Chapitre 3Des minutes, des heures peut-être, se sont écoulées depuis leur joute amoureuse, mais Marie-Claude n’en a cure. Son corps s’est séparé de son esprit qui flotte quelque part, loin, dans un monde plein de calme et de volupté. Plus de douleur, plus de sensation, c’est la détente absolue que seul l’amour peut vous apporter sans danger. On peut le consommer sans modération !Elle somnole, avec ses deux amants qui dorment comme des enfants. Rien ne semble vouloir troubler leur sommeil en cette fin d’après-midi. Marie-Claude, elle, éprouve le besoin de bouger, elle a envie d’uriner et il y a urgence. Elle se lève aussi doucement que possible, sans réveiller les deux autres. Ils sont mignons comme cela ; cette pensée la fait sourire, mais elle espère néanmoins qu’ils retrouveront rapidement des forces.Sans tirer la chasse d’eau pour ne pas faire de bruit, elle se glisse dans la cuisine, car elle a un petit creux. Dans le frigo elle trouve son bonheur, du fromage et des yaourts qu’elle entame de bon appétit.Deux coups frappés à la porte d’entrée la tirent de sa rêverie et elle se lève pour aller ouvrir, mais s’arrête aussitôt, car elle est entièrement nue. Les coups recommencent.— Mike, tu es là  ? C’est Joana ! dit une voix féminine.Marie-Claude se décide à répondre, car elle a fait tomber sa cuillère par terre et le bruit n’a pas échappé à l’inconnue qui renouvelle son appel.— Un instant, j’arrive, répond Marie-Claude tout en retournant dans la chambre pour récupérer un T-shirt, celui de Mike, qui lui arrive aux genoux.Marie-Claude ouvre la porte et se trouve nez à nez avec une superbe femme noire d’environ 25 ans, qui est aussi surprise qu’elle.— Bonjour, tu es qui, toi ? Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue chez moi ?— Euhhh, salut, répond Marie-Claude en rougissant, je suis Marie-Claude, une amie de Mike et d’Antoine.— Une amie de mon mari et quasi à poil, tu plaisantes, j’espère ?— Attendez, je vais vous expliquer…— Pas la peine, mon chou, j’ai compris. Mike t’a emmenée ici et tu t’es fait enfiler par ces deux bons à rien. Bravo. Ils t’ont bien baisée, au moins ? Mike n’est pas mauvais quand il veut bien s’en donner la peine.Tout en parlant, elle s’est approchée de la chambre pour jeter un œil et elle aperçoit les deux hommes endormis.— Eh bien, ma salope, tu les as bien eus, on dirait. Moi qui venais me détendre un peu, c’est râpé. À moins que…Sa phrase est restée en suspend, mais ses yeux ont parlé pour elle. Elle plante son regard dans celui de Marie-Claude et lui ordonne brusquement de se déshabiller. Marie-Claude, interloquée, hésite une seconde, mais Joana s’avance vers elle en levant la main, ce qui la réveille d’un coup, et elle enlève le T-shirt aussi vite qu’elle le peut.— Mets tes mains derrière ton dos. Oui comme cela, c’est bien.Cette position fait que les seins de Marie-Claude se dressent fièrement, mais ce n’est pas ce qui intéresse Joana pour le moment. Elle passe derrière Marie-Claude et la fait se pencher en arrière, en la forçant à poser ses mains sur la table. Le corps nu de Marie-Claude est tendu comme un arc et ses jambes sont écartées par Joana, qui en profite pour passer un doigt inquisiteur sur sa vulve humide. Marie-Claude pousse un petit cri de surprise.— Garde ton souffle pour tout à l’heure, tu en auras besoin.Elle enlève sa robe et se glisse derrière Marie-Claude. Elle commence à lui caresser le dos puis les cuisses, puis remonte vers les fesses entre lesquelles elle glisse un doigt autoritaire. Mais il glisse sans difficulté dans l’anus de Marie-Claude grâce au sperme d’Antoine et Joana pousse un grognement de satisfaction en lui enfonçant son doigt au plus profond de son intimité. Marie-Claude gémit de plaisir ou de douleur, elle ne sait déjà plus. Son anus vibre sous les caresses de Joana, dont elle devine qu’elle est une experte en enculage et qu’elle connaît cette grotte ténébreuse dont elle explore les mille et une facettes. Marie-Claude est écartelée et sa chatte se mouille de plus en plus. Joana en a conscience et elle insiste, tout en explorant le vagin de Marie-Claude avec son autre main.Ce petit jeu continue longtemps et Marie-Claude est totalement soumise à la volonté de Joana. Tout son corps vibre et elle mouille abondamment.