JE TROMPE MON MARI———————————–On est fin 1971, j’ai maintenant deux enfants et depuis avril 1968 je suis mariĂ© avec J.Pierre mon amoureux.Dans le village ou nous sommes installĂ©s depuis aoĂ»t 1968 c’est comme dans celui oĂą j’ai passĂ© ma jeunesse, les ragots circulent vite et certains concernant des personnes habitant ma rue se confirment rapidement.Ma voisine reçoit souvent AndrĂ© le cultivateur le propriĂ©taire de la ferme situĂ©e en face de chez moi, il passe souvent le matin de bonne heure derrière mon terrain pour se rendre chez la femme.Le fils du fermier (qui est en rĂ©alitĂ© un enfant issu de relations entre la femme du fermier et le frère de celui-ci) couche avec Marie ThĂ©rèse la femme d’Olivier un copain de mon mari qui rĂ©side un peu plus loin.Deux maisons plus loin la femme couche avec l’assistant de son mari qui est assureur, les amants finiront par partir ensemble.Rapidement j’apprends d’autres choses concernant notamment Bertha la mère de mon futur amant qui frĂ©quente de très jeunes hommes ainsi que pour Solange la copine de Bertha, mariĂ©e et qui des enfants, elle aussi des relations sexuelles avec Roger mon futur amant.Rapidement j’ai fait la connaissance de Micheline.Maintenant que mon mari qui a pris du galon dans son entreprise il est souvent en dĂ©placement et je passe beaucoup de temps avec Micheline que ce soit chez elle ou chez moi.Comme je suis très jeune et influençable elle me mène par le bout du nez, je passe mes journĂ©es avec elle ce qui fait que mon mari est souvent de mauvaise humeur.Au dĂ©but concernant notre relation amicale c’est parfait puis petit Ă petit les choses changent. Beaucoup de très jeunes hommes viennent chez elle, leur âge me laisse scĂ©ptique.Je m’aperçois qu’elle a des amants surtout un du village voisin qui est un peu fĂŞlĂ© et vient la sauter chez elle sans que ça la gĂŞne vis Ă vis de ses enfants ou du voisinage.Elle m’encourage Ă profiter des jeunes qu’elle reçoit me disant que personne ne saura, je refuse. Pour me dĂ©cider elle m’affirme que mon mari ne raterait pas l’occasion avec une belle fille.Elle me propose d’envoyer chez moi, quand mon mari y est seul, sa fille aĂ®nĂ©e Marie Line (connue comme Ă©tant une sacrĂ©e salope).- quand ils auront couchĂ© ensemble tu seras libre d’en faire autant, il ne pourras plus rien dire -J’accepte puis je rĂ©flĂ©chis et trop jalouse je refuse.Plusieurs fois quand nous nous trouvons seules chez elle, elle s’approche de moi, caresse mon visage et mon corps par dessus mes vĂŞtements puis il arrive que sa main glisse sous ma robe, sur mes cuisses pour arriver sur mon entre-jambes.Cela me gĂŞne mais je ne repousse pas toujours sa main assez rapidement. Elle caresse mon sexe ce qui me procure des sensations.Plusieurs fois elle me propose d’avoir une relation intime que je refuse, elle insiste me disant que si moi je suis une novice ce n’est pas son cas, qu’elle a de l’expĂ©rience et que quand je serais prĂŞte elle sera lĂ .Micheline dit que j’ai des belles jambes et que je dois les montrer. Comme elle est douĂ©e en couture elle raccourcit encore mes jupes qui Ă©taient dĂ©jĂ courtes.Puis elle me propose un Ă©change: un de mes pantalons qui lui plait contre une de ses jupes mini et voyante, naĂŻve je marche dans sa combine.Un jour mon mari vient