La traduction française de : The Barby : paperbakwrytrtraduit par : Philippe C de HarlesElle entre dans le bar avec une seule idĂ©e en tĂŞte, baiser avec un inconnu. Ce bar est situĂ© dans un des quartiers très mal famĂ©s de New York. Elle ne s’en soucis pas, ce soir, elle est Ă la recherche de sensations fortes. Et, de la manière qu’elle est vĂŞtue, il n’y aura aucun doute dans la tĂŞte de tous ces gars qui seront dans le bar parce qu’elle affiche très bien ce qu’elle recherche.C’est une femme de grandeur normale avec de gros seins et des jambes bien galbĂ©es, une longue chevelure brune parsemĂ©e de quelques mèches blondes lui vient Ă la hauteur des Ă©paules, elle dĂ©gage beaucoup de sensualitĂ©. Elle porte une robe de cuir noire, ajustĂ©e sur sa peau, moulant ses formes. Elle a volontairement descendu le zipper sur le devant, ces hommes vont la trouver irrĂ©sistible, elle s’est vĂŞtue si provocante qu’elle-mĂŞme ne peut plus reculer.Des bottes en cuir Ă talon aiguille lui montent jusqu’au haut des cuisses, les aide Ă deviner qu’elle sera accessible, femme facile. Elle ne porte pas de petite culotte, elle ne veut surtout pas cacher ce qu’elle veut tant leur monter.Elle est Ă la recherche de sensations fortes, du sexe viril, vite fait, juste une bonne botte sans histoires ni sentiments, tout ce qu’elle veut, c’est un pĂ©nis en elle, et, ce soir, n’importe quel pĂ©nis peut faire l’affaire.Elle ne veut mĂŞme pas attacher un visage Ă l’acte, surtout ne rien savoir de sa vie Ă lui, tout ce qu’elle recherche c’est une bonne botte sans aucune attache ni histoire, du sexe viril, quoi?Elle voit tout de suite ce qu’elle recherche, il joue au billard en face du bar. Il a l’allure d’un dur, d’un gars de bicycle, un tee-shirt blanc moule sa poitrine de gars qui aime s’exercer rĂ©gulièrement avec des altères et la veste de cuir noire lui donne encore plus un air de vrai dur. Des jeans serrĂ©s et la fameuse chaĂ®ne qui retient son portefeuille suspendu en toute Ă©vidence Ă sa taille, lui rĂ©vèle tout ce qu’elle veut savoir de lui.Oui, qu’elle se dit, lui, c’est un vrai dur, comme elle se l’imaginait, exactement le genre qu’elle recherche.Mentalement, elle n’est pas en Ă©tat pour aucune discussion, elle ne veut surtout pas perdre du temps Ă jouer le jeu de la sĂ©duction ni le rituel de la drague. Elle ne veut rien savoir de sa vie Ă lui. Elle a seulement envie de ressentir un pĂ©nis lui pistonner la chatte.En marchant directement jusqu’Ă lui, elle sait trop bien que tous ces durs Ă cuire la dĂ©sir. Il est costaud, plus grand qu’elle croyait, mais, elle sait qu’il fera l’affaire. Elle lui murmure quelque chose Ă l’oreille. Il dĂ©pose sa baguette sur la table de billard et la suit. Pour se rendre Ă l’extĂ©rieur, ils doivent retraverser tout le bar devant ces hommes qui la dĂ©shabillent de yeux, elle continue de se dĂ©hancher jusqu’Ă ce qu’elle disparaisse dans la rue sombre.Les bruits des klaxons au loin de taxis et de toutes ces autos qui poursuivent leurs folles courses sont les seules sons qui perturbent la nuit.Elle marche jusqu’au coin de la rue, il suit tout près d’elle. Elle va vers un coin sombre près du mur de la ruelle. Elle s’appuie contre ce mur, il connaĂ®t son rĂ´le, ils n’ont pas besoin de se dire un seul mot.Il rĂ©agit rudement, il lui prend les poignets et il les immobilise au dessus de sa tĂŞte, il l’embrasse sans aucune dĂ©licatesse, sa barbe de quelques jours irrite sa peau si sensible.Elle lui retourne son baiser, sa langue plonge dans sa bouche, la suçant de la sienne, il la serre de toutes