Ça y est, je suis enfin dans mon nouvel appartement. Je l’ai trouvé vite, à Paris, à proximité de mon travail. Il est suffisamment grand pour nous accueillir, moi et mes trois filles, suite à la séparation d’avec leur mère, mon épouse depuis 18 ans.J’y suis seul pour le moment, mes filles étant en vacances chacune de son côté. Les meubles ne sont pas encore arrivés et je suis confronté au vide, aussi grand que celui qui m’habite en ce moment ! L’échec, le rejet, le découragement et un certain dégoût de moi-même… Je dois rebondir, je dois m’approprier ce lieu magnifique mais pour le moment inhospitalier, malgré ses qualités indéniables.Je vais de la cheminée en marbre à la future chambre où un futon est posé à même le sol. Je mange dehors, dans un bar, pour trouver un peu de compagnie. J’essaye de ne pas trop boire, ne pas prendre plus de mauvaises habitudes que celles que j’ai déjà .L’appart est grand, refait à neuf. Il est lumineux avec ses murs blancs, ses parquets en chêne. Tout est de travers, comme dans tous les vieux appartements parisiens, mais c’est aussi cela qui en fait le charme. Il y a trois cheminées en marbre, surmontées de grandes glaces en parfait état. Mon premier chez moi, juste chez moi pas chez « nous ».Il est tard, je n’en peux plus, le sommeil m’emporte.–––oooOooo–––Il y a une nouvelle serveuse au restaurant-bar où je mange maintenant midi et soir. Elle est jeune, pas plus de 22 ans, d’une beauté simple et naturelle comme seules les filles de cet âge savent l’avoir. Elle semble en être consciente car elle joue de ses vêtements sur sa silhouette magnifique. Elle a des yeux noisette mutins, très expressifs, des fesses hautes et rebondies, des hanches pas si larges que cela mais à la courbe magnifique, une taille fine, des seins petits mais apparemment fermes car elle ne porte pas de soutien-gorge et ceux-ci ne bougent quasiment pas lors de ses déplacements entre les tables pour le service.Je viens manger tard la plupart du temps, à la fin du service. Je suis un habitué et considéré comme tel dans ce restaurant assez familial. Il m’arrive régulièrement de manger avec l’un des serveurs ou serveuses qui vient de finir son boulot.Elle n’est là que depuis deux jours, et elle vient spontanément s’installer à ma table avec son assiette. Échange de sourires et de banalités, mais le courant passe bien. J’apprends à l’observer, la découvre spontanée, heureuse de vivre. J’apprends qu’elle est étudiante, ne sait pas ce qu’elle veux faire de sa vie après, ses envies de voyages, de liberté. Je lui dis ma passion pour la photographie, mon changement de carrière récent pour travailler dans ce domaine.Je lui tends ma carte, lui disant que si elle le souhaite, je serais enchanté de l’avoir pour modèle.Le repas s’achève, elle part devant moi car son frère fête ses 19 ans ce soir.–––oooOooo–––Il est plus de minuit, je tourne à nouveau en rond sans trouver le sommeil. Heureusement un voisin a omis de protéger son WiFi et je peux surfer sur Internet, sur des sites d’histoires érotiques ou de chat. Ces longues séances d’excitation et de masturbation me permettent de renouer avec moi-même mais me laissent un goût désagréable de gâchis.Mon portable sonne, l’arrivée d’un SMS :«t’étais sérieux pour la séance photo ? N.»Je suis surpris d’avoir des nouvelles aussi vite, d’avoir des nouvelles tout court. Je prends le temps avant de taper ces mots :«comment pourrait-il en être autrement ? tu es la féminité dans toute sa perfection. V.»Quelques minutes plus tard, une réponse sous forme de question : « quand ? »Je réponds immédiatement : « ton heure sera la mienne. »Quelques minutes d’attente. Elle doit réfléchir ! Puis la réponse arrive : »Demain matin ? »Je prends le temps de taper ce SMS, car je sais qu’il va être la pierre angulaire de tout ce qui va suivre : »Vers 9 h ce sera parfait, la lumière est encore bonne dans l’appartement. Par contre, retire tes sous-vêtements tout de suite et n’en remets pas d’ici demain, je n’aime pas passer des heures à retirer les marques disgracieuses sur la peau des modèles. »J’attends. La réponse ne vient pas. Ai-je été trop vite en parlant des traces de sous-vêtements sur son corps ? Nous n’avions jamais évoqué de photo de nu, juste qu’elle soit mon modèle. Serais-je allé trop vite et trop loin ? Je décide d’attendre encore. Je lui ai donné la main, je la connais à peine.Trois heures du matin. toujours rien. Je vais me coucher, si elle venait demain, je dois être en forme pour la séance.