En plus de 50 ans de vie sexuelle et comme je ne me posais pas de limites, n’obĂ©issant qu’Ă mes envies sexuelles, j’ai vĂ©cu de drĂ´les de choses.Dans ce rĂ©cit je parle d’une Ă©poque ou le TGV n’Ă©tait pas encore en service.Je dois rejoindre J.Pierre mon mari pour passer le week-end avec lui Ă Biarritz ou il est en dĂ©placement.Après avoir prĂ©parĂ© un petit sac de vĂŞtements je prends le train qui circule de la ville ou je rĂ©side jusqu’Ă la gare du Nord Ă Paris puis le mĂ©tro pour arriver gare Montparnasse.Dans le train qui doit m’emmener Ă destination je pĂ©nètre dans un wagon et m’installe Ă la place que j’ai rĂ©servĂ©e.Sur la banquette en face de moi un homme au physique quelconque est absorbĂ© par la lecture d’un roman et ne prĂŞte pas attention Ă moi, je ne sais mĂŞme pas s’il s’est aperçu de ma prĂ©sence. Un couple de personnes âgĂ©es s’installent aussi dans le compartiment Ă l’autre extrĂ©mitĂ© des banquettes.Le train roule depuis deux heures quand l’homme pose son livre et me regarde fixement sans dĂ©tourner son regard. Je pose mon regard sur lui de temps en temps mais gĂŞnĂ©e j’ai vite fait de baisser les yeux tellement son regard est perçant, j’ai l’impression qu’il veut m’hypnotiser.C’est vrai que vĂŞtue d’une jupe courte d’Ă©tĂ© qui remonte très haut quand je suis assise et de mon dĂ©bardeur Ă bretelles qui laisse entrevoir ma poitrine je dois ĂŞtre attirante.Le manège de l’homme se poursuit et je ne sais pas quelle attitude adopter, je suis dĂ©boussolĂ©e, il ne me quitte pas du regard.A un moment il me fait un signe de la tĂŞte et se lève, je le regarde se diriger vers la porte du wagon sans rĂ©agir pensant qu’il a un tic.Avant de sortir il se retourne et me regarde fixement puis me fait de nouveau un signe de la tĂŞte qui je pense veut dire « viens ». Machinalement je me lève et le suit.Ma rĂ©action est incomprĂ©hensible il n’est pas beau, ne me plait pas du tout et en plus je ne le connais pas.Il se dirige vers les toilettes dont il ouvre la porte et me fait signe toujours de la tĂŞte d’y entrer. Je ne rĂ©flĂ©chis pas et je pĂ©nètre dans les lieux, il me suit puis ferme la porte et la verrouille.Toujours silencieux l’inconnu dĂ©boutonne son pantalon et extrait de son slip un sexe moyen qui se dresse fièrement.Il me plaque le dos contre la porte, je le laisse faire sans rĂ©gir quand il soulève ma jupe qu’il retrousse et remonte jusqu’Ă mes hanches, il Ă©carte ma culotte. Machinalement j’Ă©carte au mieux mes cuisses quand il approche sa queue de mon sexe contre lequel elle bute, avec une main il dirige son membre vers l’entrĂ©e de mon vagin et d’une forte et brusque poussĂ©e l’introduit en moi.Je sens le pĂ©nis coulisser dans mon intimitĂ© puis ses mains agrippĂ©es Ă mes hanches il commence les mouvements de va et vient qui ne durent pas très longtemps avant que des soubresauts n’agitent sa verge quand il Ă©jacule arrosant mon vagin de sperme.Il se retire et s’essuie avec du papier toilette.Voyant ce qu’il va faire et frustrĂ©e, mais je ne sais pas pourquoi, je l’empĂŞche de remballer son engin qui bande encore et assise sur les toilettes j’approche ma bouche et y introduis son pĂ©nis et lui fais une fellation. Il est surpris de ma rĂ©action mais se reprend vite.Je suce un moment sans chercher Ă le faire jouir puis je juge suffisante la caresse buccale que je lui aie faite, je me lève et enlève ma culotte souillĂ©e de sa semence.Je