— Je crois que tu es une bonne affaire, finalement. Voyons voir si ta langue est douée pour les caresses. Viens ici.— Oui madame, répond Marie-Claude.— Ah, c’est bien, je vois que tu apprends vite ! D’ailleurs cela me donne une idée… Je pense que je vais t’utiliser autrement.Aussitôt dit, elle s’approche de Marie-Claude pour l’aider à se redresser et l’envoie se rhabiller en silence. Marie-Claude revient avec tous ses habits et son sac à dos, mais Joana ne lui laisse que sa jupe et son chemisier. Pas de sous-vêtements, pas de papiers d’identité ni d’argent.— Je te rendrai tout ça quand tu m’auras donné entièrement satisfaction, lui dit Joana.Marie-Claude frémit de peur et de plaisir mêlés. Que lui voulait donc cette maîtresse femme ? La suite des événements allait lui apporter la réponse.La voiture de Joana, dans laquelle elles étaient montées, roulait maintenant depuis dix minutes. Les deux femmes avaient bouclé leur ceinture et aucune des deux n’avait encore ouvert la bouche. C’est Marie-Claude qui parle la première.— C’est encore loin, Joana ? lui demande-t-elle.— Madame, pas Joana ! Seuls les femmes ou les hommes avec qui j’ai fait l’amour de manière très satisfaisante ont le droit de m’appeler par mon prénom. Que je n’ai pas à te le répéter. Compris ?— Oui, Madame. Est ce que c’est encore loin, Madame ?Le ton de sa voix est cette fois timide, voire apeuré.— Oui, nous devons encore rouler une bonne demi-heure. Je possède une petite maison de campagne dans laquelle tout est prévu pour mon plaisir personnel. Tu verras, je suis sûre que tu apprécieras !Un éclat de rire ponctue cette dernière phrase, ce qui a le don de faire frémir Marie-Claude. Entre quelles mains est-elle tombée ? Que va-t-il lui arriver ?Elle frissonne, la main de Joana vient de se poser sur sa cuisse et l’oblige à écarter les jambes largement. Sa chatte est offerte aux regards des passants, mais peu s’en aperçoivent. Seul un chauffeur de bus klaxonne quand Joana le double, il aimerait bien être dans la voiture avec ces deux femmes. Mais voilà , ce n’est pas pour lui !La main de Joana s’est emmêlée dans les poils du pubis de Marie-Claude et elle tire un peu dessus, histoire de voir. Marie-Claude, sous l’effet de ce geste, avance son ventre jusqu’à se trouver assise en limite du siège. La ceinture de sécurité la tire en arrière, mais la main de Joana la tire en avant. Finalement un équilibre est trouvé, ce qui permet à Joana de branler délicatement le clitoris humide de Marie-Claude. Et elle sait y faire. Le plaisir grandit dans les reins et le bas-ventre de Marie-Claude, qui a du mal à se retenir de jouir. Joana est diabolique, elle la laisse en permanence au bord de l’orgasme sans jamais la finir. Cela dure une bonne partie du voyage et Marie-Claude a des courbatures, car la position n’est pas des plus confortable.Joana arrête la voiture devant un portail et, laissant la chatte de Marie-Claude en feu, elle lui ordonne d’aller ouvrir le portail.— Tout de suite Jo… non, Madame, excusez-moi.Et elle sort de la voiture en courant jusqu’au portail. Elle l’ouvre sans difficulté et laisse passer la voiture pour le refermer immédiatement derrière. Ça y est, elle est dans l’antre de sa maîtresse, pour le meilleur et pour le pire. De toute façon, elle ne peut plus reculer, c’est Joana qui a toutes ses affaires.