Dans le prĂ©cĂ©dent rĂ©cit j’ai racontĂ© comment j’ai honteusement trompĂ© mon mari pour un rĂ©sultat lamentable.Dans le village oĂą nous rĂ©sidons Ă cette pĂ©riode l’air est devenu irrespirable pour nous, enfin surtout pour moi.Les gens ricanent et parlent entre eux quand je passe dans les rues. Des hommes de tous âges me tournent autour ou me font des propositions parfois très salaces, certains viennent stationner devant mon habitation attendant que je les invite Ă entrer.Les femmes me regardent avec dĂ©dain et parlant entre elles me traitent de noms pas très glorieux. En gros je suis une putain, une traĂ®nĂ©e, une femme infrĂ©quentable.Les ouvriers (le patron et son commis avec qui j’ai aussi eu des relations intimes) qui rĂ©novent la façade de la maison voisine de la notre n’ont pas manquĂ© de me demander si c’est vrai que mon mari m’avait mis une raclĂ©e parce que je l’avais trompĂ©, vexĂ©e ma rĂ©ponse a Ă©tĂ© cinglante:- oui il m’a battue, c’est la voisine qui a colportĂ© la bonne nouvelle — oui! elle en parle souvent, cela la fait rire — Mais quand le fermier d’en face passe derrière mon jardin le matin de bonne heure et pĂ©nètre chez elle en passant Ă travers la haie ce n’est pas pour enfiler des perles. Connaissant son mari ça chauffera si je lui raconte. RĂ©pĂ©tez lui ça et dites lui aussi qu’elle arrĂŞte de me salir auprès des personnes qu’elle frĂ©quente car elle ne vaut pas mieux malgrĂ© ses grands airs — le commission sera faite -Le lendemain ils sont revenus me tenir au courant.- on lui a dit, elle est devenue blanche comme un linge et est rentrĂ©e prĂ©cipitamment chez elle, vous avez fait mouche — merci. Je ne m’occupe pas de ce quelle fait de son cul alors qu’elle me laisse gĂ©rer le mien.Peu de temps après mon mari moralement affectĂ© par ma trahison et par les rumeurs se dĂ©cide enfin Ă quitter le village mais j’ai eu du mal Ă le convaincre.Nous emmĂ©nageons dans un pavillon dans la ville proche. Je me tiens tranquille pendant quelques annĂ©es ou le sexe de mon homme me suffit.Pour notre première nuit dans notre nouvelle demeure je dĂ©cide de prendre les initiatives pour qu’elle soit torride.Pendant que J.Pierre regarde la tĂ©lĂ© je change de vĂŞtements, je m’habille en pute: soutien-gorge seins nus, chemisier transparent très ouvert, jupe très mini, bas rĂ©silles Ă jarretières, chaussures rouges Ă talons hauts.Mon maquillage est outrancier. Je me regarde dans un miroir, je suis satisfaite du rĂ©sultat: comme putain on ne fait pas mieux.J’ouvre la porte du salon, j’entre et m’adosse au mur.- chĂ©ri, ça te dirait une soirĂ©e avec une putain -Il me regarde surpris et reste un moment bouche bĂ©e.- ce n’est pas possible! oh la putain! tu as fait fort, tu mĂ©riterais que je te mette sur le trottoir. Si la suite est au diapason je suis prĂŞt Ă payer le tarif pour la soirĂ©e -Je m’approche de lui, je caresse sa figure avec une main pendant que de l’autre je dĂ©boutonne son pantalon.- soulèves toi chĂ©ri -Je descends son pantalon et son slip, les retire et les jette dans la pièce.A genoux entre ses jambes je caresse son pĂ©nis qui bande comme jamais excitĂ© par ma tenue, mes caresses passent des cuisses Ă ses testicules pour finir Ă sa queue. J’approche ma bouche de sa verge que j’embrasse et lèche partout en partant du gland pour finir sur ses bourses. Je fais durer le plaisir et son Ă©tat d’excitation augmente.Je suce et aspire longuement son gland ce qui l’Ă©nerve (il se tortille sur le canapĂ©) avant d’engloutir sa queue dans ma bouche et de l’enfoncer jusqu’Ă ce que mon nez se perde dans les poils de son pubis et touche son ventre.Je reste ainsi un moment oĂą seule ma langue remue. Puis je lui administre une fellation avec des va-et-vient rapides telle une affamĂ©e en veillant Ă ce que mes lèvres Ă©pousent au mieux son membre.Je l’ai tellement excitĂ© qu’il ne tient pas longtemps, Sa queue augmente de volume et avec des soubresauts dĂ©verse une bonne quantitĂ© de sperme dans ma bouche. j’avale consciencieusement et continue la fellation un moment.