Avec J.Pierre mon mari, nous envisageons d’amĂ©nager une pièce du sous-sol de notre pavillon en cuisine d’Ă©tĂ© pour ĂŞtre plus près de la terrasse ou nous recevons ou prenons notre repas quand il fait beau.Dans ce but un samedi nous passons la journĂ©e Ă visiter des magasins spĂ©cialisĂ©s.Dans l’un d’eux le gĂ©rant est plus intĂ©ressĂ© par la vue de mes fesses quand ma jupe courte en dĂ©voile une bonne partie lorsque je me penche pour regarder l’intĂ©rieur d’un meuble bas ou d’un appareil Ă©lectromĂ©nager exposĂ© dans le magasin.Cela ne me dĂ©range pas outre mesure et j’en conclus que ce doit ĂŞtre un chaud lapin.Nous avons demandĂ© des devis que je me charge de collecter au cours de la semaine suivante tout en rĂ©sistant aux assauts des vendeurs dĂ©sireux de conclure la vente pensant qu’une femme seule est plus vulnĂ©rable.Comme je le pressentais je me fais ouvertement draguer par Lionel le gĂ©rant du magasin qui se prĂ©occupe plus de mon anatomie que du matĂ©riel qu’il prĂ©sente, peut ĂŞtre que pour lui cela fait partie de sa technique de vente.Il est grand, blond avec un regard que je qualifierais de vicieux. Son physique n’est pas dĂ©plaisant.Ne voulant pas le dĂ©courager car j’ai dĂ©cidĂ© de profiter de la situation, je lui rĂ©ponds par des sourires et des attitudes de salope lui laissant espĂ©rer que ce qu’il attend de moi est possible.Je reviens voir Lionel quelques jours plus tard sous prĂ©texte de demander des prĂ©cisions.Tout en rĂ©pondant Ă mes questions il me fait son numĂ©ro de charme.VĂŞtue très sexy je lui montre que je ne suis pas insensible, en me penchant je le fais profiter de mon dĂ©colletĂ© et en ayant l’air de ne pas m’en apercevoir, assise en face de lui, j’Ă©carte les jambes pour qu’il se rince l’Ĺ“il en ayant une belle vue sur mon entre-jambes et mon string ce dont il profite sans se gĂŞner.Puis je lui dis que j’ai un devis plus intĂ©ressant chez un concurrent et que c’est dommage car ce qu’il propose me convient. Je lui fait croire que mon mari semble prĂ©fĂ©rer d’autres produits que les siens et que quand il a une idĂ©e en tĂŞte c’est difficile de le faire changer d’avis.En prenant mon air de salope je le presse de faire preuve de bonne volontĂ© en lui faisant miroiter que l’on peut s’entendre tous les deux, il me demande de revenir le voir après qu’il m’ait dit qu’il allait voir s’il peut « faire un petit quelque chose » concernant le devis.Nouvelle visite chez le dragueur, il m’invite Ă boire un verre laissant le magasin aux mains de son vendeur et de sa secrĂ©taire.InstallĂ©s Ă une table dans un bar la discussion est plus orientĂ©e sur le sexe que sur les produits qu’il vend.Je m’arrange pour qu’il revienne au sujet qui m’intĂ©resse. Il me parle d’options gratuites qu’il a ajoutĂ©es.Sans le dĂ©courager, en caressant une de ses mains, je lui dis qu’il peut faire mieux car mon mari est plus enclin Ă accepter le devis d’un concurrent.Je reviens donc encore le voir, Lionel m’invite Ă entrer dans son bureau et ferme la porte. Il s’approche de moi, passe un bras autour de mon cou et approche sa bouche de la mienne, je dĂ©tourne la tĂŞte pour Ă©viter le baiser.- ce n’est pas convenable, je suis mariĂ©e -Mon attitude et mon sourire disent le contraire des paroles que je viens de prononcer.- oĂą est le mal entre adultes responsables et consentants.- pas comme ça et puis vous n’ĂŞtes pas très gentil avec moi — si je suis comprĂ©hensif, vous pouvez constater que je vous ai fait une remise -Il me tend un nouveau devis que je consulte rapidement.