— Marie-Claude, reviens vite, tu traînes, dépêche-toi, vide le coffre et monte tout dans la cuisine. Vite, je n’aime pas attendre !Marie-Claude a rougi, mais s’est exécutée très rapidement, elle ne veut pas mettre Joana en colère, elle a un peu peur. Joana pendant ce temps s’est installée sur le canapé du salon, sa jupe largement remontée sur ses cuisses longilignes. Marie-Claude, ayant terminé son travail, revient vers Joana pour attendre les ordres de sa nouvelle maîtresse.— Bien, je vois avec plaisir que tu as fait vite. Bon, voyons voir un peu le programme. Je vais aller prendre un bon bain et me préparer pour nos ébats. Pendant ce temps, tu vas finir de ranger la cuisine, faire la vaisselle. Ah, au fait, déshabille-toi entièrement, pas de bijoux non plus, rien qui t’appartienne.Marie-Claude s’exécute et donne tout ce qu’elle a sur elle à Joana, qui fourre l’ensemble dans le sac à dos de Marie-Claude, puis enferme celui-ci à double tour dans une armoire.— Voilà , à partir de maintenant, tu es à moi. Tu trouveras un petit tablier de servante à la cuisine. Mets-le, ce sera suffisant pour ce que tu as à faire.Marie-Claude part vers la cuisine où elle trouve effectivement un tablier blanc qui lui couvre à peine le bas-ventre, et monte jusque sous ses seins qui restent ainsi visibles à qui veut bien les voir. Ses fesses, bien entendu, sont à l’air libre, accessibles à toutes les mains baladeuses ou au martinet qu’elle voit accroché au mur de la cuisine. Elle frémit en pensant à ce qui peut lui arriver si elle ne satisfait pas Joana. Elle se met donc au travail avec ardeur, bien décidée à entrer dans les bonnes grâces de sa maîtresse et à répondre à tous ses désirs, lesquels pourraient bien rejoindre rapidement les siens d’ailleurs. Elle se passe une main sur la chatte en gémissant et en serrant ses cuisses très fort jusqu’à éprouver un semblant d’orgasme qui la laisse tremblante, se cramponnant au bord de la table.— Je deviens folle, dit-elle à mi-voix. Cette femme m’a envoûtée, ce n’est pas possible autrement.— Qu’est-ce que tu dis, Marie-Claude, tu parles toute seule maintenant ? lui demande Joana depuis la salle de bains.— Non, Madame, je me suis cognée en voulant attraper le plat qui est dans le four.— Et tu en as profité pour jouir un coup, petite salope ! Viens ici !La voix de Joana s’est brusquement durcie et Marie-Claude se précipite dans la salle de bains.— Oui Madame, je suis là , que dois-je faire ?— Regarde-moi en face et jure-moi que tu n’as pas joui toute seule dans la cuisine ! Alors, j’attends !Marie-Claude est rouge de confusion, elle baisse la tête et bredouille trois mots d’excuse.— Je… je ne le ferai plus, Madame, c’est promis.La main de Joana a volé si vite que Marie-Claude ne l’a pas vu venir. Le téton de son sein droit est prisonnier des doigts de Joana qui le pincent fermement. Marie-Claude pousse un cri de douleur et des larmes perlent à ses paupières. Joana sourit.— Bon, ça ira pour cette fois, mais la prochaine fois tu me demanderas la permission avant de te branler, compris ?— Oui… Madame, c’est promis.— OK, retourne à ton travail et fais-le vite, j’ai bientôt fini de me laver.Marie-Claude, la tête basse, retourne à la cuisine et s’empresse de faire le travail que Joana lui a demandé. La cuisine est vraiment sale et elle frotte avec énergie tous les plats qui traînaient sur l’évier. La sueur coule sur son front, mais rien ne peut l’arrêter maintenant. La cuisine sera propre et bien rangée. Elle l’a promis à Joana et elle lui obéira.De la salle de bains lui parvient une douce musique. C’est Joana dans sa baignoire qui fredonne des chansons à la mode. Puis elle l’entend qui sort de l’eau. Joana se prépare pour la fête charnelle qui s’annonce et dont elle, Marie-Claude, sera la reine… ou la victime, elle ne le sait pas encore et cette pensée la perturbe tout en lui donnant des frissons dans le bas-ventre.Joana la rejoint dans la cuisine