— DĂ©pĂŞche-toi mon chĂ©ri, nous allons encore ĂŞtre en retard !— C’est aussi un peu de ta faute ! Avec tout le temps que tu as mis pour t’habiller !— Oui, mais avoue que ça te plait !— Ca, je ne peux dire le contraire… Ta tenue te va Ă ravir !— Mais j’espère bien mon chĂ©ri !— Surtout tes bottes et ta mini jupe…— Et mon haut alors ! Tu n’aimes pas mon dĂ©colletĂ©Â ?— Il est tellement profond que j’en ai le vertige ! Nous allons arriver dans 10 minutes maintenant !Ce soir-lĂ , nous Ă©tions invitĂ©s par un couple d’amis pour un week-end surprise. Evidemment, ils n’avaient rien voulu dĂ©voiler du contenu de ces deux jours et nous Ă©tions tous les deux un peu – on ne peut dire inquiet – mais curieux du dĂ©roulement de ces heures prochaines. Enfin ! Dans peu de temps nous serions fixĂ©s sur ce qui nous attendait.Le portail de la propriĂ©tĂ© est ouvert et nous entrons. Nous voyons la maison Ă©clairĂ©e Ă une centaine de mètres Ă travers les arbres. Les pneus de la voiture crissent sur le gravier. Les phares trouent l’obscuritĂ©, faisant devant nous un Ă®lot de sĂ©curitĂ©. Enfin nous arrivons et garons la voiture Ă cĂ´tĂ© de deux autres devant le perron. Nous prenons nos sacs et montons les marches. Denis, le maĂ®tre des lieux vient Ă notre rencontre.— Bonsoir, avez-vous fais bonne route ?— Très bonne ! RĂ©pond ma femme.— Ha ! Christine, ma chĂ©rie ! Comme je suis content de te revoir !Ca ne m’étonne pas vraiment me dis-je…— Tu ne peux pas savoir comme j’ai trouvĂ© le temps long depuis notre dernière soirĂ©e au Cap !— 1 mois dĂ©jĂ Â ! Mais ne restez pas lĂ , entrez ! Bonsoir Daniel ! Pas trop fatiguĂ© de rouler la nuit sur ces routes ?— Non, pas vraiment… J’ai l’habitude.— Allez passe devant !— Tu as des invitĂ©s ? Dis-je en regardant les deux autres voitures…— Oui vous allez faire leur connaissance !— Ok ! Je te fais confiance…Il me rĂ©pond par un clin d’œil… Tout un programme venant de Denis !Nous entrons dans son magnifique hall avec toujours ce grand escalier monumental et ce lustre de Murano que lui envie tant ma femme ! Nous posons nos sacs et entrons au salon.Brigitte, la femme de Denis nous accueille dans une superbe robe fourreau noire, une coupe de champagne Ă la main.— Bonsoir mes chĂ©ris !— Brigitte, tu es toujours aussi belle !— Ah ! Daniel, toujours aussi flatteur !— Non, c’est sincère, tu es resplendissante ! Tu as mĂŞme conservĂ© un peu de ce teint halĂ© de nos vacances…— C’est en partie vrai, mais les UV y sont sĂ»rement pour quelque chose… Venez, que je vous prĂ©sente !Elle m’entraĂ®ne de sa main libre vers le centre du salon. Je prends ma femme par la main au passage…2 Couples sont installĂ©s dans les canapĂ©s. Ils se lèvent…— Christine et Daniel de Paris, Christelle et Bruno de Lyon, Sophie et marc de Tours…— EnchantĂ©s !Je serre la main de hommes et embrasse les femmes, Christine bise tout le monde ! Nous nous asseyons dans un profond canapĂ© de cuir fauve. Denis nous sert une coupe de champagne. Il est frappĂ© Ă point et nous revigore un peu après ces trois heures de route. Nous Ă©tudions brièvement ces quatre inconnus. Les hommes sont en tenues dĂ©contractĂ©es, pantalons lĂ©gers et polos, Christelle Jolie blonde cheveux longs et fins porte une robe rouge vif descendant Ă mi-cuisses, les Ă©paules dĂ©nudĂ©es. Sophie, grande brune, porte une mini jupe serrĂ©e en cuir noir sur des bas et bottes de la mĂŞme couleur, et un haut noir et rouge en dentelle très