- votre offre n’est pas assez intĂ©ressante, mĂŞme une putain n’accepterait pas d’avoir une relation sexuelle pour si peu, vous me dĂ©cevez alors que je commençais Ă me faire Ă l’idĂ©e que l’on pouvait passer des moments agrĂ©ables ensemble, je crois qu’on va en rester lĂ si vous ne pouvez faire mieux — vous me demandez beaucoup — la contrepartie n’est pas nĂ©gligeable et vous en tirerez beaucoup de plaisir, c’est ce que vous cherchez si j’ai bien compris. Excusez moi de vous faire perdre votre temps, moi je perds le mien alors je vais vous laisser et dire Ă mon mari qu’il peut signer le devis qu’il a choisi chez un de vos concurrents — vous me mettez le couteau sous la gorge, je vais rĂ©flĂ©chir et je vous appelle en fin d’après-midi — si vous voulez, vous avez mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone mais je ne me dĂ©placerais plus pour rien car mon mari s’impatiente, il veut que l’affaire soit conclue d’ici la fin de la semaine -Effectivement lorsqu’il me tĂ©lĂ©phone puis lors de notre rencontre suivante il fait mieux et ce qu’il me propose devient intĂ©ressant.Il m’invite dans un restaurant et pleure presque en me disant qu’il a rognĂ© sur sa marge et que sans bĂ©nĂ©fice il ne peut pas vivre.Après le repas je monte dans sa voiture et ne me dĂ©robe pas quand il m’enlace et que sa bouche se pose sur la mienne, j’accepte le baiser et ma langue se mĂŞle Ă la sienne.Il caresse mon corps par dessus mes habits j’en fais autant pour son pĂ©nis par dessus son pantalon.Je retiens sa main qui veut s’insinuer sous mes vĂŞtements.- pas ici — on peut aller ailleurs — pas aujourd’hui et avant il faut que je montre le nouveau devis Ă mon mari -Il est déçu quand je le quitte après avoir pris l’initiative d’un dernier baiser.Le lendemain je tĂ©lĂ©phone Ă Lionel pour l’informer que mon mari est intĂ©ressĂ© par le devis mais qu’il a fixĂ© un montant maximum Ă la dĂ©pense qu’il compte engager. En rĂ©alitĂ© J.Pierre ne sait rien de ce que je trame.Le commerçant se montre rĂ©ticent Ă la pensĂ©e de faire un nouvel effort mais je sais qu’actuellement la conjoncture est difficile, les ventes ne sont pas bonnes et qu’il ne peut pas faire l’impasse sur une bonne vente.Je lui propose un nouveau rendez-vous pour en parler qu’il accepte en bon mâle qui ne supporte pas qu’une femelle lui rĂ©siste.Lionel m’attend dans sa voiture et dĂ©marre dès que je suis assise. Nous roulons un moment et arrivĂ©s dans une forĂŞt il s’engage dans un chemin et il stoppe le vĂ©hicule.Je sais que je vais devoir commencer Ă payer de ma personne.Il passe un bras autour de mon cou et m’embrasse, nos langues se battent comme deux chiens dans des baisers que je fais durer.Il passe une main sous mon maillot et la promène sur ma poitrine par dessus mon soutien-gorge, je le laisse faire.Enhardi par mon manque de rĂ©action il dĂ©place le vĂŞtement qui le gĂŞne puis caresse mes seins.Pendant ce temps je caresse par dessus son pantalon sa queue que je sens bien gonflĂ©e par l’envie qu’il a de moi.Nous sortons de l’auto et tout en m’embrassant il me plaque contre le capot. Il descend la fermeture de son pantalon, en dĂ©gage difficilement son pĂ©nis gonflĂ© qui se dresse fièrement.Il soulève ma jupe, Ă©carte ma culotte et se colle contre moi.Sa queue bute contre mon sexe, j’Ă©carte les jambes et pose une main sur son membre que je dirige vers l’entrĂ©e de ma grotte dans laquelle il s’enfonce quand Lionel pèse de tout son corps.Je passe mes bras autour de son cou pendant qu’il dĂ©fonce ma chatte Ă grands coups de reins.Il s’active pendant un petit moment puis son corps se raidit, sa verge tressaute pendant que du sperme Ă©clabousse mon vagin.Il se retire et s’essuie pendant que je rajuste ma culotte.