visage masculin qui regarda Ă travers la petite grille en fer forgĂ©. Sans que Sonia n’ait besoin de dire un mot, la porte s’ouvrit. Sonia entra en disant bonjour au gardien, elle l’appela Pedro. Sonia pĂ©nĂ©tra dans le club, vide Ă cette heure-ci. Seules quelques personnes s’affairaient dans la salle principale, des hommes en tenue de valet et des jeunes femmes habillĂ©es en soubrette. La salle Ă©tait assez grande et devait occuper la majeure partie du bâtiment. En son centre, une piste de danse en parquet, sur le pourtour, des tables avec des banquettes. Une mezzanine courait sur tout le tour de la salle, un escalier permettait d’y accĂ©der. Au pied de l’escalier, un le bar Ă©tait tenu par un barman noir de très grande taille et très musclĂ©, un vrai gĂ©ant de deux mètres de haut. Sonia entraĂ®na Martine vers le bar et lui dit de l’attendre ici. Elle monta l’escalier et disparut Ă l’Ă©tage. Martine s’assit sur un des hauts tabourets et garda ses jambes largement ouvertes comme Sonia exigeait d’elle. Martine regardait les personnes qui posaient des chandeliers sur les tables, passaient un dernier petit coup de chiffon avant l’arrivĂ©e des clients, Tout ce petit monde vaquait Ă ses occupations sans prĂŞter attention Ă Martine, comme si la prĂ©sence de cette femme nue, totalement offerte aux regards, avec les seins et le sexe parĂ©s de bijoux Ă©tait la chose la plus naturelle au monde. Le barman la tira de ses pensĂ©es en lui demandant si elle voulait boire quelque chose. Martine lui rĂ©pondit avec un sourire :
• Oui, je veux bien, un scotch ! Double, s’il vous plait !
Le barman posa devant elle un verre remplit Ă moitiĂ© sur une petite serviette en papier. Martine utilisa la serviette pour essuyer l’intĂ©rieur de ses cuisses luisantes de sa mouille. Elle fit cela le plus naturellement du monde, comme si elle s’essuyait la bouche.Elle buvait son whisky Ă petites gorgĂ©es quand HervĂ© arriva. Il s’assit Ă cĂ´tĂ© d’elle et commanda un rhum-coca. Il se tourna vers Martine :
• Martine, tu es une bonne salope, mais je me suis lassé de toi.
• Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ?
• Je veux dire que j’ai besoin de changement et que j’arrĂŞte avec toi !
• Mais… Mais…Je suis ta salope, qu’est-ce que je vais devenir, tu me fais tellement jouir, tu me donnes tellement de plaisir… J’ai besoin de toi.
• Tu n’as pas besoin de moi, tu as besoin d’un maĂ®tre et je t’en ai trouvĂ© un. Il veut bien que tu sois sa salope mais il faudra que tu te montres Ă la hauteur. C’est pour cela que nous sommes lĂ .Il terminait cette conversation quand Sonia redescendit l’escalier et vint vers eux.
• Ah, HervĂ©, tu es arrivĂ©. C’est parfait. Allons-y.Elle se dirigea vers l’escalier, suivie d’HervĂ© qui entraĂ®na Martine par la main.A l’Ă©tage, Martine dĂ©couvrit des alcĂ´ves meublĂ©es soit de lit, soit de canapĂ©s, ou bien vides qui s’ouvrait sur la mezzanine. Sonia les entraĂ®na par une porte qu’elle ouvrit avec un badge. Après un long couloir, elle les fit entrer dans une pièce meublĂ©e de quelques fauteuils et d’un grand bureau recouvert de papiers, de dossiers. Un homme les attendait. Il devait avoir une petite quarantaine, une petite brioche, plutĂ´t grand avec un dĂ©but de calvitie et une moustache fine. Il Ă©tait très brun mais avait des yeux d’un bleu perçant. Il se prĂ©cipita vers HervĂ©, lui serra chaleureusement la main avant de se tourner vers Martine et de lui faire un baisemain :
• Cher ami, voila donc la charmante personne dont vous m’avez parlĂ© ?