avec moi chez elle, en sortant il me dit:- c’est un bordel chez ta copine ou quoi, mĂ©fies toi car ça sent les problèmes -Mon tort c’est d’ĂŞtre jeune et naĂŻve, je fais trop confiance aux personnes.Roger, un beau gars très jeune, vient souvent la voir et encouragĂ© par Micheline me tourne autour. Il me drague avec insistance et me dit que je suis belle et que j’ai un beau corps. Je rĂ©siste bien qu’il me plaise et puis j’aime beaucoup me faire draguer.Vicieuse et mal intentionnĂ©e Micheline m’encourage Ă succomber Ă la tentation:- tu vois comme il te cherche, il en a une grosse et d’après Solange (une de ses amies) il fait ça plusieurs fois, vas y -Micheline est amie avec Bertha la mère de Roger qu’elle reçoit souvent.Je me lie aussi avec Bertha et un jour elle m’invite Ă boire un cafĂ©. Je me rends chez elle accompagnĂ©e de mes enfants. Son fils est lĂ , tel un jeune coq il se montre en participant Ă la conversation et surtout avec des attitudes de dragueur.Nous parlons en buvant un cafĂ© puis Bertha dĂ©crète qu’elle doit aller voir Solange et quelle emmène mes enfants, ce qu’elle fait sans me demander mon avis. Je reste seule avec Roger, je ne rĂ©alise pas que la situation est anormale.Il insiste pour me montrer sa chambre, inconsciente et comme la chair est faible je le suis Ă l’Ă©tage.ArrivĂ©s dans sa chambre il m’enlace, m’embrasse. Je rĂ©ponds Ă son baiser puis il caresse mon corps par dessus les vĂŞtements, j’en fais autant sur lui.Nous entendons un bruit dans la maison, nous redescendons, c’est sa mère qui rentre plus tĂ´t que prĂ©vu.Je retourne chez moi frustrĂ©e avec mes envies inassouvies et j’y pense toute la journĂ©e.Le lendemain matin je ne rĂ©flĂ©chis pas, je retourne chez Roger. Il m’ouvre la porte, sa mère est absente, il me dit qu’elle est partie voir Solange. De nouveau il m’invite Ă le suivre dans sa chambre.A peine la porte refermĂ©e il sort son sexe et lĂ je suis surprise, il est de belles dimensions ce qui me laisse bouche bĂ©e.- elle est belle et grosse ma bite, elle te plait, caresses la -Je m’exĂ©cute sans rĂ©pondre et la caresse de tous les cĂ´tĂ©s et sur toute la longueur jusqu’Ă ce qu’il dise:- embrasses la et fais moi une pipe -Toujours muette je m’accroupis, je tiens son monstre avec une main et je l’embrasse partout. J’ouvre la bouche au maximum et fais pĂ©nĂ©trer son pĂ©nis dedans.Mes lèvres font des des aller-retour sur le membre, j’essaie d’en engloutir le maximum et d’Ă©viter la nausĂ©e.Je m’active pour son plus grand plaisir Ă en avoir mal Ă la mâchoire et je me recule quand il dit qu’il va Ă©jaculer dans ma bouche. Abandonnant le pĂ©nis je me relève.- qu’est ce que tu fais, je voulais mettre tout dans ta bouche — non! je ne veux pas avaler ton sperme -Déçu il change de stratĂ©gie.- enlèves ta culotte et couches toi sur le lit -Je retire ma culotte et la pose sur le lit puis je m’allonge.Il s’allonge sur moi pendant que j’Ă©carte les jambes, il remonte le peu de la jupe qui cache mon sexe. Sa queue bute contre mon intimitĂ©. Comme je la trouve très grosse j’ai peur qu’elle ne rentre pas ou que je sois dĂ©chirĂ©e car il n’y a pas eu de prĂ©liminaires.Il exerce une pesĂ©e avec le poids de son corps, en repoussant les chairs son monstre pĂ©nètre difficilement mais inexorablement jusqu’Ă buter au fond