- tu es content je n’avais jamais trompĂ© mon mari et aujourd’hui je l’ai fait en te donnant ce que tu voulais — j’aurais voulu plus — ici ce n’est pas facile mais dans un endroit plus adaptĂ© ce serait diffĂ©rent — ce serait beaucoup mieux sur un lit dans une chambre d’hĂ´tel oĂą ailleurs — je suis d’accord et je peux t’assurer que tu ne le regretteras pas -Nous prenons le chemin du retour. Il me promet que si je me donne entièrement Ă lui en contrepartie il m’accordera ce que je lui rĂ©clame.Deux jours plus tard il m’invite Ă dĂ©jeuner dans un bon restaurant.Avec ma jupe courte en cuir noir, mes chaussures Ă talons hauts et mon chemisier suffisamment dĂ©boutonnĂ© pour qu’une partie de mes seins soit visible je lis l’envie dans ses yeux.Le serveur passe souvent près de notre table pour se rincer l’Ĺ“il.Au fur et Ă mesure que le temps passe il est de plus en plus excitĂ©, il essaie de me faire boire plus que de raison. Je ne me presse pas pour finir mon repas afin de le faire languir.Nous montons dans sa voiture, après un très long baiser il dĂ©marre direction un hĂ´tel pour la partie de jambes en l’air.Il avait rĂ©servĂ© la chambre d’avance sur de son fait. Après avoir rĂ©cupĂ©rĂ© une clĂ© Ă la rĂ©ception il me prend par le bras pour m’emmener vers la chambre.Très pressĂ© il est dĂ©jĂ allongĂ© nu, le pĂ©nis bien dressĂ©, avant que je n’aie retirĂ© tous mes vĂŞtements. Il observe mon corps pendant que je le rejoins.- tu es belle -Il me caresse partout et rapidement s’allonge sur moi, sa queue coulisse dans mon intimitĂ© et commence Ă y faire des aller-retour. Je n’ai pas le temps de l’accompagner par des mouvements de mon bassin que je sens sa verge tressauter et que son sperme coule dans mon vagin.Il se relève et va s’essuyer avec une serviette de toilette, j’en fais autant.Il s’allonge sur le lit et Ă genoux entre ses jambes je caresse puis masturbe son pĂ©nis pour obtenir rapidement une Ă©rection.Ensuite je lui fais une fellation qui dure un bon moment avant que son membre n’augmente encore de volume dans ma bouche et que sa semence n’Ă©clabousse ma gorge.Je continue Ă sucer pendant que son corps se trĂ©mousse et qu’il soupire beaucoup. Sa queue qui avait donnĂ©e des signes de faiblesse Ă repris de la vigueur.Je me positionne au dessus de lui, mes jambes de chaque cĂ´tĂ© de son corps, avec une main je dirige sa verge vers l’entrĂ©e de ma chatte et en flĂ©chissant les jambes je m’empale dessus.Pendant qu’il caresse mes seins et torture les tĂ©tons je donne des coups de reins pour faire aller et venir son pieu dans mon ventre. Je remue pendant un bon moment et quand j’en ai assez je me retire.Je me mets Ă genoux pour qu’il me prenne en levrette. Une main s’Ă©gare du cĂ´tĂ© de mon anus, je la repousse.