Dans le cadre de son travail J.Pierre mon mari doit se dĂ©placer dans le sud et y rester pendant plusieurs jours.Je lui demande si je peux l’accompagner, je visiterais Marseille pendant qu’il sera au travail.Il est d’accord et prĂ©voit pour moi un sĂ©jour avec pension complète dans l’hĂ´tel ou il a rĂ©servĂ© une chambre pas loin du vieux port. Nous arrivons sur place le dimanche soir puis je passe deux superbes journĂ©es bien agrĂ©mentĂ©es par le beau temps.Le mardi soir mauvaise nouvelle J.Pierre doit partir en Espagne pour une urgence dans une usine du groupe Ă Saragosse.Il se renseigne et me donne de l’argent pour quelques dĂ©penses et surtout le train de retour car je ne peux pas aller avec lui.Je reste Ă l’hĂ´tel jusqu’au lendemain matin puis je me rappelle une phrase que Pierre m’a dit en plaisantant:- toi qui ne recules devant rien je ne sais pas si je vais te payer le billet de train, tu pourrais faire du stop, avec tes belles gambettes que tu aimes montrer et Ă©carter tu n’aurais pas de mal Ă trouver des automobilistes pour te vĂ©hiculer -Bien que cela comporte des risques je dĂ©cide de faire du stop.Un client de hĂ´tel qui se rend Ă Marignane m’amène aux abords de la ville. Je suis vĂŞtue d’une robe Ă bretelles très seyante et courte qui me va Ă ravir et met mes seins en valeur,.Dans une main je tiens un sac dans lequel j’ai mis des vĂŞtements et ma trousse de toilette.Je lève le pouce sur le bas cĂ´tĂ© pas loin de l’entrĂ©e de l’autoroute et rapidement une voiture s’arrĂŞte. Un homme seul Ă bord, il ouvre sa vitre et me demande ou je vais.Il ne peut m’emmener que jusqu’Ă Lyon. J’accepte et je monte dans son auto.En route nous parlons et je l’observe, il n’est pas particulièrement beau mais cela ne me pose pas de problème vu les quelques heures que je vais passer en sa compagnie.Son regard se porte de plus en plus sur mes cuisses car en m’asseyant ma robe a remontĂ©.Soudain sa main droite vient se poser sur ma cuisse gauche.- que faites vous — vous me plaisez beaucoup et ce serait bien que j’aie une contrepartie pour vous avoir transportĂ©e — si j’ai bien compris vous voulez me sauter et si je refuse — e vais m’arrĂŞter et vous demander de descendre ce qui est dangereux pour vous de faire du stop sur la bande d’arrĂŞt d’urgence de l’autoroute — vous savez, que je fasse ça avec vous ou un autre je ne vois pas la diffĂ©rence, alors c’est oĂą et quand vous voulez puisque de toutes façons il faudra que je passe Ă la casserole -Il reste la bouche ouverte sans rĂ©pliquer. Il se ressaisit et sa main n’ayant pas quittĂ© ma cuisse il la caresse.Enhardi par ma passivitĂ© sa main s’insinue sous ma robe et caresse mon sexe par dessus le string.Il continue sa route et finit par s’engager sur une aire de repos du cĂ´tĂ© de valence, il va se garer dans un chemin fermĂ© par une barrière et qui doit servir comme issue de secours pour le personnel qui travaille sur l’autoroute ou quand il y a un problème.Il occulte au mieux les vitres avec des serviettes pour nous procurer une certaine intimitĂ©. Nous nous installons sur le siège arrière.Rapidement ses mains se promènent sur mon corps et il cherche Ă m’embrasser, je rĂ©ponds Ă son baiser et ma langue se mĂŞle Ă la sienne.Il dĂ©place les bretelles de ma robe dont il descend le haut jusqu’Ă ma taille, il en fait de mĂŞme avec mon soutien-gorge.je suis maintenant seins nus devant lui, il les caresse et ses doigts agacent les tĂ©tons, il les tripote comme un mort de faim.Il me demande de soulever mes fesses, il remonte ma robe jusqu’Ă ma taille et descend mon string le long de mes jambes que je soulève pour qu’il la retire.Une main caresse mon sexe et un doigt fouille ma chatte.Je ne suis pas dĂ©cidĂ©e Ă faire des efforts avec lui n’ayant pas digĂ©rĂ©e sa phrase qui voulait dire « tu baises ou je te laisse sur la bande d’arrĂŞt d’urgence de l’autoroute », je n’Ă©tais pas contre le fait de satisfaire ses envies j’ai dĂ©jĂ fait l’amour avec pire que lui.