Je me présente. Je m’appelle Laurence, j’ai 21 ans. L’histoire que je vais vous raconter a eu lieu l’an dernier et fut un bouleversement dans ma vie sexuelle jusque là somme toute banale. J’ai en effet perdu ma virginité quelques jours après mon 18ème anniversaire. Je compte vous raconter cette histoire si vous aimer mon style.Je vais maintenant me décrire. Je mesure 1 mètre 80, pèse 60 kilos. J’ai les cheveux châtain clair. Mes seins sont un peu plus opulent que la moyenne, en effet j’ai du 90 c.Mon attirance vers les filles a commencé il y a des années. En effet au début de la puberté, j’aimais participer aux différentes activités sportives organisées à l’école. Je pouvais ainsi m’adonner à des séances de voyeurisme sous la douche. Je détaillais le corps de mes condisciples et tenait un cahier qui comportait des descriptions complètes de mes camarades. Ainsi je notais, par exemple, Carine s’est épilée entièrement, il me semble que les seins de Claire ont bien poussés. Je dois tout de même vous dire que je n’avais aucunement envie de passer à l’acte avec une fille. Cependant, je me renseignais épisodiquement sur les filles et j’essayais de connaître leur taille et aussi les raisons qui les avaient poussées à s’épiler entièrement. Je dois dire que la plupart du temps c’était à cause du petit ami.Vers 18 ans, il arrivait que je fasse avec une amie des petites séances de strip-tease. Cela nous permettait de comparer à l’aise nos seins et nos sexes. Mais nous ne nous ne touchions jamais l’une l’autre. À cette époque je sortais avec Luc et nous nous caressions embrassions et c’est avec lui que comme je vous l’ai expliquer plus haut j’ai perdu ma virginité. Trois mois plus tard je le quittais mais je me trouvais toujours insatisfaite de mon expérience sexuelle. Je trouvais que cela ne valait pas tout le foin que les copines en faisaient. Pendant tout ce temps les séances de voyeurisme continuaient à la douche. Quelques fois elles trouvaient leurs épilogues le soir dans ma chambre ou je me caressais longuement en pensant à un sein ou à une chatte que je ne possédais pas.Et puis arriva le dernier jour de rhétorique, je dois dire que j’étais triste car s’en était fini des douches collectives. Plus de sport à l’université. Comment vais-je faire pour continuer à avoir ma séance de relaxation hebdomadaire ? Après quelques jours de réflexion je décidai d’aller m’inscrire dans deux club sportif : le volley et le basket.Pendant plusieurs semaines, je recommence à prendre des notes et je détaille chaque partie du corps de chacune de mes condisciples. Je me masturbe de plus en plus souvent en pensant à ces magnifiques corps si musclés. Rapidement j’ai ma préférée, elle s’appelle Caroline. Elle est un peu plus grande que moi (elle mesure 1 m 85) et est dotée d’une splendide poitrine, a première vue du 100 c !!! Il m’arrive régulièrement de me masturber en pensant à elle. Le seul problème c’est Florent, son copain !!Je décide alors de lui parler— Caroline, cela te dirait d’aller boire un verre vendredi soir après le volley ?— Oui, d’accord. Je voudrais seulement que Florent vienne avec moi car il est assez jaloux, j’ai pas envie qu’il me fasse une scène.— OK pas de problème.— À vendredi !Bon j’étais super contente de pouvoir aller boire un verre avec elle. Malheureusement, Florent venait avec mais bon, c’est quand même cool. Je décidai de ne pas me mettre en valeur au niveau vestimentaire pour ne pas qu’elle croit que je voulais lui piquer son Florent. Le vendredi arrive, on est sous la douche, et je ne peux m’empêcher de détailler à nouveau son corps mais je m’en détourne rapidement car je commence à sentir des fourmillements dans mon ventre. Je me rhabille en vitesse. Je sors avec Caroline et Florent attend déjà à l’entrée. Même pas un moment pour discuter de fille-à-fille.