ses forces contre son corps, elle ressent la bosse de sa verge en Ă©rection qui palpite contre ses cuisses.Sa chatte commence Ă mouiller, elle reconnaĂ®t cette douce chaleur qui monte Ă l’intĂ©rieur de son corps. Elle se sent si vivante pendant que chacun de ses nerfs rĂ©agit dans son corps au rythme fou de ses dĂ©sirs. Elle reconnaĂ®t ces sensations et les bruits qu’ils dĂ©clenchent dans sa chatte qui se contracte. Le zipper est descendu sans mĂ©nagement avec bruit, dĂ©clenchant en elle ces moments de jouissance si anticipĂ©e.De ses mains impatientes, il lui pogne les seins, sa peau rude Ă©corche la sienne. Elle pousse des gĂ©missements, il emplie ses mains de ses seins 34DD. Sans dĂ©licatesse, ses mains lui pincent et lui griffent les mamelons, elles lui font mal en faisant de cercles avec l’intĂ©rieur de ses mains qu’il frotte rudement sur ses aurĂ©oles, les souffrances deviennent plaisirs.Elle arque son bassin dans des mouvements obscènes de femme dĂ©vergondĂ©e pour que sa chatte puisse se frotter tout contre son pĂ©nis.Elle le supplie pour qu’il enfonce son pĂ©nis en elle, pour qu’il la pistonne de son membre viril et qu’il la fourre et qu’il lui boure la chatte comme la salope qu’elle est.Il arrĂŞte l’Ă©treinte, Ă©loigne son corps du sien, il admire ses formes de femme pendant que ses yeux Ă elle se font suppliant. De ses mains, il joue avec sa ceinture, il dĂ©fait la boucle, la dĂ©tache, le macho se rapproche d’elle et sans mĂ©nagement il lui empoigne les poignets et il les attache en les liant avec la ceinture, il la retourne brusquement face au mur pendant qu’elle pousse des cries plaintifs. Elle cambre encore plus ses fesses, son corps a si besoin du sien.Elle le sent bouger derrière elle, il lui remonte la robe jusqu’Ă la taille, ses mains impatientes se promènent sur sa chatte, elles lui caressant le clitoris dĂ©jĂ bien Ă©veillĂ©. Le macho tient son pĂ©nis d’une main et il en frotte le gland contre sa fente et sans avertissement, il l’enfonce profondĂ©ment en elle d’un seul coup de rein, elle crie de douleur, elle se sent comme si elle venait d’ĂŞtre coupĂ©e en deux.Son membre viril la pistonne Ă longs coups, elle crie en poussant de ses fesses contre son corps viril comme si c’Ă©tait elle qui voulait l’avaler en entier.Il ne fait plus du tout attention Ă ce qu’elle veut, lui, il ne pense qu’Ă la fourrer, l’entendre hurler de plaisir. Il la pistonne, de son gros pĂ©nis, il la lime de toutes ses forces, Ă chaque nouveau coup ses testicules frappent contre son clitoris. Elle se donne sans aucune retenue, elle a envie de sentir son pĂ©nis en elle, elle lui laisse faire tout ce qu’il dĂ©sir d’elle.Il l’empogne par les hanches et il la tire brusquement contre son pĂ©nis pour qu’elle le sente bien qui vibre en elle, tout son corps se dĂ©mène dans une chevauchĂ©e sauvage tout le temps qu’il la pistonne. Elle est chatouillĂ©e par des goĂ»tes de sueurs qui coulent du front de son amant dans la craque de ses fesses et chacune des goĂ»tes dĂ©clenche une nouvelle vague de plaisirs.Elle aime ces sensations pendant qu’elle est toute retournĂ©e de l’intĂ©rieur, il le ressent lui aussi et il sait qu’elle sent venir l’orgasme, il la sait si prĂŞte. Il lui laisse deviner qu’il va lui donner un dernier grand coup, profond, viril. Au lieu de cela, il la fait attendre, il veut la tester, le macho veut qu’elle en redemande, qu’elle le supplie. Elle pousse du bassin pour tenter de s’enfoncer le pĂ©nis encore plus profond dans sa chatte, mais, elle s’aperçoit qu’au lieu de la pĂ©nĂ©trer, le macho se