- si tu veux que je te suce sors ta bite -Il ne se le fait pas dire deux fois. Il dĂ©boutonne son pantalon et le baisse, son slip prend le mĂŞme chemin.Je caresse son pĂ©nis de taille moyenne qui est en Ă©rection puis je le masturbe un peu.A genoux sur le siège ma bouche avale son membre et je lui fais une fellation Ă©nergique en serrant au maximum mes lèvres sur sa tige pendant qu’il tripote mes seins et caresse ma chatte.Il ne rĂ©siste pas longtemps très excitĂ©, sa queue prise de tremblement grossit encore et envoie des jets de sperme dans ma gorge.J’ouvre une portière et recrache sa semence Ă l’extĂ©rieur.Je le masturbe un peu, il bande toujours.Je me couche au mieux sur le siège en Ă©cartant les jambes. Il s’allonge sur moi et sa verge pĂ©nètre mon intimitĂ©.Il me dĂ©fonce Ă grands coups de reins, j’essaie de remuer avec lui mais c’est difficile car ma position n’est pas très inconfortable.Je mouille un peu mais n’Ă©tant pas inspirĂ©e par lui ni par ce qu’il me fait je ne prends pas de plaisir.Au bout d’un moment son corps se crispe, sa queue est agitĂ©e par des soubresauts et il Ă©jacule dans mon vagin.Il se retire et s’essuie avec une serviette, il me la tend et j’essuie au mieux ma chatte puis je me rhabille pendant qu’il en fait autant. Satisfait il reprend la route.Il me dĂ©pose au nord de Lyon sur une aire ou on peut se restaurer, ce que je fais après ĂŞtre passĂ©e cĂ´tĂ© douches pour laver mon sexe et changer de culotte car celle que je porte est souillĂ©e par le sperme qui coule de mon vagin.Je recommence Ă faire de l’auto-stop. Une voiture avec deux hommes Ă bord Ă l’abord engageant s’arrĂŞte, ils vont jusqu’Ă Auxerre. Je monte Ă l’arrière et nous prenons la route.Pendant le parcours ils se mettent Ă me baratiner comme je l’avais prĂ©vu, car un homme est un homme et c’est son sexe qui commande son cerveau, rapidement ils se mettent Ă me draguer.Plus on approche d’Auxerre plus ils se montrent insistants et je finis par accepter de faire l’amour avec eux.Ils sortent de l’autoroute puis ils stoppent devant un hĂ´tel Ă bas prix. Ils vont Ă la borne situĂ©e Ă cĂ´tĂ© de l’entrĂ©e de l’Ă©tablissement et en reviennent avec un badge. Nous montons par l’escalier extĂ©rieur, ils ouvrent une porte et nous pĂ©nĂ©trons dans une chambre sans charme.Rapidement ils me dĂ©shabillent et une fois que je suis nue ils m’embrassent chacun leur tour, je rĂ©ponds Ă leurs baisers et je mĂŞle ma langue Ă la leur.Ils me caressent partout frĂ©nĂ©tiquement. Je me retrouve Ă plat ventre sur le lit avec les pieds qui touchent le sol.Ils se dĂ©shabillent, l’un s’assoit devant moi sur le lit et me prĂ©sente son sexe que je prend tout de suite dans ma bouche et lui fais une fellation pendant qu’il caresse ma poitrine et agace les tĂ©tons.L’autre est derrière moi et sa queue pĂ©nètre dans mon intimitĂ©, il me prend en levrette Ă grands coups de reins et masturbe mon clitoris.Le plaisir monte en moi, presque en mĂŞme temps je sens leur pĂ©nis grossir dans l’orifice ou il se trouve et agitĂ© de tremblements envoie des jets de sperme dans ma gorge et mon vagin.Ils Ă©changent leur place, nouvelle fellation pendant qu’une queue dĂ©fonce mon intimitĂ©. Ils torturent mes tĂ©tons et mon clitoris, le plaisir que je ressens devient trop fort et prise de spasmes j’ai un orgasme pendant que de la cyprine sort de mon vagin.Je reprends la fellation que j’avais arrĂŞtĂ©e le temps de jouir.La queue qui occupe ma chatte n’a pas arrĂŞtĂ© ses va-et-vient, elle enfle et est prise de soubresauts puis arrose mon intimitĂ©.J’accĂ©lère la fellation et quelques minutes plus tard du sperme frappe le fond de ma gorge. J’avale la semence.Ils se couchent sur le lit, je me mets Ă genoux entre eux et je masturbe leur pĂ©nis, quand le premier rebande