J.Pierre mon mari se dĂ©place pour plusieurs jours dans le dĂ©partement de la CĂ´te d’or pour son travail. N’ayant rien de mieux Ă faire je l’accompagne, il a rĂ©servĂ© une chambre dans une ville traversĂ©e par la seine.Pendant la journĂ©e je me retrouve seule pendant qu’il se rend Ă l’agence qui dĂ©pend de la sociĂ©tĂ© qui l’emploie et pendant qu’il visite des clients. Je tourne en rond toute la matinĂ©e puis comme il fait beau je dĂ©cide d’une occupation agrĂ©able pour l’après-midi: me promener en ville.Je me maquille et enfile des vĂŞtements sexy: pas de soutien-gorge, un corsage, une jupe courte et lĂ©gère d’Ă©tĂ© puis je chausse des tennis.Je visite la ville de long en large.Je m’aperçois que j’attire le regard des hommes et je me retrouve Ă l’embranchement de plusieurs routes. Une idĂ©e folle me passe par la tĂŞte, je dĂ©cide de changer mes plans. Je choisis la direction qui indique une ville assez Ă©loignĂ©e et je fais de l’auto-stop.Rapidement une auto s’arrĂŞte et accepte de me vĂ©hiculer un bout de chemin, c’est un mĂ©decin et nous passons le temps du trajet Ă parler de choses et d’autres. Une fois descendue du vĂ©hicule je dĂ©cide de continuer dans la mĂŞme direction en continuant l’auto-stop. C’est un couple qui s’arrĂŞte donc toujours pas de chance pour mes projets.ArrivĂ©e dans une ville, une fois descendue de la voiture et pour le retour je ne lève le pouce que pour les poids lourds. je n’ai pas longtemps Ă attendre un camion joliment dĂ©corĂ© stoppe.Le conducteur de corpulence moyenne et au physique pas dĂ©sagrĂ©able en descend et me demande ma destination. Il accepte avec empressement de m’emmener. Il ouvre la portière cĂ´tĂ© passager et m’aide Ă monter car la cabine est assez haute en se rinçant l’Ĺ“il au passage en regardant mes cuisses et mes fesses.Il dĂ©marre. Je m’installe sur la banquette tout en me tournant vers lui et en remontant au maximum ma jupe ce qui lui donne une superbe vue sur mes cuisses. Il ne se gĂŞne pas pour regarder tout en conduisant.Par moments je vois que ses regards se dirigent aussi vers ma poitrine et je me rends compte que le soleil donne de mon cĂ´tĂ© et rend mon corsage blanc transparent et comme je ne porte pas de soutien-gorge il se rince l’Ĺ“il.Jordan, c’est son prĂ©nom, me demande si je n’ai pas peur des dangers en faisant du stop.- pourquoi les gens sont corrects dans l’ensemble — tu n’es pas Ă l’abri d’une agression ou d’un viol — pour l’agression je n’ai rien sur moi et pour le viol je ne laisserais pas un homme en venir Ă cette extrĂ©mitĂ© — comment comptes tu te dĂ©fendre — en lui donnant ce qu’il veut, mon consentement risque de le bloquer et de lui couper ses envies — tu ne manques pas d’aplomb — tu pourrais le constater par toi mĂŞme si tu le voulais — tu blagues — gares toi et tu verras, surtout que je vois Ă la bosse sur le devant de ton pantalon que tu as envie de moi — si tu le dis on fait comme ça -Quelques kilomètres plus loin il trouve un endroit assez grand pour pouvoir se garer. Il quitte son siège puis tire les rideaux pour occulter partiellement le pare-brise et les vitres latĂ©rales avant de venir s’assoir Ă cĂ´tĂ© de moi.Il passe son bras autour de mon cou, pose une main sur un sein et approche sa bouche de la mienne. Nos lèvres se joignent, nos langues se cherchent puis se mĂŞlent.Sa main caresse mes seins par dessus le corsage puis il dĂ©fait les boutons et l’enlève en me faisant lever les bras. Il s’en prend aux seins qu’il caresse frĂ©nĂ©tiquement et aux tĂ©tons qu’il pince et torture. Il prend son temps et des envies envahissent mon ventre. Je passe une main au niveau de son sexe.Il dĂ©grafe ma jupe, je me soulève pour qu’il puisse la retirer. Il en profite pour descendre ma culotte, je soulève mes jambes pour qu’il puisse l’enlever. Je m’allonge sur la banquette pendant qu’il retire son pantalon, son slip tout en gardant son t-shirt.Une main caresse un sein et agace le tĂ©ton pendant que sa langue lèche l’autre sein et que ses dents mordillent le tĂ©ton. La main quitte le sein, glisse sur mon ventre et après avoir caressĂ© mes cuisses arrive sur mon sexe.Il doigte ma chatte patiemment, je mouille de plus en plus. Maintenant il masturbe mon clitoris de plus en plus rapidement. Je caresse ses testicules et son pĂ©nis de taille moyenne mais mignon.Très excitĂ©e le plaisir que je ressens augmente fortement, je ne peux pas me retenir et mon corps s’agite pendant que je jouis et que des jets de liquide sortent de mon sexe et arrosent sa main. Il est content de ce qui m’arrive.Pendant qu’il continue Ă caresser mes seins et Ă martyriser mon clitoris entretenant la montĂ©e du plaisir dans mon ventre je me dĂ©place et ma figure se retrouve au dessus de sa queue.Je la lèche partout en partant du gland pour arriver sur les bourses, je l’enfonce complètement dans ma bouche puis je la suce avidement pour son plus grand plaisir.