retire complètement, elle en pleure, elle a tant besoin de ce pĂ©nis en elle.Il se tient immobile en face d’elle, le pĂ©nis Ă la main, le macho se masturbe pendant qu’il la regarde, il jouit de la voir le supplier comme la vraie pute qu’elle est pendant qu’elle vient près de s’Ă©vanouir tellement elle est folle de frustration.Il la pogne par les Ă©paules et sans mĂ©nagement, il plonge son pĂ©nis au plus profond d’elle, et, il arrĂŞte complètement de bouger. Elle gĂ©mit sous la douleur, mais, cette douleur devient jouissance. Elle en oublie de respirer pendant qu’elle s’aperçoit qu’elle n’a plus le contrĂ´le de son corps, sa chatte elle se contracte tout autour du pĂ©nis de cet Ă©tranger.Il la pistonne en lui ramonant Ă grands coups tout l’intĂ©rieur de sa chatte, les parois de sa chatte le serre de tous leurs muscles, il veut la dĂ©foncer, qu’elle s’ouvre toute Ă lui.Il lui secoue les Ă©paules en lui donnant un dernier grand coup de butoir tout en lâchant un cri animal, guttural, il se retire d’elle et il lui dĂ©charge dans le dos, elle sent son sperme lui couler dans la craque des fesses, se mĂ©langeant avec sa mouille Ă elle. Elle a des gĂ©missements de femme en chaleur pendant que ce pĂ©nis se repose dans la craque de ses fesses, bougeant paresseusement de haut en bas.Lorsqu’elle se relève, du sperme coule Ă l’intĂ©rieur de ses cuisses, il lui repogne la taille et il l’oblige Ă se pencher la tĂŞte au niveau du sol. AussitĂ´t, elle panique, elle essaie de voir ce qui se passe, mais en l’espace un clin d’Ĺ“il, sans aucun avertissement et sans aucun prĂ©liminaire, il lui enfonce son pĂ©nis en pleine Ă©rection dans l’anus, la douleur devient insupportable, elle croit qu’elle va s’Ă©vanouir.Son pĂ©nis lui a dĂ©foncĂ© si brutalement l’anus, avec encore plus de force qu’elle ne l’aurait jamais cru possible. Les sons de ses gĂ©missements sont Ă©touffĂ©s par les sons ambiants, pour quelques secondes tout l’intĂ©rieur de son corps semble momentanĂ©ment paralysĂ© sous cette charge de cavalerie, elle souffre tant qu’elle ne peut pas rĂ©agir, elle attend ses gĂ©missements comme si elle regarderait tout cela sur un Ă©cran de tĂ©lĂ©vision, la douleur la rĂ©veille, elle entend ses propres gĂ©missements qui augmentent au mĂŞme rythme que cette force qui l’a pĂ©nĂ©trĂ© dans l’anus.Elle rĂ©alise que le macho se dĂ©place derrière elle, il penche son corps au-dessus du sien d’une manière protectrice, sa main fouille entre ses cuisses et elles lui caressent la chatte qui elle mouille plus que jamais. Elle sait et elle a une peur morbide de ce qui va arriver, mais, son corps, lui, prend lentement le dessus sur ses craintes et il commence Ă jouir au mĂŞme rythme que ce pĂ©nis qui abuse de son anus.Elle rĂ©alise qu’elle est consentante, alors, c’est elle qui pousse encore plus des fesses contre les assauts de son membre pour qu’il sache qu’elle le veut, mais, lui le savait dĂ©jĂ , il sait qu’elle a si besoin de ressentir son gros membre en elle. Avec un doigt, il lui agace le clitoris qui est dĂ©jĂ très Ă©veillĂ© et soudainement, en contraste avec tout ce qu’elle s’attendait de lui, l’homme la masturbe dĂ©licatement, elle frissonne sous tous ces plaisirs qui montent dans son corps.De son autre main, il la caresse de ses hanches Ă ses seins, elle se dĂ©tend et c’est plus fort qu’elle, son cul bouge d’un bord Ă l’autre sivant chaque mouvement de son pĂ©nis en elle.Il sent monter en lui comme la puissance d’un volcan qui serait près Ă faire Ă©ruption, ce qui lui fait perdre tout control. Elle ressent son pĂ©nis qui