La soumission de Virginie
Alors que je me prĂ©pare Ă passer une journĂ©e de rĂȘve en compagnie de la sublime Sabrina, c’est une jolie et dĂ©testable blonde qui s’invite dans mon lit et rĂ©veille des pulsions que je ne me connaissais pas…
Proposée le 14/10/2019 par Korn Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: Femme soumisePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Mardi matin, je me rĂ©veillai tranquillement en songeant aux Ă©vĂ©nements rĂ©cents et Ă venir. Florence avait raison : je mâapprĂȘtais Ă regagner mon cĂ©libat, alors autant en profiter. Puisque CĂ©cile Ă©tait au loin et moi en vacances, il ne me restait plus quâĂ faire jouer son « cadeau » et Ă exploiter ces derniers jours. Je fis un rapide tour dâhorizon tout en buvant mon cafĂ©. Marion et Jennifer, câĂ©tait fait, restaient Sabrina et Laura. Pour cette derniĂšre, je ne me faisais guĂšre dâillusions, rien de possible en dehors de la prĂ©sence de CĂ©cile dans le mĂȘme lit. PrĂ©sence qui nâĂ©tait plus une option. Ce qui me laissait la sulfureuse rouquine. Jâattrapai mon portable et lui envoyai un sms.« Coucou, ça va ? »La rĂ©ponse fut quasiment instantanĂ©e :« Toi, tâas envie de me la mettre dans le cul :p »Je sentis un sourire sincĂšre naĂźtre sur mes lĂšvres tandis que mes doigts pianotaient sur lâĂ©cran.« Jâessayais dâĂȘtre subtilâŠ
Sabrina : Raté !
Moi : Mais tu sais, y a pas que ton cul qui me fait envie;)
SÂ : Oui, jâai cru comprendre que tâavais trĂšs envie de te branler dans mes seins.
M : Faut dire quâils sont magnifiques !
SÂ : ArrĂȘte, je vais rougir.
MÂ : Faut pas.
SÂ : Sauf que moi jâai envie de baiser.
MÂ : Ăa me va trĂšs bien aussi;)
SÂ : Mais si tâes sage, je veux bien te laisser me prendre le cul :p
M : Câest quoi ĂȘtre sage ? :p
S : Si tu me fais un vrai cunni, tu peux mâenculer ça te va ?
M : Câest quoi un vrai cunni ?
SÂ : Câest pas mettre la langue 10 sec pour lubrifier;)
M : Pas besoin de me promettre ton cul pour ça !
S : Tu sais parler aux dames toi !
MÂ : ArrĂȘte, je vais rougir :p
S : Faut pas !
M : Du coup tu veux passer cet aprÚs-midi chercher ton cunni ?
S : DĂ©solĂ©e, je suis occupĂ©e aujourdâhui. »MerdeâŠÂ«Â S : Ce soir ou demain câest possible ?
M : Oui, oui. Tu as une préférence ?
S : Tu mâas mis la chatte en feu, donc le plus tĂŽt sera le mieux. »Yes !!« M : Va pour ce soir alors. Tu peux rester dormir chez moi si tu veux.
S : Tu te sens lâendurance pour baiser plusieurs fois dans la nuit ?
M : Pour toi, je peux durer toute la journĂ©e sâil le faut !
S : Vantard !
M : Tu veux vérifier ?
S : Ok, alors jâarrive demain Ă 9h, je suis Ă poil Ă 9h01 et tu me tringles jusquâĂ 21h ?
M : Si tu me mĂ©nages des pauses pour « rĂ©cupĂ©rer » entre chaque tringlage, je suis ton homme ! »Quel rĂȘve ! Douze heures de copulation ininterrompue avec la sublime Sabrina, jâaurais pu mourir heureux une fois mon forfait accompli. « S : Allez, vendu. Tâas intĂ©rĂȘt Ă ĂȘtre Ă la hauteur demain !
M : Je voudrai pas passer Ă cĂŽtĂ© de ta proposition dâĂȘtre ma chienne Ă vie :p
S : Ha ha, câest quâil a de la mĂ©moire en plus. Te branle pas trop, faut que tu aies les couilles pleines demain:p
MÂ : Tâen fais pas, elles le seront đ
S : Parfait ! Je compte bien te les vider !
M : Sur toi ?:p
S : Si tu veux, moi le sperme me dérange pas.
M : Ăa promet une journĂ©e de rĂȘve !