de mon vagin, j’ai le souffle coupĂ© pendant la pĂ©nĂ©tration.Il se met Ă remuer et je ressens fortement les aller-retour de son pĂ©nis dans ma chatte dont il repousse les parois. Très (trop) rapidement il se retire et se dirige vers les toilettes pour y Ă©jaculer et s’essuyer.Je n’ai pas eu le temps de ressentir grand chose et je reste allongĂ©e Ă l’attendre pensant qu’il va y avoir une suite. Il revient rhabillĂ© et me dit:- on va boire un cafĂ© -Je me lève déçue, je remets ma culotte et le suis. Nous attendons le retour de sa mère en buvant du cafĂ© et parlant de tout sauf de ce qui vient de se passer, ni de sexe.Par la suite j’ai su qu’Ă peine j’Ă©tais partie il est montĂ© sur son vĂ©lomoteur et est allĂ© chez Micheline qui n’Ă©tait pas seule, entrant sans frapper et claironnant:- ça y est je l’ai eue! ça y est je l’ai eue! — de qui tu parles? — Laura, je l’ai sautĂ©e -Ainsi les bavardages vont commencer et ce qui devait rester secret tout le village va le savoir.la semaine suivante je me promène dans les rues avec mes enfants et je passe devant chez Bertha (certainement pas par hasard). Sa mère m’aperçoit, elle ouvre sa fenĂŞtre et me demande d’entrer un moment.J’acquiesce et pĂ©nètre chez elle. Roger est lĂ installĂ© dans un fauteuil.Elle nous sert un cafĂ© que nous buvons tranquillement en parlant de choses et d’autres. D’un seul coup elle se lève et dit:- venez les enfants on va rendre visite Ă Liliane elle a fait un bon gâteau -Elle part emmenant mes enfants sans que je rĂ©agisse.Roger se lève et me dit de le suivre. J’obĂ©is et le suis dans sa chambre, arrivĂ©s la, tout en dĂ©boutonnant son pantalon et sortant son gros sexe qui se dresse fièrement, il dit:- enlèves ta culotte et couches toi sur le cĂ´tĂ© -je retire ma culotte qui atterrit sur le lit. Je m’allonge dans la position qu’il m’a indiquĂ©e. Il se couche derrière moi, replie mes jambes et mes genoux qui viennent toucher ma poitrine.Il place son monstre Ă l’entrĂ©e de ma grotte et exerce une poussĂ©e, je sens le coulissement du pĂ©nis qui force le passage et repousse les chairs jusqu’Ă ce qu’il bute au fond de mon vagin.Il s’agrippe Ă mes hanches et sa queue commence les va-et-vient dans mon ventre, son pilonnage ne dure pas très longtemps, il se retire et Ă©jacule dans une serviette qu’il avait posĂ©e Ă cĂ´tĂ© de lui.Il se lève et rajuste sa tenue, voyant cela je remets ma culotte et me lève.- viens boire un cafĂ© -Je le suis dans la cuisine et nous buvons une tasse de cafĂ© et parlons de choses et d’autres mais pas de sexe en attendant que sa mère revienne.La semaine suivante nouvelle invitation de la part de Bertha, je m’y rends. Le processus est le mĂŞme sauf que je me retrouve Ă genoux la tĂŞte sur l’oreiller et il me prend en levrette pour un coĂŻt toujours aussi rapide.Cette fois lĂ il Ă©jacule dans mon vagin. Je vais m’essuyer dans les toilettes avant de remettre ma culotte.Ensuite il demande Ă Micheline Ă quelle heure le bus qui emmène le matin mon mari au travail passe, Et c’est rĂ©gulièrement qu’il me rend visite buvant un cafĂ© et discutant avant de monter dans ma chambre.Parfois ayant envie de queue c’est moi qui vais chez lui et sa mère s’Ă©clipse nous laissant le champ libre.Suivant son envie du moment, lĂ il sort sa grosse queue et me demande une pipe