- tu es une grande bouffeuse de bite, continues comme ça c’est trop bon. J’adore -J’accĂ©lère les aller-retour de ma bouche sur sa verge. Son corps se raidit, son pĂ©nis s’agite et envoie des jets de sperme dans ma gorge, j’avale et continue la fellation.Il veut passer Ă autre chose et je me mets Ă genoux sur la banquette. Il se positionne derrière moi et tout en masturbant mon clitoris introduit sa queue dans ma chatte puis la dĂ©fonce Ă grands coups de reins pendant que je caresse et triture ses testicules. Je jouis pratiquement au moment ou il dĂ©verse son sperme dans mon vagin.Nous nous essuyons avec de l’essuie-tout.Il est allongĂ© sur la banquette, je reprends sa queue ramollie dans ma bouche après l’avoir masturbĂ©e et je lui fais une fellation Ă©nergique, quand elle gonfle et se redresse Ă nouveau je me positionne sur lui mes jambes de chaque cĂ´tĂ© de son corps, j’approche sa queue de ma chatte et m’empale dessus.Je fais des mouvements de va-et-vient m’arrĂŞtant de temps en temps pour l’embrasser pendant ce temps il caresse mes seins et torture les tĂ©tons. Je jouis la cyprine qui coule de mon vagin arrose son ventre. Je continue Ă remuer et il finit par Ă©jaculer dans mon ventre.En mettant ses bras autour de ma taille il me retourne et se retrouve sur moi sans que sa verge n’aie quittĂ© ma grotte inondĂ©e de mouillure et de sperme. Il remue, j’accompagne ses mouvements Ă grands coups de reins. Comme notre accouplement dure assez longtemps le plaisir que je ressens m’amène vers un orgasme bien avant que son corps ne se tende et que sa queue ne s’agite dans ma chatte et y dĂ©verse sa semence.Il se relève et s’essuie, fin de la rĂ©crĂ©ation, il se rhabille pendant que j’en fais de mĂŞme.Il me dit que je suis une drĂ´le de nana, que je fais très bien l’amour et que je suis une super suceuse de bite.Il se remet au volant, dĂ©marre son camion et reprend la route. ArrivĂ©e Ă destination il stoppe sur le bas-cĂ´tĂ© de la route, il m’ouvre la portière et m’aide Ă descendre. Il m’embrasse, nos langues se mĂŞlent dans un baiser d’adieu.Je le quitte après qu’il m’ait dit:- je passe ici une fois par semaine, si tu veux on peut se revoir -Je retourne Ă l’hĂ´tel satisfaite par cet intermède, avec son sperme qui coule de mon vagin pendant qu’il reprend sa route.De retour Ă l’hĂ´tel Pierre mon mari est dĂ©jĂ revenu. Au vu de ma tenue et Ă l’Ă©tat de mon visage il comprend comment j’ai occupĂ©e ma journĂ©e.- montres moi ta culotte — pourquoi faire — pour voir ce que tu as fait de ta journĂ©e -J’obĂ©is, j’enlève ma culotte et la lui tend. Il l’inspecte et constate qu’elle est tachĂ©e de sperme.- tu ne peux pas ĂŞtre sĂ©rieuse quelques jours — je m’ennuyais et je suis allĂ©e me promener — Ă©carter les cuisses tu appelles ça te promener — mets toi Ă genoux sur le lit, près du bord -Vu que je suis fautive et que j’ai mon incartade Ă me faire pardonner j’obĂ©is sans dire un mot. Un doigt fouille ma chatte puis humidifiĂ© entre dans mon anus qu’il doigte un moment, un autre doigt rejoint le premier et mon orifice anal s’agrandit.DĂ©barrassĂ© de son pantalon et de son slip il colle sa queue contre mon cul puis l’enfonce Ă l’intĂ©rieur.Il me dĂ©fonce Ă grands coups de reins pendant qu’une main s’attaque alternativement Ă mes seins et martyrise les tĂ©tons Ă les arracher. L’autre main masturbe violemment mon clitoris.Le plaisir monte rapidement, il insiste avec ses caresses. Prise de spasmes j’atteins l’orgasme et des jets de cyprine sortent de mon sexe. Pierre continue Ă dĂ©foncer mon anus, Ă me caresser et masturber, puis sa verge est agitĂ©e de soubresauts et il Ă©jacule dans mon corps.Il bande toujours et n’arrĂŞte pas de me torturer le clitoris avec sa main. Son pĂ©nis continue Ă faire des aller-retour dans mon cul. Le plaisir que je ressens monte rapidement Ă son maximum et la jouissance arrive, j’atteins deux fois l’orgasme.Il arrive au bord de l’explosion, il se retire et vient mettre sa queue dans ma bouche. Je commence une fellation mais après quelques va-et-vient il arrose ma gorge, j’avale le sperme et lèche sa verge pour la nettoyer.Je vais me laver, il en fait autant pendant que je m’habille puis direction le restaurant.Après avoir Ă©tĂ© dĂ®ner nous nous promenons bras dessus bras dessous dans la ville.De Retour dans notre chambre il me sodomise encore Ă©jaculant deux fois dans mon cul. Comme il n’arrĂŞte pas de maltraiter mon clitoris en le masturbant Ă©nergiquement et en doigtant ma chatte j’ai plusieurs orgasmes qui me laissent sans forces après la journĂ©e que j’ai passĂ©e et mes multiples jouissances.Une journĂ©e ordinaire pour la salope que je suis.