S : Flatteur đ Pense Ă me donner ton adresse. »Je lui envoyai mon adresse et aprĂšs quelques chaufferies de plus, nous nous dĂźmes « à demain. » Jâavais une trique monstrueuse, jâĂ©tais au bord de lâĂ©jaculation spontanĂ©e tant elle mâavait excitĂ©. Il me fallait une cigarette pour me calmer et Ă©viter de penser Ă ce splendide corps.Jâattrapai mon paquet de tabac et constatai atterrĂ© quâil ne me restait que des miettes, sans doute pas de quoi mâen rouler plus dâune ou deux. Un soupir, un cafĂ© et une rapide toilette plus tard, je dĂ©valai les escaliers de mon immeuble pour me rendre au bureau de tabac le plus proche. Je fis rapidement le plein et ressortit pour tomber nez-Ă -nez avec Virginie qui semblait mâattendre, les mains sur la taille, le regard mauvais.- Quâest-ce que tu fous lĂ , toi ? lançai-je.- Je tâai vu rentrer, je me suis dit que câĂ©tait le moment dâavoir une petite discussion.- Si câest pour me faire des reproches, tu peux aller te faire mettreâŠElle fronça encore davantage les sourcils. – Non, câest les messages de CĂ©cile.- Oh, çaâŠ- Câest quoi le truc ? Elle mâa prise pour une pute ou quoi ?- Non, elle a envoyĂ© ça Ă toutes ses copines.- Donc câĂ©tait de la merde ?- Non, non, câĂ©tait sĂ©rieux. En gros elle laisse sa semaine de vacances pour que ses amies sâĂ©clatent avec son chĂ©ri et voilĂ .Comme elle ne pouvait pas davantage froncer les sourcils, elle plissa les yeux. – Et tâas cru que tâallais pouvoir me sauter ?- Câest pas comme si te baiser faisait partie de mes objectifs.- Ăa veut dire quoi ça ?- Que je tâaime pas, mon chou. Je te lâai dit Ă la fĂȘte, je te dĂ©teste assez pour pas ĂȘtre sympa avec toi mĂȘme si je devais te prendre le cul. – Crois pas que jâaie envie de coucher avec un connard comme toi non plus !- Ben tu vois, on est dâaccord.Je fis un pas en avant pour partir, mais elle me barra la route. – Sauf que toi, ça te plairait bien de coucher avec moi. Ou de me prendre le cul comme tu dis, cracha-t-elle.La conversation prenait un tour Ă©trange. Je commençai Ă avoir lâimpression quâĂ travers ses rebuffades et ses provocations, Virginie me faisait un appel du pied. – Tâes une bombe, avouai-je, alors ouais, câest pas lâenvie qui manque de te troncher.- Et câest quoi qui manque alors ?- DĂ©jĂ , ton accord. Et ensuite, la douceur.- Qui a dit que je voulais que ça soit doux ?Plus de doute, elle me faisait des avances. Je tendis une main, lui attrapai le menton pour la forcer Ă me regarder dans les yeux. – Ăcoute, je vais rentrer chez moi. Tu peux venir si tu veux, mais je te prĂ©viens que tâas intĂ©rĂȘt Ă fermer ta gueule et Ă faire tout ce que je dis.Un rictus mauvais Ă©tira ses lĂšvres fines. Je la lĂąchai et la contournai pour prendre le chemin de mon appartement. AprĂšs quelques pas, je tournai la tĂȘte pour constater quâelle me suivait docilement, les mains dans les poches, sans se dĂ©partir de son sourire. – Aies pas lâair surpris, fit-elle, tu mâoffres ce que je veux.- Comment ça ?Elle fit la moue et pour la premiĂšre fois depuis longtemps, je ne la trouvais pas juste bonne, mais simplement jolie. – Une baise sans lendemain et de la domination. Câest tout ce que je veux pour lâinstant, câest pas facile Ă avoir, alors mĂȘme avec toi je prends.Je haussai les Ă©paules.- Comme tu voudras.Nous prĂźmes lâascenseur, jâen profitai pour reluquer ostensiblement son dĂ©colletĂ©. AprĂšs un instant dâhĂ©sitation, je tirai sur son dĂ©bardeur pour libĂ©rer sa poitrine enfermĂ©e dans un simple soutien-gorge beige. – EnlĂšve ton soutif, ordonnai-je.Virginie continua de sourire tout en obtempĂ©rant. Les portes sâouvrirent au moment oĂč elle me tendait son sous-vĂȘtement et elle sortit dans le couloir, les seins Ă lâair. Je lui emboĂźtai le pas en pĂ©trissant ses fesses rondes Ă travers son jean moulant. Je bandai comme un Ăąne en glissant ma clef dans la serrure, trou que jâeus du mal Ă localiser, obnubilĂ©s par les deux jolies poires aux larges arĂ©oles et aux petits tĂ©tons fiĂšrement dressĂ©s qui se dandinaient sous mon regard. Je vins finalement Ă bout du verrou et nous pĂ©nĂ©trĂąmes dans mon appartement. A peine la porte claquĂ©e, je me tournai vers Virginie.