• Exactement, je vous présente Martine. Répondit Hervé.
• Je suis David, vous connaissez Sonia ma compagne, si j’ai bien compris. Repris l’homme, puis sans attendre de rĂ©ponse il continua. Venez avec moi.Il prit la main de Martine et l’attira vers un poteau qui soutenait la charpente. Il lui fixa les mains Ă l’aide de menottes au-dessus de sa tĂŞte. Et il se dirigea vers un fauteuil, et s’y assit. HervĂ© s’assit dans le fauteuil tout proche et Sonia prit place sur l’accoudoir de celui de David. David se tourna vers HervĂ© :
• Ainsi, cher ami, vous seriez prêt à me céder cette charmante personne.
• Absolument, j’aime le changement.
• Est-elle docile ?
• Oui, très soumise, je pense que Sonia vous a fait un compte-rendu.
• Effectivement, elle a dĂ» la malmener un peu, m’a-t’elle dit, mais ensuite tout s’est très bien passĂ©. Elle est mariĂ©e dites-vous ?
• Oui, mais son mari travaille de nuit, elle est disponible trois ou quatre soirs par semaine et un week-end sur deux. Sonia a le planning de son mari.Â
• Si vous me le permettez, j’aimerais me rendre compte par moi-mĂŞme de sa docilitĂ©.
• Mais bien-sĂ»r, je vous en prie.David se leva et s’approcha de Martine qui gardait les yeux baissĂ©s. Il lui mit la main entre les cuisses, joua de ses doigts avec les bijoux qui Ă©tiraient ses lèvres intimes. Puis il fit courir ses mains sur l’ensemble de son corps, flatta ses hanches rondes, ses seins lourds avant de lui relever la tĂŞte en lui soulevant le menton :
• Tu mouilles toujours comme cela ?
• Oui, je mouille beaucoup, surtout quand je porte des boules de geishas.
• Tu te branles souvent ?
• Tous les jours. Parfois plusieurs fois.
• Bien, et ton mari. Tu baises avec lui ?
• Oui, quand il ne travaille pas.
• Tu aimes te faire baiser ?
• Oui.
• Tu prends par le con ? le cul ? la bouche ?
• Oui, j’aime tout.
• Et avec une fille, tu aimes faire la gouine ?
• Oui, avec Sonia c’est bien.Alors que David apparemment satisfait de son interrogatoire se retourna pour s’asseoir, Sonia lui lança :
• Mon chéri, tu pourrais peut-être faire essayer à Sonia notre nouvelle acquisition ?
• Excellente idĂ©e, ma belle. RĂ©pondit David en se dirigeant vers un placard.Il en sortit un appareil de la taille d’une valise.Â
• Un sybian ! S’exclama HervĂ©.
• Exact, j’ai ramenĂ© cela de mon voyage en Californie, la semaine dernière.Il installa le sybian au milieu de la pièce et alla le brancher Ă une prise de courant. Il dĂ©tacha ensuite Martine, après lui avoir enlevĂ© ses boules de geishas et les pinces de ses lèvres intimes. Il la conduisit vers le sybian et lui expliqua comment le chevaucher.Martine s’assit sur le demi cylindre, en prenant soin de bien Ă©carter ses petites lèvres afin que le petit coussin en silicone soit parfaitement en contact avec sa fente. Un petit gode Ă©tait enfoncĂ© dans son con inondĂ© et une petite protubĂ©rance entrait en contact avec son clitoris. Une fois installĂ©e, David lia ses poignets Ă ses chevilles Ă l’aide de menottes. David manipula le boĂ®tier de commande. Le sybian se mit Ă ronronner et le petit gode fit des mouvements circulaires dans le vagin de Martine. D’autres manipulations firent vibrer le petit coussin en silicone. Martine gĂ©mit. Ce qu’elle ressentait Ă©tait plus fort que tous ce qu’HervĂ© ou Sonia lui avait fait subir avec les Ĺ“ufs vibrants ou les vibromasseurs. Quand David augmenta encore la puissance des vibrations, Martine cria. Cette machine diabolique, Ă laquelle elle ne pouvait Ă©chapper, martyrisait dĂ©licieusement son bas-ventre. David baissa un peu la puissance. Puis il lui mit la chaĂ®nette qui reliait ses tĂ©tons entre les dents. Ses seins Ă©taient alors tirĂ©s vers le haut et s’agenouillant derrière elle, il lui caressa la poitrine. David augmenta ensuite la puissance du sybian, Martine cria Ă nouveau. Il fit cela ainsi plusieurs cycles de montĂ©e et de descente de puissance afin de ne pas la faire jouir trop vite. Martine transpirait, des gouttes de sueur dĂ©goulinaient sur son visage, se rejoignaient en un ruisseau entre ses gros seins. David mit alors le sybian Ă pleine puissance, arracha un cri Ă Martine et il le laissa comme cela jusqu’Ă ce que l’orgasme explose en elle. Martine se coucha sur le cĂ´tĂ© pour Ă©chapper Ă l’appareil et elle continua de jouir par terre, son plaisir refluant par vagues, sa gorge laissant Ă©chapper de longs gĂ©missements.
