La vendeuse (deuxième partie)
Consciente de mon absence, ma femme décide de m’emmener dans une boutique de lingerie…
Proposée le 27/05/2015 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FFHLieu: EssayageType: Fantasme
Cela fait jours que je n’arrêtais pas de penser à Claire, la vendeuse du magasin de lingerie coquine. Son corps hantait mes pensées et notre aventure ne cessait d’habiter mes rêves. Je revoyais ses lèvres engloutir mon sexe, sa gorge demander mes coups de reins et ses yeux me supplier de ne pas arrêter. Après cet épisode tumultueux j’étais reparti au travail. La fin de journée s’était montrée improductive tant je pensais à elle, à son corps et à ses lèvres. Le soir, j’avais rejoint Clémentine. Sa douce fellation et la partie de jambe en l’air qui s’en suivirent ne gommèrent pas les souvenirs que j’avais de Claire. Quoi qu’il advienne Claire était toujours dans mes pensées. Malgré l’intimité partagée, cette femme gardait une part de mystère qui m’attirait toujours autant. Je me suis toujours interdit de retourner dans son magasin à ma pause déjeuner. La raison voulait que je reste fidèle et ce qui s’était passé ce jour-là devait rester dans le passé. Mais son image restait inexorablement gravée dans ma mémoire. Clémentine avait perçue un changement en moi. Certes nous faisions toujours l’amour à tout va, mais elle avait remarqué des absences en moi sans pour autant se douter que je pensais à Claire quand elle me faisait une fellation.
Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvai Clémentine assise sur notre canapé, devant son ordinateur. Je me dessapai en partie et vins m’assoir à côté d’elle. Elle m’embrassa tendrement et me dit :
– Tu as passé une bonne journée mon amour ?
– Oui un peu fatigante et toi ? répondis-je.
– Oui ça va. Regarde ce que j’ai trouvé sur internet. Tu aimerais que je porte ça ? On pourrait aller voir vendredi tu as ton jours de RTT, me demanda-t-elle.Elle me montra l’écran de son ordinateur. Elle était sur la page d’un magasin de lingerie fine. Au premier abord rien d’anormal. Cependant le nom du magasin me rappelait vaguement quelque chose. Quand je compris, je devins blême ! C’était le magasin de Claire. Non seulement Claire voulait s’y rendre mais en plus elle me montrait l’ensemble dans lequel Claire s’était habillée pour nos ébats.
– Oui… c’est très… joli, répondis-je maladroitement.
– Tu n’as pas l’air très convaincu chéri ! Ce n’est pas grave je te montrerais là-bas que ça en vaut le coup !
J’étais tétanisé ! Clémentine voulait aller dans la boutique ou j’avais sauvagement pris la vendeuse il y a de ça quelques jours. Comment est-ce que ça allait se passer ? Je pensais à Claire, encore et toujours à elle. Elle qui m’avait royalement suçait, elle qui avait avalé mon foutre, elle qui m’avait offert pour la première fois son petit cul. Je recommençais malgré moi à bander.
– Tu vois ! Ça te fait de l’effet ! me dit Clémentine avec un sourire malicieux. Suite à ça, Clémentine m’avait fait une sensuelle fellation sur le fauteuil. C’était certes très agréable mais ça ne valait pas les vas et viens endiablés de Claire. Qui plus est, Clémentine refusait que j’éjacule dans sa bouche et que je visite son petit trou. L’excitation était donc moindre.
La semaine passa et le stresse ne fit qu’augmenter. Jeudi soir, nous ne fîmes pas l’amour avec Clémentine car celle-ci voulait me réserver pour le lendemain. Malgré le stress et la peur j’étais donc excité le vendredi matin. De toute façon que pouvait-il bien se passer aujourd’hui ? Claire se comporterait en bonne vendeuse et tout irait comme sur des roulettes. Après avoir pris ma douche je m’habillais donc avec néanmoins une boule au ventre. Vingt minutes plus tard Clémentine vint me rejoindre.