- A genoux, intimai-je de ma voix la plus autoritaire.Elle sâexĂ©cuta et ouvrit grand la bouche, ayant parfaitement devinĂ© mon intention. Je nâattendis pas pour dĂ©faire mon jean et en extraire mon instrument. Docile, elle me regardait avec ses grands yeux Ă©meraude, attendant lâordre.- Suce !Elle sâenfonça mon sabre dans la gorge sans la moindre hĂ©sitation, jusquâĂ ce que ma toison vienne chatouiller ses narines. Jâagrippai ses cheveux dâune main, donnai de grands coups de reins pour accompagner les allers-retours de sa bouche. Elle ne sâen formalisai pas, bien au contraire car elle nâen semblait que plus vorace. Un rien de temps plus tard, je me sentis venir et fis un effort surhumain pour mâarracher Ă la sangsue blonde qui lustrait mon manche avant de franchir le point de non-retour. – Debout.Elle se redressa sans essuyer son menton dĂ©goulinant de salive. – Va te mettre Ă quatre pattes sur le lit. Et dĂ©fais ton jean.Je la suivis en rĂ©cupĂ©rant un prĂ©servatif dans mon sac. DĂšs quâelle fut installĂ©e, je baissais son pantalon et son string sur ses cuisses pour ne libĂ©rer que son cul tendu vers moi, sur lequel jâassenai une violente claque. Elle poussa un gĂ©missement, Ă la fois de douleur et de plaisir, qui accompagna lâenfilage du caoutchouc.Je prĂ©sentai ma lance ainsi protĂ©gĂ©e Ă lâintimitĂ© de la blonde et lâempalai brutalement jusquâĂ la garde. CramponnĂ© Ă sa taille, je la tirai Ă moi chaque fois que mes reins avançaient pour la labourer de plus belle. Le choc rĂ©pĂ©tĂ© de la chair couvrait nos halĂštements. De temps en temps, je levais la main et lâabattais mĂ©chamment sur la fesse de Virginie, qui ne tarda pas Ă rougir sous mes assauts. La piĂšce ne rĂ©sonnait que de rĂąles bestiaux, de claquements de peaux et de grincements de lit. Je me retirai.- DĂ©sape-toi complĂštement et reprends ta position.Elle obĂ©it. Son bouton, luisant de la mouille qui avait coulĂ© dessus, Ă©mergeait au milieu dâune fine toison chĂątain, soigneusement taillĂ©e. Je repris position derriĂšre elle, passai mon membre dans la raie de ses fesses, trouvai son anus, appuyai, mâenfonçai doucement Ă lâexploration de sa lune. Il y eu une brĂšve rĂ©sistance, puis ce fut comme si sa rondelle aspirait ma queue et je me retrouvai les cuisses contre son cul, les couilles contre sa fente dont je sentais la chaude humiditĂ©. Je me reculai doucement, revint Ă la charge. – Tu peux y aller hein, jâai lâhabitude.Une fessĂ©e encore plus puissante que les autres rĂ©compensa lâincartade de la belle. – Je tâai dit de fermer ta gueule.Je repris mes assauts, ramonai la cheminĂ©e de derriĂšre de Virginie sans le moindre mĂ©nagement, avec une violence qui me surprenait moi-mĂȘme. Mes muscles commençaient Ă me faire mal Ă force de pilonnage, lorsque je sentis mon tĂ©lĂ©phone vibrer contre ma cuisse. Sans cesser mon Ćuvre, priant pour recevoir de sexuelles nouvelles de Sabrina, je dĂ©gainai lâobjet de ma poche et lui jetai un Ćil. En guise de chaud message, câĂ©tait CĂ©cile qui mâenvoyait un banal : « Coucou mon chĂ©ri, ça va ? Tu fais quoi ? »Je mâapprĂȘtais Ă louvoyer, lorsque me revinrent en mĂ©moire les rĂ©parties de Sabrina. Câest donc un tout autre message que je me vis Ă©crire et envoyer.« Ca va, je sodomise Virginie. Et toi ?
Cécile : Idiot⊠Tu passes pas toute la journée sur tes pornos, hein ?
MÂ : Non, tâen fais pas đ Au pire, tu peux mâaider Ă me soulager si tu veux đ
CÂ :Â ???