David se tourna vers Hervé :
• Parfait, tout cela me semble parfait. Ah si, une dernière question, lui avez-vous fait connaĂ®tre d’autres hommes ou d’autres femmes que ma charmante Sonia ?
• Non.
• Bon, nous allons voir cela. De toute façon, j’avais l’intention de la faire tester.David se leva et dĂ©crocha un tĂ©lĂ©phone mural.
• Tu peux monter, s’il te plait, j’ai besoin de toi. Et demande Ă Pedro et Christelle de venir avec toi.Et il raccrocha. Quelques minutes de silence passèrent avant que le barman noir, suivi de l’homme qui leur avait ouvert la porte et une jeune femme blonde un peu boulotte entrent dans la pièce.David les accueillit d’un :
• Mes amis, merci d’ĂŞtre venus si vite, je vous ai appelĂ©s pour tester cette charmante personne et me permettre de vĂ©rifier qu’elle est bien la parfaite salope que l’on m’a dĂ©crite. Vous savez ce que vous avez Ă faire…Comme dans un scĂ©nario bien huilĂ©, Pedro et Christelle s’installèrent dans des fauteuils libres, pendant que le barman s’approcha de Martine. Il la libĂ©ra de ses menottes avant de l’aider Ă se relever. Puis il introduisit son majeur dans son intimitĂ©, le ressortit, et le donna Ă sucer Ă Martine. Il dĂ©passait d’une bonne tĂŞte sa future victime.Le barman baissa son pantalon et son boxer Ă mi-cuisses, libĂ©rant un chibre Ă©norme, proportionnel Ă sa corpulence, gros comme le bras de Martine. Martine regarda effarĂ©e ce pieu qui pointait vers elle. D’un doigt, il fit signe Ă Martine de s’approcher de lui. Il lui prit les mains et les posa sur ses Ă©paules, puis il la souleva par les cuisses, apparemment sans effort et la fit redescendre sur son chibre.Martine sentit Ă peine l’Ă©norme queue s’enfoncer en elle, dilater son con anesthĂ©siĂ© par les vibrations. Elle noua ses jambes autour de la taille du barman, ses bras autour de la nuque et se laissa besogner de la sorte. Le barman la faisait coulisser sur son dard en la soulevant par les fesses toujours sans avoir l’air forcer. Petit Ă petit, son con retrouva sa sensibilitĂ©, et le coulissement de ce gros pieu fit son effet. Martine serra le cou de son amant, enfouis son visage contre son Ă©paule, et jouit Ă nouveau. Le barman la reposa par terre, puit la força Ă se baisser et Ă ouvrir la bouche. Il se masturba rapidement devant sa bouche grande ouverte et lui envoya de puissants jets de sperme au fond de la gorge. Martine avala tout sans rechigner et le suça pour nettoyer son chibre. Il se rajusta ensuite.Pedro se leva de son siège et entraĂ®na Martine vers la blonde Christelle qui avait relevĂ© sa jupette de soubrette, et se tenait assise, les cuisses grandes ouvertes et les fesses au bord du fauteuil. Pedro conduisit la tĂŞte de Martine entre les cuisses de sa collègue. Sans se faire prier, Martine commença Ă sucer cette petite chatte offerte Ă sa bouche pendant que Pedro passait derrière elle et la sodomisa.Christelle manifesta son plaisir rapidement pendant que son collègue allait et venait tranquillement dans le cul de Martine. Christelle