Chapitre 2- La première rencontre(Voir partie n° 1 : l’inscription)Il se passa une petite semaine après que mon inscription et mon test aient été régularisés. Je reçus un courrier électronique m’annonçant qu’une femme de 34 ans prénommée Agnès pouvait peut-être correspondre à ma recherche. Celle-ci, m’écrivait-on, avait agréé ma fiche de présentation et souhaitait cette rencontre. Il m’était spécifié que cette fiche ne faisait nullement mention du « test X » pratiqué et je ne savais pas non plus si Agnès l’avait de son côté passé.Il m’était donné ses coordonnées téléphoniques de telle sorte que je me permis de l’appeler. Elle répondit directement, d’une voix assez agréable mais un peu hésitante. Après quelques mots, nous convînmes de nous retrouver dans un restaurant chic de notre ville, le samedi soir suivant.J’arrivai le premier et l’attendis dans le petit salon servant de réception. Elle arriva peu après et je découvris une femme de taille assez petite, 1.60 environ, brune aux cheveux mi-longs coupés en dégradé, de fines lunettes, vêtue d’un manteau de laine, vert bouteille, que la réceptionniste lui retira pour laisser apparaître un tailleur gris foncé, élégant mais sobre, chaussée de fines chaussures à mi-talons.Nous nous regardâmes et d’un sourire je lui indiquai que je l’attendais depuis seulement quelques minutes.La serveuse nous précéda à notre table, ronde, avec une longue nappe, dans un recoin discret du restaurant. Le décor était charmant, une chandelle créait une atmosphère douce, ce qui ne pouvait que favoriser mes projets.Déjà, je spéculai sur sa personnalité, conduit dans mes réflexions par mes premières impressions sur son « look ». « Le genre intellectuelle provinciale coincée ? C’était ma première analyse. Je décidai d’attaquer très fort au long de la soirée. Je n’avais pas de temps à perdre avec une mijaurée ou une frigide.Nous échangeâmes, dégustant une coupe de champagne, les premières considérations habituelles permettant de nous situer l’un l’autre. J’appris qu’elle était secrétaire dans un laboratoire d’analyses médicales. Elle me sembla cligner des yeux de satisfaction lorsque je lui dis que j’exerçais la profession d’avocat.— Je suis veuve me dit Agnès. J’ai perdu mon premier mari il y a trois ans. Il a eu un accident de voiture…— Je suis désolé de l’apprendre. Mais je pense que vous avez passé cette période difficile puisque vous recherchez une nouvelle relation ?— Effectivement, mais je suis assez difficile ajouta-t-elle..— Cela tombe bien moi aussi.Nous partîmes ensuite, avec quelques digressions, sur les qualités respectives que nous souhaitions trouver l’un chez l’autre. Nous évoquâmes l’amour, ciment de toute union, le partage de goûts communs ou tout au moins compatibles, etc…Je décidai soudain d’entrer dans le sujet que nous avions pris soin d’éviter jusque là, à savoir le sexe. Je me demandai si Agnès allait m’y accompagner, ou si elle resterait sur le quai de la gare— Il y une chose dont nous n’avons pas parlé Agnès et qui me paraît très importante dans une relation ?— Oh quoi donc ? Répondit-elle benoîtement.— Le sexe bien sûr !— Oh..— Ne me dites pas que le sexe est sans intérêt pour vous et que cela ne compte pas dans une relation..— Ce n’est pas ce que je veux dire, mais…— Quoi ?— Vous êtes trop direct…— En vous parlant de sexe ? Je ne vous demande pas de vous mettre toute nue dans le restaurant ou de passer sous la table pour me faire une… vous savez quoi…— Je euh. Elle regarde autour d’elle un peu affolée mais s’aperçoit que personne ne fait attention à notre entretien.— Eh bien oui Agnès, c’est important de bien s’entendre sur ce point. Ne pensez-vous pas ? Pour moi c’est essentiel. Je recherche une compagne qui, je vous le dis franchement, aborde cette question avec grande ouverture, si je puis m’exprimer ainsi…— Je euh..— Etes-vous une femme sensuelle Agnès ?— Je crois oui…— J’en suis ravi. Vous savez Agnès, je ne néglige pas toutes les qualités que nous avons évoquées, mais je recherche une femme qui apprécie le plaisir des sens, qui soit une partenaire et une complice, vous comprenez ?— Bien sûr, oui…— Si nous jouions à un petit jeu ? lui demandai-je après que nous ayons bu une excellente bouteille de bordeaux…— Quel jeu ?— Promettez-moi de dire la vérité çà toute question que je vous poserai maintenant ? Bien entendu, je m’y engage de mon côté.