- chĂ©ri allonges toi sur la moquette -Il s’exĂ©cute. Je me positionne Ă genoux sur lui, je prend son pĂ©nis avec une main et le dirige vers l’entrĂ©e de ma chatte et d’un mouvement brusque de mon corps je m’empale dessus.Je fais bouger mon corps rapidement en veillant Ă ce que sa queue ne quitte pas ma grotte humide et chaude. Il essaie de caresser mon corps, j’attrape ses poignets et je maintiens ses bras au sol: c’est moi la putain donc c’est moi qui fait le travail.Il est plus long Ă venir, son corps se raidit et il Ă©jacule dans mon ventre pendant que je continue Ă le travailler.Comme il bande toujours j’enduis mon anus du mĂ©lange de sperme et cyprine qui s’Ă©coule de mon vagin, je me soulève et positionne sa verge sous mon anus et pesant de tout mon poids je la fais pĂ©nĂ©trer dedans. C’est un peu douloureux sans prĂ©paration.Je reste un moment sans bouger son pieu plantĂ© dans mon cul puis je commence les va-et-vient doucement pour observer son visage qui montre le plaisir qu’il ressent.J’accĂ©lère les mouvements ses ongles s’incrustent dans la moquette et il gĂ©mit pendant que je râle car mon ventre est en feu avec le plaisir qui monte en moi.Un bon moment s’Ă©coule, j’ai un orgasme mais je reste tant bien que mal en position puis après un court arrĂŞt je recommence les mouvements jusqu’Ă son Ă©jaculation dans mon cul. Je me retire, j’essuie son pĂ©nis et sa queue avec une serviette.Je m’allonge Ă cĂ´tĂ© de lui et l’embrasse sur les lèvres.- alors il est content le monsieur d’avoir une putain Ă la maison — super, tu as bien retenu les leçons pour une fois que ce n’est pas quelqu’un d’autre qui en profite -Il me prend par la main et m’entraine dans la chambre tout en finissant de de dĂ©vĂŞtir. Je dois garder ma tenue.Je remets en forme son membre par une masturbation puis une fellation.Il se couche sur moi, replie mes jambes et les soulève, il introduit son pieu dans ma chatte qu’il pilonne longtemps puis il en fait autant dans mon cul qu’il finit par arroser.Sa verge retourne dans ma chatte et il recommence Ă la dĂ©foncer. Il est très long Ă venir et je jouis deux fois avant qu’il ne se libère dans mon ventre. Il se laisse tomber sur moi et avant de s’endormir dit:- l’amour c’est meilleur avec une vraie putain et tu en est une bonne et vraie -Je me suis fait des amies dans cette ville, parmi elles il y a RĂ©gine. Un soir je me promène avec elle puis je la raccompagne jusqu’au pied de son immeuble. Sur le chemin du retour je tombe sur Johnny le fils de RĂ©gine.Il revient du quartier Kennedy oĂą rĂ©side sa copine et le mère de celle-ci, je ne sais pas laquelle il a Ă©tĂ© voir car il saute la mère et la fille. Il me drague souvent et me raconte qu’il a acquis beaucoup d’expĂ©rience vu qu’il saute rĂ©gulièrement les deux femmes- si tu as le temps on peut aller se promener en ville tous les deux — oui! pourquoi pas -Nous partons et en route il prend ma main dans la sienne. Evidemment il me baratine puis arrivĂ© dans un chemin discret près des remparts il me demande de lui faire une pipe. Toujours aussi salope j’accepte.Il sort sa queue que je trouve grosse pendant que je m’accroupis. La tenant avec une main je lèche un peu la verge puis je la fais pĂ©nĂ©trer dans ma bouche sans pouvoir la faire entrer entièrement.Je fais aller et venir mes lèvres sur le membre pendant que le jeune