— Bonjour Laurence, je suis Florent. Caroline t’a déjà certainement parlé de moi.— Salut Florent.— Bonjour mon bébé.— Ça vous dit d’aller boire un verre près de la Grand-place ?— OK— OkOn monte dans la voiture de Florent et on va au centre ville. On discute, on fait connaissance. La soirée ce prolonge et on décide d’aller manger au resto. Je fais très attention à ne pas trop regarder Florent sans pour autant l’ignorer. On parle beaucoup, mais j’essaye souvent de changer de sujet quand je me rends compte que Caroline semble indifférente au sujet. La soirée se termine.La semaine suivante je retrouve Caroline au sport— Salut Laurence— Bonjour Caroline— Florent a vraiment beaucoup aimé la soirée. Il espère qu’on pourra remettre çà.— Tu sais, je me suis bien amusée aussi. Il est sympa je trouve.— Je suis contente que tu as repoussé ses tentatives de drague.— Ben, c’est normal. Je ne suis pas du genre à piquer le copain d’une amie.— Oui je sais, mais bon, ce n’est pas toujours le cas.La discussion en reste là. Dans les semaines qui suivirent, les sorties avec Caroline et Florent se succèdent. Nous nous voyons presque tons les week-ends. Je remarque quand même un début d’exaspération de Caroline. Elle a l’air moins amoureuse. Florent commence à montrer son vrai caractère. Il est très jaloux. Il fait de plus en plus de remarques en se sens à Caroline qui ne discute même plus. Cependant, je crois déceler dans son regard une certaine tristesse.Vers la mi-février, je remarque un changement notoire dans la physionomie de Caroline. Elle s’est épilée !!! Je dois dire que cette image reste gravée dans mon esprit pendant plusieurs jours. Je me masturbe longuement en pensant que je pourrais la caresser à cet endroit et que se serait vraiment très très doux. Ce qui m’ennuie c’est que je ne peux pas comprendre pourquoi elle a fait çà. Je pense même qu’elle n’apprécie pas vraiment. Comme une complicité s’est installée entre Caroline et moi, je décide de l’invité pour une soirée entre filles. Elle accepte. Le jour venu elle vint à l’appartement et nous commençons à discuter de choses et d’autres avant d’en arriver à des choses sérieuses. Je lui dis :— Tu sais j’ai remarqué que tu t’entendais beaucoup moins avec Florent.— Oui tu as raison, je commence à penser que je n’ai pas tiré le bon numéro.— Tu sais avant que l’on se connaisse, j’avais aussi un copain mais j’ai du le quitter car on ne s’entendais plus vraiment. En fait la seule chose qui nous unissait c’était le sexe.— Ah bon ?— Oui, nous avons découvert cela ensemble, mais pour ma part je n’ai jamais pris réellement mon pied, je trouvais cela bon mais sans plus.— Nous deux, sur ce plan là, cela ne se passe pas trop mal. À part que des fois Florent à des lubies. Il a beaucoup de fantasmes.— Oui j’ai remarqué !— Ah bon ?— Oui, tu t’es épilée récemment.— Dis donc, tu as l’esprit observateur toi. Ben oui, il me l’a demandé depuis longtemps mais j’ai toujours refusé. Je trouvais cela idiot. Mais çà ce n’est pas le pire. Dernièrement il m’a fait le coup de la panne dans l’ascenseur. Il l’a stoppé et il a voulu faire l’amour dedans. Je dois dire que cela m’a refroidi. J’ai cédé mais je trouve qu’il commence a exagéré.— Oui de fait. Il est un peu pervers non ?— Oui— Allez parlons d’autre chose, tu veux boire quelque chose ?Elle prit un petit kir et moi aussi. Nous continuâmes à discuter mais sans parler de Florent ni de sa relation. Après tout j’en savais assez pour penser que cela ne durerait plus une éternité.2 jours plus tard, un dimanche, le téléphone sonna :— Allô— Salut Laurence, je te dérange ? (pleurs).