J’ai rencontrĂ© dans un aĂ©roport, il y a une dizaine de jours, un camarade d’Ecole avec qui j’Ă©tais très liĂ© mais que j’avais perdu de vue depuis quelques annĂ©es. Nous nous sommes racontĂ©s nos vies. Et je ne rĂ©siste pas Ă l’envie de partager avec vous ses confidences. »Je suis mariĂ© depuis de nombreuses annĂ©es avec une femme, Chantal, que tous considèrent comme  » presque parfaite « . Bonne mère, hĂ´tesse parfaite elle a en effet beaucoup de qualitĂ©s, sauf qu’au lit on pourrait facilement considĂ©rer ses performances comme nulles. Sa pruderie, son respect des  » convenances  » font qu’Ă part la position du missionnaire et quelques lĂ©gers attouchements, notre ordinaire sur le plan sexuel est assez triste.Tout ceci serait catastrophique si elle n’avait un gros dĂ©faut (ou une grosse qualitĂ©! ) : elle ne supporte absolument pas de boire certains alcools, principalement des alcools forts (rhum, cognac ou alcools de fruits avec une sensibilitĂ© particulière Ă la poire!).Dans cet Ă©tat lĂ , toutes ses inhibitions disparaissent et son naturel sensuel se rĂ©vèle totalement. Laisse moi te conter une ou deux anecdotes …Il y a quelques annĂ©es nous Ă©tions invitĂ©s Ă une rĂ©ception professionnelle très importante pour moi. La fĂŞte avait lieu dans une auberge  » de charme  » en campagne, situĂ©e Ă quelques kilomĂ©trĂ©s de notre domicile.La fĂŞte Ă©tait un succès et je liais de nombreux contacts avec des confrères. Tout Ă mon activitĂ©, je dĂ©laissais Chantal qui s’ennuyait ferme, ne connaissant pratiquement personne. Je la voyais bavarder, l’air sinistre, avec d’autres femmes.La soirĂ©e s’avançait et je la vis danser avec un vieux monsieur aux cheveux blancs. PlongĂ© dans une conversation très intĂ©ressante je la vis Ă peine danser avec d’autres personnes.Mais au bout d’un moment, inquiet de ne plus l’apercevoir, je profitais de la première occasion pour quitter mes interlocuteurs et partir Ă la recherche de ma femme.Je parcourais les diffĂ©rentes salles sans l’apercevoir. Je fis ensuite le tour des terrasses oĂą je ne la vis toujours pas. Je me dirigeais vers le parking pour voir si elle ne s’Ă©tait pas rĂ©fugiĂ©e dans la voiture en m’attendant lorsque je crus apercevoir un couple enlacĂ© sous les arbres. Je reconnus aussitĂ´t la robe de Chantal et je me dirigeais, l’air furieux, vers eux.Ils ne m’entendirent pas venir, trop occupĂ©s Ă leur baiser. La main de l’homme remontait lentement la jupe de Chantal en se dirigeant vers son sexe. Elle ne s’opposait en rien Ă cette caresse se cambrant mĂŞme pour s’offrir davantage.Je criais  » Chantal  » d’un ton sec, le couple sursauta et se dĂ©fit. Me reconnaissant, elle repoussa son cavalier, l’air surpris et effrayĂ©. Celui-ci, très courageux, disparu en un instant dans les fourrĂ©s.Confuse et rougissante, le regard brillant, bredouillant que c’Ă©tait la faute du punch, elle tenta de se jeter dans mes bras mais je la repoussais en lui disant durement de remettre de l’ordre dans sa tenue. Nous ne pouvions pas quitter la soirĂ©e sans saluer quelques personnes, mais que nous rĂ©glerions cette affaire seuls Ă la maison, les enfants Ă©tant pour le week-end chez ses parents.Je lui saisis brutalement le bras et la menais dans la salle. Nous dĂ»mes subir encore de longues conversations avant de pouvoir quitter les lieux. Nous dĂ»mes mĂŞme danser une sĂ©rie de