La stagiaire et la responsable service équipement PARTIE 1
Je travaille depuis dix jours dans une coopérative agricole; Clémence. Une jeune femme dynamique, intéressée par son travail mais pas que…. Avec ses cheveux bruns bouclés, son corps épanouis qui laisse imaginer bien des choses. Ses fesses rondes, sa grosse poitrineUne bise chaleureuse et appuyée,
Proposée le 19/09/2022 par orangina07 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
La stagiaire et la responsable service équipement PARTIE 1Je travaille depuis dix jours dans une coopérative agricole qui a pour activité de réceptionner les cultures de céréales et fruits des agriculteurs de la région pour les nettoyer, les mettre en sac et ensuite les distribuer à différentes entreprises pour les vendre. Mon rôle est de peser les camions avec leur chargement, de référencer le produit, le poids, la variété et d’indiquer au chauffeur où il peut déposer sa marchandise. En fait, pas beaucoup d’activité, mais il faut rester sérieux et concentré pour ne pas faire d’erreur. Je suis dans la cour proche du portail d’entrée de l’entreprise, dans un bungalow. D’un côté les bureaux administratifs et de l’autre le pont bascule et des entrepôts. J’ai une vue sur les hautes fenêtres de certains bureaux qui me permet de voir la personne présente dans la pièce depuis les chevilles jusqu’aux étagères fixées sur le mur au-dessus. Je peux ainsi voir la stagiaire, Clémence. Une jeune femme dynamique, intéressée par son travail mais pas que…. Avec ses cheveux bruns bouclés, son corps épanouis qui laisse imaginer bien des choses. Ses fesses rondes, sa grosse poitrine et sa bouche aux lèvres fines sont autant d’appel aux plaisirs.
Nous avons tout de suite sympathisé et passez des moments à bavarder, à échanger même si je pense toujours à approfondir la relation et me rapprocher d’elle.
Comme tous les jours, elle passe me voir au bungalow à son arrivée. Sa longue robe bleue attachée avec des boutons sur le devant et une ceinture souligne la finesse de sa taille, dévoile la cambrure de ses reins sur un cul parfait et le volume de ses seins sans soutien-gorge dont je devine les tétons qui pointent sous le tissu. Une bise chaleureuse et appuyée, une pression de ses seins contre moi, alors que je pose ma main sur le haut des fesses, me réconforte dans l’idée qu’elle a aussi envie de passer à l’étape suivante dans notre collaboration.
– » Heureuse de te retrouver » me dit-elle tout sourire.
– » Pareils pour moi « .
Puis elle s’en va. Je le suis du regard et admire ses fesses remuer dans son pas rapide. J’attends quelques minutes et la voit enfin entrer dans son bureau. Elle s’installe devant un ordinateur et commence sa journée de travail. L’activité est calme en ce moment, alors je décide d’appeler Clémence sur la ligne interne. Je la vois écrire, tendre le bras pour décrocher. La discussion reste banale jusqu’à ce que je lui demande des choses personnelles, privées. Elle me répond sans gêne. Tout en discutant je la vois se caler au fond de son fauteuil et pivoter sur l’axe centrale comme une toupie de droite à gauche. Elle joue avec un stylo qu’elle porte à ses lèvres. D’où je suis j’ai du mal à voir nettement mais j’imagine ce qu’elle fait avec.
– « ….et puis je suis souvent excitée… » me répond-elle en tirant sur sa ceinture.
– » Ah bon… » dis-je en me caressant la bite à travers ma combinaison.
– » …oui…et j’ai du mal à me maîtriser parfois….surtout quand un homme glisse sa tête entre mes cuisses » ajoute-elle en remontant sur sa jupe jusqu’à la taille.
– » J’adore aussi…sentir une chatte humide au clito gonflé sur mes lèvres… » répondis-je alors qu’elle pousse le fauteuil en arrière et glisse une main entre ses cuisses ouvertes.
Je la regarde fouiller plus vite sur sa chatte que j’imagine humide, couverte de mouille.