— Non, pas du tout !— Je peux passer, je ne suis pas en forme. J’ai besoin de parler a quelqu’un.— Oui bien sûr ! Je t’attends.— Bon j’arrive de suite. Je te téléphone avec mon GSM. Je suis devant ta porte.— Bon je vais t’ouvrir.Ma pauvre Laurence. Je parie que c’est Florent qui à encore fait des siennes. Merde, je suis juste en peignoir (un peu échancré). Je sors de ma douche. Bon tant pis, elle m’a quand même déjà vue nue une centaine de fois. Je vais ouvrir. Laurence est habillée très sexy (chemisier, jupe courte, (pas mini), une petite veste d’été), cependant ses yeux étaient rougis par le chagrin.— Bonjour— Salut— Ben cela n’a pas l’air d’aller toi.— Non c’est la galère. Je viens de quitter Florent.— Oh, veux tu qu’on en parle, ou préfères-tu que nous regardions un bon DVD à la télé ?— Je préfère t’en parler. Pour voir ce que tu en penses— Ok, que s’est il passé.— Franchement ce coup si il a franchement dépassé les bornes. Nous étions dans le train. Le compartiment était vide et, après le passage du contrôleur il a commencé à me peloter. Et puis il m’a chuchoté, « j’ai envie de toi, maintenant », j’ai refusé plusieurs fois mais chaque fois il revenait à la charge. Finalement je lui ai posé la question qui tue « M’aimes-tu vraiment, je l’impression en ce moment d’être simplement un objet sexuel ». Alors il n’a pas répondu. Je lui alors dit « J’ai donc raison, si tu me considère comme cela, c’est que tu n’a vraiment rien compris. Je te quitte ». (Gros sanglots).Je lui tends un mouchoir, mais elle ne le prend pas. Je la laisse se calmer. Je commence à lui éponger le visage avec une grande douceur. Elle se calme doucement. Je termine d’essuyer son visage.— Merci Laurence. Tu es vraiment douce.— Ce n’est rien. Tu sais j’aurais aussi voulu avoir une amie pour pouvoir parler lorsque j’ai quitté Luc. Je trouve que tu as eu mille fois raison de quitter Florent. Il faut absolument que les mecs nous respecte et ne nous prenne pas pour des putes.— Oui c’est vrai. Il faut absolument que l’on se fasse respecter.— C’est une évidence. Et je dois dire que pour l’instant je n’ai toujours pas trouvé.— Tu es toujours seule depuis que tu as quitté Luc.— Oui. J’ai eu quelques brèves aventures. Je me suis toujours dis que j’attendrais 2 ou 3 mois pour faire l’amour. Les mecs voulaient souvent me faire l’amour. Je pense que c’est normal avec le corps que j’ai.Se faisant je fis glisser mon peignoir.— Chaque fois je refusais. Je leur disais que je ne voulais pas aller trop vite. Et il était tellement déçu qu’ils réessayaient une semaine plus tard. Toujours refus. Alors il partait en me traitant d’allumeuse.— Tu sais les hommes, ils sont fort attaché à l’image de la femme et il fantasme dés qu’ils voient une belle paire de seins ou de fesses comme les tiennent, ils se sentent amoureux. Mais je te dis tout de suite que c’est la même chose avec moi.Et voilà que Laurence retire sa veste et son chemisier. Elle se retrouve en soutien-gorge devant moi. Elle retire alors sa jupe. Les sous-vêtements suivent. Nous voilà toute les deux entièrement nue dans mon salon. Je suis en plein rêve. Caroline est là, nue, et je peux la contempler tout à mon aise, et je ne m’en prive pas. Je me retrouve alors trois ans en arrière lorsque je faisais mes séances de strip-tease. Nous prîmes alors notre temps pour ausculter nos corps et faire des remarques sur nos seins. Je n’osais cependant pas la toucher. J’étais tétanisée. Je ne voulais certainement pas