- pas maintenant, tu l’auras comme bonus quand la cuisine sera installĂ©e — je prĂ©fèrerais maintenant, je suis accroc Ă la sodomisation — tu as bien attendu pour me sauter alors encore un peu de patience -Cela ne me dĂ©range plus de me faire sodomiser mais je n’accorde pas ce privilège Ă tous les hommes qui couchent avec moi.Il introduit sa queue dans ma chatte et me dĂ©fonce Ă grands coups de reins pendant que je caresse ses cuisses et triture ses testicules.Après un temps qui m’a paru interminable il se soulage dans mon ventre puis s’allonge Ă©puisĂ© par l’effort.Il va se laver et se rhabille, j’en fais autant. Pendant le trajet de retour je lui donne un chèque correspondant au premier acompte pour les travaux Ă venir.L’installation commence rapidement. Fabien et Laurent les deux employĂ©s de l’artisan qui s’occupe du chantier sont jeunes et sympathiques.Donc je verse un deuxième acompte Ă Lionel lors d’un passage au mĂŞme hĂ´tel que la première fois.Il se montre un peu plus caressant mais pendant nos Ă©bats il pense plus Ă assouvir ses envies ce que je m’Ă©vertue Ă faire en lui faisant une fellation pendant laquelle il ne se retient pas et il en profite pour se soulager dans ma boucheEnsuite je suce encore son membre pour qu’il bande de nouveau et il s’allonge sur moi, me pĂ©nètre et donne des coups de reins pour finalement arroser une première fois mon vagin. Ensuite après l’avoir fait de nouveau bander il jouit une deuxième fois dans mon ventre quand positionnĂ©e Ă califourchon sur lui je fais bouger mon corps en faisant aller et venir sa verge dans ma grotte pendant qu’il malaxe mes seins et triture les mamelons.Deux jours plus tard Lionel vient voir l’Ă©volution des travaux, il me parle d’un souci.- les ouvriers m’ont fait part de difficultĂ©s concernant les arrivĂ©es d’eau et d’Ă©lectricitĂ©, ces points ont Ă©tĂ© mal estimĂ©s dans la prise de mesures initiales que nous avions faites, cela me pose un problème car le sous-traitant va me demander une rallonge — donnes leur ce qu’ils te demandent — Ă cause de toi j’ai tirĂ© les prix au maximum et je ne peux pas faire d’effort supplĂ©mentaire — si tu veux je m’occupe d’eux, je vais bien trouver un accord — tu ne perds pas le nord, je ne crois pas qu’ils vont accepter un arrangement — je verrais bien, ça ne coĂ»te rien d’essayer -Tous les jours les ouvriers mangent avec moi, cela leur permet d’Ă©conomiser l’indemnitĂ© de repas que leur verse leur patron.J’ai remarquĂ© que je ne leur dĂ©plaisais pas et souvent je sens leur regard qui se porte sur certaines parties de mon corps.Pendant le repas du midi j’aborde le sujet.- vous avez fait part d’un problème Ă Lionel — oui, on va devoir passer des heures en plus, percer des murs pour passer des tuyaux et des câbles et vu l’ampleur des travaux supplĂ©mentaires on ne peut pas travailler gratuitement — on peut s’arranger — vous voulez nous payer nos heures sans que notre patron le sache — oui mais pas comme vous l’entendez — Ă quoi pensez vous, on ne comprend pas ce que vous voulez dire — j’ai remarquĂ© que vous me matez beaucoup et que je ne vous dĂ©plais pas — vous avez raison, vous ĂŞtes jolie, mais ou voulez vous en venir — je peux vous proposer mon corps, je pense que vous comprenez ce que je veux dire — vous voulez coucher avec nous et nous payer en nature — exactement si cela vous intĂ©resse, je peux faire l’amour avec vous ensemble ou sĂ©parĂ©ment — c’est une drĂ´le de proposition — rĂ©flĂ©chissez et donnez moi votre rĂ©ponse ce soir. Si vous n’ĂŞtes pas d’accord je ferais venir un artisan que je connais, il sera enchantĂ© de faire les travaux en acceptant la mĂŞme proposition -Pendant l’après-midi ils en parlent entre eux et acceptent, l’attrait de sauter une belle femme est le plus fort.Deux jours plus tard après avoir fait l’amour avec Lionel je reste Ă l’hĂ´tel et en fin