MON BANQUIER————————Ces faits datent du dĂ©but des annĂ©es 70, Ă l’Ă©poque je n’ai pas encore 20 ans.Avec J.Pierre mon mari nous envisageons de faire construire un pavillon dans un nouveau lotissement situĂ© dans la ville ou nous rĂ©sidons. Pour cela il nous faut trouver le prĂŞt bancaire le plus avantageux possible.A cette Ă©poque Les employeurs paient encore assez souvent leur personnel en espèces, les comptes bancaires ne sont pas encore gĂ©nĂ©ralisĂ©s.Nous avons discutĂ© avec une première banque un samedi matin avec mon mari et comme il est souvent en dĂ©placement il me charge de contacter les banques de la ville qui sont au nombre de quatre et de voir ce qu’elles peuvent nous proposer.Je le fais en me basant sur ce qui a Ă©tĂ© nĂ©gociĂ© avec la première banque et les directives de J.Pierre qui est très pointilleux je prends beaucoup de notes et en leur demande de me dĂ©tailler par Ă©crit leurs propositions de prĂŞt.Au bout de deux semaines nous avons un tableau prĂ©cis de ce que nous pouvons obtenir et je peux comparer la qualitĂ© d’accueil qui m’a Ă©tĂ© rĂ©servĂ©e. J.Pierre est très content de moi et me fĂ©licite.Je suis chargĂ©e d’ouvrir un compte dans l’Ă©tablissement choisi et pour cela je suis reçue (comme lorsque je suis venue les solliciter pour le prĂŞt immobilier) dans son bureau par le responsable un bel homme blond charmant et aimable vĂŞtu d’un Ă©lĂ©gant costume bleu, de taille moyenne ayant la quarantaine qui ne me dĂ©plaĂ®t pas.A cette Ă©poque c’est encore une petite agence bancaire qui comprend trois employĂ©s (une femme et deux hommes).Comme je sers d’intermĂ©diaire pour mon mari qui a des idĂ©es bien prĂ©cises de ce qu’il veut, je commence Ă bien connaĂ®tre les lieux et le personnel avec tous les aller-retour que je fais Ă la banque pour apporter des documents, donner ou demander des renseignements.Et si le responsable me plait bien je m’aperçois vite qu’il apprĂ©cie tout autant de me voir et qu’il ne laisse Ă personne d’autre le soin de me recevoir ou de me renseigner.Une fois les problèmes d’ouverture de compte et du prĂŞt bancaire soldĂ©s, mĂŞme quand je viens retirer de l’argent au guichet il continue, quand il n’est pas trop occupĂ©, Ă me recevoir avec empressement souvent sans nĂ©cessitĂ© dans un box ou dans son bureau sous divers prĂ©textes.Pas folle j’ai vite compris ou il veut en venir et je me prĂŞte au jeu car cela m’amuse et j’aime profiter de l’attrait que j’exerce sur la gent masculine, je suis dĂ©jĂ bien dĂ©vergondĂ©e (mariĂ©e très jeune puis Ă 18 ans j’avais dĂ©jĂ servie de vide couilles Ă un jeune homme Ă grosse queue et peu après j’ai pris un amant rĂ©gulier avec l’accord de mon mari pour assouvir mon gros appĂ©tit sexuel et la suite de ma vie sexuelle est celle que je vous conte depuis un moment).Mon air de salope, mon physique et mon habillement souvent sexy l’attirent, je me suis rapidement aperçue qu’il a des vues sur moi ce qui m’arrange car j’ai des idĂ©es prĂ©conçues concernant les revenus des directeurs de banques.Il a vite tentĂ© de me voir en dehors de ses horaires de travail Ă la banque, ce que pendant un certain temps je refuse sans vraiment fermer la porte.L’homme s’appelle Armand et maintenant nous avons abandonnĂ© le monsieur ou madame et nous nous appelons par notre prĂ©nom.Si au dĂ©but sa drague est discrète, au fur et Ă mesure que le temps passe il devient plus direct et plus entreprenant.