ou veut me pĂ©nĂ©trer. Je reste habillĂ©e hormis la culotte que je n’ai pas encore mis ou que je retire car me voir nue et me caresser la poitrine ou la chatte ne l’intĂ©resse pas.Il Ă©jacule dans ma gorge si je le suce ou dans mon vagin s’il me pĂ©nètre allongĂ© sur moi. puis il se rhabille aussitĂ´t.Il ne m’embrasse jamais, c’est moi qui le fait pour lui dire bonjour ou pour lui dire au revoir.Un jour me promenant avec sa mère nous le voyons sortir d’un bâtiment attenant Ă la maison de Solange. J’apprends qu’il va souvent la voir et qu’elle lui fait souvent surtout des pipes. Ensuite j’ai appris fortuitement qu’en mĂŞme temps il entretenait aussi une relation avec Marie Laure une des filles de Micheline ce que cette dernière m’avait cachĂ©.Je continue Ă voir Roger chez lui ou chez moi, parfois il passe me voir le matin de bonne heure (il travaille de nuit), mon mari est parti au travail Ă cette heure.En gĂ©nĂ©ral dĂ©s que nous nous retrouvons je l’embrasse sur les lèvres pour lui dire bonjour puis nous buvons un cafĂ© tout en parlant de choses et d’autres avant qu’il ne dĂ©cide de passer Ă l’acte sexuel.Soit je n’ai pas de vĂŞtements Ă enlever, il sort sa queue et je lui fais une pipe et rapidement son sperme gicle dans ma gorge.Soit je retire uniquement ma culotte, lui sort sa verge, se met sur moi et me pĂ©nètre puis donne des coups de reins pour faire aller et venir sa grosse queue dans ma chatte puis rapidement s’y soulage. Nous nous essuyons et rhabillons.Puis je sors de chez lui ou c’est lui qui s’en va après que je lui ai fait une bise sur la joue pour lui dire au revoir.Une fois il a voulu me sodomiser ce que je n’ai pas refusĂ©. Je me suis mise Ă genoux sur le lit.Il s’est positionnĂ© derrière moi et a placĂ© sa grosse queue contre mon anus.Il a poussĂ© avec le poids de son corps, la verge a commencĂ© Ă pĂ©nĂ©trer dans mon cul. J’ai rapidement ressenti une douleur assez vive, j’ai eu peur qu’il me dĂ©chire et je lui ai demandĂ© de se retirer, ce qu’il a fait très déçu.Je n’ai jamais voulu recommencer car sans prĂ©paration avec son gros pĂ©nis ce n’Ă©tait pas possible.J’Ă©tais très amoureuse de lui et notre liaison a durĂ© pendant plus de six mois.Sa mère, Micheline et d’autres femmes me disaient de cesser de le voir, que c’Ă©tait un coureur de jupon instable qui sautait tout ce qui bouge mais amoureuse de lui je m’entĂŞtais ne voulant rien Ă©couter.Un matin pas de chance mon mari revient Ă la maison, le bus qu’il prenait tous les jours pour se rendre Ă son travail n’est pas passĂ©. Roger qui Ă©tait chez moi se cache dans un cagibi et fait tomber des bouteilles. C’est le drame, J.Pierre le sort de la maison par la peau du dos.Tremblante de peur je vais me cacher derrière la maison. Cela ne sert Ă rien il me trouve facilement et je dĂ©rouille. Les gifles pleuvent, j’en pisse dans ma culotte.- je pars travailler, si tu es encore lĂ ce soir il va falloir t’expliquer et ça va barder pour ton matricule, tu ne vas pas t’en tirer aussi facilement -Le soir je l’attends Ă genoux dans l’entrĂ©e, je lui demande pardon avec seule excuse qu’avec ses dĂ©placements lui et son pĂ©nis me manquaient.