— Euh…oui d’accord..Je me fis la réflexion qu’elle n’était peut-être pas aussi coincée qu’elle en avait l’apparence. Cela valait la peine de pousser l’avantage un peu plus loin.— Vous savez Agnès, lui dis-je lorsque je sentis que le moment était propice. J’imagine en ce moment ce que vous portez sous votre jupe…Des bas ou des collants ? Personnellement, je parie sur les bas…— …— Alors ?— … Des bas…— Un bon point pour vous.— Un bon point. Une femme portant des bas est un signe de volupté, de raffinement. J’aime beaucoup…Et, euh, dites-moi, vos bas Agnès, avec un porte-jarretelles ?— Ohh… vous êtes bien curieux…— Dites..— Non, ce sont des dim up.Je restai silencieux. Ce fut elle qui relança la conversation.— À quoi pensez-vous Chris ?— À vous Agnès, à vos jolies jambes gainées de bas. À votre poitrine que je devine avantageuse sous votre chemisier…Elle me regarda, ses yeux recherchant le fond des miens.— En fait, Agnès, je cherche une relation durable, complice, sensuelle, partagée avec une femme qui a envie de prendre la vie du bon côté, de positiver le côté plaisir sexuel, bref je recherche une coquine doublée d’une bonne baiseuse…— Ohh..— Je vous choque Agnès ?— Euh..Elle ne savait répondre. Je sentais que sous le couvert de sa respectabilité, le vernis qu’elle affichait était fragile.— Dites-moi, je suis prêt à parier que vous êtes émoustillée, pour ne pas dire excitée par cette conversation… Dites-moi la vérité, Agnès, vous mouillez ?— Oh, je je..— Allez dites-moi…— Vous êtes vraiment un coquin.. mais.. oui. Voilà vous êtes content ?Je lui souris.— Extrêmement…Hum, je pense à votre jolie culotte de dentelle je présume ? De quelle couleur ?— Oui… blanche— Et vous ? Vous n’êtes pas curieuse ? Vous ne me demandez pas si je bande ?— Ohh répondit-elle regardant autour d’elle d’un air affolé… Vous êtes fou..— Alors ?— Alors quoi ?— Demandez-le moi…— Non— Pourquoi ? Cà ne vous intéresse pas de le savoir ?— Euh..— Toute femme est intéressée par l’effet qu’elle fait sur un homme non ?— Je… je ne sais pas ohh vous me troublez…— Oui, je sais. Et même que vous mouillez dans votre petite culotte…Alors ?— Est-ce que euh, vous .. bandez ?— Oui, répondis-je avec un grand sourire. Oui, Agnès, vous me faites bander.— Oh mon Dieu, je suis folle de suivre votre jeu.. Je ne me reconnais plus…— Laissez vous aller Agnès, lui dis-je en prenant sa main.Notre repas tirait à sa fin. Je réglai l’addition et nous quittâmes cet excellent restaurant. Il était environ 22.30 heures.Je souhaitai naturellement pousser l’avantage au mieux, mais je jugeai qu’il était prématuré de l’inviter chez moi. Elle n’était pas encore mure.Sur la place où nous débouchions, j’avisais le cinéma de quartier où allait débuter la dernière séance avec un vieux film charmant « Un été 42 ». À quelques minutes près nous pourrions voir le film qui débutait.— Si nous allions au cinéma, Agnès ? dis-je en l’entraînant vers l’entrée. J’achetai rapidement deux billets alors que la caissière m’indiquait que l’orchestre était pratiquement complet mais que l’on pouvait monter au balcon. Nous montâmes au balcon qui était quasiment désert, a part quelques spectateurs au premier rang.Avisant cela, après quelque moment dans la pénombre, je pris la main d’Agnès..— Venez, Agnès…Montons tout en haut, nous serons bien.Nous nous assîmes au dernier rang, au milieu de la rangée, Agnès à ma gauche…— Retirez votre manteau, lui dis-je, tandis que j’enlevai mon imper. Je posai mon vêtement sur le siège à côté mais Agnès laissa le sien sur ses genoux.J’avais l’impression de redevenir un collégien emmenant sa copine au ciné.Je pris la main d’Agnès qui ne la refusa pas…Je tournai la tête vers elle et lui posai un baiser sur la joue, tout près de l’oreille en lui susurrant : « J’aime votre profil »…Je pris sa main dans la mienne, posée sur sa cuisse, et durant quelques minutes, nous fîmes semblant de nous concentrer sur le film.Puis je commençai à bouger légèrement sur sa cuisse, par-dessus sa jupe de tailleur. Elle ne me repoussa pas. Je continuai de l’embrasser. Elle semblait apprécier et ne tarda pas à tourner son visage vers le mien pour poser ses lèvres sur les miennes.Je poursuivais pendant ce temps ma caresse sur sa cuisse. Mes doigts se faufilaient sous sa jupe. Je sentis bientôt la lisière de ses bas et ma main toucha la peau douce de sa cuisse.Nous poursuivîmes nos baisers de plus en plus humides tandis que je sentais ses cuisses