M : Allez, jâsuis sĂ»r que depuis le temps quâon sâest pas vu tu meurs dâenvie de te toucher. Fais-moi partager ça en photo đ
C : Tâes chiant⊠Attends, je vais dans la chambre. »Une ou deux minutes de rudesse anale plus tard, je reçus plusieurs MMS. CĂ©cile en soutien-gorge et culotte blancs, cerclĂ©s de dentelle. CĂ©cile, les seins Ă lâair, une main dans la culotte. CĂ©cile allongĂ©e sur un lit, nue, jambes Ă©cartĂ©es. Plusieurs autres photos de son sexe, de sa toison blonde, de ses doigts fouillant sa grotte dĂ©trempĂ©e ou maltraitant son bouton enflĂ©. Et pendant que les clichĂ©s sâaccumulaient sous mes yeux, une autre blonde mordait un oreiller et gĂ©missait Ă chaque coup de sabre dans ses entrailles, Ă chaque coup de paume sur ses fesses rougies par les chocs Ă rĂ©pĂ©tition. Finalement, je reçus le verdict dans un ultime sms : « VoilĂ , jâai jouis. Tâes content ? »Mes doigts pianotĂšrent Ă toute vitesse : « TrĂšs ! » Nouvelle vibration : « Et toi, tâas joui dans le cul de Virginie ?:P »Je rĂ©primai un petit rire, rĂ©pondis : « Non, mais ça devrait pas tarder grĂące Ă ton petit spectacle ^^ »Car, en effet, jâĂ©tais au bord de lâexplosion. Je jetai mon portable sur le lit, accĂ©lĂ©rai encore le rythme en me cramponnant Ă la taille de la superbe blonde, qui nâen gĂ©missait que de plus belle. Mais je ne voulais pas finir dans le derriĂšre de Virginie, aussi accueillant fut-il. Je me retirai, enlevai le prĂ©servatif. Mon sexe me parut dĂ©mesurĂ©, lâavais-je dĂ©jĂ vu si gonflĂ©Â ? ViolacĂ©, le gland semblait palpiter au rythme dâune indescriptible pulsation de plaisir. Je me jetai sur le lit, rampai presque jusquâĂ ma partenaire de jeu, dardai ma queue vers son visage. Elle ouvrit un Ćil, et Ă lâinstant oĂč son regard Ă©meraude se posa sur la branche qui lui avait ramonĂ© les fesses, la sĂšve jaillit avec une terrible puissance. Le liquide blanc passa au-dessus de la chevelure dorĂ©e, dessina une fleur humide sur le traversin. Virginie se redressa juste Ă temps pour la dĂ©charge suivante, qui atteignit son front, sâĂ©tala dans ses cheveux et son sourcil. Elle ouvrit grand la bouche, tira la langue, un nouveau jet lui stria la joue, remonta le long de lâarĂȘte nasale, rejoignit le foutre qui coulait du sommet de son crĂąne. Le reste du jus termina sur la langue tendue, les lĂšvres et le menton de la jolie blonde. La coquine sâassit sur son derriĂšre meurtri, joua un peu avec le sperme qui tapissait sa bouche grande ouverte. Et alors que je mâattendais Ă ce quâelle lâavale tout rond, elle le laissa au contraire couler en un mince filet sur ses seins quâelle se mit Ă pĂ©trir, achevant dâĂ©taler ma semence sur ses deux jolies poires. Je mâaccroupis pour embrasser Virginie Ă pleine bouche, sa langue salĂ©e par mon jus tournoya autour de la mienne en un baiser chargĂ© de passion et de dĂ©sir. Elle me mordit sauvagement les lĂšvres Ă plusieurs reprises. Entre mes cuisses, je sentais mon sexe poisseux palpiter contre sa peau chaude et couverte de sueur. Je repensais Ă Sabrina, Ă ma promesse dâabstinence pour la journĂ©e. Virginie se rapprocha encore, sa poitrine maculĂ©e de sperme colla aux poils de mon torse. Oh et puis merde, tant pis pour les bonnes rĂ©solutions ! Je pris la belle blonde par les Ă©paules, la projetai sur le lit. – Tâas encore envie ? fit-elle en riant.