ajustĂ© qui moule parfaitement son opulente poitrine.Nous devisons tous les huit de choses et d’autres et en particulier de la rĂ©gion. La douceur de ces pays de Loire, ses châteaux, ses vignes, ses caves dans le roc et de ses forĂŞts… Nous sommes en fait dans une magnifique propriĂ©tĂ© qui surplombe la Loire, sur un coteau boisĂ©. La maison, mis Ă part son petit parc est entourĂ©e de bois.Nous passons Ă table. Comme toujours chez eux, le buffet recèle mille trĂ©sors : salade pĂ©rigourdine en entrĂ©e avec gĂ©siers et magret, diverses viandes froides dont du gibier, printanière de petits lĂ©gumes, plateau de fromages et pour accompagner le tout Loupiac blanc et Vin de Loire rouge. Pour finir, j’aperçois une forĂŞt noire et du champagne dans un seau Ă glace… Ca promet ! Après nous ĂŞtre servis, nous nous installons autour de la grande table ronde et discutons par petit groupe. Nous apprenons Ă nous connaĂ®tre. Nous Ă©changeons sur nos loisirs, les sports que nous pratiquons, nos projets…Sophie me raconte ses dernières vacances aux CaraĂŻbes avec son mari, les plages de sable blanc, les cocotiers, la mer turquoise… Ca me rappelle notre voyage de noce. DĂ©jĂ 20 ans !Christelle nous dĂ©crit la villa qu’ils ont louĂ©e cet Ă©tĂ© sur les hauts de Ramatuelle. La vue sur la mer, les pins, la piscine et la terrasse solarium dont elle a tant profitĂ©.Une fois le repas terminĂ© et desservi, nous rejoignons le salon. Chacun se doute que Brigitte et Denis vont nous exposer le contenu de ce week-end. C’est Denis qui prend la parole.— Vous attendez tous, je pense, que je vous dise ce que nous rĂ©servent ces deux jours. Ce n’est pas compliquĂ©, Ă©tant donnĂ© que nous sommes tous libertins, nous avons pensĂ©, Brigitte et moi Ă un scĂ©nario que nous voulions rĂ©aliser depuis longtemps. Le sujet sera la chasse. Nous les hommes seront les chasseurs, beaux, forts etc etc… – rire de l’assemblĂ©e – et vous mesdames, le gibier ! C’est un rĂ´le qui correspond bien Ă vos dĂ©sirs en matière de soumission soft. Dans quelques minutes, vous devrez vous Ă©parpiller dans le parc et les bois uniquement vĂŞtues de vos chaussures, de vos dessous (string et soutien-gorge) et des capes qui reposent sur le dossier de ce fauteuil. Nous vous laisserons quelques minutes d’avance et nous partirons Ă votre recherche. Ă€ chaque fois que vous serez dĂ©couvertes, nous vous prendrons un de ces vĂŞtements et vous devrez vous acquitter d’un gage…C’est Brigitte qui continue…— La première fois que nous serons rejointes, ils nous prendront la cape mais rassurez-vous, ce soir il fait une tempĂ©rature idĂ©ale. Notre gage sera une fellation pour le chasseur qui nous aura dĂ©couverte. Il faut noter qu’ils ne se donneront aucune indication sur nos cachettes. La deuxième fois nous perdrons notre soutien-gorge et notre gage sera de faire l’amour avec pĂ©nĂ©tration vaginale uniquement. La troisième, nous perdrons notre string et le gage sera une sodomie… A la quatrième, le chasseur nous ramènera ici et nous passerons la nuit avec lui ! Nous n’utiliserons pas de prĂ©servatifs, nous vous avons sĂ©lectionnĂ©s en partie grâce Ă vos tests HIV…Nous Ă©coutons attentivement et nous regardons mutuellement. Les femmes ont l’air ravies mais un peu inquiètes. Brigitte semble prendre un immense plaisir Ă rĂ©aliser son fantasme.Denis reprend la parole.