partit rapidement dans des gĂ©missements profonds et jouit de se faire sucer et branler par les deux doigts que Martine avait mis dans sa chatte. Pedro se vida dans le cul de Martine avant qu’elle ne jouisse elle-mĂŞme. David semblait satisfait de ce test. Il le dit Ă Martine qui se relevait pendant que les trois employĂ©s quittaient la pièce. Sonia proposa Ă Martine d’aller faire un brin de toilette dans la salle de bains attenante.Quand Martine revint après avoir pris une douche, David l’invita Ă s’asseoir près de lui, sur l’accoudoir de son fauteuil. En lui caressant distraitement les cuisses, il lui dit :
• Tu es une belle salope, Martine. Tu m’as vraiment impressionnĂ©.
• Merci, David. C’est gentil.
• HervĂ© est prĂŞt Ă te cĂ©der Ă Sonia et Ă moi. Es-tu d’accord ?
• Si HervĂ© le veut et si tu es d’accord, je veux bien ĂŞtre votre chienne Ă tous les deux. Mais, avant d’accepter totalement, est-ce que je peux poser une question ?
• Oui, je t’Ă©coute.
• Bon, voilĂ , je vous suis soumise, je l’accepte avec plaisir mais que comptez-vous faire de moi ? Est-ce que Sonia ou toi continuerez Ă venir me baiser chez moi, comme le faisait HervĂ© ?
• En fait, non. Quand nous aurons dĂ©cidĂ© et que tu seras disponible, nous t’enverrons une voiture qui t’amènera ici. Tu seras alors Ă la disposition de nos clients et nous te demandons d’accepter leurs avances. Est-ce que tu acceptes cela ?
• C’est d’accord. J’accepte votre proposition.Et David se tournant vers HervĂ© lui dĂ©clara :
• Eh bien, cher ami, je crois que l’affaire est conclue. Toujours d’accord pour les conditions ?
• Une carte de membre permanent avec les services illimités pour votre club ?
• C’est bien cela !
• Eh bien, David, c’est d’accord. Martine, tu es maintenant Ă la disposition de Sonia et de David.HervĂ© prit congĂ©, laissant Martine avec Sonia et David.David continua de caresser doucement, distraitement Martine en discutant avec Sonia. Puis il se leva et alla Ă son bureau pianoter sur son ordinateur. Il dit Ă sa compagne :
• Il y a du monde. La salle Ă l’air pleine. Que dirais-tu si nous prĂ©sentions notre nouvelle amie Ă nos clients ?
• Pourquoi pas ? Si elle est en forme et se sent capable de le faire…
• Je pense même lui proposer une petite récompense.
• Ah oui, elle le mérite. Tu penses à quoi ?
• La cage ! Et elle choisira elle-même ses partenaires.
• Bonne idĂ©e, qu’en penses-tu, Martine ?Martine leva des yeux interrogateurs vers Sonia.
• Oui, bien sur, tu te demandes ce que c’est que « La cage ».
• Ben, oui.
• Eh bien, c’est une cage de deux mètres sur deux environ. Chaque client peut, moyennant un supplĂ©ment, y entrer avec une ou plusieurs personnes et y baiser. Les autres clients peuvent les regarder, les toucher Ă travers les filets.
• Et tu veux que j’aille dans cette cage.
• Oui, et pour te récompenser, tu pourras choisir tes partenaires, tu te sens la force de faire cela ?
• Oh, oui. J’ai bien rĂ©cupĂ©rĂ©. La douche m’a fait du bien. Je pourrais choisir qui je veux ?