palpite Ă pleine force, l’ouvrant et lui labourant l’intĂ©rieur, forçant ses pârois Ă s’ouvrir Ă leur pleine expansion.Sa respiration se changent par des petits cris qu’il lâche contre ses oreilles. Maintenant, malgrĂ© les palpitations ininterrompus de sa verge, il s’aperçoit que c’est son anus Ă elle qui avale son pĂ©nis. Elle veut bouger, mais, il la retient fermement, ne lui permettant plus aucun mouvement.Ces gĂ©missements Ă elle, retentissent en Ă©cho du long des murs. Inquiète subitement de tout le bruit qu’elle fait, elle regarde aux alentours s’il y aurait des tĂ©moins, il en a profitĂ© pour lui entrer deux doigts dans la chatte et aussitĂ´t cela lui fait rĂ©aliser que les gĂ©missements qu’elle entend sont les siens. L’orgasme explose en elle avant qu’elle n’est le temps de s’apercevoir ce qui se passe dans son propre corps.Elle bouge son cul avec toute ses Ă©nergies pour s’enfoncer son membre viril en elle si bien qu’il en perd presque l’Ă©quilibre. Le macho ne pouvait s’imaginer que sa chatte lui sucerait les doigts tel qu’un gros aspirateur et qu’elle s’agripperait avec tant de vivacitĂ© Ă son membre. C’est seulement alors qu’il se rend contre qu’il n’a jamais eu le contrĂ´le de la situation.Son pĂ©nis lui presque fait mal lorsqu’il crache son sperme tout au fond d’elle et il rĂ©alise qu’il ne saura jamais s’il la complètement contenter. Ils gĂ©missements tous les deux pendant qu’il vient en elle, et, ni lui ni elle, ne savent ni ne se soucient de ce qui pourrait arriver dans les minutes Ă venir.Elle reste suspendu dans ses bras sans aucune Ă©nergie, dĂ©sarticulĂ©e comme une poupĂ©e de chiffons et lui-mĂŞme ne sait pas s’il a encore la force de la retenir contre lui. Il se lève en l’aidant Ă se relever elle aussi, il retire son pĂ©nis du refuge Ă©troit de son anus. Il s’Ă©loigne un peu d’elle en tenant son pĂ©nis dans sa main, il le masturbe dĂ©licatement pour en faire ressortir les dernières goĂ»tes pendant qu’il doit prendre des profondes respirations.Il revient vers elle et lui dĂ©tache les poignets. La ceinture a laissĂ© des profondes marques rouges Ă ses poignets et il est certain que ces blessures lui laisseront des bleus. Le temps d’un clin d’oeil, ils se regardent dans les yeux, ils savent qu’ils ne se reverront jamais, elle va partir de son cĂ´tĂ© et lui du sien, elle a eu ce qu’elle voulait et lui aussi.Elle replace sa robe, s’Ă©loigne de lui et elle revient vers lui pour l’embrasser sur la bouche en lui mettant un billet de 100 dollars dans les mains, elle le remercie pour la bonne botte et elle disparaĂ®t au coin de la rue.Elle marche jusqu’Ă son automobile en repensant Ă ce qui c’est passĂ©. Lorsqu’elle entre dans son auto, elle se change, elle enlève sa culotte toute mouillĂ© qu’elle serait gĂŞnĂ©e de montrer, si ce n’est qu’Ă cet Ă©tranger. Son amoureux l’attend lorsqu’elle revient chez elle, il lui demande comment c’est dĂ©roulĂ© sa rencontre d’affaire, elle lui dit que c’Ă©tait un peu fatiguant, mais que tout c’est bien passĂ©.Elle va dans sa chambre et elle essaie d’oublier sa nouvelle personnalitĂ©, mais, malgrĂ© elle, elle ressent encore des dĂ©sirs en elle. Elle prend une douche et elle se savonne, mais, elle sait qu’elle ne pourra jamais tout effacer de cette nuit-lĂ , son corps, lui, s’en souviendra toujours.Lorsque finalement, elle retourne dans son lit, elle est heureuse que son copain soit dĂ©jĂ endormi. Il lui a laissĂ© une enveloppe son oreiller, elle l’ouvre, un billet de 100 dollars en tombe, la note dit : merci pour la bonne botte.Elle sourit et s’endort.