Elle était vêtue de talons aiguilles et d’une belle robe noire transparente et flottante mais courte, dévoilant à la fois le sillon de ses seins et la beauté de ses jambes. On pouvait distinguer sous sa robe qu’elle ne portait ni soutien ni string. Cela ne lui ressemblait pas. Elle voulait surement m’exciter et ça marchait. Je sentais une érection naître dans mon pantalon. Pour la première fois depuis des jours, je ne pensais qu’à Clémentine. Comme quoi, elle aussi savait me faire oublier Claire. Nous partîmes donc pour une séance shopping qui s’annonçait à la fois terrifiante et excitante. Dans le métro un homme matait Clémentine. Elle savait qu’elle plaisait aux hommes et elle savait sa robe transparente, mais elle me souriait. L’homme ne cessait de laisser ses yeux vagabonder sur la robe transparente de ma femme et une bosse déformait son pantalon. Qu’importe ! Notre station était la prochaine ! Je pris la main de Clémentine et me dirigea vers la sortie. Au passage, je jetai un coup d’œil en arrière et vit ma Clémentine passer volontairement sa main sur le pantalon de l’homme en lui souriant. Je rêvais ou elle l’aguichait ? Je ne savais pas si j’avais bien vu mais au bénéfice du doute je ne dis mots. Je ne savais si je devais être excité ou en colère. Devrais-je aimer ma femme combien même elle toucherait d’autres hommes ? Je chassai ces idées de ma tête et continua vers la sortie de métro. J’étais quelques peu renfrogné mais Clémentine me souriait comme si de rien n’était et je ne pouvais m’empêcher de sentir mon sexe grossir dans mon pantalon. Nous marchâmes quelques minutes avant de nous retrouver devant le magasin. Je marquai un arrêt, mon cœur battait la chamade. Je n’étais pas revenu ici depuis mon aventure avec Claire.
– Ça va mon amour ? Quelque chose te tracasse ? me demanda Clémentine, tout sourire.
– Non… non ne t’inquiète pas ! Entrons ! répondis-je sèchement. Clémentine poussa la porte, la clochette retentit et je lui emboîtai le pas. La voix de Claire résonna dans le magasin.
– Bonjour Madame, dit-elle d’un air jovial à Clémentine.
Claire posa ses yeux sur moi et sembla se raidir. Après quelques instants de flottement ou mon cœur sembla s’arrêter elle continua :
– Bonjour Monsieur !
Elle était encore plus belle que dans mes souvenirs. Mon cœur battait la chamade, j’avais envie de l’embrasser. Malgré l’air surpris qui se lisait au premier regard sur son visage, Claire gardait son calme. Clémentine ne pouvait se douter de rien.
– Bonjour Madame, répondis Clémentine, un sourire aux lèvres. Claire délaissa son comptoir. Elle portait cette fois-ci des talons aiguilles, un décolleté très plongeant et une minijupe qui me donnait des envies toutes particulières. Non Justin ! Cette fois-ci tu ne peux pas ! Clémentine est là et elle n’apprécierait pas, même de te prendre en train de mater les belles jambes de la dame !
– Comment puis-je vous aider Madame ? demanda Claire à Clémentine. Je restais presque immobile, Clémentine était déjà perdue dans les sous-vêtements et Claire ne cessait de me dévorer du regard. Je lui esquissai un sourire auquel elle me répondit.
– Pour l’instant je ne fais que regarder. Merci, répondit Clémentine avec légèreté. Claire se tenait à coté de Clémentine qui se cambrait de plus en plus à mesure qu’elle regardait les sous-vêtements. La jupe de Clémentine se leva. Claire, qui ne lâchait quasiment pas mon regard, regarda discrètement sous la jupe de Clémentine et me lança un sourire. J’étais gêné et j’avais envie de Claire…et de Clémentine. Je fis un petit tour rapide dans la boutique. Je revoyais le canapé et le mur contre lequel j’avais pris Claire quelques jours auparavant et cela me donner des envies. Clémentine continuait de regarder avec Claire à ses côtés qui me regardait constamment quand j’entendis ma femme dire :
– Cet ensemble est très sexy, qu’en pensez-vous ? Je regardai Clémentine tendre l’ensemble de sous-vêtements que Claire portait quand je l’avais sauvagement prise dans la boutique. Celle-ci se retourna vers moi et, sans me lâcher du regard, dit :
– C’est un très bon choix ! Je suis quasiment sûre qu’il plaira à votre homme !