– « ….j’aime goûter la mouille de ma partenaire… »
Elle tourne la tête vers mon bungalow avant de pivoter elle-même face à la fenêtre. Elle expose à mon regard son entrecuisse sans pouvoir l’admirer avec précision. Je distingue la tâche sombre des poils sous sa main qui bouge sur sa chatte peut-être humide. J’entends sa respiration courte et rapide, parfois un gémissement.
– « …j’adore fouiller sa fente baveuse avec ma langue et mes doigts… ».
Elle se cambre et agite plus fort sa main entre ses cuisses. Puis elle cale le téléphone entre son épaule et sa joue pour libérer sa main qu’elle porte à sa poitrine. Elle empoigne un sein, le presse. Elle relève un genou alors que sa main commence un mouvement de va et vient entre ses cuisses. Elle se relève, s’assoit sur le bord du fauteuil et reprend sa masturbation à demi allongée. La robe simplement fermée à la taille me laisse voir de loin ses gros seins et sa chatte pénétrée par ses doigts. Puis soudain je le vois se redresser, cacher ses seins en remettant sa robe en place avant de revenir face au bureau et reprend le téléphone en main contre son oreille. Je comprends en voyant le chef d’équipe apparaître devant elle. Il lui parle en faisant des gestes du doigt. Je vois aussi Clémence essayer de refermer sa robe sur ses jambes mais le tissu est coincé dans une roulette du fauteuil. Le chef d’équipe fait le tour du bureau pour accéder à une étagère, puis au tiroir en bas du bureau sur lequel Clémence travaille. Je lui parle tout en la voyant essayer de tirer sur le tissu de sa robe pour cacher sa jambe nue.
– » Je crois que tu es en mauvaise posture » dis-je lorsqu’il relève la tête vers elle puis la baisser à nouveau sur les cuisses de la stagiaire.
– » Tu as tout à fait raison ! » me répond-elle sérieusement tout en essayant de rester calme.
– » J’aime quand ma partenaire se laisse caresser, embrasser partout… ».
Clémence essaye de rester les jambes sous le bureau mais du bras il repousse le fauteuil. Elle a le temps de raccrocher avant qu’il se pose devant elle, les mains en appuis sur les accoudoirs. Il la surplombe et la domine. Elle se fait petite dans le fauteuil. Il se glisse entre les cuisses et l’oblige à les écarter. Il pose une main sur la cuisse et remonte en faisant des cercles sur la peau jusqu’à atteindre l’entrecuisse. Il commence à la caresser. Clémence agite la tête pour dire non mais son corps réclame du plaisir, des caresses. Il la branle alors plus fort, écrase les lèvres, frappe avec le plat de la main sur la fente, elle sursaute à chaque fois. Puis il lui empoigne un sein, je la vois se cambrer et se tordre sur le fauteuil. Il se rapproche encore, sa main explore l’entrecuisse, l’autre main sur un sein. Elle arrête de bouger et subit. Il l’attrape par les cheveux et l’embrasse de force. Elle essaie de le repousser mais sans y parvenir. Il s’écarte d’elle puis lui parle en pointant un doigt sous son nez. Clémence semble perdue. Il déboutonne son pantalon et en sort une bite raide. Il n’hésite pas et l’enfonce directe dans la bouche de la stagiaire. Malgré la situation difficile pour Clémence, je bande et je commence à me branler. Je regarde le chef d’équipe s’activer contre la stagiaire en lui baisant la bouche en donnant des coups de reins rapides. Parfois il sort sa bite couverte de bave, la garde un moment devant le visage de Clémence, frappe les joues, le nez puis la replonge dans la bouche. Après à peine deux minutes, il se crispe, projette rapidement son bassin contre la figure de Clémence puis se retire et disparaît. Je la regarde, elle ne comprend pas ce qui vient de lui arriver. Elle porte une main devant sa bouche et se passe un doigt sur les lèvres. Tout en remettant de l’ordre dans sa tenue, elle se lève et sort du bureau.