- ton excuse est minable, prĂ©pares toi pour la fessĂ©e et demain tu iras acheter un martinet pour une deuxième correction — non! pas du martinet ça fait trop mal — et le mal que tu m’as fait ce n’est rien -Vaincue j’enlève ma jupe et ma culotte, je m’approche de lui craintive.Il s’assoit sur une chaise, attache mes mains ensemble cĂ´tĂ© ventre, il me couche sur lui et commence Ă frapper mes fesses sans retenue. Je le supplie d’arrĂŞter, il m’ordonne de me taire sinon il frappera plus fort.J’essaie de ne pas crier mais la douleur due Ă la violence des coups est trop importante.Je pleure et je crie mais il ne cesse pas de me frapper. La punition semble durer une Ă©ternitĂ©. mes fesses sont enflĂ©es, tumĂ©fiĂ©es et Ă©carlates.Il m’envoie me coucher sur le sol Ă cĂ´tĂ© du lit avec juste un oreiller.le lendemain matin j’achète le martinet et le soir il s’en sert sur mes fesses (dĂ©jĂ très douloureuses de la fessĂ©e reçue la veille) et sur mes cuisses. La douleur est pire que celle ressentie la veille.J’ai encore le droit de dormir Ă mĂŞme le sol. j’ai vraiment mal dormi la nuit dernière et je me suis levĂ©e avec le corps endolori.Il m’explique la suite de ma punition:- Pendant un mois pas de bite dans ton cul, tu me feras une pipe le matin et une le soir, si je ne suis pas satisfait tu dormiras sur le sol — Ă©galement pendant un mois tu porteras la robe que je t’aie prĂ©parĂ©e sans culotte et ni soutien-gorge et si quelqu’un vient tu peux le recevoir mais uniquement en portant cette robe, essaie la -Il me tend une robe qui Ă©tait dans l’armoire et que je ne mettais plus. Je l’enfile et je suis surprise: il l’a dĂ©coupĂ©e en divers endroits.Je me regarde dans un miroir: le sein gauche est visible et le droit sort Ă moitiĂ©, un rond est dĂ©coupĂ© au niveau du sexe, pareil cĂ´tĂ© fesses, sur les cĂ´tĂ©s il y a une fente qui monte très haut.- je ne peux pas mettre ça dans la journĂ©e, elle ne cache rien — c’est ton problème, c’est ça ou la porte -Je baisse les yeux, il a gagnĂ©.- ah oui j’ai oubliĂ© les deux weekend Ă venir j’emmène les enfants chez leurs grands parents et pendant que je ne serais pas lĂ tu passeras les journĂ©es attachĂ©e sur une chaise, quand je serais prĂ©sent tu ne seras libre que pour manger ou aller aux toilettes. D’accord — oui! je ferais ce que tu veux mĂŞme si je trouve ta punition trop dure et trop longue -Pas discret et vantard Roger m’a fait une sale rĂ©putation dans le village oĂą je passe maintenant pour une putain qui couche avec tout le monde.Suite à ça des hommes mĂŞme mariĂ©s me font des propositions, certains n’arrĂŞtent pas de passer devant mes fenĂŞtres ou de stationner devant ma porte attendant que je leur accorde mes faveurs sexuelles. Mon Ă©cart de conduite n’a pas Ă©tĂ© une rĂ©ussite et a durablement terni ma rĂ©putation.Ensuite je ne me suis pas tenue tranquille longtemps.Tous les matins pour me rendre dans le centre du village je passe devant chez la voisine oĂą deux maçons font des travaux ( le patron et Claude son ouvrier).Ce dernier a commencĂ© a me causer puis Ă blaguer avec moi avant de me draguer.Mes sourires, mes regards avec les yeux qui ont tendance Ă sortir de leur orbite ainsi que ma façon de tourner du cul en marchant l’on attirĂ©.Mais je pense Ă©galement que sachant par la voisine ce que j’avais fait avec Roger il voulait se taper la putain du village.Micheline qui a vu son manège m’incite Ă aller plus loin avec le maçon.