- bonjour Laura, toujours aussi charmante, vos visites sont toujours un enchantement pour moi — bonjour Armand, encore des nouveautĂ©s Ă me proposer — non, j’ai plaisir Ă vous voir. Vous me plaisez beaucoup et ce serait bien de nous rencontrer en dehors de la banque — pour quoi faire — vous connaĂ®tre mieux et envisager autre chose de plus agrĂ©able si affinitĂ©s — ce ne serait pas convenable, nous sommes mariĂ©s tous les deux -Comme j’ai une idĂ©e en tĂŞte je rĂ©siste afin de le faire mariner car je sais dĂ©jĂ ce qu’on peut tirer d’un homme attirĂ© par le « cul » d’une femme et que l’on fait attendre, je sais que je finirais par coucher avec lui mais seulement quand j’aurais ce que je veux.Il est tout sourire quand enfin moi je sens qu’il est mĂ»r et que lui est heureux car j’accepte un rendez-vous. En fin d’après-midi je l’attends devant la banque.Ensemble nous marchons dans la rue car il veut m’offrir un rafraĂ®chissement et parler. Nous entrons dans un bar. Il m’offre un apĂ©ritif et pendant que nous parlons, surtout de ce qu’il espère de moi, il commande une deuxième tournĂ©e car il doit penser que l’alcool aidant je serais plus encline Ă lui cĂ©der.Je lui laisse l’espoir qu’il peut se passer quelque chose entre nous sans m’engager plus avant.Quelques jours plus tard, salope que je suis, je passe comme par inadvertance devant la banque en guettant le moment ou il en sort.- bonjour Laura, il faudrait que l’on se voient — quand — maintenant si c’est possible — je n’ai pas le temps mon mari m’attend — alors quand ĂŞtes vous disponible -Armand commence Ă ĂŞtre Ă point, j’avance mes pions et je commence Ă le tutoyer.- cette semaine je ne peux que pendant les heures du midi — je ne peux pas sauter le dĂ©jeuner sinon l’après-midi je ne suis pas bien et demain j’ai un rendez-vous très important — tu m’as dis que parfois tu invites des clients au restaurant alors pourquoi pas moi, j’en suis une après tout — je ne sais pas, tu me pose un cas de conscience — ce n’est pas grave, je blaguais, excuse moi je suis pressĂ©e, peut ĂŞtre Ă un autre jour -Il rĂ©flĂ©chit vite sentant sa proie s’Ă©loigner.- d’accord demain Ă midi attends moi devant la banque -Le lendemain il quitte son travail et nous gagnons Ă pieds un restaurant situĂ© un peu plus loin. Nous passons devant une boutique ou j’ai repĂ©rĂ©e une belle robe et je m’arrĂŞte devant la vitrine pour l’admirer.- tu as vu comme elle est belle cette robe — oui, elle te plait vraiment Ă ce que je vois — oui, je me vois bien le porter -Il ne rĂ©pond pas, nous gagnons le restaurant ou nous parlons de tout mais surtout de moi pendant le repas.- tu me plais beaucoup, j’ai envie de toi, on pourrait passer Ă l’Ă©tape suivante — pas comme ça, j’ai besoin d’un peu de temps, je ne veux pas d’un coup vite fait puis au revoir — je veux quelque chose de plus durable et que nous soyons satisfaits tous les deux sexuellement — je vais rĂ©flĂ©chir car tu me demande de tromper mon mari -Rendez-vous est pris pour un nouveau dĂ©jeuner la semaine suivante.Fidèle au rendez-vous j’attends Armand devant sa banque puis en gagnant le restaurant nous passons de nouveau devant la boutique ou j’ai repĂ©rĂ©e une belle robe qui se trouve en vitrine et je fais celle qui est intĂ©ressĂ©e au plus haut point.- tu aimes cette robe — je me damnerais pour l’avoir — elle est très jolie, tu serais encore plus dĂ©sirable avec — c’est sur que je pourrais la mettre pour te plaire et pour que tu aies le plaisir de me l’enlever — tu n’as pas besoin de ça pour me plaire — tu es bien un homme, tu me vois dĂ©jĂ nue dans ton lit en train de me faire prendre mais tu nĂ©gliges la vision que chacun doit donner Ă l’autre avant mĂŞme un contact physique, sans parler de la prĂ©paration et de la montĂ©e du dĂ©sir avec les prĂ©liminaires avant de passer Ă l’acte et d’arriver au plaisir — je n’ai pas voulu dire ça, je voulais dire que tu es une belle femme qui me plait telle qu’elle est -Je ris sans rĂ©pondre.Pendant le repas, envoĂ»tĂ© et de plus en plus impatient de coucher avec moi il me dit:- en sortant du travail en fin d’après-midi je passe Ă la boutique, demain tu pourras aller chercher la robe qui te plait tant, j’espère que tu la mettras pour notre premier rendez-vous et que tu ne me poseras pas de lapin — je ne te demande pas de m’offrir cette robe — elle te fait trop envie, ça me fait plaisir de te faire ce cadeau et il est normal qu’un homme fasse un cadeau Ă une charmante femme — merci, tu es gentil, je constate que tu me forces la main pour pouvoir coucher avec moi, puisque tu insistes moi en contrepartie de ton cadeau je vais t’offrir mon corps avec plaisir puisque c’est ce que tu attends, tu ne seras pas déçu — tu n’as pas envie d’avoir une relation avec moi — si! mais nous sommes mariĂ©s et ce n’est pas bien, cela m’ennuie de tromper mon mari -Comme malhonnĂŞte je me pose lĂ , s’il connaissait me vie sexuelle ma phrase le ferait bien rire.