Je la vois sortir dans la cour et se diriger vers moi. Elle ouvre la porte et le referme aussi rapidement avant de venir me prendre dans ses bras. Elle respire vite, son corps est brûlant. Je sens sa poitrine s’écraser contre mon torse, ses mains courent sur mon dos, mes épaules, ma nuque. Elle se frotte contre moi, glisse une jambe entre les miennes et se caresse sur ma cuisse, tout son buste se frotte contre moi, Elle donne de petits coups de reins sur ma cuisse pour écraser sa chatte chaude. Elle m’embrasse plusieurs fois dans le cou avant de poser ses lèvres sur les miennes. J’essaie de la repousser sans la brusquer mais elle reste accrocher à mon cou et retient ma jambe entre les siennes.
– » Je ne sais pas…..ce qui….m’arrive…. » dit-elle en m’embrassant à pleine bouche. « ….ça fait trop longtemps que j’attends ça » ajoute-t-elle en me poussant contre la table et balaye les papiers d’un revers du bras.
Elle monte à genoux sur moi sur la table et ondule du bassin sur ma bite toujours tendue dans ma combinaison. Elle remonte sa jupe d’une main, dévoile son cul aux petites fesses pendant que l’autre essaie de faire glisser la fermeture éclair vers le bas.
– » Alleeeezzz… » dit-elle avec rage « aide-moooiiii « .
Je tire sur la fermeture éclair pendant qu’elle se redresse et retire sa robe pour la rouler jusqu’à la taille. Devant mes yeux ses gros seins avec de petites auréoles et gros tétons que je sens durs quand elle m’agrippe derrière la tête pour la plaquer sur sa poitrine. Une fois ma bite libérée, elle l’attrape, la frotte contre sa fente baveuse et se laisse tomber violement dessus et s’empale. Ses fesses claques contre mes cuisses.
– « Voillààààà… » gémit-elle en marquant un temps d’arrêt.
Elle tire ma tête pour la bloquer entre ses seins puis elle commence à me baiser, oui parce qu’à ce moment, je ne suis qu’un objet sexuel pour elle.
– » Puttaaiiinnnn comme c’est boooonn » lâche-t-elle en se laissant tomber comme une dingue sur ma bite.
J’en ai presque mal quand elle remue son bassin, le fait rouler sur mon sexe en elle, j’ai l’impression qu’il va se casser. Elle se redresse, se cambre, attrape ses tétons qu’elle pince, tire, empoigne ses gros seins, ses doigts s’enfoncent dans la chair tendre. Je pose mes mains sur ses hanches et l’accompagne. Elle me chevauche pendant plusieurs minutes avant de bloquer sa respiration, de se crisper et d’atteindre l’orgasme. Elle se laisse tomber sur moi, essoufflée.
– » Merci » me dit-elle après plusieurs minutes.
Elle descend de la table, remet sa robe en place et s’en va. Moi non plus, sans comprendre ce qui vient de se passer, je le regarde partir vers son bureau. J’ai passé le reste de la journée à scruter sa fenêtre, à mâter mais rien ne s’est passé. Même le chef d’équipe n’a pas remis les pieds dans le bureau de Clémence. Et le soir au départ de l’usine, un simple au revoir.
Toute la semaine suivante il n’y a rien eu de particulier, chacun et chacune à son poste. J’ai été appelé par Marion, la responsable du service équipement pour qu’elle m’explique son travail et que je dois être avec elle pendant plusieurs jours. Me voilà donc à attendre dans le couloir menant au local des marchandises qu’elle arrive. Il fait déjà chaud et lourd. J’entends la porte s’ouvrir. Marion marche d’un pas rapide vers moi, me salue et ouvre le local.
– » C’est ici qu’on entrepose le matériel…. » elle repart dans le couloir et me demande de la suivre.
Devant la porte, il y a un homme à côté d’un rolls remplit de cartons. Marion signe le bon de réception et demande au livreur de pousser le chariot.
– » Aide-le » me dit-elle.
Le livreur s’en va. Je la vois s’activer, bouger, courir dans tous les sens. Elle me donne chaud.
– » Tu es pressé ? » dis-je.
Elle me regarde, surprise par ma réflexion puis se met à rire.
