Résumé des épisodes précédents : Jeune homme, j’ai profité de moments de détente à la plage pour réaliser de nombreuses découvertes.Été 2022 – plage de GivranJ’ai vécu de très bons moments sur cette plage, mais c’était déjà il y a 23 ans.Aujourd’hui, je suis père de famille et je m’y retrouve avec ma femme car nous profitons d’un week-end prolongé sans les enfants pour passer du temps ensemble en bord de mer.Nous ne pratiquons pas le naturisme habituellement, mais cette fois, Isabelle me l’a proposé. Vous pourrez penser que c’est étrange comme proposition, mais elle sait que ça ne me pose aucun problème car cela m’arrive parfois de le pratiquer, et qui plus est, elle a l’habitude de bronzer seins nus.Le premier jour fut un vrai plaisir pour moi car c’était la première fois que je la voyais évoluer nue en public, ou en tout cas devant d’autres personnes.Déjà, lorsqu’elle évolue seins nus en bords de rivière ou en pleine rivière de montagne, ça me laisse chaque fois ivre de bonheur en contemplant le regard des hommes et des femmes posés sur elle.Nous avons passé la journée à nous redécouvrir, je profitais de son corps ainsi exposé, celui d’une femme mature ayant eu plusieurs enfants et évoluant toujours avec sensualité.Elle découvre la joie de sentir la caresse du soleil sur son corps dévêtu et, pour la première fois, la sensation d’évoluer nue en marchant et en se baignant au milieu d’inconnus.***********Le lendemain, nous nous installons un peu à l’écart. Sitôt nos affaires installées nous décidons d’aller nous baigner dans les vagues, en sautant dedans comme nous le faisions plus jeune. Nous rions, nous nous amusons, nous tombons à la renverse et nous en profitons pour laisser nos doigts courir sur nos corps. Puis, fatigués par ces jeux, nous remontons à nos serviettes.Un couple s’est installé un peu plus loin sur notre gauche, des retraités à mon avis. Un jeune homme s’est lui posé un peu plus bas que nous, suffisamment pour ne pas briser notre espace vital mais pas assez loin pour se priver d’une vue potentielle. Il est tout jeune et me semble timide car lorsque nous passons à côté de lui, il se retourne sur le ventre pour nous dissimuler ses attributs.Nous nous faisons sécher, étendus sur nos serviettes, quand Isabelle me rappelle que nous n’avons pas mis de crème solaire. C’est inévitablement un moment particulier sur une plage naturiste, qui peut parfois servir de prétexte pour s’abandonner à quelques discrètes caresses, seul ou à deux. En l’occurrence, pour nous c’est chacun pour soi. En bon mâle que je suis, je passe plus de temps qu’il ne faut à me crémer le sexe et les testicules, jusqu’à ce qu’Isabelle m’en fasse la remarque. Elle, de son côté, prend toujours le temps de bien étaler la crème sur sa poitrine car elle redoute un coup de soleil à cet endroit. Ce qui pourrait passer pour des caresses appuyées n’est en fait qu’une méticuleuse application de la protection indispensable. En revanche, une fois installée sur le ventre, elle me demande un coup de main pour crémer le verso. Je ne me fais pas prier et je profite de l’occasion qui m’est offerte pour poser mes mains sur ce corps que j’aime toujours autant. Je rajoute une dose de crème sur ses blanches fesses que je m’applique à étaler tout en prenant mon temps.Je suis conscient qu’on nous observe et ça me plaît particulièrement. Je termine par l’arrière de ses cuisses et l’incite à écarter un peu les jambes pour me faciliter la tâche. Je remarque alors le jeune homme, les yeux rivés sur nous. Il a un petit air italien qui plaît certainement à ma femme. Je lui souris alors qu’il fait semblant de regarder son téléphone, afin de lui montrer qu’il a bien raison d’en profiter et que ça ne me pose pas de problème.Après un moment de repos, Isabelle me propose une partie de raquettes de plage. Nous descendons sur le sable mouillé, entre la mer et notre jeune public.Les échanges commencent et je suis rapidement débordé par son jeu, elle est plus douée que moi pour ce type d’activité et le vent ne m’aide pas vraiment. J’envoie maladroitement la balle à proximité du jeune homme et Isabelle s’empresse d’aller la récupérer, puis nous reprenons.Je suis ravi de la voir ainsi libérée de tout, sa poitrine dansante au rythme de ses coups de raquette.Le jeune homme est maintenant assis et regarde notre partie avec assiduité, ou plutôt le corps de ma femme, devrais-je dire. Alors qu’elle