la brusquée dans l’état d’esprit ou elle était. Je décidai donc que j’allais certainement avoir une meilleure occasion dans les prochaines semaines. J’étais pratiquement sure que se serait elle qui serait ma première.Quelques jours plus tard je téléphonai à Caroline pour prendre de ses nouvelles. En effet je ne l’avais plus vue au sport pendant une semaine. J’étais inquiète et aussi un peu en manque. Elle me dit qu’elle avait besoin de se retrouver un peu seule pour faire le vide après sa rupture avec Florent. Elle me remercia aussi pour la super soirée que nous avions passée ensemble. Elle trouvait qu’une certaine complicité c’était installée entre nous depuis un certains temps et que nous étions devenue de véritables amies.Pendant trois semaines je n’eus plus de nouvelles. Malgré tout je passais de longues minutes à me caresser en gardant en tête l’image de Caroline nue dans mon appartement. Je détaillais à loisirs sa magnifique poitrine, sa chatte où les poils commençait tout doucement à repousser, ses longues jambes fines. Je n’arrivais pas à chasser Caroline de mes pensées. Plusieurs fois je voulus lui téléphoner mais je décidai de respecter sa solitude.Le jour de son retour au sport, l’entraîneur décida de nous faire une séance de condition physique. C’est ainsi que nous avons pendant deux heures de multiples courses relais, des abdominaux, du saut à la corde. Bref, après cette séance marathon, nous étions toutes en sueur. Une bonne douche s’imposait donc. Je me retrouvai, comme par hasard en face de Caroline. Comme je me sentais bien. Enfin revoir son corps en réalité. Cette fille est vraiment trop belle. Je sentais mes seins pointer, et je dus vraiment faire attention de ne pas laisser transparaître mon trouble. Je mourais d’envie de me caresser. Progressivement toute les filles sortaient de la douche. Nous restions seulement Caroline et moi. Je remarquai alors que Caroline me regardait intensément.— Les filles, il seraient temps de sortir de la douche, intervint l’entraineuse, dans ¼ d’heure l’autre groupe arrive.Me voilà ramenées à la dure réalité. Je sors de la douche avec beaucoup de regret. On s’habille en vitesse. Plus le temps de rêver. À la sortie, Caroline m’attend.— On prend le bus ensemble ?— Oui, ok.— Tu sais j’ai envie de te dire un truc.— Oui je t’écoute.— J’ai vraiment apprécié que tu m’aies laissé le temps de me remettre de ma rupture avec Florent. Je n’ai pas cru que tu en serais capable. Surtout après la dernière soirée que nous avons passée ensemble.— Je dois t’avouer que j’ai plusieurs fois eu envie de te téléphoner pour voir si tu n’avais pas besoin de discuter. Mais je me suis dis que si tu voulais me parler tu connaissais mon numéro de téléphone, tu savais ou j’habitais et tu savais ou me trouver. Je voulais avant tout te respecter.— C’est vraiment super de ta part, tu sais. Tiens Voilà le bus.Nous montons dans le bus. À cette heure, il est quasiment vide. Deux ou trois personnes se trouvent près du chauffeur. On s’installe l’une à côté de l’autre et la discussion reprend. Caroline dit :— Tu sais j’ai réfléchi à plein de trucs pendant ces trois semaines. J’ai vraiment eu du mal à supporter l’arrogance de Florent. Tous ses fantasmes, je suis maintenant sure qu’il n’était plus possible de rester avec lui. Nous n’avions pas grand-chose à nous dire.— Tu en es donc venue au même constat que moi. Les mecs sont souvent très branchés cul. La seule chose qui les intéresse c’est de tiré leur coup. Par contre, nous, nous avons besoin de complicité et de beaucoup discuter pour apprendre à se connaître.