pour inspecter son travail. Marie-Claude vient juste de poser le torchon sur son crochet et, tête baissée, les mains jointes derrière le dos, elle attend le jugement de sa maîtresse. C’est bien ce qu’elle est devenue, l’esclave de Joana, pour le meilleur et pour le pire.Elle attend le verdict. Joana tourne dans la cuisine, sans rien dire. Elle vérifie tout, passant un doigt inquisiteur sur un couvercle, vérifiant le rangement des plats et des assiettes. Bref, une inspection détaillée, comme à l’armée.En passant devant le martinet accroché au mur, elle le décroche, ce qui fait frissonner Marie-Claude.— Tourne-toi et penche-toi en avant ! Jambes écartées !Marie-Claude s’exécute en tremblant, craignant le pire. Jusqu’où Joana va-t-elle l’emmener ? Elle sent les lanières de cuir se poser sur son dos nu et glisser lentement vers sa raie culière puis le long de ses jambes. Marie-Claude est tendue, elle attend le premier coup, mais rien ne vient. Joana continue encore ce petit jeu d’intimidation jusqu’à ce qu’elle lève le fouet et en frappe un grand coup sur la porte du placard, ce qui fait pousser un cri perçant à Marie-Claude. Sa tension retombe d’un coup et tout son corps tremble d’émotion.— Bon, tu as bien travaillé, ma belle, mais ce n’est pas parfait et n’oublie pas que tes mains t’ont fait jouir sans mon autorisation. Tu recommenceras le nettoyage tout à l’heure. Pour le moment, j’espère que cette séance de martinet un peu particulière t’a fait comprendre comment tu dois être avec moi. La prochaine fois tu seras moins… indépendante. Bien, maintenant direction la salle de bains pour te laver, car tu pues, ma belle, et dans l’état où tu es, je devrais de mettre dans la niche du jardin, pas dans ma chambre.Marie-Claude se dirige vers la salle de bains et, une fois devant la baignoire, attend les ordres de Joana.— Enlève ce tablier et plonge-toi dans ce bain moussant, je vais te laver à ma façon.Marie-Claude pénètre dans la baignoire et gémit, car l’eau est très chaude. Joana la bouscule un peu pour qu’elle rentre dans l’eau plus vite.— Lave-toi maintenant.Ce que Marie-Claude fait avec un certain plaisir, car l’eau chaude la détend complètement et lui fait un bien énorme. Elle ne ressent plus les courbatures dues à tous ces exercices physiques si éprouvants…Pendant ce temps, Joana a attrapé un gant de crin et commence à frotter vigoureusement le corps de Marie-Claude. Tout y passe, le dos puis les jambes, le ventre, les seins, les fesses et enfin l’entrejambe, ce qui fait sursauter Marie-Claude. Elle est debout dans la baignoire et son corps est devenu tout rouge sous les caresses de Joana.— Parfait, tu ressembles à une écrevisse. Sors de la baignoire et mets-toi sous la douche.Marie-Claude s’exécute et Joana ouvre le robinet d’eau froide de la douche. Marie-Claude crie et veut sortir, mais Joana la maintient sous le jet d’eau froide et l’oblige à se rincer complètement. Marie-Claude frissonne, mais en même temps elle se sent parfaitement propre et détendue. L’eau froide s’arrête enfin de couler et Joana l’entoure d’une serviette douce et parfumée ce qui achève de la détendre.— Je vais préparer à boire, profites-en pour te faire une beauté en mon honneur.Marie-Claude regarde ce qu’il y a sur les étagères de la salle de bains et après avoir sélectionné les bons ingrédients, commence à se maquiller et à se coiffer. Un quart d’heure après, elle sort de la salle de bains et rejoint Joana dans le salon. Deux verres sont prêts sur la table, remplis de punch, et Joana lui en tend un.— À ta santé, ma chérie, et à nos amours. Ce week-end doit rester un bon souvenir entre nous. J’espère que tu es d’accord ?— Oui Madame, je ferai tout ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi. Santé !Les deux filles trinquent ensemble et sirotent en silence leur punch. Joana a les yeux qui brillent et Marie-Claude sent sa tête tourner un peu sous l’effet de l’alcool.Quand Joana a fini son verre, elle prend Marie-Claude par la taille et l’entraîne vers sa chambre.