– » Non…pas du tout… » elle pose le carton et se rapproche de moi « ….je pense toujours que je suis seule et que je dois tout faire…. ».
Elle me donne un petit coup de poing sur l’épaule.
– « ….mais tu es là pour m’aider… », elle se rapproche encore « …on a tout notre temps alors » finit-elle par dire en souriant.
– » C’est certain « .
Je regarde la porte, puis Marion, encore une fois la porte. Elle suit mon regard avant d’aller la fermer. Elle revient vers moi tout en marchant lentement, faisant rouler ses grosses fesses dans un pantalon qui la boudine dévoilant ses rondeurs. Le gilet orange fluo qu’elle porte, cache sa petite poitrine. Elle le quitte et le jette. Elle m’enlace et m’embrasse direct. Je pose mes mains sur sa taille, mes doigts empoignent la graisse, la pétrissent.
– » Huummm… » dit-elle en s’écartant « …tu aimes mes rondeurs ?… ».
Je fais oui de la tête.
– « ….alors qu’est-ce que t’attends pour déballer le paquet » ajoute-t-elle en prenant la position d’un mannequin de présentation en cire d’un magasin.
Enlever le chemisier et le soutien-gorge n’est pas difficile, mais c’est tout autre chose pour le pantalon. Lorsque le bouton est ouvert, c’est comme si son corps, son ventre retombe de tous côtés, comme un gâteau qui gonfle à la cuisson dans un four et qui déborde. Le faire ensuite rouler et glisser sur les hanches, les cuisses, est plus facile que je l’imaginais. Elle apparaît devant moi entièrement nue, le bourrelet de graisse de son ventre cache une partie de son entrecuisse à la fourrure abondante. Ses petits seins aux auréoles inexistantes exhibent des tétons qui pointent. Je reste à la contempler quelques secondes en sentant ma bite gonfler sous ma combinaison qui se tend.
– » Tu as besoin du manuel d’utilisation ? » dit-elle me riant.
Je la serre contre moi, ma bite cogne et s’enfonce dans la chaire molle de son ventre. Je suce ses tétons, durs, je les aspire. Mes mans claquent sur ses fesses larges. Elle pousse un petit cri à chaque coup et projette son bassin contre moi. Elle prend ma tête entre ses mains pour m’embrasser. Sa langue fouille ma bouche, se mêle à la mienne, l’aspire, la suce comme une petite bite. Nos bouches dévorent celle de l’autre. Puis elle me repousse et tire sur la fermeture éclair de ma combinaison tout en gardant les yeux fixés aux miens. Son sourit grandit au fur et à mesure que la combinaison s’ouvre. Elle découvre mon torse nu, pose une main dessus avant de tirer sur les poils autour des tétons qu’elle pince à leurs tours. Puis elle avance la tête et les embrasse, les suce, les lèche puis les pince entre ses dents. Je recule sous la faible douleur et la surprise. Aussitôt elle se déplace et me plaque contre la grille du rolls remplis de cartons.
– » Tu bouges pas ! ‘ dit-elle sèchement.
Elle tire sur la combinaison et la fait glisser à mes pieds.
– » Petit coquin… » dit-elle en effleurant ma bite du bout des doigts ‘…tu ne portes pas de sous-vêtement « .
Elle serre ma bite à la base en faisant un cercle avec ses doigts, les veines se gonflent, le gland devient rouge vif. Elle recommence à sucer, pincer mes tétons entre ses dents. L’autre main s’occupent de mes couilles qu’elle caresse puis écrase. Je pousse un gémissement qu’elle prend pour un encouragement. Elle serre encore plus fort sur la bourse pendant que de l’autre elle me branle doucement. Elle se colle à moi, se frotte contre moi. Elle crache dans sa main et me caresse la bite. Je lui presse les fesses, les écarte, les claque. Lorsque j’arrive à glisser une main entre nous mes doigts sont rapidement couverts de mouille dès qu’ils atteignent sa chatte.
– » Tu m’excites mon salaud… » elle se déhanche sur ma main « …tu vas me baiser » ajoute-t-elle en m’embrassant.