slows, oĂą je sentis sous le fin tissu de sa robe le corps brĂ»lant de ma femme. Elle se collait contre moi, très  » chatte en chaleur « , de petites perles de sueur Ă©tant le signe visible de son excitation.Enfin nous pĂ»mes quitter les lieux. Nous nous dirigeâmes vers la partie Ă©loignĂ©e du parking pour rejoindre notre vĂ©hicule. Comme nous quittions la partie Ă©clairĂ©e elle se colla Ă moi davantage. ArrivĂ©s Ă notre voiture, je la plaquais contre la carrosserie et l’embrassais. Elle rĂ©pondit fougueusement Ă mon baiser. DĂ©sirant profiter de la situation, je la repoussais et lui dis de quitter son slip. Elle obĂ©it instantanĂ©ment, se penchant pour se dĂ©barrasser du lĂ©ger vĂŞtement. Je lui ouvris la porte et lui ordonnais de soulever sa jupe et de s’asseoir les fesses nues. Elle obĂ©it sans rien dire, y mettant mĂŞme un empressement certain. Elle ne rĂ©agit pas non plus lorsque je remontais sa jupe jusqu’aux hanches pour m’offrir le spectacle de son sexe, lui Ă©cartant largement les jambes.Le rapide trajet se fit sans un mot, seule la respiration saccadĂ©e de Chantal montrait que son Ă©tat d’excitation ne diminuait pas dans cette situationJe garais la voiture dans la cour et fermais le portail. Chantal attendait toujours dans la voiture. J’Ă©teignis le jardin et ouvris la portière pour l’aider Ă sortir. Elle semblait inquiète de mon silence.A peine sortie, je passais derrière elle et dĂ©fis la fermeture Ă©clair de sa robe et la fis tomber au sol. Chantal poussa un petit cri d’Ă©tonnement mais se laissa dĂ©vĂŞtir. Je la poussais vers la maison, restant derrière elle pour apprĂ©cier la vision de ses fesses. Les marques de bronzage le rendaient encore plus  » appĂ©tissant « . Je dĂ©cidais donc de m’en rĂ©galer ce soir mĂŞme, profitant de l’avantage et de son excitation.Elle monta l’escalier devant moi balançant sous mes yeux son cul, le balancement paraissant mĂŞme un peu exagĂ©rĂ©. ArrivĂ©s dans notre chambre elle voulut parler mais je lui coupais la parole, lui expliquant calmement qu’elle s’Ă©tait comporteĂ©e ce soir comme la dernière des traĂ®nĂ©es, et que je la traiterais comme telle.Elle rougit, mais s’exĂ©cuta lorsque je lui ordonnais de quitter son soutien-gorge. Ses beaux seins apparurent, lĂ©gèrement gonflĂ©s, les pointes durcies et Ă©tirĂ©es comme jamais.Je la menais vers le lit, la faisant mettre Ă genoux juste au bord, puis la fis mettre Ă quatre pattes. Je lui fis Ă©carter les jambes sans qu’elle ne rĂ©agisse. J’appuyais sur ses reins pour qu’elle se cambre davantage. Je me mis ensuite Ă genoux derrière elle pour Ă©carter doucement les lèvres de son sexe humide. Je glissais un puis deux doigts dans sa fente, lui arrachant de petits cris. Elle commençait Ă rĂ©agir Ă cette pĂ©nĂ©tration, lorsque je cessais pour Ă©carter Ă deux mains ses fesses pour dĂ©couvrir son anus plissĂ© qu’elle m’avait toujours refusĂ©.Elle protesta et tenta de se protĂ©ger mais une tape sèche sur sa fesse la fit taire. Je pu enfin embrasser cet antre interdit, l’humecter, y glisser doucement ma langue. Chantal commença Ă accompagner mes caresses de soupirs en roulant ses hanches rondes. Elle ne rĂ©agit pas lorsque j’introduisis un doigt enduit de sa cyprine, puis un deuxième, distendant doucement le muscle de plus en plus accueillant. Elle soupira quand je me relevais pour me dĂ©shabiller, mais commença Ă ronronner quand ma bite investit son sexe. Tout en la baisant, je repris possession de son anus avec un pouce continuant Ă l’assouplir.Elle jouit brusquement, un frisson parcourant son dos, s’Ă©croula, la tĂŞte sur le lit le cul bien relevĂ©. Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, je pointais mon gland sur sa rosette et appuyais fortement.La pĂ©nĂ©tration lui arracha un grognement mais je l’investis totalement. Je marquais un temps d’arrĂŞt pour qu’elle s’habitue Ă cette possession, puis me mis lentement en mouvement. Son cul Ă©tait vraiment dĂ©licieux. Au bout d’un moment je la sentis accompagner mes mouvements. Les bras repliĂ©s sous son visage, les seins Ă©crasĂ©s sur le lit, elle commençait Ă prendre du plaisir. J’accĂ©lĂ©rais les mouvements me retirant presque totalement pour replonger aussitĂ´t au plus profond de sa gaine anale. Quelques minutes de ce traitement suffirent pour nous porter au bord de la jouissance. Elle jouit la première en grognant puis en criant quand je lâchais ma semence. Nous nous Ă©croulâmes, mon sexe toujours fichĂ© en elle. Je sentais contre moi son cĹ“ur battre la chamade et j’aperçut son cou rougit par l’orgasme, recouvert de sueur.Il me fallut un moment pour reprendre mon souffle et je me retirais doucement de son cul, admirant sa rosette distendue qui se refermait lentement. Elle se retourna langoureusement et se jeta Ă mon cou, les yeux remplis de larmes (de plaisir ou de remords?). Elle se blottit contre moi et s’excusa de sa conduite, m’expliquant que seule elle avait peut ĂŞtre abusĂ© du punch, qui la mettait dans un drĂ´le d’Ă©tat, et que ce bellâtre avait seulement tentĂ© de profiter de la situation. Feignant un air sĂ©vère, je lui dĂ©clarais qu’elle ne serait pas pardonnĂ©e aussi facilement, et que je comptais la  » punir  » souvent et toujours par cette voie. Les yeux brillants et rieurs elle convint qu’elle mĂ©ritait d’autres punitions……Depuis le  » punch  » est devenu une de mes spĂ©cialitĂ©s et la voir boire, les yeux brillants, un verre de ce mĂ©lange me promets une soirĂ©e excitante.Un autre Ă©pisode qui date de quelques semaines.Chantal ne porte sur la plage que des maillots une-pièce sous prĂ©texte que sa pilositĂ© intime est trop importante. En effet une petite « langue  » de poils bruns remonte presque jusqu’Ă son nombril. Je lui ai conseillĂ© plusieurs fois d’aller en institut de beautĂ© se faire Ă´ter ou du moins Ă©claircir ces poils afin de pouvoir porte des maillots plus sexy voire mĂŞme bronzer seins nus. Mais pour elle ces instituts sont presque les antichambres du vice et elle ne veut sous aucun prĂ©textes y aller. Elle se rase donc les jambes mais toujours hors de ma prĂ©sence.Souhaitant prendre quelques jours de repos au soleil, j’ai choisi un sĂ©jour Ă cuba, destination Ă la mode paraĂ®t-il.Elle fut ravie de mon choix et l’Ă©vocation de la patrie du rhum contribua Ă son enthousiasme.Un soir que nous feuilletions des brochures sur notre prochain sĂ©jour, je remis sur le tapis le sujet de son Ă©pilation me proposant mĂŞme, en riant, d’effectuer moi-mĂŞme l’opĂ©ration et lui suggĂ©rant l’Ă©pilation totale de son sexe pour son plaisir et le mien. Rouge de colère, elle jeta sur la table les revues et monta se coucher l’air butĂ©e me reprochant de vouloir lui faire subir un traitement  » pornographique « . Je trouvais sa rĂ©action