— Viens vite me montrer de quoi tu es capable, je suis déjà toute mouillée à l’idée de faire l’amour avec toi.Les deux filles enlacées tombent sur le grand lit de Joana et c’est celle-ci qui dirige la joute amoureuse. Sa langue est active et pénètre dans la bouche de Marie-Claude pour se mêler à la sienne. Leurs baisers sont sans fin et elles roulent l’une sur l’autre alternativement. C’est une espèce de lutte dont une des deux doit sortir vainqueur. Marie-Claude peut encore vaincre, mais, petit à petit, elle sent qu’elle faiblit. Elle est plus jeune et moins forte physiquement que Joana et de plus, elle a déjà baisé cet après-midi et fait le ménage ! Cela l’a passablement épuisée.Au bout de dix minutes de baisers fougueux, elle ne résiste plus et Joana peut s’emparer complètement de sa bouche sans qu’elle n’oppose de résistance. Ce coup-ci, elle est bien vaincue, elle n’a pas su prendre sa dernière chance et voluptueusement elle accepte son sort.Joana aborde un sourire triomphant.— Ça y est, cette fois tu acceptes d’être à moi ! Tu m’obéiras ? Si c’est oui, tu pourras m’appeler par mon prénom.— Oui mad… oui Joana, je suis à toi, demande-moi ce que tu veux, je le ferai. Je t’appartiens complètement, c’est la première fois que cela m’arrive. J’avais plutôt l’habitude de dominer, même les garçons, mais là je m’avoue vaincue. Je suis ton esclave. Demande.Joana se relève et se dirige vers son armoire. Elle ouvre les deux portes et Marie-Claude voit apparaître une collection de sous-vêtements, tous plus coquins les uns que les autres, des robes transparentes, une paire de menottes et une série de godemichés de tailles très variables. Joana fouille un peu et s’empare d’un objet qu’elle montre à Marie-Claude.— Voilà notre homme ! dit-elle en riant.L’objet en question est effectivement un double sexe masculin monté sur une culotte faite de lanières de cuir. Le membre placé à l’intérieur de la culotte s’enfonce dans le vagin de « l’homme » et le deuxième membre plus conséquent est destiné à bourrer la partenaire.— Viens ici, Marie-Claude, que je t’équipe ; tu seras mon homme et j’espère que tu seras à la hauteur. De toute manière, le martinet te remettra rapidement dans la cadence si tu ralentis. Allez, enfile cela comme un slip.Marie-Claude s’exécute et commence par s’enfoncer le sexe intérieur, ce qui ne manque pas de la faire frissonner, car il est long et vient heurter le fond de sa matrice. Ensuite elle attache les sangles, mais Joana vient derrière elle et les serre bien plus que ce qu’avait fait Marie-Claude. Les lanières lui pénètrent dans la chair, notamment celle qui passe entre ses deux fesses, et son clitoris est totalement pris dans le support en cuir qui tient les deux membres assemblés en opposition.— Bien, maintenant marche un peu dans la chambre, que je vérifie le montage.Marie-Claude marche de long en large, les mains sur la tête comme le lui a indiqué Joana. Elle sent le sexe qui bouge dans son vagin et elle ne peut s’empêcher de frémir, ce que remarque sa maîtresse. Joana l’arrête et vérifie la tension des lanières. Elle resserre celle de la taille qui avait un peu bougé.