Mes doigts fouillent dans sa toison pubienne, tire sur les poils, les lèvres pendantes. Elle gémit, tremble et recule son bassin quand je touche son clito bandé. J’ouvre les yeux de surprise quand je le sens long entre mes doigts.
– » Ne crains rien… » dit-elle en soulevant la graisse de son ventre pour me montrer « ..il ne mord pas… ».
Je découvre son organe bandé dans toute sa nudité, long comme une petite bite avec le bout rose sortit de son capuchon et luisant de mouille.
– « ….par contre tu vas t’en occupé » dit-elle en tirant sur un pan de ma combinaison pour me mettre à genoux devant elle.
Elle tire ensuite ma tête contre sa toison brune épaisse, les poils couverts de mouilles. Je suis obligé de pencher la tête en arrière au maximum pour arriver à poser ma bouche sur sa chatte. Mon nez heurte d’abord don clito. Elle pousse un cri en appuyant et dirigeant ma tête contre elle. Je sens qu’elle essaie d’ouvrir les jambes mais la position est assez inconfortable pour nous deux. Elle se dirige vers un banc qu’elle décale du mur et me fais signe de la rejoindre. Elle s’assoit, m’attire vers elle, contre elle et me prend en bouche directe. Je vois ses lèvres se refermer, glisser sur ma bite qui se couvre rapidement de salive. Tout en caressant mes boules, elle tête me gland, le lèche, l’aspire puis l’enfonce rapidement au fond de sa gorge. Elle a du mal à la prendre toute entière, je la sens buter au fond de sa gorge. Elle essaie, fait une gorge profonde et la recrache. La bave fait un lien entre ses lèvres et le gland. Elle la branle rapidement, presse le bout. J’avance les mains vers sa poitrine, je la pince, la presse, tire sur les tétons. Elle se recule et lève les yeux vers moi avec un large sourire. Je plie les genoux pour la glisser entre ses petits seins, mais c’est difficile. Elle prend ma bite à la base et se frappe les tétons, se caresse avec. Puis elle s’allonge sur le banc et je constate qu’elle est très souple. Elle attrape derrière ses genoux et les tire contre elle, ouvrant et exhibant sa chatte poilue et son clito qui dépasse des poils d’au moins trois centimètres.
– » Maintenant tu peux en t’occuper….vite » dit-elle.
Je m’assois à mon tour sur le banc face à elle et plonge la tête entre ses larges cuisses. Ma bouche, mon visage sont couverts de mouille. Mon nez frotte contre son pubis lorsque je prends son clito entre les lèvres. Il ressemble vraiment à une petite bite que je m’applique à lécher, sucer. Marion gémit, s’agite sur le banc pendant que j’enfonce mes doigts dans sa chatte. Je sens le clito gonfler encore sous ma langue, je le tète rapidement. Elle mouille de plus en plus, elle relâche ses genoux pour se cramponner au banc alors qu’elle jouit en essayant de retenir ses cris et m’asperge de jus intimes.
– » Vas-y….maintenant… » dit-elle rapidement en repoussant ma tête couverte de mouille « …baise moi viiiiteee « .
Je frotte mon gland sur sa fente baveuse alors qu’elle écarte les cuisses pour dégager son orifice. Je frappe plusieurs fois ma bite sur son clito, la frotte avant de m’enfoncer d’un seul en elle. Elle relâche ses cuisses, garde la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau. Mon poids sur elle permet d’ouvrir d’avantage ses cuisses. Mes cuisses frappent contre les siennes, mes couilles butent contre ses fesses. J’appuis de tout mon poids sur elle pour m’enfoncer profond. Ses petits seins comprimés entre ses cuisses. J’embrasse, lèche les tétons durs. Je donne des coups de reins violents, le claquement résonne dans la pièce. Ma bite s’enfonce dans son intimité avec force, ses parois vaginales la compriment. Lorsque je la baise, un bruit obscène de ma bite qui glisse avec la mouille accompagne nos gémissements. J’accélère la cadence quand je vois le visage de Marion se crisper, qu’elle se cramponne plus fort sur le banc. Je n’ai pas le temps de donner un autre coup de rein qu’elle me repousse violement, poses ses pieds sur le sol et soulève son bassin comme si elle était habitée par un démon qui voudrait sortir d’elle. Elle rebondit plusieurs fois sur le banc. Elle inonde le mur en face d’elle à la façon d’une lance à incendie avant de s’immobiliser. La respiration encore rapide et courte témoigne de la violence de son orgasme. Quand elle ouvre les yeux et tourne la tête vers moi, son visage reste de marbre, pas un sourire. Elle se redresse et semble se désintéresser de moi.