— Quand vous rentrerez dans la maison, vous passerez par la porte du jardin et vous prendrez le petit escalier. Les hommes laisseront leurs sacs au pied de l’escalier. Vous monterez dans les chambres des dames et ensuite, vous ferez ce que bon vous semble selon les dĂ©sirs de chacun. Le but Ă©tant de passer la nuit Ă deux – en couple ou pas – sans dĂ©voiler l’identitĂ© de votre partenaire de la nuit aux autres. Ainsi demain, les hommes se retrouveront sur la terrasse vers 11h00 et nous laisserons ces dames s’apprĂŞter. Elles descendront ensuite. Nous garderons secrète les identitĂ©s de ces couples. Libre Ă vous de la rĂ©vĂ©ler ou pas Ă votre conjoint par la suite… Demain après midi, nous pourrons profiter de la terrasse ainsi que de la piscine et aussi des chambres si le cĹ“ur vous en dit encore ! Mesdames, nous vous laissons vous apprĂŞter pour la chasse !Les femmes sont prĂŞtes dans le hall, enveloppĂ©es dans leur cape. Nous leur laissons dix minutes d’avance afin de s’amĂ©nager une cachette. Brigitte doit leur donner quelques suggestions d’endroit possibles. Il faut dire que le parc et les bois font Ă peu près 3 hectares… Ca ne va pas ĂŞtre facile de les retrouver !Nous retournons au salon en attendant le signal de Denis.Le temps est passĂ© et la chasse commence ! Sur le perron, nous partons au hasard dans des directions opposĂ©es afin de multiplier les chances de les retrouver. Je vois Denis partir Ă ma gauche vers le fond du parc, je me dis que s’il va par lĂ , c’est qu’une cache doit y ĂŞtre possible. Je note pour plus tard. Je m’enfonce dans le bois… je marche d’un pas lĂ©ger afin de faire le moins de bruit possible. Heureusement le clair de lune illumine le ciel et projette des ombres fantomatiques. La forĂŞt est vraiment sinistre la nuit. On pourrait avec très peu d’imagination entendre les loups hurler ! Les femmes ne doivent pas ĂŞtre très rassurĂ©es ! Je marche environ 10 minutes et je ne saurais dire quelle distance j’ai parcouru Quand j’entends un bruit de brindille cassĂ©e sur ma droite. Je me tapis et attends. Le bruit se renouvelle. Il semble se rapprocher ! Peut ĂŞtre n’est-ce qu’un des chasseurs… J’attends toujours ! Une forme sombre apparaĂ®t derrière un arbre. Je reconnais une cape, c’est une femme ! Je la laisse approcher… Quand elle arrive près de moi, elle semble ne pas m’avoir vu. Je me lève. Elle pousse un petit cri de frayeur ! Je lui parle doucement pour la rassurer… C’est Christelle ! Je la rejoins et la prends dans mes bras.— Tu n’as pas l’air rassurĂ©e !— J’ai une de ces frousse dans ces bois, j’entends des bruits partout sans rien voir… Avec le clair de lune, j’ai l’impression que mĂŞme les arbres bougent !— Rassure-toi, j’ai eu exactement le mĂŞme sentiment… Je vois Ă ta cape que tu n’as encore rencontrĂ© aucun chasseur !— Oui c’est vrai. Je crois que j’en ai croisĂ© un tout Ă l’heure, mais je me suis accroupie et il est passĂ©. Toi par contre, je ne t’ai pas vu !— Tu veux faire ton gage ici ou tu as repĂ©rĂ© un endroit plus confortable ?— Pourquoi pas ici ! Une petite pipe dans les bois la nuit, quelle fantasme !