— Et maintenant, viens me montrer ton coup de reins. J’espère qu’il fera au moins aussi bien que celui de tes amants de cet après-midi.Joana s’est allongée confortablement sur le lit, a écarté lentement ses cuisses tout en caressant sa vulve luisante sous la lumière. Elle replie ses jambes tout en creusant ses reins et Marie-Claude voit apparaître nettement l’anus et la vulve couverte d’un fin duvet noir. Elle reste un moment immobile devant cette vision, mais la voix rauque de Joana qui l’invite à la pénétration la ramène à la réalité. Elle s’avance à genoux sur le lit et s’allongeant doucement entre les cuisses musclées de Joana fait lentement glisser son membre dans le vagin de sa partenaire. Joana gémit de plaisir et attrape les seins de Marie-Claude qu’elle malaxe doucement. Leurs souffles se mêlent et Joana pousse un petit cri de plaisir quand le sexe de Marie-Claude touche le fond du paradis.Marie-Claude embrasse Joana qui se laisse faire, mais elle sait qu’elle ne pourra pas renverser les rôles sans son consentement. Rapidement, Joana reprend le dessus et mord la langue de Marie-Claude qui à son tour pousse un cri où se mêlent surprise et douleur.— Ne crois pas que tu vas me vaincre, petite salope. Maintenant que tu as bien compris la leçon, bouge-toi et fais-moi jouir toute la nuit, si tu peux. Ne t’inquiète pas, je saurai ranimer ta flamme si tu te laisses aller.Marie-Claude commence à donner des coups de reins, maladroitement d’abord, mais les minutes passant elle améliore sa technique et bientôt elle entend Joana roucouler de plaisir et qui l’encourage de la voix.— Vas-y, baise-moi, oui comme cela, tu vaux presque mieux que Mike, pourtant celui-là quand il me bourre c’est un génie. Oui, continue, ahh ! Encore, salope, plus vite, ou je te fouette ! Ahh… oui ! Oui ! Ahhhhh !Un premier orgasme foudroie Joana qui a du mal à reprendre son souffle. Mais Marie-Claude continue comme elle en a reçu l’ordre. De son côté, elle n’est pas insensible à ses propres coups de reins. Lentement, le plaisir monte en elle sans qu’elle puisse le refouler. Si elle jouit maintenant, elle ne pourra plus baiser Joana et elle sera fouettée, mais d’un autre côté si elle ralentit le rythme, elle sera également fouettée. Alors tant pis, autant prendre du plaisir et on verra bien ce qui arrivera.Il ne lui faut pas longtemps pour atteindre le même niveau de plaisir que Joana et un violent orgasme l’emporte à son tour. Elle s’écroule haletante sur Joana qui la serre dans ses bras en l’embrassant.— Eh bien, ma salope, tu ne t’embêtes pas toi non plus ! Mais maintenant il faut continuer, ce n’est que le début, la nuit est encore longue.Lentement, Marie-Claude recommence à donner des coups de reins qui maintenant sont bien ajustés, et elle sent que Joana est repartie dans son plaisir.La suite lui donna raison et, de longues heures durant, elle fut l’amant de Joana qui enchaîna orgasme après orgasme ; chaque fois que Marie-Claude ralentissait, la vision du martinet lui redonnait du courage. Après plusieurs heures de plaisir continu, Joana renversa Marie-Claude sur le côté du lit et commença à détacher le double sexe.— À moi de jouer, maintenantJoignant le geste à la parole, elle enfile à son tour le gadget puis, retournant Marie-Claude comme une crêpe, elle lui écarte largement les cuisses et lui ramène les bras dans le dos. Puis elle prend de la vaseline et tartine joyeusement l’anus de Marie-Claude qui frémit à l’idée de ce qui va lui arriver.— Voyons voir si ton cul sait se montrer aussi souple que ton vagin. Après tout, je ne suis pas la première aujourd’hui à être passée par là .Elle s’allonge sur Marie-Claude et, poussant son nouveau sexe doucement dans l’intimité profonde de Marie-Claude, elle s’enfonce au plus profond de ce cul qu’elle veut posséder. Les premiers coups de queue de Joana dans son anus sont un peu douloureux, mais, petit à petit le cul de Marie-Claude s’adapte à son nouveau maître, et elle commence à ressentir les prémices d’un plaisir qui s’annonce intense, bien que différent de ce qu’elle a connu jusqu’à présent.La main de Joana s’est glissée sur son clitoris qu’elle branle doucement et bientôt Marie-Claude entre dans une transe que Joana maîtrise parfaitement. Elle accélère ou ralentit les coups de queue selon la montée du plaisir de sa partenaire. Elle la maintient ainsi au bord de l’orgasme sans jamais la faire basculer. Mais la nature est ainsi faite que cette situation ne dure pas très longtemps et Marie-Claude entre dans un formidable orgasme anal que Joana accompagne en la branlant encore et encore.