— Oui tu as raison. C’est exactement ce que je pense. Tu sais je ne fais que penser à notre petite séance de strip-tease. Au début j’ai vraiment pensé qu’on avait fait çà rien que pour se dire que les mecs ne nous regardait que pour notre extérieur. Mais à la réflexion, je pense que ce jour là, c’était un peu comme un jeu de séduction entre nous deux. Il m’a fallu beaucoup de temps pour en arriver à cette conclusion. Et la façon dont nous nous sommes regardées dans la douche tout à l’heure m’amène à penser que nous désirons toute les deux la même chose.A ce moment précis, elle déposa sa main sur ma jambe. Je ressentis comme une décharge électrique. Je rougis immédiatement. Je ne savais pas quoi faire. Il me fallut d’interminables secondes pour lui rendre son geste. Nous voilà toute les deux avec les mains sur les jambes de l’autre. Personne ne parle. Nous sommes toute les deux dans un état second. Nous avons ce que nous voulons. Notre rêverie s’achève tout d’un coup.— Zut, je suis déjà chez moi, dit Caroline— Ah oui, attends je descends avec toi.— Non, allons à notre aise, on a toute la vie.— Ok, appelle moi dés que tu rentre s’il te plait.— Pas de problème.Caroline se lève donc et se retourne. On se fixe. Elle se penche doucement pour la bise comme chaque fois que l’on se quitte. Au moment de m’embrasser, elle dévie et me dépose un léger baiser sur la bouche. Quel délice. Ce moment ne dure que quelques secondes mais il restera gravé dans ma mémoire à jamais. Elle descend du bus. Je suis en état de choc. Elle m’a embrassé sur la bouche !!! Cà y est !! Enfin, le moment dont je rêvais depuis quelque mois est arrivé. Nous allons sortir ensemble. Je plane littéralement. Je ressens pratiquement la même que lorsque Luc m’a pris la main la première fois. C’est vraiment difficile à décrire. Je rentre vite chez moi, je cours presque, je décroche le téléphone.— Allô— C’est Laurence— Ah Laurence, ben tu as fais vite. J’ai à peine eu le temps de retirer ma veste et de me prendre un coca dans le frigo.— J’étais pressée d’entendre à nouveau ta voix. Tu me manques déjà.— C’est incroyable ce qui s’est passé ce soir. Je suis si heureuse.— Moi aussi, il y avait longtemps que j’avais envie de sortir avec toi. Mais comme tu étais avec Florent, je ne voulais pas t’embêter.— Ne me parle plus de lui s’il te plait. J’ai tourné la page. Aujourd’hui commence ma nouvelle vie.— Ok n’en parlons plus. Pour nous je désire vraiment que nous apprenions à nous connaître. C’est important.— Oui je te comprends, j’ai parlé avec le cœur tout à l’heure, ce n’était pas raisonnable. Je suis contente que tu m’aies remis les idées en place si gentiment.— On a tout le temps pour faire l’amour, et de toute façon, il faut d’abord se connaître. Je te propose donc de se faire un cinéma ce week-end. Par exemple samedi. Je te propose de nous retrouver à la Place de Brouckère à 13 h ?— Ok pas de problème.— À samedi.— Dit Laurence, j’ai encore quelque chose à te dire. (voix tremblante).— Oui, je crois deviner. Je te réponds : moi aussi.— Je t’aime.— Je t’aime.— À samedi— Je t’embrasse.Les jours suivants, je pensais très souvent à Caroline. Elle ne quittait jamais vraiment mon esprit et j’avais donc beaucoup de mal à me concentrer sur les cours. J’étais aux anges. Je manquai le sport une fois. Je n’avais plus aucune envie de regarder les autres filles. Une seule m’intéressait, ne quittait jamais mes pensées. Caroline. J’étais amoureuse. Cela faisait si longtemps. Je lui téléphonai le vendredi soir. Nous avons parlé longtemps, plus de 2 heures. C’était tellement bon d’entendre sa voix.Le samedi arriva. Je me levai toute tremblante. Mon premier rendez-vous avec Caroline. Me