Un après-midi je flâne dans la rue piĂ©tonne de la ville cĂ´tière ou je rĂ©side.Je m’attarde devant les vitrines des magasins oĂą les expositions de vĂŞtements Ă l’extĂ©rieur quand survient un incident: une personne me bouscule.Ayant failli chuter je reprends mon Ă©quilibre puis en me retournant je vois que c’est un homme d’une cinquantaine d’annĂ©es, grand, aux cheveux poivre et sel, d’une bonne corpulence et au physique agrĂ©able.GĂŞnĂ© il s’excuse de m’avoir bousculĂ©e puis nous Ă©changeons quelques paroles avant de poursuivre notre chemin chacun de son cĂ´tĂ©.Le lendemain j’aperçois le mĂŞme homme attablĂ© Ă la terrasse d’un bar.Je l’observe sans discrĂ©tion, avec les yeux qui ont tendance Ă sortir de leur orbite comme d’habitude, tout en continuant mon chemin Ă une allure très ralentie.Il se rend compte de ma prĂ©sence et me salue, je lui souris.Le surlendemain je suis surprise quand, dans la rue piĂ©tonne, il surgit devant moi.- bonjour charmante dame — bonjour monsieur l’Ă©craseur — je m’excuse encore pour l’autre jour, pour me faire pardonner je voudrais vous offrir un verre -Je lui souris.- vous ĂŞtes direct, boire un verre pourquoi pas mais je ne sais pas si cela sera suffisant pour obtenir mon pardon — je ferais ce qu’il faut pour obtenir la rĂ©demption — pour ça je ne sais pas si un simple verre suffira -Nous nous regardons en riant puis je le suis et nous nous installons Ă la terrasse du bar ou je l’ai vu la veille. Nous parlons tout en buvant une bière, il me questionne sur moi et j’en fais de mĂŞme sur lui, il est mariĂ© mais comme sa femme n’aime pas marcher et qu’elle est occupĂ©e il se promène seul.Nous rions beaucoup car c’est un bon blagueur et je soupçonne qu’il soit adepte de l’adage qui dit: « femme qui rit….. ».Au moment de se quitter comme je le pressentais il demande Ă me revoir, intĂ©ressĂ©e je n’hĂ©site pas et rapidement rendez-vous est pris.Comme pour passer le temps je me rends de temps en temps dans une association il m’est facile de m’absenter sans Ă©veiller les soupçons de mon mari.La première fois que je revois l’homme qui se prĂ©nomme Maxime nous nous promenons sur le port puis il m’offre un verre.Avant de nous quitter il me suit dans un recoin d’une rue peu frĂ©quentĂ©e. Sans hĂ©siter je me colle contre lui et passe mes bras autour de son cou pendant qu’il enserre ma taille.Ses lèvres sont sur les miennes, sa langue pĂ©nètre dans ma bouche qu’elle fouille Ă la recherche de ma langue que je ne tarde pas Ă mĂŞler Ă la sienne, elles se battent comme deux chiens fous pendant un bon moment.Je sens contre mon ventre une bosse grossir dans son pantalon lĂ ou se trouve son sexe.Le long baiser terminĂ© je me dĂ©tache de lui bien qu’il aie envie d’approfondir notre relation. Je lui fixe un autre rendez-vous puis je le quitte.Lors de notre rencontre suivante, attablĂ©s cĂ´te Ă cĂ´te dans le coin le plus discret d’un bar je me comporte comme une salope, une de mes mains s’Ă©gare sous la table.Je caresse sa cuisse la plus proche puis sans me soucier du lieu ou nous sommes ma main remonte vers son entre-jambes et se pose sur l’endroit ou je sais trouver son sexe, rapidement Ă cause de mes caresses appuyĂ©es celui-ci qui me paraĂ®t avoir une bonne taille augmente de volume et dĂ©forme Ă©normĂ©ment le pantalon.Maxime est gĂŞnĂ© et troublĂ© pendant que je lui souris satisfaite de moi.