— Oh Joana, je t’aime, jamais avant toi je n’avais ressenti un tel plaisir ! Demande-moi ce que tu veux, j’obéirais, je t’appartiens désormais. Oh oui ! Encore, branle-moi, c’est si bon ! Oui, encore !Marie-Claude est secouée de petits orgasmes et de grands frissons qui parcourent sa colonne vertébrale de bas en haut et de haut en bas. Quel plaisir, quelle leçon d’amour vient-elle de recevoir. Jamais elle ne l’oubliera.Joana retire son sexe, elle le tend à Marie-Claude et lui donne l’ordre de le remettre, ce que fait Marie-Claude. C’est au tour de Joana de s’allonger sur le ventre en écartant les jambes.— À toi de me faire goûter les plaisirs de la sodomie, mais n’oublie pas la vaseline.Marie-Claude s’empare du tube de vaseline qui traînait sur le lit et pose une grosse goutte de ce produit miraculeux sur son index. Elle l’enfonce délicatement dans l’anus de Joana qui se cambre involontairement tout en appréciant la pénétration. Marie-Claude lui masse l’anus doucement et plusieurs fois de suite elle recommence l’opération de lubrification préliminaire. Puis elle s’allonge sur sa maîtresse et la pénètre doucement en s’arrêtant chaque fois qu’elle sent une résistance des muscles annulaires. Finalement elle encule complètement Joana qui gémit doucement. Marie-Claude commence ses va-et-vient comme Joana le lui a montré tout à l’heure, et les mêmes causes provoquant en général les mêmes effets, c’est au tour de Joana de connaître les spasmes orgasmiques suivis de frissons lombaires qui ne semblent plus finir.Plusieurs fois, elle a crié le nom de son amant, ses mains se sont refermées sur celles de Marie-Claude… et se pourrait-il qu’elle l’aime ? Marie-Claude ne sait plus trop quoi penser, mais après tout, quelle importance ! Joana s’est dégagée de l’emprise de Marie-Claude et l’a attirée contre elle.— Viens là ma douce esclave. Tu m’as donné un merveilleux plaisir que je n’oublierais jamais. Je t’aime, mais tu resteras quand même mon esclave, car c’est comme cela que je t’aime. Douce et obéissante, soumise à mes ordres et capable de me faire jouir et de jouir aussi.Tout en disant cela, Joana couvre Marie-Claude de petits baisers sur son cou, ses seins, ses lèvres, et ses doigts la caressent amoureusement.Marie-Claude ne sait plus quoi penser. Elle veut bien Joana comme amante et faire l’amour avec elle, mais doit-elle pour cela être son esclave ? Bien sûr, cette idée l’excite, mais la gêne aussi. Joana a senti ses réticences et lui propose d’aller boire un verre au salon ensemble, ce qu’elles font en se tenant par la main. Mais Marie-Claude a toujours son sexe mâle attaché entre les jambes, ce que Joana trouve très bandant. Marie-Claude fait le service et les deux filles boivent une bonne coupe de champagne bien frappé.Joana lève son verre à la santé de Marie-Claude qui fait la même chose de son côté et ce verre scelle leur couple. Marie-Claude, sans vraiment s’en apercevoir, a basculé du côté de Joana et leurs relations futures seront marquées par cette folle nuit.— Bien, allons nous coucher maintenant, il ne nous reste plus que trois heures à dormir avant de reprendre le boulot. Viens ici, Marie-Claude, tu dormiras au pied de mon lit. Tu gardes ton sexe, mais défense de jouir sans mon autorisation, c’est bien compris ?— Oui, j’ai compris, mais où est le matelas, je ne vois rien ?— Attrape-le sous le lit, et si tu veux dormir dessus, gonfle-le !Marie-Claude s’exécute, et durant de longues minutes elle souffle dans le tube qui permet de gonfler le matelas, sur lequel elle fini par s’allonger et s’endormir très vite d’un sommeil lourd, peuplé de rêves pas toujours très sages.