– » On doit finir de ranger » dit-elle en se rhabillant.
La fin de la matinée se passe sans un mot, sans un regard entre nous. Je retourne au bungalow et reprend mon poste.
Après la pause repas, Le chef d’équipe me demande d’aller voir Rachel dans son bureau pour qu’elle m’explique les procédures pour les facturations, le classement des dossiers, saisir les inventaires dans l’ordinateur. Je traverse la cour sous un soleil brûlant, rien que de marcher je transpire. Après avoir frappé, j’ouvre la porte et je reçois un coup de froid en pleine figure. Je monte les escaliers et entre dans le bureau de Rachel. Elle se lève pour venir à ma rencontre. Sa chevelure blonde encadre son visage rond, ses yeux noisette derrière des lunettes lui donnent un air sérieux qu’elle n’a pas, toujours souriante. Ce que j’aime et admire le plus chez elles c’est son corps, tout en rondeur, en courbes, des formes larges et pleines, des seins en forme de pastèque dans un chemisier couleur sable entre lesquels j’ai envie de plonger la tête, comme entre ses cuisses dans un short en jeans noir. En voyant la façon dont bouge sa poitrine sous le chemisier, je peux en déduire qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Vérification faite lorsque j’aperçois ses larges et tétons bruns qui pointent sous le fin tissu de son chemisier. Peut-être à cause de la température de la pièce, il fait tout aussi froid que dans l’entrée du bâtiment.
Le contact entre nous est franc et direct. Elle se colle à moi pour me faire la bise, me prend par le bras et m’entraîne à son bureau. Je tire un fauteuil sur roulettes et m’assois à côté d’elle. Elle me montre quelles sont les tâches de son travail. Au fur et à mesures de ses explications je la voit se pencher, frotter ses gros seins sur le bord de son bureau, cambrer les reins. Sa respiration devient plus rapide. Elle termine même son exposé, dont je n’ai rien retenu, avec ses seins posés sur le bureau.
– » As-tu écouté ce que j’ai dit ?…. » me dit-elle en prenant ma main posée sur mon genoux.
– » Heu….oui… » dis-je sans grande certitude.
– » Ou alors as-tu passé ton temps à mâter ? » ajoute-t-elle en s’adossant à son fauteuil pour exhiber sa poitrine.
Mon regard va de ses yeux à ses seins, aux tétons que je distingue parfaitement sous le tissu tendu de son chemisier. Sans un mot elle le déboutonne et l’enlève. Je n’avais encore jamais vu de seins aussi gros, avec des tétons longs qui pointent et se dressent au centre de larges auréoles de la taille d’une sous-tasse à café. Sans réfléchir je me jette dessus, je les embrasse, les lèche, les suce. J’empoigne ses seins pour les faire ressortir encore. Je les soupèse, les écrase l’un contre l’autre, je tire les tétons, les frotte, les fait rouler entre les doigts. Je me glisse entre ses cuisses pour pouvoir les sucer, mettre ma tête entre les deux. Puis elle se lève et me plaque, alors que je suis encore à genoux, contre le bureau. D’un geste rapide elle se débarrasse de son short sous lequel elle ne porte pas de sous-vêtement. Sa chatte, libre de tous poils, s’expose avec ses grosses lèvres gonflées et son clito tout aussi dur et bandé que ses tétons. Elle écrase sa chatte humide sur mon visage.
– » Bouffe moi la chatte…. » dit-elle.