part chercher la balle que j’ai envoyée beaucoup trop loin, je fais un signe des plus explicite au jeune homme, en retournant la raquette et en mimant une masturbation du manche de celle-ci. Il me regarde un peu hébété, je ne sais s’il a compris ce que je l’invite à faire.Peu de temps après, je m’efforce de rater mon coup, le vent poussant la balle dans sa direction. Isabelle s’approche pour la récupérer et je renouvelle mon geste à son attention, mais cette fois, dans le vide. Je ne peux être plus clair en restant un minimum discret.Nous reprenons la partie. Isabelle ne sait plus s’arrêter quand elle gagne comme cela. Cette fois, c’est moi qui pars récupérer la balle et, en revenant vers mon emplacement de jeu, je découvre notre jeune homme, le sexe à la main, concentré sur une habile et très discrète masturbation. Son geste est lent mais l’intention est claire. Je lui adresse alors la confirmation de mon accord tacite par un pouce levé dissimulé derrière ma raquette. Puis, à la première occasion, je rate magistralement mon revers et envoie la balle aux pieds du bellâtre, qui cesse tout mouvement. D’où je suis, je peux déjà m’apercevoir que sa virilité n’est plus vraiment au repos… plus du tout.Isabelle s’approche de lui et s’excuse à nouveau de ma maladresse. Elle se penche pour récupérer la balle et suspend son geste. Sa main est à portée de balle mais son regard est dirigé ailleurs. Le moment ne dure que quelques secondes mais je sais que j’ai réveillé en elle sa curiosité, et surtout le plaisir de se sentir désiré par un inconnu, jeune qui plus est.Je reprends et je fais comme si de rien n’était. Cette fois, c’est elle qui rate son coup. Elle me dit que, comme elle me colle une raclée, elle peut faire l’effort de récupérer sa mauvaise balle.Elle s’approche cette fois plus doucement. Elle prend son temps. Je ne peux que constater la belle érection qui lui est offerte. Virile, jeune et vigoureuse. Arrivée à proximité de la balle, et donc de sa serviette, elle ne se penche pas cette fois mais décide de s’accroupir, jambes écartées.Je ne vois que les fesses d’Isabelle mais je sais que le jeune homme doit profiter d’une vue unique sur son sexe ainsi ouvert. Il tient toujours le sien à pleine main mais n’ose plus se caresser devant elle. Elle ne peut faire durer le moment plus longtemps sans attirer l’attention et se redresse lentement.Notre partie se termine peu de temps après. Nous nous allongeons sur nos serviettes pour nous reposer, tous les deux.Nus comme deux jeunes amants, main dans la main et allongés sur le dos, nous nous remettons de ce court moment d’une intensité électrique sexuelle. Moi, parce que je leur ai offert ce moment d’exhib non préparée, et elle, parce qu’elle s’est sentie désirée par cette jeunesse insouciante.Désormais, ma discrète moitié a une jambe repliée et me fait du pied de l’autre, l’obligeant ainsi à écarter les jambes. Je sais que le jeune homme ne doit pas regarder vers la mer à ce moment-là… Je suis à la fois ravi et surpris de voir la réaction de ma femme suite à cette provocation sexuelle.Avant de se lever pour aller se rafraîchir, elle écrase sa poitrine sur moi et m’embrasse à pleine bouche. Un de ces baisers qui en disent beaucoup et que je n’ai pas reçus depuis tant d’années. Elle me dévore sous les yeux de nos voisins sans se soucier des alentours, jouant de sa langue avec frénésie, puis se lève et me tire par le bras pour que je la suive.De nature sensible c’est au garde-à-vous que je me lève pour aller à l’eau avec elle. Nos voisins nous sourient, ouf… ils n’ont pas l’air choqués et c’est tant mieux.Il m’aura fallu attendre toutes ces années pour revivre un moment aussi agréable sur une plage, et qui plus est avec ma femme.Il y a bien longtemps que notre sexualité est réduite à son minimum, sans folklore ni exotisme, mais aujourd’hui, c’est comme un verrou qui aurait sauté, je vais pousser l’expérience jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’elle recule devant l’interdit.Nous jouons dans l’eau et elle me raconte comment, en récupérant la balle, elle a constaté l’érection de ce beau jeune homme et l’effet que cela lui a fait. « Car il n’était pas un peu excité, mais vraiment avec le sexe très raide et le gland prêt à l’emploi », se croit-elle obligée de rajouter. Puis, du bout des lèvres, elle me dit qu’elle a profité d’un nouvel envoi de la balle au pied de sa serviette pour lui