(NDLR : Laetitia Casta, personnage éminemment public et à ce titre forcément l’objet de tous les fantasmes. Nous tenons juste à préciser que les faits relatés ici sont purement imaginaires)Laetitia était bloquée sur le périphérique avec sa petite voiture. On lui avait proposé une voiture avec chauffeur pour la conduire aux studios de Canal plus, mais elle avait refusé. Elle aimait conduire et être libre de ses mouvements. Mais à présent, elle se mordait les doigts de ne pas avoir accepté. Elle avait une demi-heure pour trouver les studios.Ca y est, elle avait miraculeusement trouvé l’entrée des studios à un quart d’heure de la prise d’antenne. Juste le temps d’être maquillée pour l’émission. Elle avait mis un haut assez moulant avec un décolleté sexy pour mettre en valeur sa poitrine déjà superbe. En se regardant dans le miroir, elle se demanda si elle était exhibitionniste. Certainement un peu, sinon elle n’aurait jamais fait cette carrière de mannequin.19h10 – L’orchestre de « Nulle Part Ailleurs » joue les premières notes du jingle de l’émission. Laetitia est derrière le décor. Elle tremble légèrement. Elle a beau avoir fait plus d’une centaine de défilés, le trac l’assaille toujours au début . Mais elle sait qu’au bout de quelques minutes devant le public, ça passera. Ça y est, Nagui a prononcé son nom, la paroi s’élève et un projecteur l’éclaire. Le public est debout pour l’accueillir sur le plateau, criant et tapant des pieds. Elle s’avance, souriante, serre la main de l’animateur qu’elle connaît un petit peu et s’assied à la place qu’il lui désigne.19h25 – Tout se passe bien. Le trac l’a à présent totalement quittée. Elle se sent bien, d’autant plus que Nagui fait tout pour la mettre à l’aise. Elle se demande s’il ne la drague pas. Bien sûr que si. Elle sourit en pensant à cette idée. Elle le laisse faire. Ça l’amuse bien qu’elle ne soit pas particulièrement attirée par lui.19h30 – Le choc. Jamais elle n’aurait cru que ça lui arriverait aujourd’hui. Elle ne s’y attendait pas du tout. Cette jeune femme était entrée sur la plateau pour présenter le journal. Elle avait juste entendu Nagui prononcer son nom, Daphné Roulier et puis elle n’avait vu qu’elle. Ses yeux verts, ses cheveux noirs attachés derrière la nuque et son sourire, magnifique. Jamais elle n’avait ressenti ce sentiment et encore moins avec une femme. Pourtant elle avait fréquenté parmi les plus belles femmes du monde mais jamais elle n’avait vu cette grâce, ce charme, un regard si profond, si intense et à la fois si doux. C’était le coup de foudre. Son cœur battait à cent à l’heure. Elle était plongée dans ses yeux. Tout avait disparu autour d’elle, le public, les caméras, les techniciens. Soudain, l’animateur la sortit de l’état second dans lequel elle était en lui demandant si tout allait bien. Elle répondit que oui, reprenant rapidement ses esprits. C’est à cet instant qu’elle s’aperçut que Daphné, elle aussi, était déstabilisée. En effet, elle bafouilla quelques secondes avant de trouver les mots pour commencer son flash. Durant le journal, Laetitia ne put la quitter des yeux. Daphné avait également du mal à cacher son émotion et tentait de ne pas quitter le prompteur et la caméra des yeux, pourtant, son regard était irrésistiblement attiré par Laetitia.Enfin, le journal se termina. Nagui remercia Daphné et annonça la météo. Celle-ci se leva et lança un dernier regard en direction de Laetitia avant de quitter le plateau. Lors de ce regard, elles échangèrent tout ce qu’elles ressentaient, leur désir, leur passion et aussi incroyable que cela puisse paraître, leur amour. Elles ne se connaissaient que depuis cinq minutes, et pourtant, ces cinq minutes allaient changer leur vie.19h45 – Ces quinze dernières minutes avaient été interminables pour Laetitia. Elle