- cela n’empĂŞche rien si nous en avons envie tous les deux — d’accord puisque tu insistes et que je suis une faible femme mais je prĂ©fère que tu sois avec moi quand je vais essayer la robe -Il sourit heureux d’arriver Ă son but sans savoir que moi je suis en bonne voie pour le mien.-d’accord demain après-midi vers 17 heures -Le lendemain je l’attends devant la boutique de vĂŞtements, il arrive le sourire aux lèvres.Je donne ma taille Ă la vendeuse puis j’entre dans la cabine d’essayage, j’enlève la jupe et le maillot que je porte et j’enfile la robe mais je n’arrive pas Ă remonter la fermeture Ă glissière qui se trouve dans le dos, je sors de la cabine et demande Ă Armand de la fermer ce qu’il fait maladroitement.Je me regarde devant un miroir, je fais plusieurs tours sur moi mĂŞme devant Armand et lui demande son avis que je connais rien qu’Ă voir ses yeux.Je retourne dans la cabine retirer la robe et je demande Ă Armand de venir m’aider. Timidement il me rejoint, baisse la fermeture et m’aide Ă enlever le vĂŞtement ce qui fait que je me retrouve en string et soutien-gorge devant lui sans chercher Ă me cacher.Il est gĂŞnĂ© et ne sait plus quelle attitude adopter.- alors ce que tu vois de mon corps te plais, a moins que tu sois déçu — tu es belle, mais te voir ici comme ça me fais bizarre — tu as une vision de ce que je vais t’offrir -Son pantalon est dĂ©formĂ© au niveau de son sexe. Je lui souris puis je m’approche de lui et l’embrasse sur les lèvres en me collant contre lui.Pendant que je me rhabille il paie l’achat et je le raccompagne jusqu’Ă sa voiture. Quand il est assis au volant je me penche et approche mes lèvres des siennes, ma langue pĂ©nètre dans sa bouche et cherche la sienne. Nos langues se livrent une bataille acharnĂ©e pendant un moment.Il dĂ©marre et me quitte le sourire aux lèvres après que je l’aie remerciĂ© pour son cadeau et lui ait glissĂ© quelques mots Ă l’oreille.Le lendemain, comme je le lui avais dit Ă l’oreille la veille, je le rejoins dans son bureau une fois que ses employĂ©s sont partis. Nous n’avons pas beaucoup de temps la femme qui nettoie l’Ă©tablissement doit bientĂ´t arriver.Je ne m’embarrasse pas de prĂ©ambules, je me colle contre lui et passe mes bras autour de son cou. Ma bouche est contre la sienne et nos langues se cherchent dans de longs baisers.Pendant que mon ventre apprĂ©cie la bosse qui grossit dans son pantalon pendant que je me frotte contre lui. Avec une de mes mains je caresse l’endroit.- oh lĂ lĂ ! tu es dans un Ă©tat, je ne peux pas te laisser comme ça, assieds toi -Armand s’assoit, je dĂ©boutonne son pantalon et bataille avec son slip pour en extraire son pĂ©nis bien Ă©rigĂ© qui est long mais pas trop gros. A genoux entre ses jambes, après l’avoir caressĂ©, je le lèche sur toute la longueur après avoir insistĂ© sur le gland.Il apprĂ©cie ce que je lui fais les yeux mi-clos.Il sursaute quand j’introduis l’objet dans ma bouche. Je commence une fellation en serrant bien mes lèvres pour qu’elles Ă©pousent au mieux la verge et en la faisant pĂ©nĂ©trer le plus profond que je peux dans ma gorge.Ma bouche fait des aller-retour lents au dĂ©but puis j’accĂ©lère la cadence pendant que ses mains s’accrochent aux accoudoirs de sa chaise.Il a trop envie, rapidement son corps se cabre, sa queue gonfle dans ma bouche et prise de soubresauts envoie des jets de sperme au fond de ma gorge, j’avale et continue un peu Ă sucer. je me relève.