DANS UN AUTOCAR UN JOUR D’ORAGE————————————————————Cet après-midi de juillet il fait beau mais l’atmosphère est lourde. Je m’habille, outre le string et le soutien-gorge avec des bonnets sans coque, d’une jupe en tissu lĂ©ger, d’un maillot moulant et de nu-pieds.Je me rends chez de mes amies prĂ©nommĂ©e CĂ©line.Je traverse une partie de la ville en bus puis comme elle habite Ă l’extrĂ©mitĂ© de la ville je dois faire le reste du trajet Ă pieds. Pendant cette dernière partie du parcours un orage Ă©clate et rapidement je suis trempĂ©e des pieds Ă la tĂŞte,.Mes vĂŞtements collent Ă ma peau. Je frissonne, j’ai la chair de poule et les tĂ©tons de mes seins sont Ă©rigĂ©s et bien visibles Ă travers le maillot. N’Ă©tant plus très loin de chez CĂ©line je dĂ©cide de continuer ma route, elle me prĂŞtera bien quelques habits.Je passe le long de la zone industrielle de la ville. Des autocars sont garĂ©s en Ă©pi sur le parking d’une usine, ils amènent les ouvriers qui commencent Ă 13h30 et attendent ceux qui dĂ©bauchent Ă 17h.Souvent des conducteurs discutent en groupe et me draguent ou lancent des blagues quand je passe. Je souris mais continue mon chemin.Une voix me hèle, je tourne la tĂŞte et je vois une tĂŞte qui dĂ©passe de la porte avant d’un autocar qui est ouverte.>.C’est CĂ©dric un homme brun, grand, pas mal de sa personne.DĂ©sorientĂ©e par ce qui m’arrive, et sans rĂ©flĂ©chir vu la situation, je me dirige sans hĂ©siter vers le vĂ©hicule et monte dedans.CĂ©dric ferme la porte, met le chauffage en marche. Il retire un sac du porte bagages, en sort deux serviettes qu’il me tend.- vas dans le fond, retires tes habits et sèches toi -Dans l’Ă©tat ou je suis je ne rĂ©flĂ©chis plus, arrivĂ©e Ă l’arrière du car sans hĂ©siter je retire mon maillot et ma jupe puis je commence Ă m’essuyer.Je n’ai pas entendu CĂ©dric s’approcher derrière moi, il prend mes vĂŞtements et les dispose Ă cĂ´tĂ© d’une bouche de chauffage. Ensuite il revient vers moi et commence Ă me frictionner les Ă©paules puis le dos avec une serviette sans que je cherche Ă le repousser.Je reste muette et le laisse faire. ConfortĂ© par mon attitude il s’attaque Ă d’autres parties de mon corps comme les fesses et le ventre.- tu ne peux pas garder ton soutien-gorge, il est trempĂ© -Tout en disant cela il le dĂ©grafe et l’enlève puis il me frictionne la poitrine. Je ne dis toujours rien mais des envies envahissent mon ventre.Je ne suis pas plus bavarde quand sa serviette atteint de nouveau mes fesses et qu’il fait descendre mon string, je lève les jambes pour qu’il le retire.Après avoir posĂ© mes sous-vĂŞtements près d’une bouche de chauffage il essuie avec application mes fesses, mes cuisses et enfin mon sexe enhardi par le fait que je ne proteste toujours pas.Je ne suis plus en Ă©tat de rĂ©flĂ©chir car des envies de sexe ont pris le dessus. Il me couche le ventre contre l’assise de la banquette et me frictionne longuement le corps et les fesses avec ses mains.Il me demande de me retourner, je m’allonge sur le dos sans discuter. Il frictionne puis caresse mes seins et agace les tĂ©tons qui sont toujours Ă©rigĂ©s, je frissonne.Une main caresse mon ventre puis descend sur mon sexe, machinalement j’Ă©carte les cuisses.- C’est beaucoup mouillĂ© la aussi et je ne pense pas du Ă la pluie -.