lui tourne le dos et me penche en avant. Il comprend ce que je veux, se colle contre moi et introduit sa queue dans mon vagin pour me prendre en levrette. Ses mains agrippĂ©es Ă mes cuisses il s’active Ă grands coups de reins pendant qu’avec une main je triture ses testicules et qu’avec l’autre main je me tiens aux toilettes.Il est plus long Ă venir mais la rapiditĂ© de ses coups de boutoir m’indiquent qu’il ne souhaite pas s’Ă©terniser.Pendant ce temps plusieurs fois on tente d’ouvrir la porte de l’extĂ©rieur, des personnes vont rester avec leur envie d’uriner.L’inconnu finit par encore arroser mon vagin de semence en soupirant.Il se recule, essuie de nouveau sa queue avec du papier toilette puis il rajuste sa tenue et sort m’abandonnant lĂ .Je referme derrière lui afin de pouvoir m’essuyer tranquillement les fesses, la chatte et le fond de ma culotte.Il va falloir que je revienne lĂ avec mon sac pour changer de culotteJe regagne ma place dans le wagon, l’homme a repris sa lecture et ne prĂŞte pas attention Ă moi, pour loi c’est comme ci je n’existais pas.Le voyage se poursuit sans qu’il ne daigne me regarder ou me parler.Il reste un peu plus d’une heure de parcours quand l’inconnu pose son livre et recommence Ă me regarder fixement. Il se lève et se dirige vers la porte sans cesser de me regarder, telle une automate je me lève et je le suis.Il ouvre la porte des toilettes, je pĂ©nètre Ă l’intĂ©rieur, il entre derrière moi puis ferme la porte et la verrouille.Je retire ma culotte pendant qu’il sort sa queue de son pantalon, son Ă©rection est molle et dans cet Ă©tat je ne vois pas comment il va pouvoir me pĂ©nĂ©trer. Alors sans rien demander accroupie je lèche et embrasse le pĂ©nis puis suçote et aspire le gland avant de le prendre dans ma bouche.Je lui fais une fellation en accĂ©lĂ©rant progressivement les aller retour de mes lèvres sur le membre jusqu’Ă ce qu’il bande correctement jusqu’Ă ce qu’il repousse ma tĂŞte.AdossĂ©e Ă la paroi jupe relevĂ©e et jambes Ă©cartĂ©es il se colle contre moi et introduit son pĂ©nis dans mon vagin.Il ne semble pas vouloir perdre de temps et s’active Ă©nergiquement, les aller-retour de sa verge dans mon intimitĂ© sont très rapides.Je n’ai pas beaucoup le temps de mouiller ni de prendre de plaisir avant que sa queue ne gonfle et agitĂ©e de soubresauts n’Ă©jacule dans ma chatte.Je ne pense pas que mon plaisir soit sa prioritĂ©, il veut juste se soulager dans un cul de salope alors avec moi il a visĂ© juste.Il s’essuie, se rhabille et s’en va me laissant plantĂ©e lĂ . Je m’essuie avec du papier toilette, remets ma culotte et rajuste ma tenue avant de quitter les lieux.Je regagne le compartiment sans que l’homme ne daigne faire attention Ă moi.ArrivĂ©e Ă destination je sors du train mon sac Ă la main, l’inconnu qui a quittĂ© le wagon après moi passe Ă cĂ´tĂ© de moi et me double sans un regard.Je ne connais pas le son de sa voix car il ne m’a jamais adressĂ©e la parole que ce soit dans le compartiment ou quand il me sautait et je ne comprends toujours pas pourquoi j’ai acceptĂ©e de lui servir de vide-couilles.Je ne comprends pas pourquoi je l’ai suivi, il n’est mĂŞme pas beau mais c’Ă©tait comme ci j’Ă©tais attirĂ© par un aimant.Le soir dans la chambre d’hĂ´tel mon mari tombe sur ma culotte sale et habituĂ© Ă mes Ă©carts de conduite il dit simplement:- ça m’aurait Ă©tonnĂ© que tu fasse la trajet sans te faire sauter –