- Ta gueule !JâĂ©tais dĂ©chaĂźnĂ©, mon mat tellement gonflĂ© quâil mâen faisait mal, j’en perdais toute rationalitĂ©. Je ne voyais plus que sa gueule couverte de foutre, ses seins maculĂ©s de semence, sa chatte dĂ©gorgeant son jus sur mes draps. J’attrapai ses cuisses dressĂ©es, tirai la superbe blonde Ă moi, guidai Ă nouveau mon sexe vers le sien. Les lĂšvres s’Ă©cartĂšrent comme si elles n’attendaient que ça, je pĂ©nĂ©trai Ă nouveau la jeune soumise dans un bruit mouillĂ©.Mon sexe Ă©tait enflĂ© comme jamais, douloureux, anesthĂ©siĂ©. Un Ă©norme morceau de carton palpitant qui s’acharnait dans les entrailles chaudes et dĂ©trempĂ©es de Virginie, presque mĂ» par une volontĂ© propre. Je ne ressentais aucun plaisir, mais je continuais pourtant de matraquer mon amante, dont les seins valdinguaient chaque fois que mon corps heurtait le sien, au son des grognements animaux qui montaient de ma gorge, du claquement de ma chair contre la sienne et de ses gĂ©missements satisfaits. De ses cuisses, je passai Ă ses hanches, puis Ă sa taille et enfin Ă ses mamelles collantes, enkystĂ©es de transpiration et de sperme. Les doigts qui pĂ©trissaient les deux mottes de chair laissĂšrent vite des marques rouges sur la peau halĂ©e, tant ils les pressaient fort. La violence avec laquelle je maltraitais ses seins ne semblait pourtant qu’exciter encore davantage Virginie, qui ondulait le bassin pour accompagner la mise Ă sac de son antre et gĂ©missait de douleur mĂȘlĂ©e de plaisir chaque fois que mes mains broyaient ses poires. Une soudaine inspiration me poussa Ă lui pincer mĂ©chamment le tĂ©ton, lui arrachant un vĂ©ritable cri. Et aussitĂŽt, tout son corps se tendit, ses jambes tremblĂšrent, ses abdominaux se contractĂšrent, sa caverne pulsa au rythme de l’orgasme qui noyait mes bourses sous des trombes. Et moi ? Eh bien toujours pas de plaisir. J’Ă©tais juste un animal en rut, obsĂ©dĂ© par l’idĂ©e de dĂ©verser sa semence dans une matrice. Je ne couchais pas avec Virginie. Je ne la baisais pas. Je me branlais dans son vagin, seule importait l’Ă©jaculation, pas le plaisir ni la jouissance. La belle blonde n’Ă©tait que l’instrument qui remplaçait, pour l’instant, ma main droite. Je sortis mon bĂąton, le frappai plusieurs fois sur le clitoris enflĂ© de Virginie, retournai besogner la jeune femme avec la mĂȘme frĂ©nĂ©sie. A force de pressions et de pincements, ses seins changeaient de couleur, toute sa peau ruisselait de sueur, un autre orgasme avait achevĂ© de tremper mes draps. Je recommençai mon manĂšge plusieurs fois, changeai de trou Ă maintes reprises. J’Ă©tais couvert de transpiration, les muscles de mes cuisses, de mes fesses, de mon ventre n’Ă©taient plus que douleur, l’odeur acre du sperme, de la cyprine et de la sueur empuantissait toute la piĂšce, me prenait la gorge. Enfin, je sentis la libĂ©ration arriver, j’accĂ©lĂ©rai encore le rythme, je soulevai Virginie pour lui pilonner le cul de plus belle. Je me cramponnai Ă ses cuisses pour le sprint final qui m’arracha des grognements d’effort et de douleur. Je me retirai au dernier instant, Ă©jaculai avec des rĂąles bestiaux. Le souffle court, je regardai mon dard palpitant cracher son venin lactĂ© sur la vulve et la toison de la blonde. Je me laissai retomber sur le lit, vidĂ©, m’allongeai Ă cĂŽtĂ© de ma partenaire. Nous Ă©tions tous deux Ă bout de forces, en nage, le cerveau paralysĂ©. Nous nous regardions avec un sourire bĂ©at, flottant dans la plĂ©nitude ouatĂ©e que seuls les plus puissants et Ă©puisants orgasmes peuvent donner. Dans le rĂ©veil derriĂšre Virginie, je vis les minutes s’Ă©grener, sans qu’aucun d’entre nous ne rĂ©agisse. Je fermai les yeux.Lorsque je les rouvris, trois quarts d’heure s’Ă©taient Ă©coulĂ©s, la jeune femme avait disparu. Dans la salle de bain, je trouvais une serviette en train de sĂ©cher. Et sur mon bureau, un morceau de papier avec un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone portable et quelques mots griffonnĂ©s.« Appelle-moi quand tu as besoin d’une soumise. »© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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