- c’est Ă cause de toi et de ce que tu me fais, tu m’as donnĂ© des envies — tu veux que je te les fasse passer — maintenant que tu as commencĂ© ce serait idiot de ne pas continuer, tu ne vas pas me laisser dans cet Ă©tat et ce qui dĂ©forme ton pantalon serait déçu -CĂ©dric dĂ©boutonne son pantalon, baisse le zip. Il retire le pantalon et son slip. Un beau pĂ©nis aux belles dimensions se dresse fièrement, je le prends dans une main et le caresse.Sa bouche est sur la mienne, nos langues se cherchent et se mĂŞlent dans un long baiser.Une main caresse mes seins et torture les tĂ©tons et l’autre alternativement doigte ma chatte et masturbe mon clitoris pendant que je lèche sa queue partout après avoir insistĂ© sur le gland, j’embrasse ses testicules et les prends dans ma bouche comme-ci j’allais les avaler.J’engloutis sa verge jusqu’Ă ce que mes lèvres touchent son pubis tout en faisant bouger ma langue, ma bouche fait des aller-retour successivement lents puis rapides sur son membre. Il apprĂ©cie.- salope, comment tu suces bien -EnervĂ© il accĂ©lère la masturbation du clitoris sans se prĂ©occuper du plaisir qui monte rapidement en moi ni du fait que je mouille de plus en plus.Il insiste dans ses caresses, je n’en peux plus, mon corps se tend et prise de spasmes je jouis pendant que des jets de cyprine sortent par saccades de mon vagin.J’accĂ©lère la fellation, rapidement je sens sa queue augmenter de volume et tressauter dans ma bouche, ses ongles s’incrustent dans la peau de mes cuisses aux quelles ses doigts se sont cramponnĂ©es, des jets de sperme frappent contre le fond de ma gorge. J’avale sa semence et continue Ă sucer.Il se retire et vient s’allonger sur moi entre mes jambes. Son pĂ©nis cherche l’entrĂ©e de ma grotte gluante de mouillure et s’y enfonce sans peine venant buter au fond. Il me dĂ©fonce Ă grands coups de reins pendant que j’accompagne ses mouvements.Il embrasse et lèche mes seins puis mordille les tĂ©tons avec ses dents. Le plaisir remonte vite dans mon ventre et j’essaye de le contrĂ´ler, peine perdue car j’ai un orgasme qui secoue mon corps bien avant qu’il n’Ă©jacule dans mon intimitĂ© en râlant.Nous nous essuyons avec une serviette qui a servie Ă m’Ă©ponger quand je suis montĂ© dans l’autocar.L’orage ne s’arrĂŞte pas, d’un commun accord nous reprenons nos Ă©bats.Je masturbe sa verge tout en caressant ses cuisses et ses testicules pendant qu’il martyrise mes tĂ©tons et masturbe mon clitoris.Son pĂ©nis reprend du volume, je lui fais une fellation vigoureuse avec des mouvements rapides.Quand il se sens assez excitĂ©, il me demande de me mettre Ă genoux sur la banquette et positionnĂ© debout derrière moi enfonce sa queue dans ma chatte et me prend en levrette Ă grands coups de reins. Je triture ses testicules pendant qu’il caresse mes seins et joue sans arrĂŞter avec mon clitoris.Le plaisir est lĂ et je mouille beaucoup, ses bourses tapent contre mes fesses. Notre accouplement dure un moment, il soutient mon corps quand je jouis puis il se soulage dans mon ventre juste avant qu’un autre orgasme ne survienne.Il s’allonge sur la banquette. A genoux entre ses jambes sans me soucier de la mouillure et du sperme qui maculent sa queue je lui fais une longue fellation bien qu’il n’aie pas vraiment dĂ©bandĂ©.Je me positionne Ă genoux au dessus de lui, mes jambes de chaque cĂ´tĂ© de son corps et je m’empale sur sa verge. Je remue longtemps, il accompagne mes mouvements