— Alors en piste ma belle ! ! !Elle se baisse devant moi, ouvre ma braguette et sort mon sexe. D’abord elle me branle dans sa main, puis je sens mon gland arriver au contact de ses lèvres. Elles sont chaudes ! Je les sens s’écarter et mon gland pĂ©nĂ©trer dans sa bouche. Petit Ă petit, elle fait entrer toute ma hampe et commence un lent mouvement de va-et-vient tout en douceur ! Sa langue, s’enroule autour de mon sexe, tantĂ´t vient me titiller le bout, tantĂ´t elle passe toute en longueur sous ma queue. C’est vraiment dĂ©licieux ! J’adore la première relation avec une femme car le plaisir de la dĂ©couverte de nouvelles sensations est vraiment merveilleuse. En quelques minutes de ce traitement, elle me fait jouir au fond de sa bouche. Elle garde mon sexe bien enfoncĂ© jusqu’à la fin de mon plaisir. Elle boit mon sperme jusqu’à la dernière goutte qu’elle vient lĂ©cher du bout de la langue sur mon gland. Son gage achevĂ©, elle se relève. Je l’enlace tendrement et l’embrasse. Sa bouche s’ouvre sous mon baiser et nos langues s’enroulent, se touchent se frottent ! Elle a gardĂ© un peu de mon sperme et c’est avec dĂ©lectation que je le partage avec elle. Notre baiser dure une Ă©ternité…— Je vais te prendre ta cape..— Eh oui ! C’est le jeu !— Je pense que tu ne tarderas pas Ă te rĂ©chauffer dans des bras accueillants…— Je le pense, mais tu ne dis pas oĂą je suis !— Promis ma jolie !— Dommage que tu ne sois pas le dernier que je rencontre…— C’est un très beau compliment !— J’aurais aimĂ©, c’est tout…— Rien ne dit que je ne te recroiserais pas quand tu seras nue !— C’est vrai ! Alors Ă tout Ă l’heure peut ĂŞtre…— Bisous et Ă©clate-toi bien !— Bisous Ă©galement…Je la laisse partir. Sa peau claire et ses dessous blancs vont la faire repĂ©rer vite, pensais-je ! Mais bon, c’est la règle du jeu acceptĂ©e par tous ! Je reprends donc mon chemin au hasard. Au bout de quelques minutes, j’arrive Ă la clĂ´ture du parc et dĂ©cide de la longer… J’arrive Ă une petite cabane de jardinier Ă la lisière du bois. J’en fais le tour, rien ne bouge… Je pense que ça ferait une bonne cache et entreprend de la visiter. J’ouvre la porte, il y fait bien sombre… J’allume mon briquet et fait un tour d’horizon. Dans un coin, je trouve ma femme blottie derrière un vieux meuble. Elle met son doigt sur la bouche et vient vers moi.— Bonsoir mon chĂ©ri !— Rebonsoir mon amour !— Alors ça y est, tu m’as trouvĂ©e ! Pourtant je croyais ĂŞtre bien cachĂ©e…— Trop justement ! Une cabane est bien le premier endroit oĂą se cacher dans ce parc. Donc…— Mais dis donc tu as une cape ! Elle est Ă qui ?— Je ne te le dirai pas… Mais toi, tu ne l’as plus ?— Eh non ! on me l’a prise…— EgalitĂ© alors !— Ben oui !— Tu vas devoir t’acquitter de ton gage ! C’est possible ici ?— Oui, il y a des vieux sacs dans le coin lĂ -bas.— Alors, on y va ?— Ouiiiii ! Quelle ambiance ! Baiser ici comme des amants cachĂ©s…ArrivĂ© sur notre couche de fortune, je lui retire son string. Je passe ma main entre ses cuisses. Visiblement, ce jeu lui fait beaucoup d’effet ! Elle est trempĂ©e. D’habitude nos jeux amoureux sont plus basĂ©s sur une douceur extrĂŞme mais lĂ , pour changer et profiter de cette ambiance, je dĂ©cide de la prendre Ă la hussarde. Pas de prĂ©liminaires… Je baisse mon pantalon et mon slip, je la fais mettre en levrette et je m’introduis en elle d’une lente poussĂ©e… Je l’ai rarement vue aussi excitĂ©e ! Je commence Ă la baiser vigoureusement, introduisant ma queue entière et ressortant presque totalement.— Oh mon chĂ©ri ! Oui comme ça ! Comment as-tu su que je souhaitais ĂŞtre prise comme ça !— Je ne savais pas ! Le fait de baiser comme des amants ?— Oooohhhhhh ! ouiiii ! Encore, n’arrĂŞte pas ! Lime-moi la chatte !— Voila ma chĂ©rie, plus fort !— Ouiiii ! Encore plus fort ! Baise-moi comme une pute ! Ce soir, je suis ta pute !