• Absolument, mais les personnes que tu choisiras pourront refuser.
• J’ai compris.
• Bien, en attendant, tu vas remettre les bijoux que je t’avais fait porter et je te ferais faire la visite du « Capricorne ».Martine remit elle-mĂŞme les bijoux Ă pinces sur ses tĂ©tons et sur son sexe. EnlacĂ©es, Sonia et Martine sortirent du bureau et firent le tour des alcĂ´ves de la mezzanine. Presque toutes Ă©taient occupĂ©es par des couples, des trios. Dans une, une femme se donnait Ă plusieurs hommes qui la baisaient Ă tour de rĂ´le, attendant leur tour en se masturbant. Presque tout le monde connaissait Sonia et la saluait en la croisant. La femme du patron n’hĂ©sitait jamais Ă participer aux jeux Ă©rotiques de ses clients et la plupart avaient eu l’occasion de goĂ»ter Ă ses charmes. Certains d’entre eux proposaient une coupe de champagne, une danse Ă Martine mais Ă chaque fois Sonia leur disait en riant d’attendre un peu, qu’ils auraient tout le loisir de profiter de la nouvelle recrue de David.Les deux femmes descendirent l’escalier. Sonia fit visiter Ă Martine le jacuzzi oĂą lĂ encore des couples baisaient dans l’eau ou sur le bord. Ensuite, elles s’installèrent au bar et le grand barman noir leur servit Ă chacune une coupe de champagne. En papotant avec Sonia, Martine regardait les couples qui dansaient sur la piste. Certains Ă©taient nus, d’autres ne portaient que des peignoirs ou des serviettes autour de la taille. Elle remarqua que les couples se formaient d’abord sur les banquettes autour de la piste, puis les couples s’enlaçaient sur la piste avant de monter sur la mezzanine ou bien de retourner sur les banquettes. Leur verre terminĂ©, Sonia entraĂ®na Martine Ă l’Ă©tage ou David les attendait près de la cabine du DJ. Dès qu’elles furent près de lui, il prit Martine par la taille pendant que Sonia se mettait en retrait. David fit un signe au DJ qui arrĂŞta la musique. David commença son discours dans le micro :
• Bonjour, mes chers amis, bienvenue ce soir au « Capricorne ». Je me permets de vous interrompre car je voudrais vous prĂ©senter une charmante personne qui vient de rejoindre notre club.Un murmure parcouru la foule qui regardait dans la direction de David. Tout le monde savait que David avait Ă sa disposition des femmes comme Martine et dont la mission Ă©tait de satisfaire ses clients sans jamais rien refuser. Cela avait fait le succès du Capricorne dans toute la rĂ©gion. Et quand David prenait la peine de prĂ©senter une femme Ă ses clients, cela signifiait qu’ils auraient quelqu’un de plus pour leur dire oui, quel que soit leur dĂ©sir.Le murmure se calma et David reprit :
• Je vous présente Martine…
• Bienvenue Martine. S’exclama la foule sur la piste.
