On laisse quelque temps Marthe récupérer. Léo s’agenouille à côté d’elle, il regarde en souriant la chatte encore trempée de sa maman, il passe plusieurs fois sa main sur la toison et s’accroche au clito. La pression qu’exerce Léo sur la boule de chair fait couiner la maman qui ne demande que d’être malmenée. Eric quant à lui a sorti du bac à légumes les monstrueux concombres. Il s’approche du terrain de manœuvre, en regardant son fils martyriser le clito de sa maman. Les râles de Marthe sont bruyants elle supplie son fils :
-baise-moi, baise-moi, ne me fais pas languir Léo !
Le fils, monté comme un poney, place sa bite sur la vulve gourmande. Il donne un coup de reins et s’enfonce jusqu’aux couilles dans le ventre de sa maman demandeuse. Elle s’accroche à lui en couinant de plaisir. Les coups de bélier du fiston sont violents, à chaque coup de piston Marthe se cabre. Les assauts sont nombreux, Marthe agite son bassin en gémissant de plaisir sous les coups de boutoir incessants. Soudain, elle se cabre et explose, comme à chaque jouissance, elle gicle comme un geyser. Léo accélère, en poussant des rugissements de fauves. Il pousse un long râle et remplit le ventre de sa maman avec son jus épais. Il retire sa queue gluante et la place à la porte de service. Il pousse légèrement, la bite bien dimensionnée, s’enfonce jusqu’à la garde comme aspirée pas l’anus. Il commence un va-et-vient terrible, en grognant comme un animal. Marthe adore être enculée, elle agite sa croupe pour sentir la bite bien la posséder. Elle pousse de couinement monstrueux à chaque coup de reins de son fils enculeur. Elle se cabre et hurle en jouissant comme une fontaine. Léo continue de lui démonter le cul avec ardeur. Il se bloque et lui envoie tout ce qu’il lui reste de semence dans les entrailles. Il se retire essoufflé du cul de sa gourmande de maman. Eric le remplace, il s’acharne sur la chatte gluante de sperme de son fils, sa bite entre et ressort de plus en plus rapidement, soudain il se raidit et dit en jouissant.
-Oh putain ce que tu es bonne, oh la vache, je vais prendre ton cul !
Il enfonce son mandrin dans le rectum distendu par la précédente pénétration, il le ramone comme un sauvage, sa femme grogne de plaisir sous ses assauts. Elle est à cran, elle se cabre et jouit encore en poussant des râles rauques, le bougre jouit à son tour en soufflant comme un bœuf. Il prend un peu de temps pour récupérer et s’empare des concombres énormes. Il est prêt, pour entrer en action. Il regarde sa femme qui comprend ce qu’il veut faire. Elle place sous ses reins un coussin et ouvre les jambes. Il pose le monstrueux légume sur la fente dégoulinante du sperme qu’il lui a offert si généreusement.
Le gredin fait monter et descendre le concombre sur la fente engluée puis, pousse, les lèvres s’écartent, sa femme grimace, la grosse bite factice s’engage dans le vagin qu’il distend fortement. Marthe souffle comme un animal. Lentement, le légume s’enfonce de plus en plus profondément dans son ventre. Les vingt centimètres que son mari lui a enfoncé dans le corps la font geindre comme un animal blessé. Léo maintient le légume bien en place, pendant que son père enfonce le second concombre dans le rectum de sa maman. Marthe est au bord de la syncope, ses yeux sont exorbités, un rictus affreux déforme son visage.
Enfin le jugeant assez enfoncé, Eric commence le va-et- vient, la synchronisation est parfaite. Les légumes agissent comme deux pistons dans leur cylindre. Marthe s’agite comme un pont sous une forte tempête. Les pénétrations redoutables la font geindre puissamment. Léo n’en revient pas que le corps de sa maman peu absorber des machins aussi gros. Il lui saisit le clito et le branle énergiquement comme pour apaiser la douleur que sa maman dilatée à l’extrême ressent. Mais c’est ne pas connaitre Marthe, la coquine grogne en serrant les dents, elle clame :
-Putain éclate-moi bien Eric, c’est douloureux, mais si bon à la fois, vas-y, vas-y !
Le ramonage de ses trous est infernal, la salope avide se cabre et pousse un terrible hurlement en jouissant. La puissante giclée expulse le légume de la chatte de sa femme, qui se tord de plaisir. Eric enfonce encore plus loin le concombre qui encule sa femme. C’est avec ses deux mains qu’il pratique un va-et-vient phénoménal. La gaine dilatée, enveloppe le légume en l’enserrant fortement. Les râles rauques que pousse Marthe, reprennent. Le pilonnage du temple de Sodome dure un bon moment. Léo s’arc-boute et urine sur le visage de sa maman, elle ouvre la bouche pour s’abreuver à ma source d’eau chaude. C’est à grandes gorgées qu’elle avale le jus de son fils. Eric pousse le légume le plus qu’il peut, sa femme se cambre en hurlant, elle gicle si fort de jouissance que son corps se met à trembler. Les frissons qui parcourent son corps sont visibles. Eric est étonné par cette réaction cutanée. Il dit :
– Je vais te calmer Marthe !
Il saisit sa bite et urine sur le corps de sa femme, qui étale avec ses mains le liquide sur son torse et son ventre en couinant de plaisir.
Valériane
