Le bord de lac
Un souvenir de vacances Ă l’Ă©poque du lycĂ©e, je suis tombĂ© sur une rencontre imprĂ©vue, je n’Ă©tais pas vierge mais cette expĂ©rience Ă©tait trĂšs particuliĂšre.
Proposée le 20/01/2022 par JLFELC Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
CâĂ©tait pendant les grandes vacances entre la seconde et la terminale, jâĂ©tais parti en camping avec des potes dans les landes. Le genre de camping pas cher, mais un peu loin de tout, nous avions pris habitude dâaller squatter un lac Ă 4 kilomĂštres de lĂ . Un jour en fin dâaprĂšs-midi je me suis pris la tĂȘte avec mes potes, ils sont repartis suivre un autre groupe alors que je voulais rester. AprĂšs quelques temps et une baignade tranquille, je remarque que mes affaires on disparues, me retrouvant comme un con en short de bain sans chaussures ni tĂ©lĂ©phone. Apercevant une maison Ă proximitĂ©, je me suis dit que je pourrait y demander Ă tĂ©lĂ©phoner pour avertir mes « potes » qui mâavais lĂąchĂ© une heure plus tĂŽt. Une fois arrivĂ© devant je sonne mais personne ne me rĂ©pond, la maison mal entretenue semble inoccupĂ©e, avant de faire demi tour je rentre un peu dans le jardin. Sur ma droite un cabanon de jardin amĂ©nagĂ©, avec une table sur laquelle un cendrier avec une clope encore allumĂ©e est posĂ©.Une femme sort du cabanon et mâinterpelle : « Quâes tu fait lĂ , tâes qui ? » Elle semble alcoolisĂ©e ou dĂ©foncĂ© Ă lâherbe. Moi : « Heu dĂ©solĂ©, bonjour, je cherche Ă tĂ©lĂ©phonĂ©, on a volĂ© mes affaires » dis en balbutiant. Elle explose de rire et me dit de la suivre Ă lâintĂ©rieur. La cabane, plutĂŽt mal rangĂ© est amĂ©nagĂ© avec une table et deux chaises, au fond un vieux canapĂ©. Elle me propose Ă boire, ce que je ne refuse pas car il faisait chaud, on sâassied face Ă face. Bien sur il nây avait que de lâalcool, elle me tend une cannette de biĂšre tiĂšde et bon marchĂ©, cela fera lâaffaire, elle prend un verre qui semble ĂȘtre un coca -whisky vu lâodeur. On discute un peu, mais câest compliquĂ© car elle ne cesse de rire pour rien et se ressert un verre, elle me dit quâelle ira chercher son tĂ©lĂ©phone aprĂšs celui-ci.Au fil de lâapĂ©ro imposĂ©, son dĂ©colletĂ© trop grand tombe lentement sur sa poitrine et laisse apparaĂźtre un tĂ©ton brun. Ătant jeune, je me met Ă bander sans le vouloir, ce quelle ne semble pas remarquer. Elle se lance dans un monologue nâayant aucun sens, je la laisse parler pour passer le temps, et pendant ce temps je la matte. CâĂ©tait une brune de taille moyenne qui semblait avoir la trentaine, elle avait des cheveux frisĂ©s, un regard vitreux et un visage fin, sa poitrine Ă©tait trĂšs correcte et ses hanches donnais sur des cuisses gĂ©nĂ©reuses. Bien que plus ĂągĂ©e que moi, elle Ă©tait tout Ă fait attirante Ă mes yeux, si on fait lâimpasse sur le cotĂ© nĂ©gligĂ© de ses vĂȘtements et les 2 ou 3 points noir visibles sur son visage. Je nâen Ă©tait pas rendu compte, mais je bande au maximum sous mon caleçon de bain, tout Ă coup elle arrĂȘte de parler et matte mon entrejambe gonflĂ©. Elle glisse son pied crasseux par dessus mon maillot de bain et mâexcite encore plus. Je me laisse faire quelques instants, puis le bout de sexe sort par le haut du caleçon, elle rapproche son pied qui vient me saisir le gland entre son gros orteil et les autres, elle rĂ©ussi Ă me dĂ©calotter complĂštement de cette façon puis fait des mouvements avec ses orteils. MalgrĂ© la saletĂ© de ses pieds sableux et terreux, je prend plaisir Ă sentir toutes les aspĂ©ritĂ©s de ces oreilles et ongle de pied sur mon gland Rapidement mon gland devient sec et les caresses de ses orteils deviennent moins agrĂ©able, jâĂ©carte son pied et essaye de ranger mon pĂ©nis dans le maillot de bain.Je me lĂšve pour partir et lui redemander pour tĂ©lĂ©phoner, A-peine le temps de pouvoir dire quelque chose quâelle se jette sur mon caleçon, le baisse rapidement et engloutit mon pĂ©nis dans sa bouche. Elle se met Ă branler la base de mon sexe tout en suçant vigoureusement le haut, je glisse mes main dans ses cheveux, elle se met Ă tourner sa langue sur le gland, lâorgasme