La stagiaire, à la manière de… » Tu vois : article 17 ! C’est écrit dans l’article 17. ’Tout propos déplacé, toute forme de harcèlement pourra valoir à l’employé concerné une mise à pied ou un renvoi définitif pour faute grave’. Je t’avais bien dit que c’était écrit dans le règlement intérieur « » Mais moi je la harcèle pas. J’ai juste envie de coucher avec elle…. C’est pas pareil !!! Si elle veut pas, et ben j’aurais pris une veste, et puis c’est tout ! « J’avais eu tort de parler à Patrick de l’effet que me faisait Alexandra, la stagiaire du service depuis trois mois.Patrick, pas le dernier pourtant à me narrer ses moultes conquêtes féminines voulait me persuader que le sexe dans l’entreprise c’était rarement bon pour l’évolution des carrières.Pour ça, il venait de dénicher sur l’intranet de SCMC (Super Consolidated Mega Corporation) le règlement intérieur de l’entreprise et son fameux article 17.Le pire, c’est que j’étais d’accord avec lui : l’omnipotente radio-moquette est toujours immédiatement au courant de la moindre tentative d’ébauche de début de commencement de relation extra-professionnelle ou amicale entre deux salariés de sexes opposés.Il faut dire que sur l’alias interne des assistantes, ça y va à tout va : j’en connais qui ont des bases de données comme ça ! Y’en a même une qu’on appelle » database « , c’est vous dire.Mais bon, Alexandra, avec son air de pas y toucher, d’innocente vierge (pléonasme), elle me mettait au bord de l’éruption la stagiaire… Et si ça continuait, j’allai devenir le » Krakatoa » de SCMC moi, qu’à côté de ça, la tempête de décembre 1999, c’était un doux zéphyr !Que je vous la décrive, Alexandra : La première fois que je l’ai vu, je suis resté comme une vache admirant son premier TGV. Tout ce que je pouvais faire c’était rester la mâchoire pendante, les mirettes paralysées et popaul dansant la samba dans son caleçon.En fait, elle était tellement belle que j’en avais mal partout. Alors allons-y, sortons la machine à adjectif, l’imprimeuse à superlatifs : elle avait tout, mais en mieux !Une paire de seins taillés en poire et sculptée par un pull col-roulé qu’on aurait dit moulé sur elle avec une vertigineuse décroissance des mensurations entre les 95 bien sonnés du haut et les 60 maxi du milieu. Et des jambes…. Ah là, là, ces jambes. Qui c’est Mary Quant ? Parce que la mini-jupe, y’a qu’Alexandra qui pouvait l’avoir inventé, tellement ça semblait immédiatement évident que ce bout de tissu soit fait pour révéler de telles jambes, allongées, soyeuses, fines.Elle est châtain clair, à reflets un peu cuivrés, et ses cheveux tombent loin dans son dos, révélant les formes délicieusement rebondies, véritable appel au crime de Sodome, de ses fesses.Mais, le plus mieux, l’extra-top, c’est son regard. Bleus puis verts ou alors gris, toutes les couleurs de la mer y passent dans ses yeux délicatement ourlés de longs cils.Mais je digresse, là.Je lui ai dit à Patrick : » Demain, j’attaque et on verra si j’Austerlitz ou si je Trafalgar « Le lendemain, je me suis offert un ravalement de façade : rasé de près, liquette ultra clean parfumée à l’eau de toilette, dents blanchies au polissoir et haleine de conquérant, j’attends la venue de ma déesse.Et là, re-coup en plein bide.Il fait beau (on est fin juin) et la donzelle a sorti l’artillerie lourde. Elle porte un bustier blanc qui la dégage à partir de l’estomac. Au milieu de son ventre plat, son nombril brille de mille feux : la demoiselle est piercée, et un diamant s’expose au milieu de ce puits de velours. En dessous, la mini-jupe coordonnée semble peinte sur son corps, tellement elle est ajustée.Dans mon dockers trop serré, un missile de croisière vient de se placer sur sa rampe de lancement.Toute la journée, je sais pas comment oser l’aborder. Enfin, vers les cinq heures, juste avant qu’elle parte en week-end, idée de génie (sans bouillir) : » Alex (c’est comme ça qu’on l’appelle dans le service) je suis complètement à la bourre pour la présentation de lundi à la » Grocomack Corp. « , tu pourrais pas m’aider à imprimer les slides puis à les