• Et pour fĂŞter sa bienvenue, Martine entrera dans la cage avec les personnes de son choix. Je vous demande de lui rĂ©server le meilleur accueil. Amusez-vous bien.La musique reprit, mais les couples de retournèrent pas sur la piste car deux employĂ©s y poussaient la fameuse cage. Un cube de deux mètres de cĂ´tĂ©, montĂ© sur roulettes, les cĂ´tĂ©s fermĂ©s par des filets Ă grosses mailles tendus entre quatre poteaux comme un ring de boxe. D’une tape sur les fesses, David envoya Martine faire son choix de partenaires. Elle descendit les escaliers lentement commençant Ă choisir parmi les personnes qui entouraient maintenant la cage. Tous les regards Ă©taient tournĂ©s vers elle, pendant qu’elle descendait les marches, superbe dans sa nuditĂ© offerte. Certains hommes lui adressaient des signes de la main comme pour attirer son attention, d’autres exhibaient fièrement leur sexe comme pour vanter leur marchandise. Martine fit le tour de la cage lentement. En passant, elle effleura du bout de ses doigts des chibres tendus dans sa direction. Mais elle ne semblait pas vouloir choisir une des personnes prĂ©sentes car elle finit le tour de la cage sans s’arrĂŞter devant quiconque.Elle passa devant le bar et fit signe au gĂ©ant black qui l’avait baisĂ©e prĂ©cĂ©demment d’approcher et de la suivre dans la cage. Un murmure parcouru l’assemblĂ©e car tout le monde ici connaissait l’anatomie du barman et peu de femmes acceptaient d’en faire leur compagnon de jeu tant elles Ă©taient effrayĂ©es par les dimensions de ses attributs. Que Martine choisisse ce gĂ©ant signifiait ou bien qu’elle ignorait Ă qui elle avait affaire, ou alors si elle le connaissait que cette femme mature Ă©tait une gourmande prĂŞte Ă tout. Les mâles espĂ©raient tous que la deuxième solution soit la bonne.Le barman arriva devant Martine qui l’attendait. Elle se pendit Ă son cou et lui murmura quelques mots Ă l’oreille. Le barman repartit derrière son bar et revint avec un objet que tous connaissaient pour lui en avoir demandĂ© un jour ou l’autre, un flacon de gel lubrifiant ! Nouveau murmure dans l’assemblĂ©e, cette demande de Martine confirmait la deuxième hypothèse que tous avaient formulĂ©e.Martine entra dans la cage en compagnie du barman. Elle lui quitta rapidement ses vĂŞtements et caressa son chibre de la main et de la bouche jusqu’Ă ce que celui-ci atteigne une belle taille.Le gĂ©ant noir poussa Martine vers un des filets qui fermaient la cage. Il la fit se mettre Ă quatre pattes face au public, lui faisant passer les bras et la tĂŞte Ă travers les larges mailles. Il entreprit ensuite de lui lubrifier l’anus et de lubrifier Ă©galement son pieu.Avant mĂŞme de se faire enculer par le barman, Martine avait dĂ©jĂ la queue d’un client dans la bouche et en tenait deux autres dans chacune de ses mains. Le barman se baissa derrière elle, il guida son Ă©norme bite vers son petit trou, la pĂ©nĂ©tra juste un peu avant de la prendre par les hanches et de pousser un grand coup de reins. Martine poussa un cri de douleur et de surprise Ă la fois. Elle crut que son ventre allait exploser sous la pression de la bite Ă©norme qui lui dilatait le cul, que jamais elle ne pourrait supporter la progression de cette fusĂ©e dans ces entrailles.Pourtant le barman rĂ©ussit Ă enculer profondĂ©ment sa victime et Ă se retirer sous les applaudissements de l’assemblĂ©e. Martine reprit la fellation qu’elle donnait et le barman repris sa progression en avant d’un nouveau coup de reins. Au fur et Ă mesure de ses allers-retours, la douleur de la sodomie disparaissait pour laisser place au plaisir.Martine reçu le sperme de l’homme qu’elle suçait dans sa bouche. Il se retira pour qu’un autre prenne sa place. Un des hommes qu’elle branlait l’aspergea de sperme, suivit immĂ©diatement par l’autre. Le barman continuait de la besogner, imperturbable jusqu’Ă ce que lui aussi explose dans son cul et provoque son orgasme Ă elle par les palpitations de son Ă©norme dard qui se vidait.Le barman se releva et traĂ®na Martine Ă l’extĂ©rieur de la cage. Il la força Ă rester agenouillĂ©e pour recevoir les Ă©jaculations de tous les hommes qui passaient devant elle, se branlaient ou se faisaient branler jusqu’Ă l’asperger de leur semence.Trente minutes plus tard, c’est une Martine couverte de sperme qui remonta l’escalier sous les applaudissements fournis de l’assemblĂ©e.Depuis ce jour, la rĂ©putation du « Capricorne » augmenta encore et cela Ă©tait dĂ» Ă cette femme mature qui ne refusait rien Ă quiconque et que tout le monde connaissait sous le nom de « La reine du Capricorne ».© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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