est sur le point dâarriver lorsque quâelle retire sa main, la plaque avec la deuxiĂšme sur mes fesses et viens sâenfoncer mon sexe au fond de sa gorge. JâĂ©jacule en maintenant la tĂȘte fermement, ce quelle fait aussi, je redouble de plaisir en sentant Ă la ses lĂšvres sur la base de mon pĂ©nis et en touchant le fond de sa gorge avec mon gland. Une fois mes couilles vidĂ©es, elle dĂ©gage sa tĂȘte et se rince la bouche en buvant au goulot dâun bouteille de whisky, puis elle rallume un mĂ©got de joint et tire plusieurs lattes De mon cotĂ© je remonte mon short de bain et lui redemande pour tĂ©lĂ©phoner, je sort du cabanon pour respirer car je ne supporte pas cette odeur de tabac froid.AprĂšs 2 ou 3 minutes et nâayant pas de nouvelles, je retourne dans le cabanon lui redemander pour une derniĂšre fois pour le coup de fil avant de me taper la route Ă pied. Je la trouve allongĂ© sur le ventre, elle ne rĂ©pond pas, je pense Ă un malaise ou quelque chose du genre. Je me rends vite compte quâelle respire, jâessaye de la rĂ©veiller mais impossible alors je la met en position latĂ©rale de sĂ©curitĂ©, car on ne sais jamais⊠puis elle se met Ă ronfler. Je me met Ă chercher dans le cabanon un tĂ©lĂ©phone portable, je ne trouve rien au milieux de tout ce bordel, alors je reviens vers elle pour essayer de la rĂ©veiller de nouveau. Je tapote lâĂ©paule, lui parle etc. en retour elle me dit « laisse moi dormir », pas la peine dâinsister, jâen profite pour la regarder. Sa position fait que sa jupe est relevĂ©e et laisse apparaĂźtre sa fesse droite, je caresse ses cuisses molles qui prĂ©sentent un lĂ©ger duvet de pilositĂ©, sa peau est lisse mais un peu collante. JâhĂ©site encore puis je soulĂšve doucement sa jupe, cela me permet de voir une magnifique paire de fesse ronde, bien dessinĂ©es et rebondies, le lui caresse le derriĂšre progressivement car elle dors toujours profondĂ©ment. Elle ne porte pas de culotte, cela mâexcite de nouveau, jâĂ©carte ses fesses et lâaperçois la totalitĂ© de son entrejambe. Voici ce que je vois : en haut de la raie un anus sombre et plissĂ© entourĂ© dâune couronne de poils, je ne vais pas mây attarder ce nâest pas mon truc, je descend mon regard sur sa motte semi Ă©pilĂ©e et qui semble ĂȘtre dĂ©jĂ bien humide. Je mâapproche de plus en plus de ses grandes lĂšvres qui sont gĂ©nĂ©reuses et laisse apparaĂźtre un fente mystĂ©rieuse, dĂ©jĂ Ă 5 centimĂštres de distance et je sent le parfum de son sexe qui est irrĂ©sistible et me fait bander. JâĂ©carte doucement ses grandes lĂšvres qui sâouvrent et dĂ©voile les petites lĂšvres collantes et un clitoris imposant, je pose mon nez dessus pour mâenivrer de son odeur aphrodisiaque. Je nâavais jamais eu lâoccasion de sentir un sexe fĂ©minin avec autant de parfum, alors je prends mon temps, puis lâexcitation Ă©tant trop forte je me lance dans un lĂ©chage dĂ©licat, dâabord entre les grandes et les petites lĂšvres dont le goĂ»t aigre et salĂ© rend lâexpĂ©rience unique, puis entre les petites lĂšvres dont la cyprine dĂ©licieusement sucrĂ©e et pour finir en aspirant le clitoris dĂ©jĂ bien gonflĂ©. Elle se met Ă redresser ses fesses en levrette, finalement elle ne dormais plus vraiment, se qui ouvre encore plus son odorante intimitĂ© qui mouille de plus en plus. Elle me supplie de la pĂ©nĂ©trer, nâayant pas de prĂ©servatif je ne prĂ©fĂšre pas, je continue encore mais elle impatiente alors je saisi un tournevis qui traĂźnais Ă cotĂ© du canapĂ© et dont le manche correspondais Ă peux prĂšs Ă la taille dâun pĂ©nis et je me met Ă la pĂ©nĂ©trer avec en faisant semblant de le faire avec ma bite. Elle prend du plaisir au point de jouir, je retire alors lâobjet et je me branle frĂ©nĂ©tiquement jusquâĂ Ă©jaculer sur ses fesses, le liquide brĂ»lant coule alors sur elle qui le rĂ©cupĂšre avec ses mains avant de se lĂ©cher les doigts avec gourmandise.Nous entendons une voiture arriver, elle me jeta dehors car câest son pĂšre qui rentrait. Finalement je ce soir lĂ suis rentĂ© Ă pied.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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