— Non mon amour ! Ce soir, tu es notre pute Ă tous !— Ouiiiii ! ohhhh ! Ca y est presque ! DĂ©fonce-moi encore plus fort !— Ohh ! Ahhh !— Encoreeeeeeee ! Arrrhhhh!Nous avons joui tous les deux en mĂŞme temps, ça a Ă©tĂ© merveilleux… Nous restons emboĂ®tĂ©s quelques instants puis je me retire. Son sexe est totalement inondĂ© de sperme et de cyprine. Nous nous rhabillons en silence mais au moment ou Christine remet son slip, la porte s’ouvre Ă nouveau. Marc entre et nous voit tous les deux.— J’ai entendu des cris Ă©touffĂ©s, je suis venu voir…— Tu as bien fait marc ! Voila ma femme, elle est encore toute chaude !— Euh oui… en effet c’est le jeu !— Bien sĂ»r ! Je crois que Chris est très en forme ce soir ! Tu ne vas pas ĂŞtre déçu !— Super, je suis le deuxième ou le troisième ?— Le troisième ! Dit ma femme.— Alors Marc tu vas pouvoir profiter de l’anus de ma femme ! ! !— Super !— Allez baise la bien ! Au fait ma chĂ©rie, il faut que tu me donne ton soutien-gorge— Voila ton trophĂ©e mon amour ! A demain…Sur ces paroles et après un bisou Ă ma femme, je quitte la cabane. OĂą aller ? Je dĂ©cide de revenir vers la maison et profiter de la lumière. J’en fait le tour. Je ne me rappelais plus avoir remarquĂ© cette petite serre, je regarde au carreau mais ne vois rien. Au moment ou j’allais abandonner, je remarque une tache claire près du sol dans un coin ! Forme en V… Blanc… Un string ? Il faut que j’aille voir. Ă€ peine la porte poussĂ©e, je vois la forme qui se dĂ©place ! ! ! Pas de doute ! J’avance et je vois une femme se relever.— Ah ! Daniel !— Tiens Brigitte !— Je commençais Ă m’ennuyer !— Oh ! Mais tu as dĂ©jĂ eu de la visite, il ne te reste que ton string !— Ben oui ! Tu es le troisième !— Alors, je vais te le retirer !— Si tu veux… Il ne va plus me servir ce soir !— Et voila ! mini mini hein ! Il ne doit pas te cacher grand-chose !— Tu sais bien depuis quelques annĂ©es que j’adore ĂŞtre nue ! Cet Ă©tĂ© encore, nous avons passĂ© trois semaines presque nus au Cap !— Bien sĂ»r ma chĂ©rie, je me rappelle. Je n’ai pas arrĂŞtĂ© de te mater…, tes jolis seins, ta petite chatte Ă©pilĂ©e et ton cul tout mignon…— Flatteur !— Non c’est sincère…Tout en discutant, je la caresse. Mes mains glissent lĂ©gèrement sur sa peau. Je passe mes doigts dans ses cheveux. Comme quand nous faisions l’amour tous les quatre dans l’appartement voici quelques annĂ©es maintenant – j’ai toujours eu envie d’elle.— Hummm mon chĂ©ri ! C’est bon ce que tu me fais…— Nous sommes lĂ pour nous faire du bien, non ?— C’est vrai ! Tu vas mĂŞme pouvoir profiter de moi par derrière…— J’y compte bien ! J’ai amenĂ© un peu de gel lubrifiant pour la douceur…— Gentille attention ! Ca ne m’étonne pas de toi !— Voila ! Baisse-toi un peu !Du bout de mon index, je commence Ă enduire son petit orifice de gel, et en profite aussi pour lui lubrifier Ă l’intĂ©rieur. Mon doigt glisse facilement dans son anus. J’entreprends de lui en introduire un deuxième… Toujours aussi facile ! Un petit troisième ?….. Oui ça rentre ! Mais ça commence Ă ĂŞtre serrĂ©Â !— Viens maintenant ! Je suis prĂŞte… encule-moi !— Vos dĂ©sirs sont des ordres ma chère !Mon pĂ©nis est dĂ©jĂ tout dressĂ© rien qu’à l’idĂ©e de la sodomiser… Je pointe mon gland Ă l’entrĂ©e de son anus et pousse lentement. Le gland rentre sans effort…… Rien qu’un long râle de plaisir d’une femelle prise entièrement ! Je la lime doucement d’abord puis de plus en plus rapidement… Ses fesses qu’elle envoie Ă ma rencontre claquent contre mon bassin. Elle remue tellement que j’ai du mal Ă ne pas sortir de son Ă©troit conduit…— Oui vas-y ! Encule-moi fort ! Plus fort ! ! !