d’après-midi comme prĂ©vu les deux ouvriers me rejoignent.Je les fais entrer par la sortie de secours puis nous gagnons la chambre.Tout en me dĂ©shabillant ils m’embrassent et me caressent puis me poussent sur le lit et continuent Ă mettre leurs mains partout sur mon corps après s’ĂŞtre dĂ©vĂŞtus eux aussi.Une fois qu’ils sont un peu calmĂ©s je leur demande de s’allonger cĂ´te Ă cĂ´te et Ă genoux entre leurs jambes je lèche puis suce leurs queues passant de l’une Ă l’autre en m’occupant avec une main de celle qui n’est pas dans ma bouche.J’y mets de l’ardeur et j’arrive rapidement Ă un rĂ©sultat, ils Ă©jaculent chacun leur tour dans ma gorge, j’avale tout en continuant un peu Ă sucer.Je me positionne Ă genoux sur Laurent et fais pĂ©nĂ©trer sa queue dans ma chatte et je demande Ă Fabien de se mettre derrière moi, je guide sa verge jusqu’Ă mon orifice anal ensuite avec son corps il exerce une poussĂ©e et son membre s’enfonce dans mon cul.Ils donnent des coups de reins et je ressens fortement les va-et-vient dans mes orifices, je ferme les yeux et savoure le plaisir qui monte dans mon ventre.Ils se soulagent dans mon corps et Ă©changent leur place puis continuent Ă me dĂ©foncer.Le plaisir que je ressens ne cesse pas d’augmenter et comme ils mettent plus de temps avant de jouir mon corps se tend, je suis prise de spasmes et j’atteins l’orgasme arrosant de ma mouillure Fabien qui est allongĂ© sous moi.Ils continuent Ă remuer et finissent par arroser mon vagin et mes intestins de leur semence.Je les masturbe et je suce leur queue jusqu’Ă ce qu’ils bandent de nouveau.Ensuite couchĂ©e sur le dos puis Ă genoux ils me dĂ©foncent en se relayant tantĂ´t la chatte tantĂ´t le cul suivant leur envie.Mon plaisir est intense et comme les va-et-vient de leurs queues dans mes orifices durent très longtemps j’ai deux orgasmes avant qu’il ne jouissent en moi.AllongĂ©e je mets un peu de temps Ă rĂ©cupĂ©rer pendant qu’ils passent par la salle de bain.RhabillĂ©s nous quittons l’hĂ´tel, ils sont ravis du moment passĂ© avec moi et me disent que je peux compter sur eux pour les travaux supplĂ©mentaires.Enfin le chantier est terminĂ© et nettoyĂ©, les ouvriers sont partis.J.Pierre mon mari qui est très mĂ©ticuleux et Lionel font une inspection pour s’assurer de la bonne pose des meubles et de l’Ă©lectromĂ©nager.Mon mari règle le dernier acompte.Le surlendemain je dois passer Ă la casserole une dernière fois. Je retrouve Lionel Ă l’hĂ´tel habituel.J’entre tout de suite dans le vif du sujet, je lui fais une fellation et il jouit rapidement dans ma bouche.Ensuite après une brève pĂ©nĂ©tration de mon vagin sa queue me dĂ©fonce avec vigueur le cul dans lequel il Ă©jacule.Nouvelle fellation puis il me sodomise de nouveau et ses coups de reins durent un bon moment avant qu’il ne se soulage de nouveau dans mes intestins.LavĂ© et rhabillĂ© il jubile en me parlant de ce qui vient de se passer car c’est rare que les femmes qu’il drague dans le cadre de son travail acceptent de coucher avec lui et encore moins de se faire enculer comme ça.Il m’avoue que parfois il gonfle le devis puis le ramène Ă un prix normal quand une femme accepte de coucher avec lui croyant faire une bonne affaire.Il me dit aussi qu’avec moi il est tombĂ© sur un os et que je sais manĹ“uvrer quand il s’agit d’argent.C’Ă©tait notre dernier rendez-vous car malgrĂ© sa demande insistante de passer de nouveaux moments ensemble que j’ai acceptĂ©e je n’ai jamais donnĂ© suite.