Le domaine des relations amoureuses n’est pas un long fleuve tranquille et peut prendre des tournants inattendus.J’ai 25 ans, une situation professionnelle Ă©tablie comme cadre dans une entreprise de produits pharmaceutiques. Laquelle m’apporte de confortables revenus. CĂ´tĂ© cĹ“ur, je vis depuis quelques mois une histoire d’amour avec ChloĂ©. Belle jeune femme de 22 ans. Elle mesure 1m75, blonde, avec de grands yeux bleus. C’est une fille magnifique, nous nous entendons bien et je suis très fier de m’afficher avec elle dans la rue main dans la main. Tout le monde nous voit d’ailleurs comme un joli couple. Nous ne vivons pas encore ensemble mais nous y pensons sĂ©rieusement.L’Ă©tĂ© dernier pourtant, un Ă©vĂ©nement aurait pu mettre fin dĂ©finitivement Ă cette aventure. Je ne suis pas d’une nature jalouse et ne m’Ă©tais pas mĂ©fiĂ© mĂŞme si j’avais dĂ©jĂ remarquĂ© Ă quel point elle attire le regard des hommes.C’Ă©tait une soirĂ©e d’Ă©tĂ©. Climat agrĂ©able, atmosphère dĂ©tendue, oisivetĂ© et apĂ©ros Ă gogos… Je suis passĂ© la prendre chez elle. Nous avions rendez-vous avec des amis dans un resto de plein air qui faisait Ă©galement minigolf.Comme il faisait chaud elle s’Ă©tait habillĂ©e très court. Petite jupe plissĂ©e kilt, haut sexy mettant bien en valeur ses formes et laissant apparaĂ®tre les bretelles de son soutien-gorge. PlutĂ´t grande, elle portait en plus des petites chaussures ouvertes Ă talons ce qui lui affinait encore plus la silhouette. Ses longs cheveux blonds et fins maintenus par une barrette et un maquillage lĂ©ger achevaient de la rendre irrĂ©sistible. Je ne l’avais jamais vue si en beautĂ©.D’apparence plutĂ´t plate mĂŞme limite maigre, elle Ă©tait ce soir-lĂ terriblement dĂ©sirable. Je suis parti au quart de tour et lui ait quasiment sautĂ© dessus. Elle m’a alors repoussĂ© en me disant que ce n’Ă©tait pas le moment que nous Ă©tions en retard et qu’il fallait y aller. J’ai donc repris mes esprits ravalĂ© ma dĂ©ception et nous avons rejoints nous amis. J’Ă©tais alors convaincu que mon heure viendrait et de ce n’Ă©tait qu’une partie remise.ArrivĂ©s sur place elle a Ă©videmment fait un effet bĹ“uf Ă tous les mecs prĂ©sents. Cela ne me dĂ©plaisait pas et je me pavanais très fier de montrer que cette crĂ©ature de rĂŞve Ă©tait avec moi. Puis nous avons retrouvĂ©s nos amis. Un groupe de garçons et filles de notre âge avec qui nous sortions d’habitude et plusieurs personnes relations de nos relations que nous ne connaissions pas encore.Parmi eux nous avons fait la connaissance de Souleymane. Un grand black baraquĂ©, malien je crois, d’environ 25 ans. Une caisse d’un bon mètre 90, ouvrier du bâtiment fraĂ®chement dĂ©barquĂ© ici. Mâchoire carrĂ©e, regard tĂ©nĂ©breux. Il Ă©tait habillĂ© en pantalon cargo et portait un tee-shirt Marcel qui faisait ressortir ses Ă©paules et ses pectoraux. A lui aussi ma copine lui faisait un petit effet. Mais j’ai tout de suite vu que ça allait encore plus loin que ça. Cela n’augurait rien de bon.Nous avons alors commencĂ© Ă jouer au minigolf. Pour rendre la partie plus attractive nous avons formĂ© des Ă©quipes de deux par tirage au sort. Comme un fait exprès, ChloĂ© et Souleymane se sont retrouvĂ©s ensemble. La configuration des