photocopier, s’il te plait ? Je sais qu’il est tard mais autrement, je vais y passer le week-end »Au moins, c’est un avantage des stagiaires, normalement, ils répondent jamais non.Ca marche » Oui, si tu veux. De toute façon j’ai rien de prévu. « » Merci alors. Dès que j’ai fini la prez, je l’imprime et on lance les photocopies « J’en profite pour la faire marner, attendant que petit à petit le service se vide pour qu’on se retrouve en tête-à-tête.Je l’observe en douce. Elle est devant son PC et visiblement elle a trouvé des trucs marrants sur Internet, vu les bruits qui sortent des enceintes.Enfin, seuls !Je lance l’impression du Powerpoint et je m’approche d’elle. Absorbée, elle m’a pas vu arriver. Elle est sur un jeu ou avec la souris, on doit lancer des tartes à la crème sur Guillaume Portes, le patron de la » Univers Warner Fox « . » Ouh là, il est pas tout jeune ton jeu, Alex. Ça fait pas mal d’année qu’il a reçu sa tarte dans la figure le Guillaume Portes « . » Oui mais ça fait passer le temps. Alors ça y est, elle est partie l’impression ? » » Ouais ! On va pouvoir passer la prendre et aller la photocopier sur les deux grosses photocopieuses de la salle de reprographie. Tu sais t’en servir ? « » Hé! je suis stagiaire, les photocopies, ça me connaît…. » me répond-elle.Nous voilà rendu dans la salle de repro. Les machines ont du tourner toute la journée, il fait une chaleur d’enfer dans la pièce. » Et ben dis donc, t’auras pas besoin de me chauffer, c’est déjà les Tropiques ici. » me sort-elle.Je rêve ou y’a comme un sous-entendu dans sa remarque ? Allez, vas-y, Antoine, embraye ! (Au fait, je vous avais pas dit : je m’appelle Antoine)Depuis qu’on est entré dans la salle, Alex me considère à la dérobée, mais avec intérêt. Je tente de lui sortir mon sourire primé au concours du plus beau bébé de Gonfreville-les-Gonesse, mais mes yeux se portent toujours, comme aimantés, sur le diamant de son nombril.Pas bête, elle suit mon regard et me lance » Il te plait mon diamant ? En général les copains de mon age, ils adorent, mais bon, toi, t’es plus tout à fait dans la même tranche. » Gentille avec ça ! » Même à mon age, on peut avoir les idées larges, tu sais. Oui j’aime bien ton diamant, mais uniquement comme cerise sur le gâteau » Ca y est, je me suis lâché. Espérons qu’elle connaisse pas l’article 17…. » Et bien s’il te plait, tu peux venir le voir de plus prêt, si tu veux » Mais elle m’aguiche la mignonnette…J’obtempère illico et me retrouve accroupi devant la demoiselle qui s’appuie nonchalamment sur l’une des photocopieuses.Il est vraiment gros son diamant, il a du coûter bonbon. » Y fait vraiment chaud ici. Attends, je vais fermer la porte à clé et on pourra se mettre plus à l’aise » susurre-t-elle. C’est étrange, tout à coup, un baobab vient de pousser dans mon pantalon.Après avoir fermé la porte elle est revenue vers moi, et voilà t-il pas qu’elle se colle à moi, noue ses bras à mon cou et se met à m’humecter sauvagement les amygdales.Si je m’attendais à ça ! J’en reste tout ébaubi.Ne voulant pas être en reste, j’envoie ma main en éclaireuse vers sa minijupe et passe dessous : Mince ! Elle a pas de culotte ! Elle avait donc tout prémédité. » T’es venue au bureau sans culotte ? t’es gonflée, avec ta mini « » Mais non, je l’ai enlevée tout à l’heure pendant que tu finissais ta présentation. D’ailleurs, je l’ai mise dans la poche de ta veste, ça te fera un souvenir…. « Et elle en profite pour se décoller de moi, et se débarrasser en deux temps, trois mouvements du bustier et de la minijupe qui volent sur les imprimantes. Nue ! Elle est complètement nue, voire même absolument nue car la donzelle est intégralement épilée. Entre son diamant ombilical et le renflement de ses grandes lèvres où se niche son clitoris, la peau est totalement glabre et, comme je le vérifie immédiatement avec ma main, particulièrement soyeuse. Par contre, un peu plus bas, c’est une véritable fontaine.Je me désape aussi vite que possible (mais les fringues de mec, c’est pas aussi facile à enlever, y’a des tas de boutons) et je retrouve à poil également.Un