- cochon tu avais une grosse envie — c’Ă©tait bon, comme tu suces bien -Je m’allonge sur son bureau jupe retroussĂ©e et les jambes Ă©cartĂ©es que je laisse pendre dans le vide.- viens, prends moi -Debout entre mes cuisses il Ă©carte ma culotte et sa queue bute contre mon sexe. je la prends avec une main et la dirige vers l’entrĂ©e de ma grotte dĂ©jĂ bien humide.Les mains agrippĂ©es Ă mes hanches il exerce une poussĂ©e avec son corps et son membre coulisse en moi. Pendant qu’il me dĂ©fonce Ă grands coups de reins une de ses mains soulève mon maillot puis mon soutien-gorge.Il palpe et caresse ma poitrine puis s’en prend aux tĂ©tons. Les va-et-vient de la verge durent un petit moment avant que prise de tremblements elle n’arrose mon vagin.Il se retire et s’essuie pendant que je rajuste ma culotte et mes vĂŞtements.- quand je vais marcher ton sperme va couler et tâcher ma culotte tu n’as pas honte de me salir comme ça — c’Ă©tait bien et c’est dommage que nous n’ayons pas plus de temps car la femme de mĂ©nage arrive dans dix minutes — ce n’est qu’un avant goĂ»t, Ă toi de t’organiser pour que nous ayons plus de temps et un autre endroit pour faire correctement l’amour — je vais voir ça pour mardi prochain -Le mardi suivant nous dĂ©jeunons ensemble, il me dit qu’il a pris son après-midi pour le passer avec moi. Il est content de voir que j’ai mis la robe qu’il m’a offerte.- j’ai rĂ©servĂ© une chambre d’hĂ´tel en espĂ©rant que tu aies le temps nĂ©cessaire pour passer un agrĂ©able moment avec moi — tu me prends par surprise, je ne pensais pas que cela irait si vite — tu n’es pas d’accord — si! allons y, soyons fous, faisons des folies de notre corps -L’apĂ©ritif et le vin bus pendant le repas me rendent un peu euphoriques. Puis dans sa voiture nous gagnons la ville voisine.Il se gare devant un hĂ´tel chic et nous allons Ă la rĂ©ception prendre une clĂ© puis nous montons au premier Ă©tage et entrons dans une chambre coquette.Debout il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement tout en caressant mon corps. J’en fais autant sur lui en insistant au niveau de son sexe qui est gonflĂ© par le dĂ©sir.Il baisse le fermeture de ma robe et la fait glisser et tomber Ă mes pieds. Il me caresse sans se presser partout tout en me regardant sans retirer mes sous-vĂŞtements ce qui m’Ă©tonne.- tu es belle -Il caresse longuement mes seins et mon sexe par dessus les sous-vĂŞtements avant de dĂ©grafer mon soutien-gorge et de faire glisser mon string qui tombe Ă mes pieds.- j’aime les sous-vĂŞtements et j’adore les voir sur une femme — tu peux m’en offrir, je les porterais uniquement pour toi, surtout que je risque Ă chaque fois de repartir avec la culotte tâchĂ©e -Une fois nue il me couche dĂ©licatement sur le lit puis il se dĂ©shabille avant de s’allonger Ă cĂ´tĂ© de moi.- tu as un beau corps et j’ai trop envie de toi — mon corps est Ă toi, fais en bon usageNous nous embrassons pendant qu’il me caresse s’attardant sur mes seins. Je caresse son torse.Quand sa main quitte ma poitrine pour aller sur mon ventre elle est remplacĂ©e par sa langue et sa bouche. Il embrasse, lèche les seins puis il suce les tĂ©tons avant de les agacer avec ses dents.Sa main a quittĂ© mon ventre et caresse longuement mon sexe avant qu’il ne doigte ma chatte. Ensuite il masturbe doucement puis plus Ă©nergiquement mon clitoris pendant que sa bouche s’occupe toujours de mes seins.Le plaisir monte dans mon ventre, il n’est pas pressĂ© d’en terminer avec les caresses qui durent depuis un bon moment, j’en ai assez de simplement caresser et masturber son pĂ©nis je me dĂ©place et approche ma figure de celui-ci.J’embrasse partout son membre puis je le lèche en insistant sur le gland pendant un bon moment avant de le prendre dans ma bouche et de lui faire une fellation en faisant pĂ©nĂ©trer le maximum de longueur dans ma gorge.Comme il continue ce qu’il a entrepris le plaisir devient intense dans mon