rappelant de mon premier cinéma avec Luc, je décidais de mettre un chemisier. En effet je pensais que si Caroline avait envie de me caresser, elle aurait plus facile. Je mis également une jupe qui m’arrivait à mi cuisse. Pas besoin d’attirer les regards de tous les garçons de la ville !!! J’arrivai avec quelque minutes d’avance au rendez vous. C’est ainsi que je vis arriver Caroline. Bizarrement elle avait choisie la même tenue que moi. Seules les couleurs étaient différentes. Elle venait a ma rencontre. Elle me déposa un léger baiser sur les lèvres. Je n’osai pas prendre sa main. Nous étions toutes les deux tétanisées par le regard des autres. On prit notre ticket. On arriva dans la salle. Comme je l’avais prévue, elle était pratiquement vide. Comme s’était l’heure de midi et en plus le samedi je m’y attendais. Nous nous sommes installées. Rapidement sa main vint rejoindre ma cuisse et j’en fit de même. Cette fois elle me caressait doucement. Cela me fit dresser les cheveux sur la tête. Quel douceur. Que cela fait du bien.L’obscurité arriva. Le film commença. Au bout de dix minutes je me retournai vers Caroline, elle semblait perdue dans le film. J’avais très envie de l’embrasser vraiment. De goûter sa langue. Je décidai qu’il était temps de passer à la vitesse supérieure. Je déposai alors ma bouche sur la sienne et essaya de faire entrer ma langue dans sa bouche. Après quelques secondes d’insistance, elle entra. J’étais au septième siècle. Sa salive avait un goût tellement fruité. C’était magnifique. Nous échangeâmes de longs baisers langoureux. Nos mains commencèrent à vagabonder sur nos corps. Je l’embrassais dans le coup. Elle fit sauter un bouton de mon chemiser et me caressa les épaules et le coup. J’avais tellement envie de plus. Je voulais qu’elle me touche les seins. J’aurais tant voulu que ses doigts titillent mes bouts de seins qui me faisaient mal tellement ils étaient durs. À cette pensée, je fut surprise par la brusque réapparition des lumières : c’était l’entracte. Je décidai alors d’aller aux toilettes pour retirer mon soutien-gorge. Caroline me suivit. De retour dans la salle, l’obscurité revint très vite, je décidai alors d’ouvrir carrément les deux premiers boutons de mon chemisier. La séance de baisers-caresses repris immédiatement. Rapidement je constatai que Caroline avait eu la même idée que moi. Elle avait profité de l’entracte pour retirer son soutien-gorge. Je pris alors possession de son sein gauche. Ce moment je l’avait rêver des heures et des heures. Je ne fus vraiment pas déçue. C’était merveilleux. Je dus cependant me retenir pour ne pas trop gémir tellement elle me faisait du bien. Lorsque le générique se déroula, nous reprîmes nos esprits et on se fit présentables afin de pouvoir sortir du cinéma sans rien laisser paraître.Les semaines qui suivirent n’apportèrent pas grand-chose de neuf au point de vue sexuel. Malgré tout nous discutions énormément. C’était vraiment l’Amour. Nous décidâmes également qu’il n’y avait plus de raison de se cacher. Cela nous permettait d’éviter tous les dragueurs. Le seul signe extérieur de notre amour était nos mains qui ne se quittaient jamais. Nos éducations strictes nous interdisaient de nous embrasser en public (sauf au cinéma). Cependant nos mains ne s’attardaient jamais dans les environs de nos sexes. Pour cela il fallut attendre presque 2 mois.Le grand soir arriva. Caroline était venue à l’appartement pour regarder un film. J’avais décidé de remettre le fameux peignoir. Elle arriva donc vers sept heures. On soupa à notre aise. Spaghetti, une demi bouteille de vin. Un petit dessert fruité. Le divan