excessive mais dĂ©cidais d’Ă©viter dĂ©sormais le sujet.Divers Ă©vĂ©nements firent que nous dĂ»mes reculer les dates de notre sĂ©jour jusqu’au dĂ©but de l’hiver.Nous prĂ®mes cependant durant l’Ă©tĂ© quelques week-end Ă la mer pour rejoindre nos enfants en vacances chez leurs grands-parents. Je ne suis pas un fan du bronzage mais j’accompagnais Chantal Ă la plage pour y admirer tous ces corps fĂ©minins bronzĂ©s. Assis Ă cĂ´tĂ© d’elle je ne me gĂŞnais pas, lorsque nous Ă©tions seuls, de lui dĂ©tailler les appâts de nos voisines.Mais imperturbable, elle restait vĂŞtue de ses tristes maillots une-pièce, garants, selon elle, de son honnĂŞtetĂ©.Au dĂ©but du mois de septembre, Chantal m’accompagnat, sur la CĂ´te d’Azur, pour assister Ă un congrès. J’avoue que j’ai  » sĂ©chĂ©  » de nombreuses confĂ©rences, prĂ©fĂ©rant aller visiter musĂ©es et monuments et surtout emmener mon Ă©pouse dans les restaurants d’oĂą cocktails divers aidants, elle sortait particulièrement excitĂ©e. Les nuits furent très agitĂ©es……….Nous fĂ»mes invitĂ©s l’avant-dernier soir Ă dĂ®ner chez un de nos amis. Nous arrivâmes tĂ´t pour nous apercevoir que les invitĂ©s dĂ©jĂ arrivĂ©s se baignaient dans la piscine. Notre hĂ´tesse nous proposa de les imiter et mit Ă notre disposition des maillots. Chantal refusa car toutes les femmes prĂ©sentes, mĂŞme les plus âgĂ©es, ne portaient qu’un minuscule maillot sans soutien-gorge, bien sur. Nous restâmes longtemps dans le bain, sauf Chantal qui Ă©tait plongĂ©e dans une grande conversation avec une autre femme.Le repas fut intĂ©ressant, avec une ambiance de bonne humeur et de camaraderie. Cependant, habituĂ© aux Ă©carts de mon Ă©pouse je ne la quittais que rarement de l’Ĺ“il. Après le repas nous nous sommes installĂ©s sur la terrasse oĂą la conversation continua. SerrĂ©s sur le mĂŞme fauteuil, je sentais, contre moi, Chantal dĂ©tendue et heureuse.Notre hĂ´te revint avec des rafraĂ®chissements et proposa en plus de goĂ»ter une liqueur de poire qu’une sienne cousine alsacienne lui envoyait chaque annĂ©e. Chantal minauda mais accepta que l’on lui en serve un verre. Elle dĂ©gusta lentement son alcool durant la soirĂ©e. Mais au moment de partir alors que dans un grand mouvement tout le monde se levait pour s’embrasser, je la vis se saisir rapidement et discrètement de deux verres emplis de liqueur de poire et les avaler cul-sec. Elle eut un sursaut et comme un frisson, mais bientĂ´t un sourire chaleureux apparut sur son visage et elle se mĂŞla aux embrassades gĂ©nĂ©rales. Dès la porte franchie elle se suspendit Ă mon bras, l’alcool commençant Ă faire son effet. Nous marchâmes lentement vers notre voiture. Je sentais contre moi son corps qui s’Ă©chauffait aussi, dès que nous fĂ»mes hors de vue des autres invitĂ©s, je la plaquais contre le mur en l’embrassant. Elle rĂ©pondit Ă mon baiser avec une vigueur inhabituelle, frottant son corps contre le mien. Je glissais alors une main sous ses jupes atteignant rapidement son sexe humide. Elle poussa comme un soupir de soulagement quand deux de mes doigts la pĂ©nĂ©trèrent. Mais des phares de voitures apparurent et nous dĂ»mes nous sĂ©parer. Nous arrivâmes enfin Ă notre vĂ©hicule. Je lui ouvris la porte mais elle hĂ©sita Ă s’asseoir. Je me glissais derrière elle pour lui murmurer Ă l’oreille que je voulais qu’elle quitte sa culotte, que je voulais la voir exposĂ©e Ă mon