- tu te rends compte de ce que tu fais et tu sais qu’on peut nous voir — oui, pourquoi? ça ne te plait pas — si mais pas ici. A ton air j’avais bien compris que tu Ă©tais une petite salope mais je ne pensais pas que c’Ă©tait Ă ce point — tu n’as encore rien vu et tu ne sais pas jusqu’Ă quel point je peux ĂŞtre salope — j’aurais plaisir Ă dĂ©couvrir jusqu’Ă ou tu peux aller mais ailleurs qu’ici — quand tu veux, je ne suis pas contre -Sans honte ni pudeur je prends une de ses mains et la glisse sous ma robe contre mon intimitĂ© qu’il se met Ă caresser timidement. Rapidement il retire sa main car il s’est aperçu qu’un couple attablĂ© plus loin nous observe.- ta chatte est toute chaude — certainement qu’elle a envie de quelque chose — mon pĂ©nis aussi mais on ne va pas continuer ici, on nous regarde — cela ne me gĂŞne pas, ça va peut ĂŞtre leur donner l’envie de participer — Ă leur air je ne crois pas, leurs visages reflètent plutĂ´t l’indignationCela me fait rire, indĂ©cente mais pas gĂŞnĂ©e pour autant.Il nous faut attendre que l’Ă©rection de Maxime cesse avant de quitter le bar.Il m’accompagne sur un parking ou Ă l’abri derrière un vĂ©hicule utilitaire nous nous enlaçons et Ă©changeons de longs baisers.Sans gĂŞne et malgrĂ© sa rĂ©ticence je baisse le zip de son pantalon et glisse une main Ă l’intĂ©rieur ou après avoir Ă©cartĂ© le caleçon je saisis un pĂ©nis que je trouve de bonnes dimensions Ă qui je donne une bonne Ă©rection en le caressant et le masturbant.Maxime passe une main sous mon blouson et caresse mes seins par dessus ma robe puis la main quitte ma poitrine, soulève mon vĂŞtement et se glisse dans ma culotte.Il caresse mon sexe puis un doigt me pĂ©nètre et s’agite dans mon intimitĂ©, j’Ă©carte les jambes, les envies augmentent dans mon ventre.Nous entendons des voix ainsi que des pas qui se rapprochent de plus en plus de l’endroit ou nous sommes sur le parking, nous reprenons une attitude un peu plus dĂ©cente tout en continuant Ă nous embrasser.Mon partenaire est un peu refroidi par le fait de risquer d’ĂŞtre vus, nous dĂ©cidons d’en rester la et convenons d’un nouveau rendez-vous pour quelques jours plus tard.Le jour dit je flâne depuis un moment sur le remblai en bordure de l’ocĂ©an quand je vois Maxime arriver.Il m’embrasse sur les lèvres puis me demande de le suivre.Il m’entraĂ®ne vers les cabines de plage qui restent Ă demeure toute l’annĂ©e et en ouvre une porte avec une clĂ© puis me tire Ă l’intĂ©rieur avant d’en refermer la porte.Il ouvre un sac et en tire une lampe de camping qu’il allume et m’explique qu’il avait louĂ© cet endroit pendant les vacances pour ses enfants et avait fait un double de la clĂ© au cas ou.Il enserre ma taille de ses bras et m’embrasse longuement.Il me dĂ©shabille en commençant par le blouson, ensuite il me dĂ©barrasse du maillot, du soutien-gorge, du pantalon et du string.Une fois que je suis nue il me caresse partout, il agace et tord mes tĂ©tons, il insiste sur ma chatte puis il la doigte avant de se mettre Ă masturber mon clitoris, j’Ă©carte les jambes pour mieux profiter de ce qu’il me fait.Je commence Ă caresser son sexe par dessus le pantalon.Il m’abandonne, fouille dans le sac qu’il avait amenĂ© en sort un plaid qu’il Ă©tale sur le plancher en bois de la cabine qui est assez vaste pour qu’on puisse s’y allonger sans trop de gĂŞne.Pendant qu’il retire ses vĂŞtements je me couche sur le plaid, il s’allonge Ă cĂ´tĂ© de moi et regarde mon corps.