en faisant bouger son bassin. Le plaisir que je ressens est toujours aussi intense et l’orgasme arrive avec ses spasmes et la cyprine qui coule de mon vagin, je m’Ă©croule sur lui.Il change de position et je me retrouve sous lui. Il dĂ©fonce ma chatte Ă grands coups de reins, je remue en mĂŞme temps que lui. Je mouille beaucoup et les clapotis accompagnent nos mouvements, ses bourses tapent contre mes fesses.Il met longtemps avant d’Ă©jaculer dans ma chatte et comme le plaisir dans mon ventre ne descend pas deux jouissances successives m’anĂ©antissent.Nous nous essuyons.- c’Ă©tait super, en plus d’ĂŞtre belle tu fais bien l’amour -Il pleut toujours, CĂ©dric me dit:- tu ne peux pas rentrer chez toi Ă pieds avec ce temps et tes habits ne sont pas secs — il faut bien, je n’ai pas d’autre solution — AndrĂ© qui conduit le car bleu garĂ© en face a sa voiture garĂ©e un peu plus loin, si je lui demande il peut te ramener — je suppose qu’il demandera une compensation — c’est vrai que quand il te voit passer il n’a qu’une envie c’est d’avoir un rapport sexuel avec toi — s’il faut en passer par la allons y — tu es sure, je vais le voir, attends ici -Il se rhabille et avant de sortir il demande Ă me revoir ce que j’accepte sans faire de manières.Je reste nue seule, assise sur la banquette arrière. La porte du car s’ouvre, un homme pas très grand et rondouillard entre et se dirige vers moi. Les yeux lui sortent de la tĂŞte quand il voit ma nuditĂ© et qu’il scrute mon corps.- CĂ©dric m’a dit que tu veux que je te ramène chez toi — oui, si ça ne te dĂ©ranges pas — je suis d’accord si tu es gentille avec moi, si je peux profiter de ton corps qui est joli — pas de problème je vais satisfaire tes envies -AndrĂ© s’approche de moi, je dĂ©cide de prendre les initiatives.Je dĂ©grafe sa ceinture, je dĂ©boutonne son pantalon qui tombe Ă ses pieds suivi par son slip. Je caresse sa queue de taille moyenne puis je la lèche partout avant de l’engloutir et de lui faire une fellation avec des aller-retour rapides pendant qu’il caresse mes seins et torture les tĂ©tons Ă me les arracher.Rapidement il gĂ©mit fortement, son pĂ©nis gonfle dans ma bouche et tressaute en envoyant des jets de sperme au fond de ma gorge, j’avale puis je me couche sur le dos.Il se met entre mes jambes et s’allonge sur moi sa queue contre mon intimitĂ©. En s’avachissant sur moi il fait pĂ©nĂ©trer son membre dans mon ventre.Nous remuons ensemble, je mouille mais n’Ă©prouve pas de plaisir comme avec CĂ©dric et je pense Ă autre chose pendant qu’il est en moi car je ne veux pas me lâcher avec lui. Je suis contente quand son corps se raidit et qu’il Ă©jacule dans ma chatte.Il se relève et nous nous essuyons.A ma grande satisfaction il me dit qu’il n’a plus beaucoup de temps et qu’il doit me ramener rapidement. Je rassemble mes vĂŞtements toujours mouillĂ©s et me rhabille, mon corps frissonne Ă cause de l’humiditĂ©.Une voiture s’est arrĂŞtĂ©e Ă cĂ´tĂ© de la porte du car, CĂ©dric en descend et AndrĂ© prend sa place.Après avoir embrassĂ© CĂ©dric je me prĂ©cipite Ă l’extĂ©rieur du car pour m’asseoir rapidement Ă l’avant cĂ´tĂ© droit de l’auto. Pendant le trajet AndrĂ© parle beaucoup. Il veut me revoir, je le laisse espĂ©rer sans prendre de rendez-vous car il ne m’intĂ©resse pas.ArrivĂ©s devant chez moi je lui dis au revoir sans l’embrasser avant de sortir de l’auto.