offrir la vue de son sexe à elle. Elle en est presque honteuse mais dans le vif de l’action elle en a eu envie. Se savoir regardée au plus intime par un inconnu, un gamin qui plus est.Elle en est là de son récit quand j’aperçois le fameux pseudo-italien rentrer à son tour dans l’eau et se prendre une belle vague d’entrée de jeu.Je lui fais signe que nous venons vers lui tout en prenant la main d’Isabelle qui se rebiffe. En nous rapprochant, je lui explique que j’aimerais qu’elle le masturbe, là, dans l’eau, à mes côtés. Elle crie au scandale mais me suit pour autant sans véritable résistance.Arrivés tant bien que mal à ses côtés, nous nous faisons balancer dans tous les sens par les vagues. J’entame la conversation autour de l’état de la mer et des fortes vagues. Je lui dis qu’Isabelle a beaucoup apprécié sa vigueur de tout à l’heure. Mais l’endroit n’est pas idéal pour bavarder et je me retrouve emporté par une série de vagues que je n’avais pas vues venir alors qu’il me donne son prénom : Léo.Isabelle sort de l’eau pour rejoindre les serviettes et je me décide à la suivre hors de l’eau. Cette séance tonifiante nous a un peu fatigués et nous nous laissons emporter par une petite sieste.À mon réveil, la plage s’est un peu vidée autour de nous mais le couple, tout comme Léo, est toujours là.Isabelle s’étire à son tour, indécente et magnifique à la fois.Je prends mon bouquin, bien décidé à profiter du week-end et de la plage jusque tard. Isabelle se réveille doucement puis me demande à nouveau de jouer avec elle aux raquettes. Plus envie, la flemme ! Je décline gentiment. Je sens dans son regard l’envie cachée derrière cette idée de jeu et donc sa déception.Elle continue de se prélasser sans insister outre mesure. Ses mains parcourent délicatement son ventre puis ses seins, pas vraiment des gestes choquants ni déplacés, mais déjà une promesse de féminité, ses jambes sont définitivement écartées. Bien décidée à se montrer à qui le souhaite, comme si elle en avait été privée depuis toutes ces années. D’ailleurs, les personnes qui quittent la plage depuis tout à l’heure ont très nettement tendance à passer au pied de nos serviettes, un hasard ?Isabelle me demande à nouveau de l’accompagner pour jouer, je ne suis toujours pas volontaire, mais une idée me vient. Je lui propose de solliciter le jeune couple de retraités qui ne cesse de nous regarder. Sa réponse fuse comme si la question m’avait été suggérée par elle et qu’elle n’attendait que cela. Elle se lève et se dirige vers eux d’un pas décidé. Je la vois plus que je ne l’entends discuter désormais.Finalement, la femme se lève, à ces gestes je comprends qu’elle ne promet rien mais que ça l’amuse d’essayer. Les deux femmes rigolent et se dirigent au même endroit que tout à l’heure, on dirait deux gamines qui profitent du soleil.Je remarque que le bronzage de cette femme est uniforme et qu’aucun poil ne vient contrarier son pubis, contrairement à Isabelle qui en conserve toujours une bande, pour ne pas ressembler à une petite fille, me dit-elle souvent.Leur jeu est décousu et Isabelle s’applique pour faciliter la tâche à sa partenaire. Un revers trop appuyé et la balle part… vers Léo. Isabelle se précipite pour aller la récupérer et je la vois prononcer quelques mots à son attention. Puis elle reprend le jeu, toute concentrée malgré les fous rires qu’elles partagent.Cette fois, c’est l’autre femme qui rate son coup et se dirige vers Léo. Elle semble avoir du mal à récupérer la balle ou alors elle prend totalement son temps… la position de Léo ne laisse pas trop de doute : identique à celle qu’il avait quand nous jouions un peu plus tôt.Finalement, la partie trouve un rythme acceptable, entrecoupé très régulièrement d’un coup raté vers notre jeune homme qui ne s’en offusque pas le moins du monde. J’assiste à ce spectacle en sachant pertinemment ce qui se joue de façon discrète et sans en voir le moindre élément. Les deux sont complices et profitent alternativement de ce que leur propose Léo sous nos regards charmés et envieux.Puis les deux femmes, d’un commun accord, se serrent la main et se remercient en rigolant. La partie est terminée. Elles remontent vers moi, passent à côté de Léo en jetant des regards appuyés, et déposent les raquettes près de notre sac. En me montrant la dune derrière nous, elles me disent qu’elles ont besoin d’une pause technique et qu’elles y vont ensemble.Pourquoi