- c’est mignon tout ça, tu as un beau corps — merci mais tu n’es pas mal non plus et surtout je ne peux qu’ĂŞtre intĂ©ressĂ©e par le beau morceau qui fait des siennes entre tes jambes — gourmande -Maxime m’embrasse tout en caressant mes seins puis sa main glisse rapidement sur mon ventre avant d’arriver sur mon sexe qu’il doigte de nouveau avant de s’en prendre Ă mon clitoris.Pendant ce temps je caresse son torse, son ventre puis ses cuisses et enfin sa verge bien Ă©rigĂ©e et que mes doigts ont du mal Ă enserrer.IndiffĂ©remment je le masturbe ou je tripote ses testicules pendant un moment attentive au plaisir qu’il me procure et aux envies qui montent dans mon ventre.Je me retrouve couchĂ©e sur le dos avec Maxime allongĂ© sur moi, tout en m’embrassant il cherche Ă me pĂ©nĂ©trer, avec une main je l’aide Ă placer sa verge Ă l’entrĂ©e de l’orifice qu’il cherche Ă atteindre.Il pèse avec le poids de son corps et sa grosse queue s’enfonce dans mon intimitĂ© en repoussant les chairs, je ferme les yeux et je gĂ©mis pendant la pĂ©nĂ©tration.Il donne des coups de reins d’abord lents puis de plus en plus rapides au fur et Ă mesure que sa queue se sent plus libre en moi, je remue en cadence avec lui.Il arrĂŞte de remuer plusieurs fois pour ne pas Ă©jaculer trop vite et en profite pour m’embrasser, caresser mes seins et torturer les tĂ©tons Ă me faire mal. Je commence Ă bien mouiller et les clapotis accompagnent les va-et-vient de la queue dans ma chatte.Trop excitĂ© mon amant ne peut plus tenir, il se raidit et son pĂ©nis s’agite dans mon ventre, il Ă©jacule dĂ©versant une bonne quantitĂ© de semence qui frappe le fond de mon vagin.Il se retire, je ne lui laisse pas le temps de respirer et me mettant Ă genoux je prends son membre dans une main et le masturbe pour qu’il ne dĂ©bande pas. Instinctivement il s’est allongĂ©.Accroupie et ne me prĂ©occupant pas du sperme qui coule de mon intimitĂ© je lèche sa queue gluante puis je la prends dans ma bouche et je lui fais une fellation avec des aller-retour rapides qu’il apprĂ©cie car il me traite de « bonne salope » et me dit plusieurs fois que « c’est bon, tu suces bien ».Je suce le membre pendant un bon moment, ses doigts sont agrippĂ©s Ă mes Ă©paules et sous l’effet du plaisir qu’il ressent ses ongles ont tendance Ă pĂ©nĂ©trer dans ma peau.Ne voulant pas passer trop de temps Ă cette caresse buccale mes lèvres font des aller-retour rapides sur sa queue qui vient frapper au fond de ma gorge, j’essaie d’Ă©viter les haut le cĹ“ur.Au bout d’un moment la verge qui remplit bien ma bouche gonfle encore dans celle-ci et est prise de soubresauts pendant qu’elle dĂ©verse des giclĂ©es de sperme au fond de ma gorge, j’avale le liquide Ă sa grande satisfaction.Je le laisse rĂ©cupĂ©rer un peu tout en caressant son corps, pendant qu’il en fait autant sur moi, jusqu’Ă ce qu’il donne l’impression de vouloir reprendre les Ă©bats.A genoux entre ses jambes je caresse puis masturbe son pĂ©nis qui finit par retrouver de bonnes dimensions puis je me mets Ă le lĂ©cher partout en insistant sur le gland pendant un moment jusqu’Ă Ă©nerver mon amant dont le corps remue de plus en plus.Jugeant que la torture a assez durĂ©e j’enfonce la verge dans ma bouche et je lui fais une fellation qui n’est pas facilitĂ©e par les dimensions du membre qui Ă©cartèle un peu ma mâchoire et m’empĂŞche de le faire entrer totalement dans ma bouche.Ne pouvant pas accĂ©der correctement Ă mon corps il me demande de me dĂ©placer et je me retrouve Ă genoux les fesses Ă proximitĂ© de ses Ă©paules.Pendant que je suce son membre il s’en prend avec une main Ă mon