regard pendant le trajet. Elle se retourna, le regard trouble et le sourire aux lèvres et prestement se dĂ©barrassa de son sous-vĂŞtement qu’elle glissa dans la poche de mon veston. Elle dĂ©fit rapidement les boutons de sa robe, se troussa et s’assit les jambes largement Ă©cartĂ©es. Durant le court trajet de retour je glissais une main sur son ventre, peignant ses longs poils, caressant l’intĂ©rieur de ses cuisses, maintenant son excitation sans toucher son sexe.ArrivĂ©s dans le parking de l’hĂ´tel elle se rajusta rapidement, reprit son air sĂ©vère de femme honorable. Mais dĂ©s que nous fĂ»mes dans l’ascenseur elle se jeta Ă mon cou. Remontant sa jupe je pris possession de ses fesses et commençait Ă titiller sa rosette. Le  » bing  » de l’ascenseur nous surprit et heureusement personne n’attendait devant la porte. Chantal voulut tirer sa robe mais au contraire je la lui relevais encore, lui murmurant Ă l’oreille que je voulais qu’elle regagne ainsi notre chambre situĂ©e au bout du couloir. Du coin de l’Ĺ“il je remarquais une discrète camĂ©ra de surveillance et j’eus une pensĂ©e pour le vigile de service qui n’aurait pas ce soir, veillĂ© en vain. Elle se glissa sous mon bras, et je rĂ©introduisais entre ses fesses un doigt fureteur.DĂ©s la porte de notre chambre refermĂ©e, elle me dĂ©barrassa de mon veston, roula sa jupe Ă la taille et se jeta sur le lit en s’offrant, les cuisses largement ouvertes, la chatte luisante d’excitation. Je dĂ©fis rapidement mon pantalon, baissant mon caleçon pour libĂ©rer ma bite dĂ©jĂ bandĂ©e. Elle accueillit ma pĂ©nĂ©tration avec un grand soupir, plantant ses ongles dans mes fesses pour que je la baise plus profondĂ©ment. Elle jouit rapidement, m’enserrant de ses jambes toujours chaussĂ©es et je la suivi rapidement. Nous sommes restĂ©s un long moment enlacĂ©s. Reprenant mes esprits je commençais Ă lui Ă´ter les quelques vĂŞtements qui lui restaient mais elle se dĂ©gagea rapidement et fila s’enfermer dans la salle de bains.Au bout d’un moment je l’entendit m’appeler avec une drĂ´le de voix. Quand je pĂ©nĂ©trais dans la pièce, elle se glissa rapidement dans la cabine de douche me laissant dĂ©couvrir, soigneusement rangĂ©s sur une serviette sur le meuble lavabo, une bombe de mousse Ă raser et des rasoirs jetables roses.Je bandais dĂ©jĂ en ouvrant la cabine de douche et me glissais Ă l’intĂ©rieur pour la prendre dans mes bras. J’ouvrit la douche et nous restâmes un moment sous le jet d’eau tiède. Nous sommes sortis et je la menais tendrement jusqu’au bidet et la fit asseoir jambes bien Ă©cartĂ©es. Elle rougit un peu de la situation mais ferma les yeux lorsque j’emplis la cuvette d’eau chaude et commençais Ă passer la crème. Je la fis mousser longuement remontant haut dans sa raie culière, agaçant son clitoris et sa rosette. Les yeux toujours fermĂ©s, elle se mordit les lèvres quand je passais le rasoir ramenant rapidement la surface de ses poils Ă une touffe minuscule.Je pris tendrement les lèvres de son sexe et m’appliquait lentement Ă supprimer tous les poils. Chantal ronronnait littĂ©ralement les yeux vagues. Elle se laissait manipuler….Je rinçait longuement caressant les lèvres de son sexe, puis je la pris par la main pour la placer devant le miroir. Elle fut surprise par son image, rougit un peu mais elle semblait fascinĂ©e par son sexe glabre et son clitoris qui