– Très bien ! Je vais donc l’essayer ! Claire me dévorait du regard. Qu’allait-il se passer ? Elle indiqua la cabine d’essayage à Clémentine qui, toute jovial, s’y rendit en me lançant un regard séduisant. Qu’elle était belle !
A peine la porte de la cabine fermée, Claire s’avança vers moi, me serra contre elle, m’embrassa fougueusement. Sans que je n’ai eu le temps de dire mot elle s’agenouilla, défit mon pantalon, baissa mon caleçon et avala avidement mon sexe. J’étais paniqué ! Ma femme essayait des sous-vêtements sexy dans la cabine et mon amante de suçait juste à côté ! Si Clémentine l’apprenait je serais un homme mort ! Sans pour autant l’arrêter, je chuchotai à Claire :
– On ne peut pas faire ça ! Pas ici, pas avec ma femme qui se change juste à côté ! Je ne lui demandai pour autant pas d’arrêter. Je ne pouvais pas ! C’était si bon et j’en rêvais depuis si longtemps. J’étais vraiment paralysé ! Claire me suçait comme une chienne affamée. Elle ne quittait pas mon regard une seule seconde. Elle enfonçait mon pieux, pourtant énorme, au fond de sa gorge. Elle me masturber intensément et n’arrêtait pas ses vas et viens. Que pouvais-je faire ? Le loquet de la cabine s’ouvrit. Mon cœur avait arrêté de battre. Clémentine ouvrit la porte. Elle était aussi sexy que Claire dans cette lingerie. J’étais pétrifié ! Mon regard était tourné vers elle tandis que Claire n’avait pas ralentie la cadence et dévorait ma queue avec faim. Je me sentais honteux de faire ça à Clémentine. Ma douce Clémentine. Elle restait là quelques instants à me fixer pendant que la vendeuse, qu’elle ne connaissait que depuis quelques minutes, engloutissait avidement ma bite dans sa gorge. Puis Clémentine m’adressa un sourire franc.
– Je ne me suis absenté que quelques minutes et voilà que je tombe sur mon homme en train de se faire pomper par la vendeuse ! dit-elle en s’approchant. Malgré la situation et le stress que je ressentais, je ne pouvais m’empêcher de reluquer Clémentine qui, d’habitude si sage, avait l’air d’une véritable chienne dans cet accoutrement. Je pouvais voir, à travers son soutien transparent, ses seins pointer.
– Madame pourrait-elle partager la queue de mon mari ? demanda-t-elle à Claire. Cette dernière ôte mon sexe de sa bouche et lui tendit. Clémentine, en femme fatale, s’agenouilla aux côtés de Claire. Je n’en revenais pas. J’avais devant les deux femmes de ma vie prêtes à me pomper comme des chiennes. Le tableau était magnifique. Clémentine saisit mon sexe tandis que Claire l’a regardait avec envie. Comme pour montrer ses capacités, Clémentine avala entièrement et d’une traite ma queue au fond de sa gorge. Je n’avais jamais vu ça. Je n’avais jamais connu ça de ma Clémentine. J’étais plus qu’agréablement surpris mais je ne la reconnaissais pas. Je la pensais possessive mais voilà qu’elle désirait me partager avec une vendeuse. Clémentine me regardais dans les yeux tout en dévorant ma queue. Claire se leva et fit glisser minijupe et haut à terre, puis s’agenouilla à nouveau. Clémentine relâcha ma queue et les deux commencèrent à me lécher et à me suçoter le gland. Claire finie par le prendre entre ses lèvres pour me procurer une fellation endiablée. Les deux femmes me regardaient droit dans les yeux. Je n’en revenais pas de voir ma Clémentine partager ma queue avec une inconnue. Son regard et son avidité me rappelait celle de Claire et j’adorais ça. Pendant que l’une empalée sa bouche sur mon pieu, l’autre me suçait les bourses. Puis je vis la main de ma Clémentine, qui me pompait profondément, glisser entre les fesses de Claire et faire des mouvements.