lieux faisait que nous devions jouer les uns après les autres. Étant assez nombreux les premiers groupes ont vite Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s des derniers. C’est ainsi que Souleymane et ChloĂ© m’ont distancĂ© peu Ă peu les tours passant.Mes craintes commençaient Ă se vĂ©rifier. En effet, j’avais beau surveiller ChloĂ© du coin de l’Ĺ“il, Ă chaque fois que je l’apercevais je voyais Souleymane la serrer de plus en plus près. Il commence par la toucher par le bras, puis lui attrape les hanches, il la prend par la taille, il passe derrière elle pour l’aider Ă manipuler le club. Je commençais Ă bouillir. Ses mains baladeuses naviguaient beaucoup autour du postĂ©rieur de ma bien-aimĂ©e. Le pire est que ChloĂ© semblait y prendre plaisir. Elle riait beaucoup. J’Ă©tais mal Ă l’aise et inquiet. Il me semble mĂŞme l’avoir vue Ă un moment d’arrĂŞt du jeu s’asseoir sur les genoux du black alors qu’il Ă©tait assis sur un rocher. Cette situation ne me plaisait pas du tout. J’ai voulu en avoir le cĹ“ur net mais mon partenaire de jeu m’interrompit Ă ce moment lĂ pour reprendre la partie.MickaĂ«l avait Ă©tĂ© dĂ©signĂ© par le tirage au sort pour ĂŞtre mon Ă©quipier. C’est lui qui le connaissait Souleymane le mieux alors je dĂ©cidai de la questionner.—Souleymane? le centaure? ouais il est cool et sympa.—Pourquoi le centaure?—TĂŞte d’homme, bitte de cheval. C’est un sacrĂ© queutard. Apparemment toutes les filles en sont folles.—C’est Ă dire? demandais-je fĂ©brilement.—Oh je ne te fais pas dessin. C’est un sacrĂ© queutard rĂ©pĂ©ta t-il. Il arrive toujours Ă ses taper les filles qu’il veut et qu’aucune ne lui rĂ©siste.—Puisque t’en parles, fais gaffe Ă ta copine. Les belles blondes c’est justement son trucPuis il s’en alla jouer son tour en me laissant avec ça.Ă€ la fin de la partie, nous nous sommes retrouvĂ©s Ă table. ChloĂ© m’a rejoint près de moi. ça commençait Ă aller mieux jusqu’a ce que Souleymane s’asseye de l’autre cĂ´tĂ©. Pendant le repas, le manège a continuĂ©. ChloĂ© ne regardant que Souleymane visiblement sĂ©duite par l’assurance et le physique très avantageux de l’africain. Lui encouragĂ© par mon silence a carrĂ©ment entrepris de la peloter sous la table. Elle s’est laissĂ© caresser les cuisses pendant tout le dĂ®ner.Ces manigances avaient finies de me mettre de fort mauvaise humeur. J’aurais pu ĂŞtre soulagĂ© par la fin du repas mais, nous avons tous convenus de nous retrouver Ă l’appart de MickaĂ«l, un des invitĂ©s, pour finir la soirĂ©e.Sur le chemin, de nouveau seul avec ChloĂ© j’ai bien tentĂ© de la sermonner, de lui dire que je voyais ce qu’elle faisait. Mais elle m’a traitĂ© de rabat-joie me soutenant qu’elle n’avait rien fait de grave, que j’Ă©tais tout simplement jaloux. Ma mauvaise humeur ne me rendait pas très sympathique et je l’ai sentie irritĂ©e par mon attitude. Du coup elle n’a pas hĂ©sitĂ© Ă me provoquer en me disant qu’elle trouvait ce beau black très appĂ©tissant.Chez MickaĂ«l, nous avons bu quelques verres. OccupĂ© par la discussion, je ne voyais pas que ChloĂ© et Souleymane, silencieux, ne cessaient pas de se regarder. Puis le groupe Ă commencer Ă se disperser. En me saluant pour me dire au revoir un de mes copains m’a conseillĂ© de