mourrait d’envie d’aller dans les loges pour rencontrer cette femme qui l’avait bouleversée. Elle n’avait qu’une crainte, qu’elle soit déjà partie. L’animateur se lève, lui serre la main et l’invite à quitter le plateau. Ça y est, elle allait pouvoir rencontrer Daphné. Elle se retrouve derrière le décor. Son cœur bat plus vite. Elle sent le sang taper sur ses tempes. Elle aperçoit un homme qu’elle salue distraitement et qui doit être l’invité qui lui succède. Elle se dirige vers les loges mais elle ne sait quelle est celle du paradis. Enfin, elle rencontre quelqu’un dans ses couloirs qu’elle trouve interminables et qui va pouvoir la renseigner.— La loge de Daphné Roulier s’il vous plaît ?— Oui, c’est la troisième à droite.— Merci.Ca y est, elle est devant la porte blanche. Les battements de son cœur n’ont jamais été aussi rapides. Elle sent ses jambes se dérober sous elle. Elle trouve tout de même la force de frapper.— Oui ?— Euh…c’est Laetitia. Laetitia Casta.— Oui, entrez c’est ouvert.Elle ouvre la porte et entre dans la loge. Elle est là, devant elle, incroyablement belle et séduisante. Elle porte un pantalon noir et une chemise vert foncée ouverte qui laisse entrevoir la naissance de ses seins. Laetitia referme la porte derrière elle. Les deux jeunes femmes restent immobiles, face à face, leurs yeux sont plongés les uns dans les autres. Après quelques secondes qui leur parurent une éternité, Laetitia bredouilla quelques mots.— Euh… je… je crois que … que…C’est alors que Daphné s’avança doucement vers elle et posa son index sur les lèvres de Laetitia. Puis à son doigt succéda ses lèvres. Leur baiser fût d’abord timide puis de plus en plus intense et fougueux, comme si c’était une libération pour les deux jeunes femmes. Leurs langues se rencontrèrent enfin et se firent fête. Chacune découvrait la bouche de l’autre. À cette découverte s’ajouta celle de leur corps respectif. Leurs mains s’égaraient de plus en plus. Daphné caressait les fesses de Laetitia à travers la courte jupe de celle-ci tandis que cette dernière s’intéressa à la poitrine de sa partenaire. Après l’avoir devinée sous le tissu, elle déboutonna sa chemise. Elle s’extasia devant les seins de Daphné encore retenus par un soutien-gorge blanc en dentelle.— Tes seins sont superbes !Daphné lui sourit et dégrafa son soutien-gorge pour qu’elle puisse les admirer. Ils étaient en effet superbes, assez gros et très fermes. Leurs aréoles étaient assez larges et déjà en érection.— C’est gentil, mais je crois que les tiens sont bien plus beaux. Montre-les moi.Laetitia enleva alors son haut puis dégrafa son soutien-gorge noir qui tomba à ses pieds. Ses seins jaillirent alors, tendant leurs pointes vers Daphné comme s’ils suppliaient d’être caressés. Ils étaient magnifiques. Leur taille était impressionnante et leur fermeté plus encore du fait de leur taille. Daphné ne put résister et les prit à pleines mains. Sous ce premier contact, Laetitia laissa échapper un cri de surprise et de plaisir. Elle les caressa longuement, encouragée par les gémissements de Laetitia.— T’es très sensible des seins non ?— Hmmmm, ouui, ooh, continuuue, c’est bon.Daphné prit alors Laetitia par la main et la fit venir près du canapé. Elle s’assit dessus et s’occupa à nouveau de la poitrine de sa partenaire. Elle posa ses lèvres sur les seins de Laetitia et les embrassa avec gourmandise. Puis de sa langue, elle titilla les pointes déjà bien dures. Laetitia gémissait de plus belle. Continuant à lécher les tétons de celle-ci, Daphné glissa sa main sous sa jupe et la posa sur une culotte trempée. Un sourire vicieux s’inscrit sur son visage. Elle glissa sa main sous la culotte. Ses doigts rencontrèrent d’abord les poils humides de son pubis puis les lèvres plus humides encore. Elle frotta doucement sa main contre la fente trempée et si douce de Laetitia qui après quelques secondes ne put s’empêcher de jouir.Daphné profita de l’orgasme de Laetitia pour ôter son pantalon mais elle garda sa culotte. Laetitia la fixa avec gourmandise.