ventre, je m’acharne avec ma bouche sur sa verge mais prise de spasmes j’ai un orgasme et la cyprine qui sort de mon vagin arrose sa main qui continue Ă me martyriser.Enfin son corps se raidit, sa queue grossit encore dans ma bouche et est agitĂ©e par des tremblements pendant qu’il dĂ©verse son sperme dans ma gorge, j’avale la semence et je continue Ă sucer.Je me dĂ©place, il se met sur le dos, je m’accroupis sur lui les jambes de chaque cĂ´tĂ© de son corps et en m’aidant d’une main je m’empale sur sa verge qui vient buter au fond de mon vagin. Je remue Ă grands coups de reins pendant qu’il accompagne mes mouvements et triture mes tĂ©tons, ma mouillure coule sur son ventre et le plaisir que je ressens est toujours intense mais il jouit avant moi arrosant mon vagin.Sans que son membre ne sorte de ma grotte il me retourne et se retrouve sur moi, mes bras enserrent son cou pendant qu’il me dĂ©fonce sans mĂ©nagement, les aller-retour de son pieu dans mon intimitĂ© sont accompagnĂ©s par les clapotis dus Ă ma mouillure abondante et ses testicules frappent contre mes fesses. Je jouis bien avant qu’il n’Ă©jacule encore.Après un moment de repos allongĂ©s cĂ´te Ă cĂ´te il recommence Ă me caresser, je le masturbe puis lèche et suce sa queue qui reprend vie pendant qu’il doigte ma chatte et masturbe mon clitoris.A genoux la tĂŞte dans les draps, il me prend en levrette tout en s’occupant de mon clitoris faisant remonter rapidement les sensations dans mon ventre, je caresse ses cuisses et triture ses testicules, il me besogne longtemps et j’ai un orgasme puis il jouit encore.Non lassĂ© il me retourne sur le dos et me prend en pliant et relevant mes jambes, notre accouplement est très long et au bout d’un moment je baisse mes jambes pour pouvoir remuer en mĂŞme temps que lui en dehors des fois ou je dois rĂ©cupĂ©rer après avoir eu un orgasme.Quand enfin il rĂ©ussit Ă Ă©jaculer il s’allonge et rĂ©cupère en soufflant une main posĂ©e sur un de mes seins.Une fois passĂ©s par la salle de bain et rhabillĂ©s nous allons boire un verre avant qu’il ne me ramène. Il est content de son après-midi et satisfait de ma prestation. Il compte bien recommencer.La fois suivante on se retrouve en fin de journĂ©e dans son bureau.Tout en m’embrassant il me dĂ©shabille et je me retrouve en sous-vĂŞtements (il aime regarder une femme dans cette tenue, c’est sa marotte). Il me caresse pendant que j’extirpe son sexe du pantalon quand soudain une porte s’ouvre et une personne entre dans la banque.- c’est la femme de mĂ©nage, elle est en avance, il ne faut pas qu’elle te voie ici — je ne peux pas sortir sans ĂŞtre vue, j’ai une solution qui peut suffire car la face avant de ton bureau est fermĂ©e — qu’est ce que tu veux faire — me cacher dessous jusqu’Ă ce qu’elle finisse son travail — elle en a pour une heure — nous n’avons pas le choix -Armand cache mes habits dans un placard pendant que je me glisse sous le bureau. Armand s’assoit et s’installe comme-ci il allait travailler sur un dossier.Ne perdant pas le nord je descend le zip de son pantalon car il a remballĂ© son pĂ©nis. Il essaie de m’en empĂŞcher mais j’arrive Ă mes fins et je sors son sexe qui est ramolli Ă cause de la prĂ©sence de l’intruse.je commence par caresser son membre puis je le masturbe, malgrĂ© la situation il finit par bander. Bien que ma position soit inconfortable j’approche ma bouche de son pĂ©nis et le lèche pendant un bon moment en alternant avec des succions sur le gland.La femme entre dans la pièce et commence le mĂ©nage, j’en profite pour commencer une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche sur sa queue. Rapidement il repousse ma tĂŞte avec une main mais je reprends possession de son membre et telle une sangsue je m’active.Les va-et-vient de ma bouche sur sa queue finissent par donner le rĂ©sultat que j’espĂ©rais, son corps se raidit et avec des soubresauts il Ă©jacule dans ma bouche en soupirant.