–––oooOooo–––Je me réveille spontanément à 8 h 30, ce qui est rare lorsque je n’ai pas d’obligation. La trique du matin est présente malgré mes activités de la veille, qui apparemment ne m’ont pas réellement soulagé. En reprenant mes esprits je me remémore les derniers échanges de SMS et me jette sur mon portable pour voir si une réponse est arrivée pendant que je dormais. Rien.Je me lève, un goût amer dans la bouche. J’ai laissé passer une occasion d’avoir une fille sublime devant mon appareil, tout ça parce qu’elle m’a envoyé un SMS au moment où je lisais des histoires érotiques et que, du coup, j’ai oublié d’utiliser mon cerveau pour réfléchir.Une douche rapide, nécessaire pour évacuer les traces de la nuit et me voici en peignoir, pieds nus dans ma cuisine en train de me faire couler un expresso. Je me sens plutôt bien, revigoré par la douche. malgré la pièce vide : il n’y a que la cafetière posée sur l’évier fourni par le propriétaire de l’appart. Je commence à me sentir bien dans cet appartement.J’avale d’un trait mon court nectar. Je me suis rapidement fait au bon café. Je prépare une nouvelle capsule lorsque la sonnerie retentit.Mon sang ne fait qu’un tour, je m’échauffe. Serait-elle venue ?Je file jusqu’à la porte et jette un oeil par le judas. Elle est là . Sans plus hésiter j’ouvre et l’accueille, le rouge aux joues.Échanges de sourires, de bonjour. Elle vient poser ses lèvres sur ma joue. Je l’invite à entrer, sentant son parfum lorsqu’elle glisse à côté de moi. Je glisse ma main sur son dos pour la guider vers la cuisine où je lui propose un café, qu’elle accepte.Je m’excuse de ne pouvoir lui offrir de siège, vu que je n’ai pas de meubles. Elle sourit puis boit son café d’un trait. Ses yeux sont directement plantés dans les miens et je me sens revivre à voir mon reflet dedans.Je quitte ses yeux un instant et détaille sa silhouette, ses vêtements, enfin plutôt son vêtement, un haut léger à bretelles et une jupe vaporeuse. Elle est plantée sur des chaussures à talons dont le laçage, sûrement scientifique, coule le long de son mollet, le mettant en valeur.Elle sourit de mon regard et dit :— J’ai choisi des vêtements qui ne me serraient pas.Je déglutis difficilement mais finis pas surenchérir :— Tu as donc suivi mes consignes et tu ne portes rien dessous. Pour le haut j’ai l’habitude, mais savoir ton intimité nue à quelques mètres de moi…Je préfère ne pas finir ma phrase.— Je te fais visiter ?— Bien sûr, il faut que j’apprivoise les lieux.Je la guide dans l’appartement, lui montrant les pièces vides, les chambres de mes filles, la mienne où gît mon lit encore défait, l’ordinateur portable ouvert à côté, le cendrier plein. Elle regarde, attentive. Nous arrivons dans le salon, meublé de la seule cheminée de marbre surmontée d’une glace. Ses yeux s’illuminent :— Il est sublime, ton appart. »Merci » est ma seule réponse. Il y a encore quelques temps, j’aurais rougi et tenté de m’expliquer pour cacher ma gène d’avoir les moyens de m’offrir un tel luxe en plein Paris, mais les choses évoluent.— Où veux tu me prendre ? demande-t-elle.— Heu… où tu voudras, lui lançai-je dans un souffle à son oreille, mais si tu parles de photos, je crois que le salon sera parfait.— C’est dommage, j’aurais voulu tester le futon, me répondit-elle avec un sourire malicieux.Je m’approche d’elle, bien en face et, la regardant dans les yeux, dit :— Nous pourrons l’utiliser plus tard, comme accessoire, mais la station debout est souvent bien plus forte, et il serait dommage de ne pas profiter de cette cheminée, non ?Elle baisse les yeux, le rouge aux joues.La situation est ambiguë, nous jouons sur deux tableaux en même temps. La séance photo, que je veux faire car je sens que cette fille me permettra d’avoir des photos extraordinaires, et des perspectives bien plus intimes et merveilleuses. Je ne sais pas ce qu’elle est venue chercher exactement, mais pour le moment elle accepte mon jeu.* * *Elle ne le sait pas encore mais je viens de changer de registre. Après avoir jeté un oeil aux quatre dernières photos, je tiens celle que je vais prendre plaisir à retoucher, à travailler et à tirer pour orner le mur de ma chambre ou de mon salon.