Histoire coquine :Jean vient de se rĂ©veiller et comme cela lui arrive souvent sa bite est chaude et bien dure. Une Ă©rection qui le ravi, qui lui donne le sentiment d’ĂŞtre bien vivant et que tout plaisir charnel peut lui arriver. Il prend sa bite dĂ©calottĂ©e dans sa main droite, juste en dessous du gland et la serre bien fort, puis relâche l’Ă©treinte, puis la reprend, et rĂ©pète cette sĂ©quence plusieurs fois jusqu’a ce que le plaisir que cela lui procure s’estompe. Alors il re-calotte son gland prend l’extrĂ©mitĂ© du fourreau de peau au bout de sa verge entre la partie charnue de son pouce et le bout de l’index et du majeur et dans un mouvement de pince fait glisser son gland sans son fourreau de peau. Son excitation augmente, sa bite durci et grossi et mĂŞme si il sait qu’il n’arrivera pas a jouir de cette façon, il aime les sensations que cela lui procure. Dans ces moments il regrette d’ĂŞtre seul dans son lit, de ne pas pouvoir se retourner vers une femme allongĂ©e Ă ses cotĂ©s et sentir contre sa peau les formes, la chaleur et la douceur d’un corps fĂ©minin. De ne pas pouvoir grimper sur ce corps, en apprĂ©cier la mollesse confortable et excitante. De ne pas pouvoir sentir les cuisses qui s’ouvrent et sa bite tendue mais incapable de pouvoir assurer seule la pĂ©nĂ©tration. De ne pas pouvoir sentir cette main experte qui l’empoigne et le guide dans un sexe mouillĂ© et chaud. De ne pas avoir cette sensation d’ĂŞtre doucement mais fortement enveloppĂ© et caressĂ©. De ne pas pouvoir apprĂ©cier cette vague montante de plaisir que lui procure son agitation dans cette chatte si gonflĂ©e et si chaude. De ne pas sentir ce corps fĂ©minin bouger, anticiper ses propres mouvements et se tordre pour mieux s’offrir au plaisir et gĂ©mir. De ne pas, oui bien sur, de ne pas jouir avec une forte Ă©jaculation libĂ©ratrice scandĂ©e par des râles, des mouvements dĂ©sordonnĂ©es et des soubresauts provenant de tous les membres de son corps. Puis ne plus bouger et rester confortablement allongĂ© sur ce corps moelleux doux et chaud en attendant que la respiration reprenne un cours normal. Embrasser langoureusement la bouche de sa bien aimĂ©e qui revient doucement a elle. C’est Ă©trange, ce dit Jean, comme ce moment est calme et sublime et non il ne peut pas en profiter………….Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter
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