Elle bouge son bassin avec des mouvements circulaires, puis de haut en bas.
– « ….tu aimes la mouille..hein ! « .
Elle se sert de mon visage pour se frotter, se masturber. Il est rapidement couvert de mouille. Elle appuie plus fort et ses lèvres gorgées de sang s’écartent pour couvrir ma bouche, mon menton, mon nez. Son gros clito au bout rose cogne entre mes deux yeux. La tête coincée entre le bureau et sa chatte baveuse, elle se caresse les seins, tire sur les tétons et les pince.
– » Vas y mon salaud….suce moi « .
Elle accélère ses mouvements sur moi, elle se claque les seins, gifle les tétons. Elle se dégage pour s’assoir sur le bureau, me tirant par la combinaison. Elle descend la fermeture éclair et sort ma bite déjà dure qu’elle branle rapidement. Elle crache dans sa main pour couvrir le gland de salive déjà humide qu’elle pointe vers se fente humide. Elle le frotte entre ses lèvres, frappe son clito plusieurs fois. Rachel pousse des cris, des gémissements à chaque coup. Je pose mes mains sur ses énormes seins, sur les auréoles, pince les tétons qui sont comme deux radis fièrement dressés. Je n’hésite pas à les sucer, les embrasser alors qu’elle m’attire vers pour enfoncer ma bite en elle. C’est chaud, brûlant contrairement à l’air froid de la pièce.
– » Puttaaiiinnn….comme c’est boonn » gémit-elle.
Elle s’allonge sur le bureau, relève ses jambes et tire ses genoux vers elle, ouvrant un peu plus les cuisses et son intimité. J’attrape ses tétons que je pince fort, tire dessus. Je donne d’accord de petits coups de reins, je sens ma bite aspirée dans son conduit vaginal, puis j’accélère. Je me tines à ses seins comme à une bouée de sauvetage, mes doigts pénètrent la chair tendre. Je la baise plus fort quand elle commence à crier, à se frotter le clito qu’elle prend entre ses doigts pour le branler comme une petite bite. Je me penche pour embrasser ses tétons. Aussitôt elle m’attrape la tête pour l’attirer et la presser plus fort contre elle. Je continue de la baiser avec force et énergie. Elle m’enlace si fort que ma tête se coince entre ses seins, je n’arrive presque plus à respirer. Son corps tremble, ses muscles se tendent alors qu’elle jouit brutalement. Elle donne de violents coups de reins sur ma bite comprimée en elle. Puis elle me repousse d’un geste autoritaire, se redresse et reprend place devant son bureau.
– » C’est bon… » dit-elle le regard fixé sur l’écran d’ordinateur « …tu peux y aller » en pointant un doigt vers la porte.
Je ne sais quoi penser de cette situation, ni quoi faire. Je la regarde, puis ma bite couverte de mouille. Elle fait comme si je n’étais plus là et reprend son travail. J’avance vers la porte, j’entends qu’on frappe et la porte s’ouvre. J’essaie rapidement de fermer ma combinaison mais je me retrouve nez à nez avec Clémence qui a eu le temps de voir mon sexe. Surprise par ma présence ici elle pousse un petit cri en posant sa main sur sa bouche et fait tomber les papiers. Elle ramasse les feuilles tout en gardant les yeux sur mon sexe dans la combinaison encore ouverte.
– » Allez…. » lui dit Rachel » viens ici…dépêche toi « .
Clémence me fait un petit sourire avant de rejoindre Rachel. Je la regarde marcher en remuant ses fesses plus que nécéssaire. Rachel me fixe puis Clémence qui remet de l’ordre dans les feuilles sur la table contre le mur. Je me dirige vers la porte quand…..
– » Pas si vite…. » me dit Rachel en faisant signe du doigt d’approcher.
Je me place à côte de son bureau, la combinaison toujours ouverte. Elle jette un regard vers Clémence, sourit puis m’entraîne par le bras vers la table où se trouve la stagiaire.
– » OOhh ! » laisse échapper Clémence qui pose ses mains bras tendu sur la table lorsque Rachel se plaque dans son dos.