homme pose ses mains sur mes Ă©paules.Je n’ai pas Ă sucer longtemps car rapidement le pĂ©nis grossit encore dans ma bouche, il tressaute et envoie des giclĂ©es de sperme dans ma gorge.Je laisse sortir le membre de ma bouche et je recrache le liquide sur le sol avant de me relever et de m’essuyer.Il est satisfait car de toute Ă©vidence c’est ce qu’il cherchait, nous prenons le chemin du retour.Un après-midi je rends une visite Ă ma copine RĂ©gine. C’est Johnny qui m’ouvre, sa mère n’est pas lĂ . Il m’offre un cafĂ© puis me baratine disant qu’il a envie de coucher avec moi.Je ne me fais pas beaucoup prier. Nous allons dans sa chambre, je retire ma culotte avant de m’allonger sur le lit.Nous nous embrassons puis il passe une main sous mon maillot, dĂ©place le soutien-gorge et pelote mes seins sans s’attarder.Ma jupe retroussĂ©e il se met sur moi et introduit sa grosse queue dans ma chatte. Il donne des coups de reins pour faire aller et venir le pĂ©nis dans ma grotte et rapidement je sens le membre qui tressaute puis le sperme gicler dans mon vagin.Le jeune homme se relève et va s’essuyer dans les toilettes avant que j’en fasse autant. Je remets ma culotte et après avoir un peu parlĂ© je sors de l’appartement.Par le suite nous nous revoyons de temps en temps quand il en a envie. A chaque fois ne cherchant pas plus Je lui fais une fellation sans le faire Ă©jaculer puis il me saute, cela se passe parfois sur le canapĂ© chez moi et le plus souvent sur le lit chez lui. Il prend plaisir Ă se soulager dans mon vagin.Cela se passe toujours de la mĂŞme façon, je retire ma culotte, m’allonge sur le lit en retroussant ma jupe ou ma robe pendant qu’il enlève son pantalon et son slip. Parfois il passe une main sous mon maillot et caresse mes seins.Il s’allonge sur moi et me pĂ©nètre. Il donne des coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans ma chatte et rapidement il jouit arrosant mon vagin de sperme. Je m’essuie et remets ma culotte.Un jour je vais donner Ă manger au chat de ma copine Micheline qui est partie plusieurs jours avec Ben son amant, Ă ma demande Johnny me rejoint chez elle.Nous allons dans la chambre, je retire ma culotte et il sort sa queue. Je m’allonge sur le lit, il se met sur moi et me pĂ©nètre puis donne des coups de reins pour faire aller et venir sa verge dans ma chatte.Il ne faut pas longtemps avant que son membre tressaute dans ma chatte et que des jets de sperme coulent dans mon vagin.Il se retire, va s’essuyer dans les toilettes puis remballe son pĂ©nis avant de me quitter en me disant qu’il est pressĂ© car sa copine l’attend.Je m’essuie, remets ma culotte puis je quitte l’endroit après avoir remis le lit en ordre pour ne pas laisser de traces de notre passage.J’aurais encore plusieurs fois des rapports sexuels avec Johnny dans sa chambre et chez moi sur le canapĂ©.Quelques mois plus tard, mon mari est en dĂ©placement en Belgique (trois jours par semaine pendant six mois), j’invite RĂ©gine et ses deux enfants (Johnny qui a 20 ans et une fille de 18 ans) Ă venir manger un gâteau chez moi.Ils viennent tous les trois et après avoir passĂ© la soirĂ©e ensemble son fils me rejoint dans la cuisine et me dit:- mon copain Gilles que tu vois toujours avec moi te trouve belle et voudrait sortir avec toi — dis lui que je suis trop vielle pour lui et que je suis mariĂ©e — cela ne le dĂ©range pas, il te donne rendez-vous demain soir Ă 21 heures dans la ruelle en face de chez nous — tu lui dis que je ne sais pas si je vais venir -C’est vrai que Gilles est un beau gars qui a 20 ans et que cela me tente. Mes envies de sexe augmentent avec l’âge, Mon homme me fait l’amour presque chaque jour quand il n’est pas en dĂ©placement. Quand je suis seule le sexe me manque et je dĂ©prime prĂŞte Ă faire une bĂŞtise.Le lendemain c’est plus fort que moi je me pomponne, mets des sous-vĂŞtements sexy un chemisier Ă boutons que je laisse partiellement ouvert, une jupe courte, des bas Ă jarretières et des chaussures Ă talons. Je me rends au rendez- vous. Le jeune homme m’attend adossĂ© Ă un mur.