doute m’étreint » T’as bien fermé la porte ? » » Mais oui, t’inquiète, et puis de toute façon, à cette heure y’a personne. Je sais, je viens souvent ici le vendredi soir « Moi qui croyais être l’unique, l’exception de sa vie chaste de jeune fille pure, je tombe de haut. » Ah bon ? Avec qui ? » » Seulement avec d’autres stagiaires. T’es le premier mec de la boite avec lequel je sors ! « Me voilà soulagé, au moins je suis sûr de pas être passé après Patrick, le Don Juan de service… » Assieds-toi sur la photocopieuse, je vais te sucer. » Docile, je m’assois et elle entreprend une fellation qui m’en dit long sur l’étendue de son expérience.Elle a à peine commencé que déjà, je suis satellisé, et, ébullition oblige, je lui dis » Doucement, c’est pas dans ta bouche que je veux finir. Y’a d’autres possibilités qui m’ont l’air intéressantes. « Elle s’allonge alors sur la Kodak 680, un monstre de la reprographie qui fait bien trois mètres de long, le dos sur la vitre elle a les fesses sur le rebord de la machine et elle écarte les jambes, totalement impudique. » Lèche-moi, s’il te plait, j’ai envie… » Je m’exécute.Elle a un abricot juteux à souhait, d’un goût suave.De ma langue je lui turlupine le bouton d’amour pendant que j’insère mes doigts dans sa grotte mystérieuse, couleur corail.Elle geint d’une manière ensorcelante. Encouragé, je lui vrille le clitoris avec la langue pendant qu’ayant soigneusement lubrifié mon index, je le lui enfonce doucement dans l’anus. J’alterne les mouvements tournants autour du clito avec les grands coups de langues voraces s’enfonçant de plus en plus loin dans son vagin. Mon index est vite rejoint par le majeur et ils entament une dansent endiablée dans son fondement.C’est plus des plaintes qu’elle exhale, mais des cris qu’elle pousse !N’en pouvant plus, je me redresse et d’un long mouvement, je lui enfonce toute la longueur de mon mat dans la chatte.J’entreprends alors les travaux d’Hercule. Chacun de mes coups de reins la déplace de 10 centimètres sur le photocopieur qui, avec nos mouvements, se met en marche et photocopie les fesses de ma belle en rafale. » Ahhh, ça chauffe le dos, c’est génial « Complètement emmanchés, nous sommes soudés l’un à l’autre et je rythme mes coups de mandrins sur la cadence ultra-rapide du monstre de plastique qui abrite nos amours.Soulevant complètement le capot, je retourne Alex qui s’allonge, ses seins venant s’écraser sur la vitre, immédiatement photocopiés par la machine en folie. Ses jambes sont splendidement écartées et dans cette nouvelle position, sa croupe est encore plus belle, avec son abricot de velours surmonté de cet irrésistible œillet plissé, véritable pousse-au-crime pour mes mœurs sodomites. » Tu as aimé mon doigt dans tes fesses, tout à l’heure ? » » Oui, vas-y, tu peux mettre ta grosse queue dans mon cul, maintenant » Ahhh, la brave petite !Aimable jusqu’au bout, j’insère doucement la tête de ma bite dans son anus et voyant que la résistance y est très faible, je m’y enfonce irrémédiablement jusqu’à la garde.Alexandra lance des feulements d’une sauvagerie extrême.Notre séance de photocopiage se poursuit pendant de longues minutes indicibles.Enfin, c’est l’explosion ! Le volcan éructe, le geyser explose, toute ma sauce tapisse le fond de son anus pendant que je m’affale sur son dos, mort d’épuisement.Elle geint faiblement, tellement sa pâmoison a été intense.Je lui susurre de langoureux et peu vigoureux merci, auxquels elle ne répond que par d’autres gémissements.Parcourue de grands frissons, elle n’en reste pas moins continuellement photocopiée, format A3. Penchant la tête je peux apercevoir la pile de photocopies, images sans mouvements de notre rut en photocopieuse majeure.Prestement, nous nous rhabillons, et nous mettons à faire ce que nous étions venus faire ici : des photocopies de ma présentation.Pendant que je suis occupé avec la machine qui assemble et agrafe les feuilles, Alexandra lit un document affiché au mur, dans le panneau réservé aux syndicats. » C’est marrant, dit-elle. On parle de toi là dedans. Regarde, c’est l’article 17…. «