— Ta culotte est trempée aussi !— Si tu savais comme j’ai envie de toi !— Moi aussi !— Viens ! j’ai encore envie de lécher et de sucer tes seins.Daphné s’avança sur le canapé et plaça sa cuisse droite entre les jambes de Laetitia. Elle retira alors la culotte de celle-ci et lui fit signe de s’asseoir sur sa cuisse.Frotte-toi contre ma cuisse pendant que je m’occupe de tes seins. Laetitia se mit alors à frotter ses lèvres contre la cuisse de Daphné. Celle-ci, suçait avidement les tétons de Laetitia qui étaient à sa hauteur. Laetitia ondulait son bassin pour accentuer le plaisir. À chaque mouvement de ses reins, ses tétons entraient puis sortaient de la bouche de Daphné. Celle-ci étaient de plus en plus excitée sentant la cyprine couler sur sa cuisse. Elle glissa une main sous sa culotte pour se masturber tout en continuant à sucer les aréoles de sa partenaire proche d’un deuxième orgasme. Laetitia accélérait son mouvement de va et viens sur la cuisse de Daphné et au bout de quelques secondes, elle jouit pour la deuxième fois. C’est alors qu’elle aperçut que Daphné se masturbait. Elle prit la main de Daphné et la retira de dessous la culotte. Elle s’agenouilla entre ses cuisses puis fit glisser la culotte le long de ses jambes. Daphné avait rejeté sa tête en arrière en fermant les yeux, et écarté ses cuisses, offerte. C’était la première fois que Laetitia allait faire ça mais elle en avait très envie. Elle approcha ses lèvres de la toison brune de sa partenaire et l’embrassa puis descendit sur les lèvres trempées. Elle les lécha avec application prenant bien soin de les nettoyer totalement. Elle aimait le goût. Elle l’adorait même. Lorsque la cyprine eut presque disparu, elle écarta de deux doigts les lèvres et n’eut pas de mal à trouver le clitoris gonflée par le désir et le plaisir. Elle le frôla de la pointe de sa langue. À chaque contact, elle entendait Daphné gémir.— Lèche-moi, vas-y franchement, j’en peux plus, je t’en supplie, lèche-moi !Laetitia joua encore quelques instants avec le plaisir de sa partenaire, puis enfonça franchement sa langue dans la fente de Daphné. Après quelques pénétrations de sa langue, elle revint au clitoris qu’elle lécha avec gourmandise, puis elle joua avec, le suça, l’aspira entre ses lèvres. Elle entendit alors Daphné l’appeler. Elle releva la tête. L’image était alors magnifique. Laetitia avait de la cyprine sur tout le visage. Cela excita Daphné encore d’avantage.— Oooh! Laetitia ! Suce-moi et regarde-moi dans les yeux ! Continue mais regarde-moi. Je veux voir tes yeux quand tu me suces le clito.Laetitia replongea alors entre les cuisses de sa complice et suça à nouveau le clito de celle-ci mais en la regardant. Daphné pouvait alors voir les yeux de Laetitia, remplis de désir mais en même temps si innocents. De voir ce visage angélique entre les cuisses l’excita encore d’avantage et elle jouit dans la bouche de Laetitia quelques instants plus tard. Reprenant ses esprits, elle vit Laetitia agenouillée à ses pieds, le visage couvert de son jus. Ses yeux lui suppliaient de la faire jouir, mais elle n’osait lui demander.Laetitia se releva et s’assit à côté de Daphné. Celle-ci se mit alors à lécher le visage de sa partenaire, recueillant son propre jus. Après cela, elle se recula légèrement, et regarda Laetitia dans les yeux en se léchant les lèvres.— T’es une salope, lui murmura Laetitia .— Si prendre du plaisir et faire des choses excitantes c’est être une salope, oui, je suis une salope et j’en suis fière. Pas toi ?— Si.