— On va s’arrêter deux minutes, dis-je, tu sembles avoir besoin de souffler, tu es toute rouge.Elle quitte sa position face au miroir et se retourne lentement vers moi. Pour la première fois j’ai une vue directe sur ses seins, petits certes mais d’une incroyable tenue.— Tu prends plaisir à poser ?— Oui, dit-elle en baissant les yeux.Je la sens gênée mais surtout enfiévrée par la situation. Elle respire un peu fort et ses seins sont gonflés, les pointes se hérissent.— On va changer un peu de registre.Ses yeux se relèvent, elle me regarde, une lueur de questionnement dans les yeux.— J’aime capter la sensualité propre à chaque femme, sa manière d’être, de montrer son envie, son désir qui monte. Accepterais-tu de te dévoiler pour moi ?— Je ne sais pas, je n’ai pas l’habitude.— Le jeu est simple. Essaie juste d’oublier l’appareil photo. Tu dois me regarder, jouer de ta sensualité, de ta séduction, pour me donner envie de poser mon appareil et de m’occuper de toi plutôt que de prendre des photos.— Ça, ça va être simple, répond-elle en retrouvant son sourire mutin.— Détrompe-toi, quand je photographie une femme, je suis très concentré, et plus ce que je vois est exceptionnel, plus cela est difficile de me faire cesser la prise de vue. Il va te falloir être très, très provocante. Suis-moi, nous allons nous installer sur le futon.Je la prends par la main et l’entraîne vers ma chambre. Elle a laissé derrière elle sa jupe au sol, elle ne porte plus que son haut, entièrement déboutonné et ses chaussures à talons. Je débarrasse rapidement le lit, découvrant le futon au naturel. Il est posé directement sur le parquet en chêne, devant un mur blanc. La lumière est filtrée par les stores que j’entrouvre. Une lumière rayée apparaît sur le futon. Je me recule d’un petit mètre et dis :— À toi de jouer, ma belle.Je place l’appareil devant mon oeil et attends, mais il ne se passe rien. Elle est comme bloquée. Elle semble hésiter, ne savoir comment faire. Je ne lui donne aucune indication et elle semble perdue.— Si tu ne fais rien, je ne suis pas prêt de lâcher mon appareil, dis-je, un sourire aux lèvres pour tenter de débloquer la situation, mais elle ne bouge toujours pas.Serais-je tombé sur une jeune femme aux instincts soumis ? Elle semblait nettement plus à l’aise lorsque je lui disais quoi faire. Là elle a perdu de sa superbe, pourtant elle semble avoir envie.— Tu préfères être guidée ?Elle relève ses yeux vers moi et dit :— Oui. je ne sais pas quoi faire.— Se pourrait-il que sous cette figure délurée se cache une jeune fille qui préfère être poussée plutôt que de prendre des initiatives ?Elle rougit encore plus et baisse les yeux. sans répondre. Je la laisse quelques instants dans cette position, celle où l’esprit vagabonde et imagine déjà la suite, sans réellement savoir. Je vois un frisson parcourir sa peau.— Assieds-toi sur le futon et prends appui sur le mur avec ton dos.Elle s’exécute, allongeant ses superbes jambes sur le futon.— Non. Pas comme ça. N’oublie pas que tu dois me donner envie. Replie tes jambes et ouvre tes cuisses, la jambe droite repliée sur le futon, le pied gauche posé à plat.Elle a toujours les yeux baissés. Elle sait qu’elle exhibe ainsi son sexe à ma vue.— Charmante, cette chatte entièrement lisse. Tu as l’avantage de la jeunesse, un abricot parfaitement fendu, et il semble juteux à en voir la liqueur qui suinte.Ses muscles se tendent par moment, ses seins pointent outrageusement et elle avance sa main vers son sein droit dans une caresse lente.— Non ! Repose ta main sur le futon, dis-je de manière autoritaire mais d’une voix toujours aussi douce. Tu voulais être guidée, tu dois donc m’obéir et ne pas prendre d’initiative.Elle lève les yeux vers moi, la lueur a changé, mélange d’excitation et d’appréhension. Je lui souris, elle baisse les yeux à nouveau, son corps tendu attendant la suite.S’en suit une succession « d’ordres », donnés d’une voix douce mais ferme. Je la fais s’exhiber à moi, me montrer son intimité, jouer avec sa poitrine, ses tétons. J’évite soigneusement de la faire avoir un contact direct avec ses zones les plus sensibles. Son désir monte, son corps frémit et elle a de plus en plus fréquemment des soupirs d’aise et des petits gémissements. Je la fais aussi changer de position : à genoux, les mains en appui sur le mur, à quatre pattes. Je continue à la prendre en photo car je sais que cela aussi l’excite énormément.Je ne me prive pas de faire des commentaires sur ce que je vois, ses seins qui se tendent et se gonflent, ses pointes qui grossissent, son sexe qui s’est entrouvert et laisse sourdre un petit ruisseau de cyprine. Parfois elle me jette un regard, presque suppliant.Je viens plus près d’elle après avoir changé d’objectif. Elle ne peut ignorer que je photographie chaque parcelle de son corps en gros plan, jouant de la lumière sur son corps divin.Je me déplace derrière elle, à quatre pattes sur le futon. Elle me regarde par-dessus son épaule.