je suce un peu.Je me retrouve couchĂ©e sur le dos et celui que j’ai remis en forme s’allonge sur moi et me pĂ©nètre, je remue en mĂŞme temps que lui tout en masturbant la queue de son compère qui finit par rebander.Cela se complique pour moi car ils se relaient en Ă©vitant d’Ă©jaculer, les coups de boutoirs dans mon intimitĂ© font monter le plaisir dans mon ventre, je ne peux plus me retenir et je jouis avant que l’un se dĂ©cide Ă se soulager dans ma chatte.Il met son pĂ©nis ramolli dans ma main pour que je le masturbe pendant que son collègue continue Ă pilonner mon intimitĂ©.Celui que je masturbe rebande et me pĂ©nètre de nouveau dès que l’autre a arrosĂ© mon vagin puis vient se faire masturber.Quand je l’ai remis de nouveau d’attaque il prend le relai.Ils dĂ©foncent ma chatte en se remplaçant souvent et en faisant durer le supplice.Je ne tiens plus, le plaisir est trop fort, maintenant je gĂ©mis continuellement et je ne peux pas Ă©viter la jouissance.Le temps m’a paru très long avant qu’ils finissent par se soulager dans ma chatte mais très peu de sperme coule de leur verge.Après avoir rĂ©cupĂ©rĂ© un peu c’est direction la salle de bain. Nous nous rhabillons et quittons l’hĂ´tel.Ils m’amènent Ă l’entrĂ©e de l’autoroute et je lève de nouveau le pouce.Je ne lève pas le pouce longtemps une auto s’arrĂŞte Ă ma hauteur, le conducteur qui est seul va Ă Paris. Il ouvre la portière avant droite et je monte.En route il parle beaucoup de tout et de rien et lance quelques allusions concernant le sexe pour voir ma rĂ©action.Je finis par lui rĂ©pondre que les hommes ont toujours une arrière pensĂ©e quand ils prennent une femme en stop mais que si je n’Ă©tais pas consciente de ce qui allait se passer je n’en ferais pas.A son air je pense qu’il a compris ce que j’ai dit.ArrivĂ©s du cĂ´tĂ© de Fontainebleau il sort de l’autoroute et en traversant la forĂŞt, après avoir Ă©vitĂ© les endroits oĂą des prostituĂ©es tapinent, il s’engage dans un chemin en forĂŞt et stoppe.- Ă mon avis tu attends quelque chose de ma part — tu es une belle femme et j’ai envie d’un petit câlin — tu crois que je vais ĂŞtre d’accord — qui ne tente rien n’a rien — tu as de la chance c’est mon jour de bontĂ© -.Je dĂ©boutonne son pantalon et descend le zip, il se soulève pour que je descendre le pantalon et le slip.Une belle queue se dresse, je la caresse et la masturbe un peu. Je me penche et l’introduis dans ma bouche puis lui fais une fellation.Mon nez vient toucher son pubis. Je m’active et rapidement il se crispe, son pĂ©nis grossit encore et pris de tremblements Ă©jacule dans ma gorge.J’ouvre la portière et recrache le sperme.Nous sortons de l’auto, il dĂ©nude mes seins en baissant ma robe et mon soutien-gorge puis caresse ma poitrine.J’enlève ma culotte, il soulève ma robe et caresse mon sexe.Mon dos est plaquĂ© contre le capot et mes jambes Ă©cartĂ©es.Sa verge pĂ©nètre dans ma chatte qu’il dĂ©fonce Ă grands coups de reins tout en triturant mes tĂ©tons.Il ne rĂ©siste pas trop longtemps Ă ses envies avant d’Ă©jaculer en moi.Ses envies ne sont pas assouvies, il me retourne.J’ai les seins collĂ©s au capot, il me prend en levrette et pilonne longtemps mon vagin ses mains agrippĂ©es Ă mes hanches.Je mouille et le plaisir monte sans que j’arrive Ă l’orgasme car ne se souciant que de son propre plaisir il ne se retient pas et il arrose encore mon ventre.Nous nous essuyons avec des kleenex et j’en place plusieurs dans ma culotte car je sais que le sperme va s’Ă©couler de mon vagin.Nous rajustons notre tenue. Il reprend la route et m’amène jusqu’Ă une station de mĂ©tro Ă la pĂ©riphĂ©rie de paris.J’achète un ticket et en mĂ©tro je vais Ă la gare du nord ou j’achète un sandwich et une boisson puis je prends le train et je regagne mon domicile oĂą j’arrive très tard.Avec le recul je sais que j’Ă©tais inconsciente et ne mesurais pas le danger.