— Je ne peux pas plus !— Ahhh ! oui encore ! Je vais jouir !— Ohhh ! Moi aussi, je suis au bord !— Ahh Ahh ! ouiiii ! Remplis-moi !— Ouiiii ! Ca y est, je te jute dedans !— Reste bien au fond ! Je veux tout dans mon cul !— Ahhh ! oui ! C’est bonnnnn !Je retire ma verge de son anus dans un lĂ©ger bruit de succion. Ce qui nous fait rire… Une petite claque sur les fesses la fait se relever. Je l’embrasse Ă pleine bouche et la remercie pour l’idĂ©e de ce jeu…— Nous en reparlerons demain ! Sauve-toi, il te reste encore une belle traque. Peut ĂŞtre profiteras-tu encore d’une femme pas encore nue !— C’est possible !Je sors de la serre et me lance Ă travers le parc dans une direction que je n’ai pas encore prise. J’ai Ă peine marchĂ© jusqu’à l’orĂ©e du bois que je vois passer devant moi une fille en slip ! ! ! Chance ! Encore une sodomie ! Je la rattrape, c’est Christelle…— Ma chère Christelle, je crois que pour passer la nuit avec toi, je suis un peu en avance !— Oh ! Ce n’est vraiment pas de chance !— Je ne suis pas d’accord ! Parce que tu me dois un gage et que je vais te prendre ta culotte !— Ah ! oui ! hum hum ! Tu vas prendre mon cul ?— Oui ! C’est le jeu…— Je n’aime pas trop ça…— Je vais faire doucement ! D’ailleurs, j’ai du lubrifiant…— Bon, je vais essayer, mais si ça me fait mal, tu arrĂŞtes ! Promis ?— Promis !— Tiens voila ma culotte…— Merci très chère !Je procède de mĂŞme que pour Brigitte, gel, un doigt, deux… Trois… aĂŻe ! Ce n’est pas gagnĂ©Â ! Je sors mon sexe, que je badigeonne de gel et le prĂ©sente Ă son cul. Je force un peu… Ca rentre mais c’est hyper serrĂ©Â ! Je rentre Ă fond tout de mĂŞme mais j’ai l’impression que ma partenaire serre les fesses. Elle me dit avoir mal, je n’insiste pas… Je ressors d’elle. Elle parait soulagĂ©e.— Merci ! J’avais vraiment mal…— Pas de quoi ! Nous ne sommes pas lĂ pour vous faire mal !— Merci tout de mĂŞme… Mais pour mon gage ?— Je t’ai pĂ©nĂ©trĂ© l’anus, non ? On a jamais dit qu’il fallait jouir pour accomplir le gage !— C’est vrai…— Allez va près de la maison, tu vas bien tomber sur un chasseur et la prochaine Ă©tape, c’est la couette… Bonne nuit !— Bonne nuit ! me souffle-t-elleMe voila reparti dans ma traque ! Il y a une femme que je n’ai pas encore rencontrĂ©e, c’est Sophie ! OĂą se cache-t-elle ? Pourvu qu’elle ne se soit pas encore fait prendre nue par un chasseur ! Et si la seule femme qui restait Ă©tait Christelle ? Je vais aller voir si les lumières des chambres sont allumĂ©es ! …. Une seule ! Vite reprendre la chasse… Je me dirige vers l’entrĂ©e du domaine, je viens de me souvenir qu’il y a un petit pavillon près du portail ! Denis s’en sert pour entreposer de vieux meubles ! Endroit parfait pour se cacher… La porte rĂ©siste un peu… Ca s’ouvre ! Pas de lumière ? Bon, je vais encore avoir recours au briquet ! Des vieux meubles sont entassĂ©s dans la première pièce, mais pas de femme ! snif ! Une porte, je la pousse… Encore des meubles ! Re-snif ! Soudain, la porte d’une armoire semble bouger ! Oui, c’est ça, elle s’ouvre ! J’avance… Et qui sort de l’armoire ? une superbe crĂ©ature, grande et brune…— Sophie !— Tiens Daniel ! Je ne t’avais encore pas encore croisé…— Eh non ! Je me cache bien aussi !— Je vois ça !— Tu es nue ?