— Tes lèvres semblent douces, elle sont si serrées, cachant presque entièrement ton intimité. Joue avec tes muscles intimes.Je la vois qui commence à bouger son corps, qui ondule. Je pose ma main sur ses reins, c’est le premier contact que nous ayons et elle semble en être électrisée.— J’ai dit tes muscles intimes. Ne bouge pas, juste les muscles de ton vagin, de ton périnée.Je vois une lueur d’interrogation dans son regard. elle ne semble pas comprendre ma requête.— C’est vrai que tu es encore jeune. Tu ne connais pas tous les secrets de ton corps.— Apprends-moi, dit-elle d’une petite voix serrée.Je pose la pulpe de mon doigt directement sur son périnée, cette zone si sensible entre l’anus et l’entrée vaginale. La zone est humide de son désir. je masse doucement :— Ici, c’est ton périnée, un ensemble de muscles. C’est une zone très érogène et très importante aussi pour le plaisir de celui qui te pénètre. Essaie de pousser mon doigt. Tu dois faire comme quand tu as envie de te retenir de pisser.Je la sens concentrée, elle essaie de pousser mon doigt. Je sens ses muscles qui jouent doucement sous ma pulpe. Je continue à la masser.— Je vois ton petit trou qui palpite aussi. C’est très excitant et tu as l’air d’aimer jouer avec. Aimes-tu la sodomie ?Elle devient rouge et répond :— Je n’ai jamais essayé. Cela me fait peur et me tente en même temps.Je souris et réponds :— Nous verrons cela plus tard. En tout cas tu sembles sensible à ce niveau.Je passe juste mon ongle sur la chair, à proximité de son anneau et la vois se tendre à cette approche.— Oui, très sensible.Mon doigt remonte sur son périnée et elle bouge un peu vers l’arrière pour me pousser à entrer en contact avec sa vulve de plus en plus humide. Je me retire et lui donne une petite claque sur la fesse.— N’oublie pas, c’est moi qui décide aujourd’hui.Dans un souffle elle me dit :— Je n’en peux plus, je veux jouir. Fais-moi jouir.— Tu es jeune et impétueuse, tu ne connais pas les vertus de la patience. Plus la montée du désir est longue, plus la jouissance est intense.— Je suis déjà au bord de l’explosion. Fais-moi du bien, me répond-elle.Je pose mon appareil, glisse mon visage au creux de sa nuque et à son oreille vient glisser dans un murmure :— Tu jouiras lorsque je le déciderai.Je commence par me mettre à genoux sur le futon, à environ 50 cm d’elle, sur son côté. Je dénoue la ceinture de mon peignoir (eh oui ! pour ceux qui s’en souviennent, je suis en peignoir depuis le début de cette aventure), tout en disant :— Souviens-toi, interdiction de bouger.Le peignoir s’ouvre et mon sexe déjà dur surgit. Elle baisse les yeux gourmands et semble se délecter de cette vision. Je récupère ma ceinture, puis fais glisser le peignoir qui tombe derrière moi. Je m’approche d’elle et avec le bout de la ceinture en éponge commence à parcourir son dos, de sa nuque à son sillon. Elle soupire tout en regardant fixement ma hampe qui se rapproche d’elle.Je m’approche encore un peu d’elle, sur le côté toujours, et pose enfin ma main dans le creux de ses reins, descendant lentement sur ses fesses que je caresse enfin, dans un geste lent et doux. Sa peau frissonne et je la vois replier ses bras et baisser sa tête, s’approchant de ma queue qui est maintenant face à son visage. Elle me regarde et je lui dis « non » avec un sourire. Elle détourne alors son visage vers mon gland de plus en plus gros et turgescent. Elle en observe les soubresauts d’excitation, la danse que ma queue fait devant son visage.Je reprends mes caresses sur ses fesses, un peu plus appuyées, découvrant la douceur du haut de ses cuisses. Elle gémit, bouge lentement ses jambes bien en appui sur ses genoux pour venir à la rencontre de ma main. Elle rentre