mieux surveiller ChloĂ©. A ce moment je me suis rendu compte que les petites manĹ“uvres entre ma copine et Souleymane n’Ă©taient pas passĂ©es inaperçues. Un sentiment de honte m’a alors envahit.Soudain, alors que nous Ă©tions chez lui, MickaĂ«l a pris ses affaires et s’est prĂ©parĂ© Ă son tour pour partir. Quand je lui aie demandĂ© pourquoi, Il m’a dit que Souleymane et lui ont Ă©changĂ©s leurs apparts pour ce soir.Voyant mon air surpris, il me dit alors sans dĂ©tour que Souleymane lui a demandĂ© ça parce qu’il a flashĂ© sur ChloĂ© et qu’il espère se la faire dès ce soir. Lui aussi avait remarquĂ© les approches de Souleymane sur ChloĂ©. Il ajoute que cela ne l’Ă©tonne pas et qu’il m’avait prĂ©venu.— Sans vouloir te dĂ©courager… me dit-il, il est vraiment balaise, il ne vaut mieux pas que tu tentes de l’en empĂŞcher. Laisses tomber et viens avec moi. Une de perdue…Abasourdi par cette rĂ©vĂ©lation plutĂ´t brutale, je rĂ©ponds que je n’y crois pas que je ne suis pas d’accord et que je reste avec ma copine. Il n’a pas insistĂ© et s’en est allĂ©.— Comme tu voudras!Très inquiet après ce que m’avait dit MickaĂ«l, je dĂ©cidais de retrouver ChloĂ© pour partir Ă notre tour. C’est alors que je vis que les choses sĂ©rieuses avaient dĂ©jĂ commencĂ©. Dans la cuisine, ChloĂ© Ă©tait en train d’embrasser goulĂ»ment Souleymane et ce devant les derniers invitĂ©s en train de partir. J’Ă©tais tĂ©tanisĂ©. Je sentais le sourire moqueur des garçons et celui envieux des filles. J’Ă©tais comme fou. Elle avait pris le visage du black entre ses mains pendant que lui, lui tenait par les hanches. Ils ont mis plusieurs secondes Ă se rendre compte que j’Ă©tais lĂ .Je me suis mis Ă gueuler et me dirigea vers ChloĂ© pour la dĂ©gager de Souleymane convaincu que celui-ci abusait d’elle. Il se tourna alors vers moi, me pris par le bras en me demandant de me calmer, de m’asseoir bien sagement sur le canapĂ© du salon et de ne plus bouger. Je n’Ă©tais pas du tout dĂ©cidĂ© Ă me laisser faire alors il m’a attrapĂ© et fait une clĂ© de bras pour me forcer Ă m’agenouiller. Je n’ai rien pu faire il Ă©tait vraiment très fort. PaniquĂ©, fauchĂ© par la douleur j’ai cĂ©dĂ©. Pendant que j’Ă©tais tordu sur le sol Ă rĂ©cupĂ©rer, il est allĂ© refermer la porte de l’appart après le dĂ©part des dernières personnes. J’Ă©tais humiliĂ©. TerrassĂ© ainsi devant ChloĂ© qui ne bronchait pas. Cette vision semblait mĂŞme l’exciter. Revenu dans le salon, il m’a ensuite relevĂ© et assis sur une chaise. Il m’a nouĂ© les mains derrière le dos et sur le dossier de la chaise avec une lanière de je ne sais quoi qui traĂ®nai lĂ .— Je suis dĂ©solĂ© mais c’est pour t’empĂŞcher de faire des bĂŞtises me dit-il.ChloĂ© lui pris alors la main et sans un regard pour moi l’entraĂ®na vers la chambre juste Ă cĂ´tĂ©.L’alcool aidant j’accusais le coup attachĂ© sur la chaise. Je vis leurs langues s’entremĂŞler de manière très sensuelle. ChloĂ© n’en pouvait plus, elle Ă©tait survoltĂ©e et devait certainement avoir l’entrejambes très humide. Je compris avec horreur qu’elle Ă©tait parfaitement consentante. Souleymane glissa alors ses grosses mains noires calleuses le long de ses longues jambes fines jusque sous sa jupe. Il attrapa alors sa petite