— Oui…— Donc nous remontons Ă la maison !— Oui, vivement sous la couette, je commençais Ă geler ici !— Je vais te rĂ©chauffer dans la chambre…— J’y compte bien !— Alors c’est parti ! ! !Nous passons par la porte du jardin et empruntons le petit escalier de service. Je rĂ©cupère au passage mon sac et allons comme convenu dans la chambre rĂ©servĂ©e Ă Sophie… Il ne reste maintenant qu’un seul sac donc un seul couple dehors ! Les deux autres sont dĂ©jĂ en train de batifoler entre les draps ! Ces chambres que nous connaissons bien pour y avoir sĂ©journĂ© quelques fois sont très spacieuses et disposent toutes d’une belle salle de bain. Sophie veut prendre une douche après ces Ă©preuves… Je la comprends et vais l’imiter.Elle me laisse la place, je prends une bonne douche brĂ»lante et vais la rejoindre sous la couette.— Finalement, nous ne nous sommes croisĂ©s que pour passer la nuit ensemble !— Nous ne l’avons fait exprès ni l’un ni l’autre ma chĂ©rie ! C’est le hasard !— Bon, on s’occupe ?Nous avons fait l’amour immĂ©diatement, puis les occupants de la chambre voisine nous ont fait une symphonie de grincement de ressorts, de cris, de gĂ©missements et de commentaires qui nous ont fait bien rire. Nous nous sommes finalement endormis. Sophie m’a rĂ©veillĂ© en pleine nuit par une fellation, digne d’une dĂ©esse ! Je l’ai retournĂ©e sur le dos et l’ai lĂ©chĂ© jusqu’à ce qu’elle crie grâce ! Et quand je dis crier ! ! ! Nous avons refait l’amour tendrement enlacĂ©s, elle sur moi… Au petit jour, je me suis rĂ©veillĂ© avec une Ă©rection, qu’il aurait Ă©tĂ© sacrilège de ne pas l’en faire profiter… Je l’ai donc caressĂ©e du bout du doigt sur son clitoris jusqu’à ce que je l’entende murmurer :— Quelle heure est-il mon chĂ©ri ?— L’heure de l’amour !— Hummmm ! Gourmand !— Regarde, touche !— Wahhhh !— Comme tu dis…Nous avons refait l’amour, comme deux jeunes qui dĂ©couvrent le plaisir. Nous Ă©tions seuls au monde ! C’est sĂ»rement la pensĂ©e qu’ont eue nos voisins de chambre ! Le silence revenu, nous les avons entendus rire et nous fĂ©liciter ! Ils en ont profitĂ© pour recommencer aussi, les coquins ! La nuit s’est Ă©coulĂ©e ponctuĂ©e de cris et de gĂ©missements des couples qui faisaient l’amour.Nous nous sommes levĂ©s vers 10h00 et nous avons pris la douche ensemble. Et devinez ce que l’on a fait sous la douche ?Je suis descendu rejoindre les autres chasseurs vers 11h00 sur la terrasse. Nous y avons pris un solide petit dĂ©jeuner en attendant nos femmes ! Aucun commentaire n’a Ă©tĂ© Ă©changĂ© sur nos expĂ©riences de la soirĂ©e et de la nuit ! Pourtant chacun devait penser : il y en a un qui Ă passĂ© la nuit avec ma femme, l’a baisĂ©e, sodomisĂ©e peut ĂŞtre mais lequel ?Nos femmes sont apparues presque en mĂŞme temps, resplendissantes, Ă©panouies, ont fait un petit bisou Ă chacun puis ont pris place autour de la table comme si rien ne s’était passĂ©Â ! Pourtant, je peux dire que nous, les « chasseurs » Ă©tions tous heureux ! Pour ma part, je me suis fait sucer et j’ai sodomisĂ© Christelle, j’ai baisĂ© ma femme, sodomisĂ© Brigitte et passĂ© une nuit de rĂŞve avec Sophie ! Et je n’ai jamais su avec qui ma femme avait passĂ© la nuit.Après un petit sondage 3 mois plus tard, il est apparu qu’aucun de nous ne savait avec qui son conjoint avait batifolĂ© une nuit entière. Pourtant nous savions que nos femmes avaient sucĂ©, baisĂ© et avaient Ă©tĂ© sodomisĂ©es par tous les participants ! Quel Week-end ! ! !