clitoris pendant qu’un doigt puis deux de son autre main s’acharnent sur mon anus et s’y agitent dans le but de l’agrandir.De temps en temps je dois arrĂŞter la fellation car il ne veut pas jouir trop vite et pour ne pas rester inactive je lèche ses testicules et ses cuisses.Il apprĂ©cie ce que je lui fais mais la bouche pleine je ne rĂ©ponds pas, par contre je commence Ă bien mouiller Ă cause de ce qu’il fait subir Ă mon sexe et mon anus, le plaisir monte dans mon ventre.Je dĂ©cide de passer Ă autre chose.Comme il est couchĂ© sur le dos je m’accroupis au dessus de lui mes jambes de chaque cĂ´tĂ© de son corps puis avec une main je guide son pĂ©nis Ă l’entrĂ©e de ma chatte et en me baissant je la fais pĂ©nĂ©trer Ă l’intĂ©rieur.Les mouvements rapides que j’imprime Ă mon bassin font aller et venir la queue dans mon intimitĂ© jusqu’Ă taper au fond de mon vagin.Le plaisir monte vite dans mon ventre et je mouille beaucoup et au bout d’un moment prise de spasmes je jouis, les giclĂ©es de cyprine qui sortent de mon vagin arrosent son ventre.Comme je reste sans bouger pour rĂ©cupĂ©rer un peu mon amant dĂ©cide de changer de position.Je me retrouve Ă genoux la tĂŞte posĂ©e sur mes avant bras repliĂ©s et appuyĂ©s sur le plaid. Maxime se positionne derrière moi pour me prendre en levrette, sa grosse queue se promène entre mes fesses et bute sans trouver l’entrĂ©e de mon intimitĂ©. Je passe une de mes mains entre mes cuisses et saisis son membre que je place Ă l’endroit qu’il vise, d’une poussĂ©e de son corps il le fait pĂ©nĂ©trer dans ma chatte.Il donne des grands coups de reins pour faire aller et venir sa queue en moi pendant que je triture ses testicules ou caresse ses cuisses.Je ressens fortement le coulissement du pĂ©nis dans mon intimitĂ© et je commence Ă bien mouiller.La verge quitte ma chatte et vient buter contre mon anus, avec le poids de son corps il la fait pĂ©nĂ©trer Ă l’intĂ©rieur.Elle s’enfonce inexorablement dans mon cul en repoussant les chairs.Les mains agrippĂ©es Ă mes hanches il me sodomise d’abord avec des va-et-vient de sa queue lents puis de plus en plus rapides quand sa verge coulisse de plus en plus facilement dans le fourreau qui l’a accueillie.Le plaisir que je ressens est de plus en plus fort et pendant qu’une de ses mains caresse un de mes seins ou triture le tĂ©ton je me masturbe de plus en plus violemment le clitoris.Le traitement que sa queue inflige Ă mon cul ajoutĂ© Ă celui de ma main sur mon clitoris j’ai un nouvel orgasme, des jets de cyprine sortent de mon vagin et tâchent le plaid.Sans se soucier de ce qui m’arrive Maxime continue Ă me dĂ©foncer pendant que le plaisir ne quitte pas mon ventre et enfin je sens son pĂ©nis gonfler encore dans mon corps pendant qu’il Ă©jacule dans mon cul.En soufflant il reste un petit moment avec son membre dans mon anus puis je sens qu’il dĂ©bande, il se retire et s’essuie avec un kleenex et m’en tend un.- c’est bon de faire l’amour avec toi — si tu as aimĂ© moi aussi, ta grosse queue m’a donnĂ© du plaisir -RhabillĂ©s nous sortons de la cabine de plage et sommes surpris de voir des personnes assises sur le muret qui borde la plage, leurs regards sont tournĂ©s vers nous.Nous avons du faire un peu de bruit ce qui les a alertĂ©s. Je m’imagine sans peine leur sujet de conversation.J’accompagne Maxime pendant un bout de chemin.Il veut me revoir pour faire l’amour dans une chambre d’hĂ´tel afin d’ĂŞtre plus Ă l’aise et faire les choses mieux, je ne suis pas contre.