— Lèche-moi la cuisse.Laetitia s’agenouilla à nouveau devant Daphné, ne la quittant pas des yeux. Elle hésita quelques instants puis se mit à lécher son jus sur la cuisse de Daphné qui se mit à se masturber.— T’aimes ?— Oui, j’adore ! Si j’avais su que mon jus était si bon…Lorsque la cuisse de Daphné fut totalement nettoyée, Laetitia se releva et s’assit sur les genoux de celle-ci mais face à elle, enserrant sa taille de ses cuisses, la chatte collée à son ventre. Leurs tétons se touchaient. Laetitia fit alors de légers mouvements de bas en haut pour que les pointes de leurs seins se frottent les unes contre les autres. Leurs langues se mêlaient de temps à autres. Leur excitation se faisait de plus en plus forte à mesure que leurs tétons se frottaient de plus en plus vite.— Daphné, j’ai envie que tu me lèches.— Moi aussi, j’ai envie de goûter ton jus. Allonge-toi par terre.Laetitia s’exécuta et Daphné s’allongea sur elle de façon à faire un 69. Sa langue parcourut la fente trempée de sa partenaire. Le jus de Laetitia était délicieux. Elle se régala en nettoyant sa chatte. Sentir la langue de Laetitia sur ses son clitoris l’excitait terriblement. Leurs gémissements se mêlaient. Tandis qu’elle léchait le clitoris, elle fit pénétrer un doigt dans la chatte de Laetitia. Elle sentit que celle-ci réagissait en faisant de même. Elle en fit alors pénétrer un deuxième. Laetitia copia une fois encore sa complice. Le va et viens de leurs doigts et de leurs langues étaient de plus en plus rapides. Leurs gémissements et leurs halètements de plus en plus forts. Quelques instants, Daphné pria pour que l’insonorisation de la loge soit bonne, puis, rejeta cette pensée aussi rapidement qu’elle était venue. Après tout, elle s’en foutait, elle prenait son pied comme jamais elle ne l’avait pris, et elle était persuadée que c’était pareil pour Laetitia. Alors qu’elle était au bord de l’orgasme et qu’elle sentit que sa partenaire l’était aussi. Elle se releva et fit face à elle. Laetitia lui lança un regard étonné qui fit place à un autre suppliant. Daphné lui sourit en s’asseyant face à elle.— Ecarte tes cuisses et place ton sexe contre le mien. Tu vas voir, c’est génial.Laetitia fit ce que Daphné lui demandait. Quelques instants plus tard, les deux jeunes femmes frottaient leur clitoris l’un contre l’autre. Le mouvement était de plus en plus frénétique, de plus en plus rapide. Les seins pointés vers le plafond, les deux jeunes femmes ondulaient leur bassin afin d’accentuer le contact des deux clitoris et leur plaisir. Elles transpiraient de plus en plus tandis que des cris avaient remplacés les gémissements. Soudain, elles jouirent en même temps dans une explosion de plaisir.Elles s’écroulèrent épuisées mais heureuses. Daphné trouva encore la force de se retourner et de se coucher près de Laetitia. Elles s’enlacèrent, nues, et échangèrent un baiser tendre mais passionné.— C’était la première fois avec une fille pour moi, murmura Laetitia, et toi ?— Moi, non, mais c’est la première fois que c’est aussi fort.— Je sais que ça paraît fou mais je crois que je t’aime.— Moi aussi.Après plusieurs minutes où elles restèrent allongées, nues, l’une contre l’autre, elles se relevèrent lentement et se rhabillèrent. Alors qu’elles avaient récupéré toutes leurs affaires, elles restèrent debout, l’une devant l’autre, se dévorant des yeux.— Daphné, j’ai encore envie de toi.— Moi aussi, mais viens, on peut pas rester là. Viens chez moi.— Je vais où tu veux.Elles s’embrassèrent une dernière fois avant d’ouvrir la porte de la loge et de se diriger vers la parking.SUITE AU PROCHAIN EPISODE(Si vous avez aimé, écrivez-moi, encouragez-moi à en écrire d’autre parce que je suis assez flémarde. Et si vous fantasmez aussi sur des célébrités (hommes ou femmes), écrivez des histoires sur elles et envoyer les moi, j’adore !)