dans le rythme que je lui propose, tout en lascivité et volupté.Ma main s’égare en un effleurement le long de sa vulve, léger et rapide mais suffisant pour sentir sa moiteur. Mon doigt remonte sur son périnée et y joue un moment. Les cercles sont lents, appuyés, descendent parfois suffisamment pour prendre un peu de sa liqueur sur ma pulpe afin que les mouvements soient le plus agréable possible. Je la sens se tendre. Elle cherche à bouger, voudrait que ce doigt s’égare en elle. Je sens son souffle s’alourdir et venir entourer ma queue. Il est chaud et excitant de sentir cette bouche à quelques centimètres de ma queue. Je l’avance un peu. elle se tend, mais pas suffisamment pour que le contact ait lieu.C’est alors que je vois sa bouche s’ouvrir et sa langue sortir. Elle la darde et l’étire mais mon gland est encore un peu loin. Elle sait que je la vois, et malgré mes mots de tout à l’heure je la vois avancer un peu. Mon doigt remonte alors de son périnée à son anus. Je la sens surprise et elle recule son visage en même temps que je fais redescende mon doigt sur son périnée puis à l’entrée de sa vulve maintenant trempée.Après avoir recueilli sa cyprine, je remonte lentement et viens masser sensuellement son oeillet. Sa bouche s’approche alors de ma queue. Nos mouvements sont synchronisés. Elle pose ses lèvres sur mon gland alors que mon doigt joue sur son oeillet palpitant. Alors qu’elle commence à engloutir mon sexe dans sa bouche, accueillante et humide, mon doigt se fait insistant et pénètre lentement son anus qui s’entrouvre. Elle recule un peu, tétant mon gland, je me retire.C’est elle qui dirige mon intromission anale par les caresses qu’elle me prodigue sur la bite, de plus en plus dressée et réactive. Le jeu se fait sur quelques centimètres seulement, aussi bien pour elle que pour moi. Je la laisse me guider ainsi jusqu’à ce que je sente son fondement prêt, son excitation au summum et je prends l’initiative d’enfoncer en un geste lent mais inexorable l’intégralité de mon doigt en elle. Elle gobe alors mon sexe entièrement. Sa respiration est saccadée, je sens ses muscles se tendre. Elle garde ma queue dans sa bouche ainsi jusqu’à ce que je commence à faire coulisser mon doigt dans l’autre sens. Alors elle commence à faire coulisser ses lèvres délicieuses sur mon vit dressé. Pendant quelques minutes nous jouons ainsi le mimétisme de nos allers et retours.Je retire finalement mon doigt et, la prenant par la hanche, la pousse à se retourner et s’allonger sur le dos. Je suis toujours à ses côtés. Spontanément, elle écarte ses cuisses et pour la première fois je vois l’entrée de son vagin. Ses lèvres sont gorgées de sang. Elle halète et me regarde, suppliante. Elle murmure plus qu’elle ne dit :— Fais-moi jouir, je n’en peux plus d’attendre.Je viens placer mon visage entre ses cuisses. J’embrasse et lèche la peau si sensible à l’intérieur des cuisses. Ma langue s’égare sur son périnée, survole son anus puis vient lécher ses grandes lèvres sur toute leur longueur, de bas en haut, en prenant soin de ne pas toucher à son clitoris, certainement hyper sensible. Je vois ses mains venir se poser sur ses seins et se les malaxer, en faire tourner les tétons, les étirer entre ses doigts. Je la laisse faire car, de toute évidence, ce traitement participe à son excitation.Je continue ce manège pendant de longues minutes, jouant de son attente, d’un rythme sans cesse modifié. Parfois je romps le contact, soufflant juste sur son sexe et son clitoris dressé. Je vois sa main qui descends vers son ventre puis plus bas. Je la stoppe sur son ventre par une pression de ma main.— Arrête ce supplice, fais-moi jouir.Je pose ma langue sur son anus, le titille une seconde, remonte sur son périnée, passe sur l’entrée de son vagin dans lequel je me délecte un instant. Cette fois, je remonte entre les petites lèvres et viens enfin effleurer son clitoris. Je la sens frémir, commencer à se tétaniser, elle pousse le bassin en avant, j’ai à peine le temps de rouler ma langue autour de son clitoris qu’elle part dans un hurlement déchirant, son corps secoué de convulsions incontrôlables et incontrôlées. Je sens sa cyprine s’écouler sur mon menton. Ses mains sont dans les miennes et nous nous les serrons pendant que cet orgasme fulgurant la traverse.Puis son corps arqué se relâche sur le futon.