- il n’est pas mal et tu as vu comment il te regarde, tu devrais essayer de faire quelque chose avec lui -Elle n’a pas eu besoin de me pousser car il me plaisait et j’avais des envies de bite.Quand il m’a proposĂ© de qu’on se voit après son travail j’ai acceptĂ©, j’ai donnĂ© mes enfants en garde Ă ma copine Micheline et je suis allĂ©e attendre Claude près du monument aux morts Ă une des sorties du village. Je suis montĂ©e Ă cĂ´tĂ© de lui dans la voiture de son travail.Pendant que le vĂ©hicule roule je le pelote sur le pantalon lĂ oĂą se trouve son sexe, tout en conduisant il caresse comme il peut ma poitrine ou mes cuisses ou mon entre-jambes par dessus mes vĂŞtements.Pas très loin du village il s’engage dans un chemin et stoppe Ă un endroit qu’on appelle « la sablière » et sans perdre de temps je m’approche de lui, nous nous embrassons avant de nous caresser.Ses mains sont très actives sous mes vĂŞtements, il pelote mes seins après avoir dĂ©placĂ© le soutien-gorge puis dans ma culotte pour caresser mon sexe.Il a ouvert et baissĂ© son pantalon et mis son pĂ©nis Ă l’air, je le caresse et le masturbe doucement, il a une belle Ă©rection.Quand il me le demande, toujours assis sur son siège, je me mets comme je peux sur lui et enfonce sa queue dans ma grotte, nous bougeons comme nous pouvons pendant qu’il caresse ma poitrine ou mes cuisses.Il sent qu’il va jouir et me demande de me retirer, ce que je fais le plus rapidement que je le peux pendant qu’il pince son prĂ©puce pour que le sperme ne coule pas. Il ouvre sa portière et sort du vĂ©hicule puis laisse couler le liquide sur le sol.Nous nous rhabillons et Claude me ramène dans la village.- c’Ă©tait bon, j’ai bien aimĂ©. Il faudra qu’on recommence mais pas dans la voiture car ce n’est pas pratique — je vais voir ce que je peux faire -Le lendemain quand je passe devant la maison de la voisine il me redit qu’il a envie d’avoir de nouveau une relation sexuelle avec moi, je l’invite Ă venir chez moi. Nous buvons un cafĂ© et parlons mais le prĂ©sence de mes deux filles bien qu’en bas âge gĂŞne, le situation en reste lĂ .Le matin suivant après une nouvelle discussion avec Claude je me rends chez Micheline mon amie qui bien Ă©videmment, ayant cherchĂ© Ă me pousser dans les bras du maçon, accepte de garder mes enfants. Je reviens chez moi et en passant dis Ă Claude de venir me retrouver pendant sa pose dĂ©jeuner.Il ne se fait pas prier. Nous buvons un cafĂ© puis nous montons Ă l’Ă©tage et sur un lit nous nous embrassons et caressons longuement, d’abord sur les vĂŞtements puis Ă mĂŞme la peau lui son pantalon et son slip baissĂ©s et moi ma culotte retirĂ©e.Accroupie Ă cĂ´tĂ© de lui je lèche puis suce sa queue qui est bien gonflĂ©e et dressĂ©eMourrant d’envies il ne resiste pas longtemps Ă la fellation, la verge tressaute dans ma bouche et le sperme gicle dans ma gorge, j’avale et suce encore un peu avant que je n’abandonne le sexe et m’allonge en Ă©cartant les jambes.Il retrousse ma jupe et s’allonge sur moi, sa queue pĂ©nètre dans ma chatte qui est bien mouillĂ©e et il commence Ă faire bouger son corps pour faire aller et venir le membre dans mon ventre.Il ne lui faut pas s’activer très longtemps avant d’Ă©jaculer, ce qu’il fait après s’ĂŞtre retirĂ© et en se soulageant de son sperme dans une serviette.