pointait, dĂ©jĂ gonflĂ© de dĂ©sir.Elle se retourna et le regard trouble, m’embrassa passionnement. Toujours enlacĂ©s nous parvinrent enfin sur le lit oĂą je l’allongeais lentement en Ă©cartant largement ses jambes. Le spectacle Ă©tait magnifique et mon Ă©rection sans faille depuis le dĂ©but de l’opĂ©ration me semblait extraordinaire. Enfouissant ma tĂŞte entre ses jambes je lappais lentement ses lĂ©vres gonflĂ©es. Elle commença Ă dodeliner de la tĂŞte en en murmurant des mots inaudibles. Elle gloussa, en me disant qu’elle sentait les poils de ma barbe naissante. Elle jouit brusquement et pressa ma tĂŞte contre son sexe pendant son orgasme qui lui coupa le souffle.Je me redressais, Ă©cartant encore ses jambes, et je plantais mon sexe dans sa chatte oĂą il fut comme aspirĂ© tant son excitation Ă©tait grande. Je la pistonnais profondement, Ă©crasant mon pubis contre son sexe .  » oh, oui, tape fort, je sens tes poils, Ca me fait du bien, ho oui continue..  » Toute Ă son plaisir elle parlait comme jamais elle ne l’avait fait, durant nos Ă©bats. Un de ses tabous s’Ă©croulait et elle en jouissait. Je m’arretais un instant pour apprĂ©cier la vue de sa chatte rasĂ©e frottant mes poils. Toujours plantĂ© en elle, j’Ă©crasais ceux-ci contre son clitoris gonlĂ© jusquĂ ce que poussant un cri rauque elle se cambre et jouisse Ă nouveau, dĂ©clanchant chez moi une Ă©jaculation formidable.Je m’ecroulais sur elle, elle me serra dans ses bras, les yeux toujours fermĂ©s et un sourire aux lĂ©vres.Nous nous sommes endormis ainsi ………Le lendemain, je fus rĂ©veillĂ© par une douce fellation et ses douces mains qui parcouraient mon corps. Je repensais Ă la sĂ©ance de la veille, et me dĂ©gageais de sa bouche pour plonger sur son sexe. Je fus une nouvelle fois Ă©merveillĂ© par le spectacle et je me jetais goulĂ»ment sur son abricot tout lisse. Je lapais son sexe dĂ©clenchant chez elle des petits cris de plaisir. Je glissais sous ses fesses un oreiller et plaquais ses jambes sur son torse. Dans cette position j’avais toute son intimitĂ© Ă la disposition de ma langue et j’en profitais pour faire courir ma bouche de son sexe Ă son anus. Les yeux fermĂ©s elle se laissait aller Ă son plaisir. Ainsi offerte, elle Ă©tait d’une impudeur totale, elle Ă©tait enfin la femme sensuelle dont je rĂŞvais depuis des annĂ©es. Elle jouit bruyamment, Ă©crasant mon visage sur son sexe tandis que deux de mes doigts investissaient ses reins. J’accĂ©lĂ©rais mes mouvements dĂ©clenchant un orgasme comme, me sembla-t-il, jamais elle n’avait connu. Totalement Ă©puisĂ©e, elle se laissa retourner sur le ventre. Je glissais un second oreiller sous elle et la positionnais le cul bien relevĂ©. J’Ă©cartais fermement ses globes fessiers, m’enfonçais complètement dans sa gaine anale. Totalement dĂ©tendue, je pus la prendre Ă fond, ressortant complètement ma bite avant de la replonger brutalement. Elle ne resta pas longtemps insensible Ă mon action se cambrant davantage. Je ne tins pas longtemps et me laissai aller au plaisir.Il nous fallu un grand moment avant de reprendre nos esprits, mais alors qu’elle Ă©tait tendrement dans mes bras Ă jouer avec mon sexe tout mou, flattant mes bourses vidĂ©es, elle se leva brusquement et me dit le regard brillant :-  » il faut maintenant que je m’achète de nouveaux dessous. Ne vas pas au congrès aujourd’hui, accompagnes moi! « .