s’écarter légèrement pour laisser passage à la caresse de ma main. Je continuai mon exploration et le bout de mes doigts atteignaient sa culotte de dentelle, que je touchai, frôlai, agaçai de plus en plus. Bientôt, je pus mettre deux doigts le long de sa chatte et la caressai ainsi.De son côté, elle posa sa main sur ma cuisse tandis que nos langues se joignaient. Je glissai alors un doigt sous l’élastique de sa culotte et commençai de la caresser ainsi doucement. Je sentis son bassin s’avancer vers ma main, son désir s’exacerbant ; elle atteignait le point de non retour et son excitation croissait maintenant, ainsi que je le sentais dans la fougue de ses baisers.De sa propre initiative, elle se souleva légèrement, mon manteau plié sur ses genoux tombant à terre, pour retirer sa culotte. Ma main pris alors entière possession de sa chatte qu’elle offrait à mes caresses. Elle mouillait vraiment beaucoup je me mis alors à la branler sérieusement. J’excitai tantôt son clitoris tout dur qui roulait sous mes doigts, tantôt je lui massai de trois doigts ses lèvres intimes par de mouvements tournants rythmés. Elle gémissait doucement. Je sentais que son plaisir montait doucement et qu’elle appréciait cette masturbation.Je pris sa main posée sur ma cuisse pour la mettre sur la bosse de ma braguette tout en continuant à la branler.Sa main demeura inerte quelques minutes mais elle ne la retira pas. Après quelque temps, je sentis qu’elle pressait sur ma braguette… Puis sa main se mit à bouger pour me caresser par dessus mon pantalon, serrant ma queue à travers le tissu, la serrant par diverses étreintes excitantes.Nous continuions à nous embrasser, nos langues mêlées, mon bras gauche passé sur son épaule et ma main retombant dans son décolleté, où je caressai ses seins. Bientôt mes doigts glissèrent dans les bonnets du soutien-gorge et mon index et mon majeur se refermèrent sur les tétons durs d’excitation, bandés, excités. Elle poussa un bref gémissement, bougeant davantage sa main sur ma braguette.Mes doigts accéléraient entre ses cuisses. J’abandonnai les agaceries, les excitations, un savant doigtage, pour la branler bien à plat, et la faire jouir. Son souffle traduisait la montée de son orgasme et elle ne tarda pas à exploser de plaisir, ma bouche recueillant son cri de jouissance. Je sentis ses cuisses se refermer, se tendre emprisonnant ma main, mesurant les spasmes de son orgasme.Nous ne bougeâmes plus durant quelques minutes, qui lui permirent de reprendre ses esprits.— C’était bon, me dit-elle simplement.Sa main sur ma braguette s’activa alors pour l’ouvrir. Je l’aidai un peu pour extirper ma queue tendue de mon slip. Elle jaillit de mon pantalon et Agnès l’empoigna aussitôt pour la caresser.Elle continua de me branler ainsi, régulièrement jetant parfois des regards autour d’elle. Mais nous étions seuls sur notre rang. Elle gardait ses cuisses écartées et je matais sa chatte nue devant moi, alors que ses seins aux mamelons durs étaient sortis de son soutien-gorge. Bref, elle était totalement impudique dans ce cinéma. Quelle progression en quelques heures ! pensais-je me remémorant la gentille bourgeoise qui s’était présentée au restaurant.Rassurée par l’absence de voisins, la coquine se pencha alors pour me sucer et je sentis sa bouche chaude, moelleuse autour de mon gland. Elle continuait de me caresser la base de la queue tout en aspirant. Je lui caressais les cheveux alors qu’elle activait sa fellation.Elle y prenait manifestement goût et sa main soupesait mes couilles et agaçait mon périnéeElle devait sentir que l’explosion était proche mais ne faisait pas mine de vouloir se retirer. Au contraire, elle accentuait son aspiration.Bientôt, je ne pus retenir plus longtemps mon plaisir et j’expédiai dans sa gorge des jets de sperme qu’elle avala, semble-t-il avec délectation et gourmandise, car elle n’en rejeta pas la moindre goutte. Une fois qu’elle eut tout avalé et nettoyé ma queue de sa bouche, nous nous rajustâmes alors que le film se terminait.Un baiser ou deux scellaient notre première rencontre, encore inachevée, mais encourageante, car au bas des marches du cinéma, après avoir échangé nos coordonnées complètes, Agnès m’indiqua :— Je peux vous prier à dîner chez moi samedi prochain Chris ?— Avec plaisir, répondis-je, surtout si vous êtes au menu Agnès…— Ohh, nous verrons.ChrisMerci de vos réactions à chrisaimex@hotmail.com