Elle lui prend direct un sein au creux de sa main pour le pétrir, le masser alors que l’autre glisse entre les cuisses. Clémence bascule en avant, se retient un bras sur la table, l’autre contre le mur.
– » Hhummm » gémit-elle lorsque la main glisse dans le legging sur les fesses.
Je vois la main disparaître entre les fesses de Clémence qui laisse échapper des soupirs de plaisirs. Elle pose sa seconde main sur le mur, cambre les reins et écarte les cuisses.
– » C’est bien ma petite chatte… » dit Rachel en tirant sur le teeshirt pour mettre les seins à nus.
Je me régale à les voir se balancer au rythme de la main qui s’agite maintenant entre les fesses. Clémence gémit plus fort, râle, se mord la lèvre pour ne pas crier.
– « …t’as envie qu’il te baise le cul ?… » ajoute Rachel en baissant le legging autant que possible sur les cuisses écartées.
Là encore je suis en admiration sur ses fesses rondes nues à la raie profonde. La main glisse entre les fesses puis sur la chatte humide et revient couverte de mouille entre les fesses.
– « …tu es toute mouillée ma petite salope… » dit Rachel.
Clémence fait oui de la tête tout en restant penchée en avant les mains sur le mur face à elle. Devant ses deux femmes je ne peux m’empêcher de sortir ma bite et de ma branler. Je sens encore sous mes doigts la mouille sur ma bite qui ne tarde pas à durcir quand je vois les doigts en pointe glisser entre les fesses puis disparaître jusqu’à la seconde phalange d’un coup dans le trou brun plissé. Clémence rejette la tête en arrière, cambre encore plus les reins et ne peut retenir un cri à la fois de douleur et de plaisir. Elle se crispe avant de se détendre et de se pencher encore plus en avant pour poser son front contre le mur.
– » C’est bien ma belle » lui dit Rachel qui la baise de plus en plus vite et fort avec sa main.
Les gémissements deviennent plus longs et forts. Clémence pince ses tétons, les tire alors que la main s’enfonce en elle à chaque fois un peu plus. Rachel me fait signe d’approcher. Je me précipite et arrive avec la bite raide, le gland humide.
– » Tu vas voir…. » dit Rachel à l’oreille de sa partenaire « …c’est encore meilleure avec une bite « .
Clémence garde la tête contre le mur et pose ses mains sur ses fesses qu’elle écarte au maximum. Je vois son orifice ouvert, humide, avec la chaire rose en son centre. Rachel me prend la bite et la guide vers le trou.
– » Aaaahhhh » laisse échapper Clémence quand ma bite s’enfonce en elle d’un coup.
Je ne fais aucun mouvement, Clémence recule son bassin pour s’empaler elle-même sur mon sexe. Son boyau est chaud, je n’ai pas la sensation d’être serré. Ma bite glisse en elle jusqu’à la garde et mes couilles frappent ses fesses. Rachel lui embrasse les seins tout en posant une main entre les cuisses pour caresser la fente baveuse. Clémence râle plus fort, sa respiration rapide témoigne de son excitation et du plaisir qu’elle éprouve, tout comme moi. Elle pose à nouveau ses mains sur le mur pour pousser ses fesses vers moi et enfoncer ma bite plus profond en elle. Le claquement de mon pubis sur ses fesses résonne dans la pièce. Rachel me caresse en même temps les couilles et cette caresse est un supplice pour moi. Je n’arrive pas à me retenir et j’explose la bite encore enfoncée entre les fesses de la jeune femme. Alors que mon sperme se répand en elle, Clémence jouit fort et se laisse tomber sur la table. Lorsque je me retire, du sperme coule sur ses cuisses. Rachel passe un doigt pour en récupérer une partie et le donne à lécher à Clémence qui ne la repousse pas. Après quoi les deux femmes s’embrassent à pleine bouche. Sans me regarder, Rachel m’indique la porte du doigt.
– » Dehors ! » dit-elle.
Elle accompagne Clémence à son bureau pour reprendre le travail comme si rien ne s’était passé.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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