culotte et lui arracha violemment d’un geste sur et sec. Elle poussa un petit cri de surprise puis se mit Ă rire en voyant ce qu’il restait de son slip sur le sol. Ă€ son tour, elle lui retira son tee-shirt et commença Ă caresser et Ă embrasser son torse d’Ă©bène si musclĂ©, du haut vers le bas, de ses larges Ă©paules vers ses pectoraux bien saillants en descendant sur les abdos. ArrivĂ©e Ă la ceinture qu’elle retira doucement, elle ouvrit son pantalon laissant apparaĂ®tre un caleçon bien gonflĂ© sur l’avant pendant qu’il faisait voler son petit haut si sexy de l’autre cĂ´tĂ© de la pièce. Mon Dieu qu’elle est belle!J’Ă©tais aux premières loges, ils se tenaient dans l’entrebâillement de la porte. Merde! Ce nĂ©gro va sauter ma copine sous mes yeux. J’Ă©tais totalement humiliĂ© mais bizarrement, Ă ma colère et ma frustration se mĂŞlait un sentiment d’excitation devant ce spectacle. Le contraste de leurs peaux Ă©tait magnifique.ChloĂ© a alors baissĂ© le caleçon de Souleymane laissant se dresser une bitte d’une taille impressionnante. Elle lui a tout de suite fait remarquer en ajoutant qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses. Puis l’a attrapĂ© et l’a enfournĂ©e dans sa bouche. La taille du braquemart Ă©tait vraiment ahurissante et lui posait quelques difficultĂ©s. Elle faisait ce qu’elle pouvait pompant le plus loin possible cet Ă©norme pĂ©nis.Quand je pense qu’elle a toujours refusĂ© de me sucer sous prĂ©texte qu’elle trouvait ça sale et qu’a la première vue de cette Ă©norme bitte black elle n’a pas hĂ©sitĂ© une seule seconde. J’Ă©tais complètement dĂ©truit. Je hurlais, la suppliais d’arrĂŞter mais en mĂŞme temps mon excitation montait encore d’un cran devant cette scène incroyable.Après plusieurs minutes de ce traitement, Souleymane ne s’est pas retenu plus longtemps et a lâchĂ© son Ă©paisse purĂ©e sur le visage d’ange de ChloĂ©. Elle a bien sĂ»r avalĂ© avec gourmandise. Un peu de sperme lui dĂ©goulinait de la bouche sur le menton. Elle s’essuya avec les doigts s’y prenant en plusieurs fois puis les a lĂ©chĂ©s pour ne pas en perdre une goĂ»te. La sensualitĂ© du moment m’avait rendu muet. De toute façon ils restaient sourds Ă mes cris. Une tempĂŞte venait de se dĂ©clencher dans mon caleçon. Ma propre copine suçait la bitte d’un autre devant mes yeux et ça me faisait bander. J’Ă©tais perdu. Je m’attendais Ă me rĂ©veiller de ce cauchemar.Comme elle se relevait, il lui retira le soutien-gorge d’un seul geste puis sa jupe avec laquelle il s’essuya la fleur. Toujours sans un regard pour moi, ils retirèrent leurs chaussures et se dirigèrent entièrement nus vers le lit main dans la main.Ă€ ce moment, cachĂ© par la cloison je ne voyais plus rien mais j’entendais tout! ChloĂ© gĂ©missait comme je ne l’avais jamais entendue. Elle hurlait Ă la fois de douleur et de bonheur d’ĂŞtre pĂ©nĂ©trĂ©e si profondĂ©ment par cette Ă©norme queue black. Ă€ peine couverts par les grincements du vieux plumard de MickaĂ«l, ChloĂ© le suppliait tantĂ´t de continuer encore plus fort, tantĂ´t d’arrĂŞter tellement la douleur Ă©tait vive. Il lui criait des insanitĂ©s :— Salope! Chienne! Petite pute blanche!Les fenĂŞtres Ă©taient grandes ouvertes et j’imagine que tout le quartier a dĂ» profiter