– Tu as mis tes doigts dans son petit cul ma salope ? lui lançais-je. Je n’avais jamais parlé comme ça à Clémentine ! J’avais toujours fait preuve d’un grand respect envers elle et pendant un instant je regrettai mes paroles. Mais Clémentine, queue en bouche, acquiesça en poussant un râle. L’image était saisissante mais je ne pouvais plus me retenir et je prévins Clémentine :
– Tu devrais faire attention ma belle ! J’ai très envie d’éjaculer ! Mais au lieu de s’arrêter, Clémentine me suça de plus belle. J’étais interloqué par tant de détermination. Elle accéléra, me suçant de plus belle, et je ne puis me retenir. Dans un râle de plaisir je lâchai cinq grosses giclées de sperme chaud dans sa bouche. Clémentine recueillait tout le nectar entre ses lèvres avec passion. Elle suça ma queue puis se tournait vers Claire à qui elle roula une pelle pour partager ma semence puis les deux me regardèrent la bouche ouverte et pleine, et avalèrent simultanément. Je devais être dans un rêve! Non seulement deux superbes femmes avalaient goulûment mon foutre mais je n’avais jamais soupçonné Clémentine de le faire un jour avec tant d’envie.
– Tu as aimé ça mon amour ? lui demandais-je.
– J’ai adoré ! Et je pense que je ne suis pas la seule !
Claire acquiesça de la tête avec un sourire.
– Très bien, répondis-je la queue encore dressée. Toi à quatre pattes, ordonnais-je à Clémentine. Et toi allongée sur le dos, dis-je à Claire. Je me mis entre les deux de façon à ce que Claire puisse continuer de me sucer et que je puisse lécher ma femme. La première englouti mon sexe de toute sa longueur tout en se doigtant. La seconde, qui tendait son cul vers moi, fut agréablement surprise de sentir ma langue chaude et humide sur sa chatte trempée. Tandis que je léchais Clémentine avec passion, je baissais la bouche de Claire, allongée sur le sol. Je n’avais pas l’impression de lécher ma femme, sage et retenue, mais une chienne qui en demandé toujours plus. Clémentine jouissait allègrement tandis que les cris de Claire se perdaient contre mon sexe. Lentement, je décidai de remonter la fente de Clémentine jusqu’à son petit trou. Pour la première fois je ne sentis aucune réticence. Elle semblait apprécier que je fourre ma langue dans son petit trou. Les râles de plaisir ne cessaient de s’échapper de sa bouche si bien qu’elle finit par jouir. Je récupérai le nectar de ma femme et l’avala avec envie. Claire continuait de subir les allers retours de mon sexe dans sa gorge sans rien dire. Je retirai mon sexe de la bouche de Claire mais je continuai de lécher l’anus de ma femme. Celui dont je rêvais depuis des années. Puis j’arrêtai.
– Tu veux la sentir dans ton petit cul ma belle ? demandais-je à Clémentine.
– Oui m’en amour ! J’en meurs d’envie !! Je n’en revenais pas que Clémentine veuille que je la sodomise pour la première fois dans un endroit comme celui-là ! Mais je n’allais pas laisser passer cette chance. J’invitais donc Clémentine à s’adosser sur le canapé. Elle était ainsi, en position de levrette, me tendant son petit cul bien trempé et serré. Je la regardai un instant. Claire me regardait avec un sourire. Je l’embrassai tendrement comme pour la remercier d’avoir baiser sa bouche. Puis je vins positionner ma queue à l’entrée de l’anus de Clémentine qui attendait sa sentence. Claire glissa sous moi, entre les jambes de Clémentine, et commença à la lécher passionnément. Cette image me donna de la fougue et je pénétrai dans le petit trou de ma femme, qui hurla de plaisir. Je voyais ma femme me tendant son cul, mon engin lui écarter son petit trou et mon amante lui lécher la chatte. Rien ne pouvait me ravir autant. Je commençais de lents et doux allers retours dans le cul de Clémentine. Elle hurlait de plaisir, s’agrippait au fauteuil pour ne pas succomber. Claire s’attardait sur son clitoris puis venait lécher passionnément mes bourses de temps à autres. Tout semblait être comme dans un rêve.
Et la clochette retentit. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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