pas… mon imagination est déjà mise à rude épreuve mais là, ça part dans tous les sens dans ma tête déjà éprouvée par cette belle journée. Quand je me retourne, elles ont disparu.Peu de temps après, Léo se lève à son tour et se dirige vers les dunes. Mon cerveau ne fait qu’un tour et je comprends immédiatement la suite, loin de celle que j’avais imaginée, espérée. Que va-t-il se passer exactement ? Isabelle va-t-elle franchir la ligne avec mon accord implicite ? J’ai tellement envie d’aller voir ce qui se passe, mais je me retiens, je sais que c’est mieux ainsi, je dois lui faire confiance et assumer ce que j’ai semé.De longues minutes s’écoulent, à un rythme si lent… trop lent. Le mari au loin semble désintéressé par ce qui se passe ou alors, est-il habitué ? Ce n’est pas mon cas. Je regarde la mer mais je ne parviens pas à fixer mes idées.J’entends marcher derrière moi, je jette un œil et les vois revenir, deux femmes qui reviennent d’une balade, innocentes, souriantes et totalement nues. Elles s’approchent de moi, je m’assieds pour mieux les voir. Isabelle ne peut me tromper, son décolleté est encore rouge et tacheté de plaques comme chaque fois qu’elle a une vive émotion.Elles me font face et l’autre femme ne cache pas non plus son émotion, ses lèvres nues sont clairement humides et… mon sexe se réveille alors sans prévenir. En quelques secondes, je me retrouve avec une belle érection pour saluer ces dames.Elles m’expliquent qu’elles vont se baigner et bla bla bla… mes yeux sont rivés sur les seins de cette femme inconnue, couverts d’un liquide… nul doute, Léo lui a éjaculé dessus ! Je regarde ce sperme accroché par endroits, coulant doucement à d’autres. Ma main se porte naturellement à mon membre durci, la femme dit en plaisantant qu’un second tour dans les dunes est envisageable. Je reste scotché par cette proposition, incertain de l’issue réelle : blague ou invitation ?Isabelle ne rit plus. Elle me regarde dans les yeux, puis prend ma main et m’aide à me lever. Elle se retourne et prend à nouveau la direction des dunes, l’autre femme à nos côtés. Mon ventre palpite d’excitation. Que faisons-nous ? Que va-t-il se passer ?Nous franchissons rapidement la dune pour nous retrouver dans un petit espace libre de végétation et de chardons. A priori à l’écart de tout regard indiscret, enfin, c’est ce dont il faut se persuader, ou alors cela ajoute un peu de piment de savoir que l’on peut être découvert. Isabelle se saisit de ma verge, l’empoignade fermement, puis plante son regard dans le mien. Elle commence une lente masturbation, à l’attention de notre invitée qui s’est agenouillée devant moi. Je peux sentir son souffle, son visage est maintenant si proche de mon gland. Nos regards se tournent vers elle. Je suis heureux, excité, pleinement ravi de partager ce moment avec ma femme. Je sens sa main pressée d’en finir. Ces gestes s’accélèrent, sa pression est de plus en plus forte. Je tends la main pour passer deux doigts entre ces petites lèvres trempées, son sexe est ouvert, je le sens battre au rythme de ses coups de poignet.Un premier spasme. Je me retiens. Mais Isabelle sait appuyer sur ma veine gonflée en de longs gestes précis et terriblement efficaces. Puis la délivrance me saisit, je jouis comme rarement, dans un râle discret, les yeux dans les yeux avec cette femme. Je me laisse aller, Isabelle a le contrôle et dirige mes saccades. Comme une scène au ralenti, tel un spectateur de ma propre personne, je me vois me libérer de mon sperme tantôt sur sa joue, tantôt sur son menton, puis enfin sur sa poitrine, ajoutant à celui de Léo.Quel moment d’une rare intensité ! Isabelle m’embrasse comme elle l’a fait un peu plus tôt dans l’après-midi, nous sommes unis et ivres de cette nouvelle expérience.L’inconnue me remercie, puis remercie Isabelle. Sans se soucier de son état, elle par devant nous pour retourner sur la plage, nous lui emboîtons le pas. Elle fait un détour par sa serviette où son mari se tient. Il lève les yeux et, tout sourire, attrape son téléphone pour immortaliser la scène. Nous restons sidérés par cette belle complicité.Ce n’est qu’une fois de retour à la maison que nous échangeons sur ce qui s’est passé à la plage. Nous sommes surpris et contents, mais surtout interrogatifs quant à la suite que nous pouvons donner à ce bel après-midi… une simple parenthèse ou le début d’une nouvelle complicité… ?Je t’aime, Isabelle !