et la télé. À la fin du repas Caroline me demanda d’aller se mettre a l’aise. Elle se sentait un peu à l’étroit dans ses vêtements. Elle sortit de la salle de bain habillée d’un peignoir qu’elle avait nouée autour de la taille. Nous étions donc a égalité. Pendant le film, nous nous sommes embrassées, caressées avec moins de retenue qu’au cinéma. C’est ainsi que j’obtins pour premier orgasme sans que le m’on touche le sexe. C’était quelque chose d’inédit pour moi. Caroline l’obinnt aussi. Je lui dis :— Tu vois on s’entend et se connaît tellement bien qu’on arrive a se faire jouir sans se toucher le sexe. Je pense qu’il n’aurait pas été possible d’arriver à un tel point avec un garçon.— Tu as tout a fait raison. Tu es tellement douce.Le film terminé, nous restâmes comme cela dans le divan à discuter. À 11 h Caroline se leva et retira complètement son peignoir. Elle avait trop chaud. Elle me dit alors :— Est-ce que çà t’embêtes si je reste dormir chez toi cette nuit.— Non sûrement pas.— Je commence a être fatiguée. Je vais aller prendre une douche et puis je compte dormir.— Ok. Je te prépare le divan.— À tout de suite (bisous)J’entends l’eau couler. Je prépare le lit. Elle revient 15 minutes plus tard, toujours nue. Le lit est fait. Elle s’y couche. Je l’embrasse. Je vais alors prendre ma douche. 15 minutes plus tard j’en sors. Je refais un petit détour pour aller dire bonsoir à Caroline. Je suis nue aussi. Je rentre dans le salon, l’embrasse et lui souhaite une bonne nuit.Je me dirigeai donc vers ma chambre. J’allais me coucher et dormir alors que ma copine se trouvait pour la première fois allongée nue sur mon canapé. J’avais tellement envie de dormir près d’elle. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Impossible de retirer l’image de son corps parfait de mon esprit. Donc d’un coup je sursautai, on toquait doucement à la porte.— Entre Caroline— Excuse moi Laurence mais je n’arrive pas à dormir. J’ai quelque chose d’important à te dire.— Assieds toi sur le lit. Je t’écoute.— Je voudrais te dire que je t’aime énormément. Que je trouve que tu es vraiment une fille exceptionnelle. Je sais que tu as envie de dormir avec moi. Je dois que maintenant j’ai aussi envie. Je voulais te dire merci aussi car tu ne m’a pas forcer à venir dormir avec toi. Tu ne me l’a même pas suggérer. Tu as vraiment beaucoup de respect pour moi.— Ben tu sais, c’est normal, c’est un grand pas que l’on va franchir ce soir. Je ne voulais pas te forcer la main. Car j’estime que c’est trop important. Mais viens vite. Je commence à avoir froid nue dans mon lit.Je soulevai alors la couette. Je me reculai, elle se coucha dans le lit et me regarda dans les yeux. Nos seins se touchaient. C’était très excitant comme situation. Après quelques minutes j’ai tendu ma main et je lui ai caressé les cheveux. Les évènements s’enchaînèrent alors sans aucune retenue mais dans une grande douceur. C’est vraiment çà qui m’a marqué. La différence de tempérament entre un garçon et une fille. Lorsqu’elle commença à m’embrasser sur la bouche ses baisers étaient langoureux. Une douceur extrême lorsque l’on se caressait le corps, les seins, les fesses, les jambes. Quels bonheurs lorsqu’elle me suça les seins. Ensuite nous nous léchions l’une l’autre la chatte. Le goût de sa chatte était un peu plus amer que la mienne. Noua avons fait l’amour pendant deux heures. Pour arriver à un orgasme exceptionnel, que ni l’une ni l’autre n’avions atteint.Aujourd’hui cela fait plus de six mois que cette soirée inoubliable a eu lieu. Quinze jours après, Carline est venue habité à l’appartement. Nous sommes vraiment très heureuses.