- bonjour Laura, je savais bien que je t’intĂ©ressais vu la façon que tu me regardes -Nous parlons un peu puis il passe ses bras autour de ma taille, ses lèvres se posent sur les miennes et sa langue pĂ©nètre dans ma bouche, je rĂ©ponds Ă son baiser et ma langue se mĂŞle Ă la sienne. Nous nous embrassons un bon moment.Pendant qu’il m’Ă©treint avec un bras sa main libre caresse mon corps par dessus les vĂŞtements puis enhardi par mon mutisme il dĂ©boutonne mon corsage, dĂ©place le soutien-gorge et caresse longtemps mes seins qu’il trouve doux.Il soulève ma jupe, caresse mes cuisses puis mon sexe sur mon string, sa main se glisse dans celui-ci et caresse ma chatte pendant que j’en fais autant pour sa queue.- ta chatte est bien mouillĂ©e, tu as des envies — oui de ta queue -Il sort son sexe de taille moyenne mais bien dressĂ©, me plaque contre le mur, se colle contre moi, j’Ă©carte les jambes. Il Ă©carte mon string, place son membre contre ma chatte et l’enfonce dedans. Il m’embrasse et caresse mes seins tout en remuant.Je commence Ă Ă©prouver du plaisir quand les soubresauts de sa queue accompagnent les giclĂ©es de sperme qui inondent mon vagin, cela doit faire un moment qu’il n’a pas eu de rapport sexuel car la quantitĂ© de semence est importante et mon string ne retiendra pas tout.Nous rajustons nos vĂŞtements et convenons d’un rendez-vous pour la semaine suivante (comme mon mari sera en dĂ©placement ce sera certainement chez moi) et nous nous sĂ©parons après un dernier baiser. Je rentre chez moi avec le sperme qui coule le long de mes cuisses.Pas guĂ©rie de l’Ă©pisode avec Roger dans le village ou je rĂ©sidais auparavant et après Johnny j’ai encore rechutĂ©e. Pas de chance cette semaine lĂ mon mari ne part pas en dĂ©placement.Je suis ennuyĂ©e car je veux faire l’amour avec Gilles, cela m’obsède, et celui-ci tourne avec sa moto devant chez moi pour savoir s’il va pouvoir venir. Je lui fais dire que cela se passera ailleurs.Mon homme voit que je ne vais pas bien et Ă force de me questionner je lui dis la vĂ©ritĂ©. Il n’est pas furieux mais ne comprend pas que je recommence avec un jeune qui va se vanter partout de m’avoir sautĂ©e et ma rĂ©putation va encore en pâtir.Mais le jour du rendez-vous je fais tout pour y aller. Mon mari se fâche et je me retrouve attachĂ©e allongĂ©e sur le lit. Comme je le supplie de me laisser sortir il me bâillonne en m’enfonçant de force un linge dans la bouche.Au fil des heures qui s’Ă©coulent ma situation me donne de grosses envies et je mouille beaucoup. Quand mon mari vient se coucher il s’en aperçoit et sans me dĂ©tacher me caresse longtemps.Il me fait jouir plusieurs fois, une main masturbe mon clitoris et l’autre main c’est le pouce dans ma chatte et un doigt dans mon cul Ă faire des va-et-vient.Puis c’est sa queue qui vient dĂ©foncer ma chatte et mon cul dans lesquels il Ă©jacule plusieurs fois pendant que ses mains caressent ma figure, mes seins et torturent les tĂ©tons.Une fois ses assauts terminĂ©s il me demande s’il peut me laisser attachĂ©e et bâillonnĂ©e, en remuant la tĂŞte je lui fais signe que oui. Nous nous endormons mais je me rĂ©veille plusieurs fois car la situation est inconfortable et mes bras sont ankylosĂ©s. Ne pouvant pas me tourner comme je veux les douleurs dans mes membres ankylosĂ©s sont persistantes.