de leurs Ă©bats.Ils ont fait l’amour toute la nuit. Je pense que ChloĂ© a eu droit Ă la totale : plusieurs pĂ©nĂ©trations, levrette, 69 et mĂŞme sodomie. Lui l’insultait et je l’entendais lui frapper les fesses. Ce porc prenant vraiment son pied. Ça a durĂ© des heures et Ă chaque fois elle atteignait l’orgasme. J’Ă©tais Ă la fois dĂ©shonorĂ© mais toujours très excitĂ©. J’avoue avoir eu de l’admiration pour le talent de cet africain si douĂ© qui donnait tant de plaisir Ă ma dulcinĂ©e aussi facilement.Plus tard dans la nuit, il s’est levĂ© boire un verre. Pour la première fois il m’adressa la parole.— Je te dĂ©tache Ă condition que tu restes tranquille. Je t’autorise Ă te branler sur le canapĂ© mais je t’interdis de t’approcher de la chambre!J’acceptais docilement. Puis il me dit que ma copine Ă©tait super bonne et que j’avais beaucoup de chance. On croit rĂŞver! Après quoi il me confie son histoire surprenante, comme quoi lui et ses frères de couleur adorent se taper des pĂ©tasses blondes comme ChloĂ©.— Elles ne sont bonnes qu’à ça!Ils ont mĂŞme entamĂ© une sorte de concours ou ils se prouvent leurs exploits grâce aux trophĂ©es qu’ils ramènent, Ă savoir des sous-vĂŞtements des femmes qu’ils tronchent. Pour son compte, ChloĂ© sera la n° 9. Demain matin il s’en ira et nous laissera tranquille. Après quoi il reposa le verre et retourna dans la chambre baiser ChloĂ© encore une fois. A le voir comme ça : nu, son Ă©norme sexe bandĂ©, son parfait corps d’athlète et son cul galbĂ© comme une statue grecque, je me rendais bien compte que je ne pouvais pas tenir la comparaison.J’ai eu une pensĂ©e Ă©mue pour le père de ChloĂ©. Un type pas très sympa et notoirement raciste et me suis demandĂ© ce qu’il penserait de voir sa petite fille chĂ©rie satisfaite ainsi par un black.Au matin, après avoir pris une douche ensemble qui dura un certain temps, ils se sont rhabillĂ©s, et Souleymane enfin rassasiĂ© a voulu partir. Il garda le soutien-gorge de ChloĂ© en lui disant que si elle voulait le rĂ©cupĂ©rer il faudrait qu’elle vienne le chercher. Elle lui a rĂ©pondu que cela ne lui posait aucun problème ignorante qu’elle trĂ´nerait ainsi dans son tableau de chasse.Elle Ă©tait totalement conquise et je reconnais que l’autre l’avait rĂ©ellement comblĂ©e.Elle le complimenta sur sa virilitĂ© et sa performance de la nuit, lui donna son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone en indiquant qu’elle Ă©tait prĂŞte Ă recommencer n’importe quand et de je n’y verrait pas d’objection. Enfin ils se sont longuement embrassĂ©s une dernière fois.Sans un mot, j’ai raccompagnĂ© ChloĂ© chez elle juste vĂŞtue de son petit haut chiffonnĂ© et de sa mini-jupe couverte de taches blanches. Elle Ă©tait rayonnante et heureuse.AnĂ©anti par cette soirĂ©e, je revoyais sans cesse la scène. Ma belle ChloĂ© superbe blonde aux yeux bleus se faire remplir par ce puissant black. Cela n’arrĂŞtait pas de me poursuivre. Pourtant, convaincu de l’avoir perdue, elle m’a rappelĂ© deux jours plus tard. Elle voulait sortir, elle voulait me voir. Elle agissait comme si de rien n’Ă©tait. J’avais dans la tĂŞte l’image de Souleymane et elle faisant l’amour mais j’Ă©tais toujours amoureux d’elle j’ai Ă©videmment dit oui.